Rencontre extraordinaire : Séjour dans une base extraterrestre …12 août 2015

Dans le numéro 58 de « Top secret », celui de décembre 2011-janvier 2012, on trouve une interview de Robert L. réalisée par Roch Saüquere, le directeur de la revue. Les éléments d'information donnés ci-après sont tirés de cette interview.

 

En 2011 donc, plusieurs ufologues, dont Jean-Claude Venturini et Georges Metz, sont descendus sur Toulouse à l’occasion de la sortie du livre de Georges Metz : « OVNIs en France », aux éditions Interkeltia. Le témoin Robert L., qui a vécu, dans les années 1960, une aventure hors du commun, était présent pour donner une conférence à l’occasion des Repas ufologiques.

 

« Robert m’est présenté. Je remarque immédiatement la profondeur de son regard qui semble traverser l’âme. Je ne le connais pas personnellement, mais je connais assez bien son extraordinaire aventure. Nous avons publié un long dossier à ce contacté dans TS n° 35. Robert L. respire la sincérité et la simplicité. Ce n’est vraiment pas le genre d’homme qui cherche ou qui aime à se mettre en avant. Cela rend son témoignage d’autant plus crédible. » (Roch Saüquere)

 

Une discussion (enregistrée) à bâton rompu a eu lieu lors du voyage (en voiture) de Toulouse à l’Isle-Jourdain et Auch, entre Roch Saüquere et Robert L. Dans le véhicule, étaient également présents George Metz et la responsable des repas ufologiques de Toulouse. Voici donc le récit du témoin :

 

Tout a commencé le 25 juin 1966. Alors âgé de 21 ans, il rentrait d'une fête d'un village (Lunac) de l'Aveyron, alors qu'il était minuit et demi/une heure. Il était arrivé dans la cour éclairée par une ampoule, et c'est alors que sa mère, son père et sa grand-mère lui dirent qu'un « obus » (une colonne de lumière ayant cette forme) et des lumières se promenaient...

 

Les premiers jours de janvier 1967, son père (né en 1907) l'appela pour lui dire qu'il y avait les boules comme en juin. Robert L., qui ne vit rien, retourna dans la grange. Mais le père le rappela en lui criant qu'elles étaient revenues. Cette fois, le fils vit, derrière la grange, les boules de lumière.

 

Un jour de janvier, Robert L. a vu 4 ou 5 boules dans le champ. L'une d'elles était immobile. Elles avaient un diamètre d'1 mètre à 1 mètre 20 et elles flottaient à 20-30 centimètres du sol. De la lumière en émanait, mais elles n'éclairaient pas.

 

1. La poursuite de la boule et la soucoupe à double dôme :

 

Il voulut aller voir la boule immobile qui se trouvait à 40-50 mètres de la maison. Il voulait la percuter avec la voiture ! Il ne voulait pas y aller à pied car il avait peur de toucher la boule et de se prendre de l'électricité. Il se mit à rouler en direction de la boule, mais plus il avançait, plus la boule s'éloignait. Après une centaine de mètres ainsi parcourus, il a vu un obus sur le côté gauche, qui était en biais, un peu au-dessus des arbres.

 

Cet obus est parti en travers, comme une fusée. Il s'est alors rendu compte que la boule l'attendait. Il s'est mis à la poursuivre à une vitesse allant jusqu'à 90 km/h, sur plus de 3 kilomètres et sur une route sinueuse. Il n'avait pas peur, mais il voulait simplement attraper ce « truc ». Son père disait qu'« à tous les coups, c'est une expérience militaire ». Il est vrai qu'il y avait une base militaire à quelques kilomètres à l'ouest, le camp militaire de Caylus... La boule est passée sur le côté droit pour disparaître dans les champs.

 

La voiture s'est alors mise à avoir des ratés. Le conducteur voulut se garer sur la droite, tout en sentant de la chaleur monter dans le véhicule. C'est alors qu'il vit une « soucoupe» à double dôme. Elle montait et descendait, pendant qu'à côté le panneau indicateur vibrait. Dans les dômes, il y avait deux personnages. Le témoin a alors senti un engourdissement terrible, puis il a perdu connaissance.

 

Lorsqu'il s'est réveillé, il était dans le fossé en dehors de la voiture. Cette dernière a démarré au quart de tour. Une fois rentré à la maison, il a appris que plusieurs heures s'étaient écoulées depuis son départ. Ses parents étaient affolés car il était 4 heures du matin. A l'époque, ils n'avaient pas le téléphone et ils n'avaient pas pu prévenir le voisin car des boules de lumière bloquaient les deux entrées principales. Elles venaient de partir juste au moment où Robert arrivait.

 

2. Les visites nocturnes et le départ :

 

A la suite de ces événements, Robert L. a eu des sortes de rêves, comme s'il sortait de son corps, mais ce n'était pas très conscient à l'époque.

 

Pendant deux ans, le soir, des êtres pénétraient à travers les murs de sa chambre. Il en a parlé un peu plus tard à son père. Cela est arrivé régulièrement en 1967-1968. Pendant cette période, son père voyait les lumières, ce qui ne fut pas le cas de la mère et de la grand-mère.

 

Robert L. ayant demandé à ces êtres s'ils étaient des anges ou des dieux, ils ont répondu qu'ils étaient des êtres humains, des explorateurs d'étoiles, des savants venant d'une galaxie voisine.

 

Lors de ces visites, il n'avait pas peur.

 

Une fois, il a eu comme un bracelet de lumière transparent sur le poignet droit, et ce bracelet s'est rempli de sang. Il n'avait senti aucune piqûre. Le lendemain, il n'avait aucune trace. On peut dire, dit-il, que c'était comme une prise de sang.

 

En général, il était dans un état second de rêve éveillé. Au début, il y avait une visite par mois. Cela s'est espacé, puis les visites sont devenues plus fréquentes.

 

En 1968, la personne que le témoin appelait « le guide » lui a demandé s'il voulait venir vivre avec eux en Inde, dans une grotte aménagée où il aurait tout ce qu'il lui faut. Il ne devait rien emporter, aucune affaire personnelle, à l'exception des vêtements qu'il portait. Après réflexion, il accepta la proposition. Il a commencé à pratiquer le yoga.

 

Au cours des discussions avec les explorateurs d'étoiles, le témoin a appris que la plupart des planètes sont habitées et que la race humaine existe, dans l'univers,depuis des milliards d'années. Le contacté ayant demandé comment l'univers avait été créé, si cela s'était fait « une bonne fois pour toutes », les visiteurs lui ont répondu que non, qu'il y avait, tout le temps, des mondes qui naissaient et des mondes qui mourraient.

 

A la question de savoir s'il y avait plusieurs dimensions, le guide répondit qu'il n'y en avait qu'une dans l'univers, mais qu'il y avait « différents volumes, avec des densités différentes ».

 

Pour voyager dans l''espace, ils peuvent « raccourcir le temps ou l'étirer ».

 

Robert L. raconta la vérité à son père. A sa mère et à sa grand-mère, il dit, pour ne pas les inquiéter, qu'il allait à Paris. Il avait rendez-vous dans un champ, à un endroit précis, à une heure précise.

 

Le jour où il a dû descendre le champ pour monter dans la soucoupe, il a eu peur. Il était 22 heures 30, le guide lui ayant dit de se tenir à côté du cerisier. Il a eu peur de monter dans l'engin, peur de ne pas pouvoir respirer comme eux et de mourir. Il a été pris de panique, mais une pensée lui est venue : le « guide » le rassurait en lui disant que tout était prévu pour lui, qu'il n'y avait aucun souci.

 

Le guide ne lui a pas donné son nom car ce nom lui aurait été imprononçable.

 

Ces êtres mesuraient entre 2 mètres et 2 mètres 50. Leur visage était fin, les yeux longilignes et bridés comme des Chinois. Lorsqu'ils étaient debout, leurs bras étaient plus longs que les nôtres et descendaient presque jusqu'aux genoux.

 

Il ne pouvait pas aller dans cette base sans une certaine préparation préalable, il serait probablement mort en entrant. Il pense qu'il avait déjà un implant et il avait une tenue spéciale.

 

Dans la soucoupe, cela ne bougeait pas, cela ne tremblait pas, il n'y avait pas de bruits et les sièges étaient extrêmement confortables. Il était tellement bien qu'au bout de quelques secondes il a demandé si le voyage allait commencer. Et là, sous ses pieds, le sol est devenu transparent, comme si on avait ouvert une trappe ; il a alors vu une ville pleine de lumière. Il a pensé, à tort ou à raison d'ailleurs, que c'était Marseille, mais il n'a jamais su.

 

Lors du départ, il n'y avait que le guide et lui.

 

Avant que la soucoupe n'arrivât, le regard de Robert L. fut attiré vers le ciel et il vit alors se former un trou, le vaisseau ayant passé à travers, comme « s'il sortait d'un deuxième univers ». Il faisait nuit et, à travers cette ouverture, il a vu un ciel bleu en décalé.

 

A cette époque, Robert L. étant sujet à des migraines terribles, les visiteurs lui dirent que son corps physique fonctionnait bien mais qu'il y avait des réglages à faire. C'est ce qu'ils ont fait et depuis, plus rien.

 

Il n'a jamais eu l'idée d'appeler les gendarmes. Mais ce qui est curieux, dit-il, c'est que les gendarmes passaient souvent pour faire des rondes, comme s'ils avaient été prévenus qu'il se passait quelque chose. Lorsque les visiteurs venaient le voir le soir dans sa chambre, il leur disait que s'ils venaient souvent, les voisins finiraient par apercevoir leur lumière ultra puissante... Ils l'ont rassuré en lui disant que leur technologie était très évoluée et leur permettait de ne pas être vus.

 

Les visiteurs ont dit qu'il y avait, sur la planète, 300 000 contactés, et qu'il existait diverses catégories d'êtres humains extraterrestres. Ils appartenaient à un groupe spécifique, une confédération galactique, et étaient en mission d'exploration.

 

Il n'a jamais croisé d'autres Terriens dans la base.

3. Le séjour dans la base :

 

Arrivé à la base, il a été accueilli par deux femmes - la biologiste et l'ethnologue - qui l'amenèrent dans sa chambre. Il s'agissait de deux femmes blondes très belles. Lorsqu'elles s'exprimaient, elles n'avaient pas d'accent et parlaient le français. Les visiteurs utilisaient les mêmes mots que lui, mais ils n'avaient pas son accent très marqué du sud.

 

Durant son séjour d'un an à la base, il ne vit que ces deux femmes et le guide.

 

L'entrée de la base était constituée d'un trou dans une montagne, avec un tunnel en col de cygne. Le hangar faisait à peu près une centaines de mètres. Les murs n'avaient pas d'angle, pas d'arête, ils étaient très lisses, comme un miroir.

 

Robert L. n'a jamais aussi bien dormi de sa vie que quand il était dans la base. Quand il se mettait au lit, il s'endormait de suite, sans rêves ou cauchemars. Quand il se réveillait, il était pleinement éveillé. Les visiteurs travaillaient surtout avec des champs électromagnétiques.

 

La nourriture était comme des billes qui fondaient dans la bouche, et c'était bon. Cela avait le goût de viande et de céréales.

 

On sortait du hangar par une espèce d'ascenseur qui pouvait conduire jusqu'à l'extérieur. C'est de ce point d'observation que Robert L. a vu des vaisseaux rentrer à l'intérieur de la base.

 

Dans la base, la lumière semblait venir de nulle part. Cela éclairait de partout et partout exactement de la même manière. Les murs n'étaient pourtant pas lumineux.

 

Depuis la base, Robert L. pouvait voir, sur des écrans, ses parents et sa maison. Ce type d'écran avait l'apparence d'une demi-sphère en 3 D et en couleur. Robert L. avait deux boutons pour manipuler l'image.

 

Pendant un an, il a principalement appris le yoga, il se promenait dans la base. Il y avait dans cette dernière trois zones qui lui étaient interdites. Dans la première, il y avait des champs électriques puissants, dans la deuxième il y avait des champs électromagnétiques où il aurait été grillé, et dans la troisième il y avait de la radioactivité. Un jour, ayant voulu transgresser l'interdit, il avança vers l'un des portails interdits et il s'est senti paralysé, comme s'il avançait dans une mélasse invisible dont il a eu du mal à sortir.

 

Il pouvait se promener. Une fois, il a vu des gens bricoler qui lui ont d'ailleurs « fait coucou ».

 

Il a appris que leur planète avait à peu près les mêmes caractéristiques que la nôtre, avec une atmosphère à peu près comme la nôtre. Ils lui ont appris que les planètes avec lesquelles ils étaient en communication avaient un gouvernement mondial, les dirigeants s'occupant autant du plus petit que du plus puissant, personne ne cherchant à exploiter qui que ce soit. Il n'y a pas d'argent.

 

Faisant référence au système de propulsion des vaisseaux, Robert L. évoque une couronne tournante. Une couronne tournait dans un sens et une autre dans le sens opposé, ce qui engendrait un grand champ d'énergie.

 

Tous les deux jours, la biologiste prélevait manuellement la semence du contacté, l'objectif étant, d'après ce qu'on lui a dit, de contribuer au peuplement de planètes. Celui-ci ayant demandé à la femme s'il accepterait d'avoir un rapport sexuel avec lui, elle a refusé en disant qu'elle effectuait un travail.

 

Ces gens maîtrisaient parfaitement leurs émotions. Le témoin ne les a jamais vus rire ou pleurer.

 

Dans la base, il suivait des cours de yoga physique et mental.

 

Robert L. n'a pas révélé de suite tout ce qu'il a appris. On lui a demandé de n'en parler que 40 ans plus tard, de « restituer le message », selon l'expression employée par ses contacts. Ce message, d'ordre spirituel et philosophique, se trouve dans le livre de Georges Metz : « OVNIs en France » (éditions Interkeltia, 2011).

 

« Et ce message, j'ai dû l'écrire pour que Georges puisse le mettre dans le livre, et lorsque je m'asseyais devant l'ordinateur, je ne savais pas ce que j'allais marquer. Et les idées me venaient au fur et à mesure, parfois je ne pouvais pas suivre, alors ces idées revenaient en arrière et elles reprenaient. » (Robert L.)

- La rencontre extraordinaire :

 

Le guide n'était pas d'accord pour que Robert L. assistât à la réunion évoquée ici, mais la biologiste a insisté (devant le contacté) auprès de lui. Le guide a accepté, à la condition qu'il ne dise pas un seul mot.

 

Le contacté a alors vu des êtres apparaître devant leurs sièges. Il y avait de grands êtres entre 2 mètres et 2 mètres 50, ainsi que d'autres êtres mesurant à peu près 1 mètre 10 ou 1 mètre 20, assez trapus et volumineux. Il n'y avait que des humains de différentes variétés. Au milieu de la table, un grand globe est apparu, dans lequel on voyait des êtres et des planètes en 3 D. La biologiste se tourna vers le témoin et lui dit : « Tu vois, Roro, l'univers est fantastique. » A un moment donné, dans cette sphère est apparu un système solaire comprenant trois Soleils.

 

4. Un tour en France :

 

On a demandé une fois à Robert L. s'il souhaitait faire un tour en France. Celui-ci ayant répondu oui, ils sont montés sur la plate-forme sur laquelle se trouvait un vaisseau. Ce dernier était plus grand que celui qui l'avait amené à la base.

 

Ils étaient 7 à l'intérieur : lui-même, 2 pilotes, le guide, les deux femmes scientifiques, et un individu qui faisait peur à Robert L. « parce qu'il ne rigolait vraiment pas ». Il y avait 9 places dans le vaisseau, et le témoin a été informé qu'il s'agissait d'un vaisseau de combat.

 

Lorsqu'il est entré dans le vaisseau, il s'est arrêté et la biologiste l'a poussé par les hanches en lui disant de ne pas s'inquiéter. Il s'installa et vit que, sous les pieds, le sol était transparent. D'un seul coup, il vit ce sol plonger vers le fond à une vitesse phénoménale. Il eut un haut-le-coeur, cette impression étant due, non à une pression physique, mais à l'effet visuel. Le métal devenait transparent, en haut et en bas, sur les côtés.

 

Une fois en France, ils virent deux avions de chasse. La paroi du vaisseau est devenue un écran par lequel Robert L. pouvait voir le cockpit de l'avion de chasse, le tableau de bord étant visible sur un autre écran.

 

Robert L. ne vit qu'un avion sur les deux.

 

« Nous nous trouvions derrière celui-ci, puis nous nous sommes positionnés sur sa droite, légèrement au-dessus. Nous avons fait un tour de l'avion par le dessus et nous sommes revenus sur sa droite par le dessous. Très peu de temps après cette manipulation, le pilote a tourné la tête pour regarder en notre direction, et c'est là que j'ai très bien vu les lettres FB sur le fuselage de l'avion. J'ai eu peur que l'avion de chasse nous attaque, mais le guide m'a rassuré en me disant que tant que le champ de force du vaisseau était déployé, aucun élément physique ou gazeux ne pouvait pénétrer dans le vaisseau.

 

Et là, j'ai vu l'avion partir à toute vitesse. Le guide me dit que ce n'était pas l'avion, mais bien nous qui partions. Si l'avion avait réussi à percuter notre champ de force, il aurait été pulvérisé en 1000 morceaux. » (Robert L.)

 

Georges Metz et ses amis ont cherché à identifier cet avion et son pilote. Ils ont eu accès aux archives militaires de l'aviation. Ils ont trouvé un avion immatriculé FB en service à l'époque des faits, en octobre 1969, à Dijon. Ils ont identifié une sortie d'un mirage 3000 CFB, le 27 octobre 1969, dans l'horaire qui correspond aux dires de Robert L. Un rapport mentionne que deux avions de chasse sont sortis en vol pour obtenir un contact avec un vol non identifié ne répondant pas aux appels radio.

 

« Le pilote de ce FB, nous avons retrouvé son nom, mais impossible de le retrouver lui. Nous cherchons à retrouver sa trace. Pour les détails de cette enquête, il faut lire le livre de Georges. Le pilote de l'autre avion, un capitaine, est décédé. » (Robert L.)

 

Le voyage en « soucoupe » a continué au ras des arbres, puis le vaisseau est rentré à la base.

 

5. Le retour à la maison :

 

Fin novembre 1969, Robert L. a été ramené chez lui.

 

« Mon père avait reçu une lettre pour le prévenir de mon retour avec la date et l'heure. On n'a jamais su qui avait envoyé cette lettre. Certains humains pourraient travailler pour eux et avoir des postes clés dans le domaine de l'industrie et d'autres. Ils m'ont déposé à l'endroit exact d'où j'étais parti. A mon retour chez moi, j'avais le cœur lourd. J'ai embrassé les deux scientifiques ; j'ai dit au revoir au guide qui m'a remis une enveloppe marron de la poste de l'époque. Je suis rentré chez moi et mon père m'attendait. De là, j'ai regardé dans l'enveloppe et j'ai trouvé 27 000 francs anciens. Une belle somme pour l'époque. » (Robert L.)

 

Ses amis extraterrestres lui avaient dit de garder le secret pendant 40 ans. Ils lui avaient dit qu'ils pouvaient lui donner une preuve, mais qu'ils ne le feraient pas pour lui éviter de sérieux ennuis. Il a tout de même supposé qu'il avait quelque chose dans le dos, un implant.

 

Il a toujours cet implant, mais celui-ci n'est pas toujours activé.

 

« Un ami s'est pris un coup d'électricité en posant sa main dessus. Et Georges, en passant sa main, a vu que quelque chose vibrait sous la peau. » (Robert L.)

 

Depuis les événements, ces êtres ne l'ont pas recontacté, et quelque part, dit-il, c'est un grand regret. Mais, ajoute-t-il, étant né sur Terre, il est normal qu'il y vive et même qu'il y meure. Il a mis beaucoup de temps à mettre des mots sur ce qu'il a vécu.

 

Dans le livre de Georges Metz, une quarantaine de pages sont consacrées à un message d'ordre spirituel et philosophique que les amis d'outre-Terre de Robert L. lui ont livré et demandé de restituer 40 ans après. Ce message concerne notre manière de vivre. De cette expérience, il garde un certain nombre de conseils qui l'aident à mieux conduire sa vie.

 

Au niveau professionnel, sa vie a été bouleversée. Il est devenu aide-soignant.

 

Il pense avoir servi de cobaye à ses amis d'outre-Terre.

 

Affaire relatée également dans le livre de Georges Metz, voir ici

Ces quarante dernières années en France, des témoins ont vécu des aventures insolites et extraordinaires qui mettent en jeu des OVNIS et des visiteurs non humains.

Parmi les enquêtes menées par Georges Metz et ses amis, se trouvent les histoires les plus incroyables et les plus documentées qui puissent exister dans l'hexagone, comme celle de Robert, qui après deux ans de rencontres rapprochées avec des aliens humanoïdes décida de les accompagner durant une année dans une base souterraine secrète.

 

Ou comme la fameuse affaire d'Haravilliers qui vit l'enlèvement d'un témoin à bord d'un engin volant étranger à la Terre. Le nombre et la qualité des informations recueillies dressent un tableau qui ne peut laisser personne indifférent, loin des médias habituels et de leur prêt-à-penser formaté.

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