Bases humaines sur la Lune (M.W. Cooper)

BASES HUMAINES SUR LA LUNE
Les révélations de M. W. Cooper

Un conflit américano-soviétique aurait eu lieu sur la lune causant la

 mort de 66 hommes. Rien n'est prouvé, mais il est certain qu'il y

avait aussi un vaisseaux soviétique au moment de l'alunisage de

 plusieurs missions de   la nasa sur la lune, notament apollo 11.


Dès 1968 le français Jean SENDY (dans son livre "La Lune clé de

la Bible", paru chez JULLIARD) évoque l'hpothèse de la base lunaire.

 Puis en 1971 deux savants soviétiques (Mikhail Vasin et Alexander

 Chtcherbakov) dans le magazine Spoutnik déclarent que " La lune serait

un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des

 êtres intelligents qui nous sont inconnus. "

Selon Milton William Cooper, le programme Apollo ne fut qu’un leurre,

 sans doute la mise en scène la plus coûteuse de toute l’histoire

de l’humanité. Les astronautes ignoraient tout de ce montage,

c’est pourquoi ils remplirent leur rôle à la perfection, et la séquence

du soi-disant premier pas de l’homme sur la Lune fut un véritable

 triomphe médiatique.


Milton William Cooper a été assassiné

 le 5 novembre 2001 à l’âge de 58 ans,

 dans des circonstances particulièrement

 troubles, à Eagar en Arizona, où il vivait

seul, après avoir fait quitter les Etats-Unis

 à tous les membres de sa famille, car

 des agents de la CIA l’avaient à différentes

 reprises menacé de s’en prendre à eux

s’il divulguait à la presse certaines

informations. Il travaillait chez lui, tout seul,

 à la rédaction de son prochain livre,

quand il a été abattu par les adjoints

 du shérif local, à la suite d’un prétendu

 refus d’obtempérer à un ordre de

perquisition dans sa maison.
Tout comme son père, Cooper avait décidé,

 tout jeune, de s’engager dans l’armée

. Après avoir débuté dans l’armée de l’air

, il continua sa carrière dans la marine.

 Il fut successivement officier à bord

d’un sous-marin, puis sur un pétrolier, et ensuite au Vietnam pendant toute la durée de la guerre. Après quoi, il fut affecté au QG du

 Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.


Il avait déjà eu accès à différents documents classifiés

« secret défense » aussi bien lorsqu’il était dans l’armée

 de l’air que dans la marine. Lorsqu’il commença à travailler

 dans l’unité administrative de la Flotte Pacifique, il obtint à

 nouveau l’autorisation d’accéder à différents documents

 top-secret, baptisée autorisation Q, ce qui lui permettait

notamment de consulter tous les documents militaires relatifs

à la sécurité nucléaire. Au cours de ses 18 années passées

 aux renseignements de la marine US, il eut progressivement

 connaissance d’informations qui l’amenèrent à écrire un livre

 à présent disponible en français. (Milton W. Cooper :

 le Gouvernement Secret - Éd. Louise Courteau)


Cooper raconte que, le jour où il acquit la certitude

que le bureau des renseignements de la Marine avait

 participé à l’assassinat de John F. Kennedy, il décida

de quitter l’armée définitivement. Il essaya alors par tous

 les moyens de révéler au grand public les informations

 qu’il détenait, que ce soit à propos des OVNI, de

 l’assassinat de Kennedy, du Gouvernement secret,

ou des solutions 1,2, et 3 du Plan pour le Nouvel Ordre

 Mondial.

En 1972, après avoir convenu d’un rendez-vous avec

un journaliste, il fut assailli par deux hommes qui le

poussèrent à l’intérieur de leur limousine et prirent la

direction des canyons. Ils stoppèrent au haut d’une

 falaise, le poussèrent dans le vide et repartirent,

croyant qu’il était mort. Mais il avait réussi à s’agripper

à des branchages en contrebas. Il s’y cramponna e

t fut secouru in extremis grâce à l’arrivée inopinée de

 touristes venus prendre des photos.

Un mois plus tard, il fut renversé en pleine ville par une

 autre voiture qui prit la fuite, et au cours de cet accident,

 il perdit sa jambe gauche. Les occupants de la voiture

 lui rendirent visite à l’hôpital et le menacèrent de s’en

 prendre à sa famille. Il fit mine d’avoir compris, promit

 qu’il se tairait et attendit 16 années avant de se décider

 à rompre le silence.

Depuis la parution de son livre, « Behold a pale Horse »,

 il se sentait constamment sous surveillance et il était

 fréquemment obligé de déménager et de changer d’identité.

Mais sa conscience l’a poussé à révéler ce dont il avait

eu connaissance, afin que l’humanité puisse être informée

et en tirer les conséquences. La presse américaine a

 tenté de légitimer son assassinat sous l’extravagant

prétexte que « ne payant plus ses impôts depuis 1992, il représentait une menace pour l’ordre social ! »


LE TEMOIGNAGE DE M. W. COOPER


« Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions

 lunaires, les modules habités envoyés vers la Lune

étaient toujours escortés d'un astronef extranéen (entendez :

d’origine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une chaîne

 de télévision nationale a annoncé qu’un objet de forme ronde,

 de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette

spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de

 sa dernière mission militaire. Ce fut la première et dernièr

e reconnaissance publique de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même

 filmé la base lunaire surnommée LUNA. Les photographies

 officielles de la NASA révèlent des structures en forme de

 dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui

 ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules

 miniers en forme de T qui tracent sur la surface de la Lune

 des marques semblables à des cicatrices laissées sur la

 peau par des points de suture. On y voit aussi divers types

 d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres

 beaucoup plus petits.

Il s'agit d’une base américano-soviéto-aliénigène. Le prétendu

 programme spatial de la NASA baptisé Apollo ne fut en

réalité qu'un leurre excessivement coûteux, destiné à détourner

l’attention de l’humanité, et la solution 3 n'est pas de la

 science-fiction.
(En 1957 se tint un symposium réunissant les plus

 grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent

 à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de

 l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation

 de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la

destruction sans une intervention divine ou extranéenne).

Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant

 à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui

soumettre ses recommandations. En guise de

recommandations, la Commission Jason présenta trois

 solutions alternatives appelées « Solutions 1, 2, et 3. »

Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen

 d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers

 lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper

dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins

 exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois

 solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part,

en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et,

d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des

 explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence

 d’un trou dans la couche d’ozone tendrait cependant à étayer

l’hypothèse que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci

 n’est en tout cas qu’une conjecture.

Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et

 de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de

 toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour

 perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même

 à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont

été construites et sont prêtes et en attente des personnes à choisir.

Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne

 afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller

 fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.
(Note de Milton W. Cooper à propos de la solution 3 extraite

de son livre : Je confirme que des contingents d'esclaves

ont déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité

de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son

 nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de

code Eve. J’ai en ma possession des photographies officielles

 de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la

colonie sur Mars est déjà aussi une réalité.) .

Les astronautes des missions Apollo ont appris tout cela à

leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas

été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur

 comportement par la suite. Ils ont de plus été contraints de

se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence : on

 leur a ordonné de taire ce qu'ils avaient vu, et on les a avertis

 qu’en cas de non respect de cet ordre, ils s'exposaient à la

 procédure dite «expéditive». L’un des astronautes a tout de

même osé collaborer avec des producteurs TV britanniques,

à l’occasion d’un documentaire diffusé dans le cadre d’un

programme intitulé « Rapports scientifiques », et admis que

 la Solution 3 était bien une réalité.

Les quartiers généraux de la conspiration internationale qui vise

 à mettre en place la Solution 3 sont à Genève, en Suisse. L

e corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de

13 membres chacun ; ces 3 comités réunissent donc un total

de 39 membres qui constituent le comité exécutif du corps

 connu sous le nom de groupe Bilderberg.

Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les

aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien

 au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et

faisons voler actuellement au Nevada des engins de type

anti-gravitationnel alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes

 ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins

et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous

 ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mar

s et Vénus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons

 aujourd’hui, à ce moment même.

Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie

végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les

saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune contrairement

à ce que l’on pense généralement. Il y a même des lacs

 artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages o

nt été observés et filmés dans son atmosphère. La pression

atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la

Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique

 de dépressurisation analogue à celle des plongeurs en

 profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour

qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison

spatiale. Ils peuvent se déplacer à sa surface et marcher

munis simplement d'une bouteille d'oxygène.

J'ai en ma possession des photographies originales de la

 NASA à ce sujet. Quelques unes ont été publiées dans le

livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases

 on the Moon et dans Someone Else is on the Moon.

En 1969, une confrontation a opposé les Soviétiques et

les Américains sur la base lunaire. Les Soviétiques ont

essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les

 scientifiques américains et le personnel en otages. Nous avons

 réussi restaurer l’ordre, mais au prix de 66 morts ! À la suite

 de cet incident, les Soviétiques ont suspendu leur participation

 au programme pendant une période de 2 ans. Il y a eu

 finalement réconciliation et nous avons recommencé à travailler ensemble. »

Extrait traduit de "Behold a pale horse", écrit en 1989-1990

par Milton William Cooper et publié aux Editions Light Technology
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.