Que s'est-il passé le 11 juin 1976 sur la R.N. 531 près de Bourg-de-Péage ?
C'est un étrange récit que nous fait Mlle Hélène Giuliana, âgée d'une vingtaine d'années à l'époque, habitant Hostun (Drôme).
"Je n'osais pas en parler, explique-t-elle, j'avais peur que l'on se moque de moi."
Il était aux environs de 1 h 30 du matin dans la nuit du 10 au 11 juin 1976: Mlle Hélène Giuliana, rentrait au
volant de sa 4 L de Valence, où elle avait passé la soirée au cinéma. Après une pause-café, elle regagnait son domicile, par la R.N. 531, lorsque brusquement, après avoir passé le pont "du
Martinet" après Pizançon, sur la commune de Chaluzange-le-Goubet, elle constatait un ralentissement dans la marche de sa voiture.
Craignant d'être à court d'essence, la jeune fille vérifia le niveau de son réservoir, mais tout était normal. Le moteur eut de nouveau des ratées, puis brusquement tous les feux du véhicule
s'éteignirent et le moteur cala.
C'est alors, explique Mlle Giuliana, que je vis à une quinzaine de mètres devant ma voiture, posée sur la Nationale, une masse lumineuse de couleur orange. J'ai eu très peur, et j'ai verrouillé
les portières de ma voiture immobilisée et mis mes mains devant mes yeux. Au bout d'un moment, dont le témoin ne parvient pas à déterminer la durée, retirant mes mains de mes yeux, j'ai constaté
que la masse lumineuse avait disparu.
J'ai mis le contact, explique encore Mlle Giuliana, et la voiture a démarré sans problèmes. Je suis rentrée chez moi tellement bouleversée, que j'ai manqué la route la plus directe, et du faire
un détour par le Beaume d'Hostun, ce qui n'est pas ma route habituelle. Lorsque je suis arrivée chez moi, il était 4 heures du matin!"
Ce récit, fait par un témoin qui semble a priori digne de foi, est particulièrement étrange. En effet comment expliquer sa curieuse observation d'une masse lumineuse, posée en plein milieu de la
route nationale, et surtout cette période de près de deux heures, au cours desquelles, la jeune fille était restée enfermée dans sa voiture tous feux éteints, sur la R.N. 531, sans qu'aucune
voiture, n'ai passé sur une route ordinairement très fréquentée, de jour comme de nuit.
Le maire d'Hostun, M. Bouvier, chez qui Mlle Giuliana est employée, a donné de bons renseignements sur le témoin de ce fait pour le moins étrange.
L'arrêt de Mlle Giuliana devant le phénomène lumineux orange aurait donc duré près de deux heures, deux heures que la jeune fille ne peut expliquer. C'est cet incident qui rapporté à la presse a
suscité l'intérêt des chercheurs s'intéressant aux phénomènes O.V.N.I. Parmi eux M. André Revol, membre du groupe "Ouranos" qui est parvenu à convaincre le témoin d'accepter de se livrer à une
expérience sous hypnose.
La jeune fille ayant donné son accord, une séance fut organisé à Saint-Marcellin par le docteur Etienne D. qui a plongé la jeune fille dans un état de "somnanbulisme hypnotique contrôlé".
Sous état d'hypnose donc, Mlle Hélène Giuliana a raconté qu'après avoir perçu l'étrange lumière éblouissante posée sur la route devant sa voiture deux êtres de petite taille s'étaient approchés
de son véhicule, l'en avaient sorti et lui avaient posé une serviette sur le front avant de la porter jusqu'à la lumière.
Les "nains" pour employer l'expression de Mlle Giuliana a encore expliqué cette dernière au cours de la séance d'hypnose m'arrivaient à la hauteur de la poitrine. Ils avaient une combinaison
toute noire jusqu'à la tête et étaient "très moches". La jeune fille explique ensuite avoir été conduite dans une salle au plafond arrondi au sol en feu puis avoir été déposée et attachée sur une
table par les deux "nains" après quoi l'un d'entre eux dessina une série de ronds lumineux sur son pull-over avec un objet qu'il tenait à la main et qui ressemblait à une lampe de poche.
La table était en fer a encore expliqué la jeune fille qui a remarqué des boutons sur les parois autour d'elle. Après cet examen dont elle n'a pu préciser la durée Mlle Giuliana a été reconduite
dans sa voiture qui a "réapparu devant elle comme si elle était invisible auparavant." Les "nains" étaient ensuite repartis vers la lumière qui s'est élevée très rapidement dans le
ciel.
Cette histoire n'est pas sans rappeler la mésaventure survenue en septembre 1961 aux Etats-Unis à un couple d'Américains, Barney et Betty Hill qui racontèrent eux aussi sous état d'hypnose un
enlèvement sensiblement identique.
Voici les explications des" Ufologues sceptiques", si on peu appeler ces gens des ufologues tant leur mauvaise fois est évidente, ils cherchent toujours à faire passer ces histoires pour des
faits tout à fait explicables, s'en est risible à souhait, jugez en vous même :
" Longtemps après, dans une liste de cas explicables par la Lune, l'ufologue sceptique Eric Maillot indique que la Lune joue probablement un rôle "dans l'affaire d'enlèvement" d'Hélène Guiliana
qui a été interrogée sous hypnose mais que ceci serait trop long à exposer et "barberait les néophytes.
" De fait, le 11 juin 1796 à 01:00 à la longitude de 5° 03' 06" Est et la latitude 45° 02' 47" Nord, coordonnées de Romans, la Lune est à un azimut de 202°30' et une élévation de 21°58, elle
s'est levée à 19:44 le 10 et se couchera à 04:15 du matin le 11, de plus c'est une pleine lune.
Cependant, ni les ufologues sceptiques ni les autres n'ont pris soin de proposer et discuter cette possibilité avec le témoin, et la direction reste à étudier.
Du point de vue ufologique, l'information fournie dans l'article est désastreuse puisque des éléments capitaux qui permettraient de confirmer ou d'infirmer le rôle de la Lune dans l'affaire sont,
curieusement d'ailleurs, absent.
Il n'y a ainsi par exemple nulle mention de la taille angulaire de la masse lumineuse orange. "
Voici donc les différends avis sur cet enlévement qui eu lieu en france, un des rares cas, car la France semblait épargnée à cette époque par les enlévements Extraterrestres.
A vous de juger...
Source : http://homme-et-espace.over-blog.com/article-24655136.html