Mutilations animales

Des têtes de bétail sont retrouvées mortes et mutilées principalement aux états unis. Le rapprochement avec le phénomène ovni peut étonner mais il est un fait que nous disposons de pas mal d'éléments et témoignages allant en ce sens. On peut très bien imaginer par exemple qu'une civilisation extraterrestre visitant notre planète cherche un jour à puiser dans nos ressources. C'est justement ce qui semble se passer ici. Les mutilations de bétails sont des "éléments annexes" au phénomène ovni qui méritent toute notre attention. Nous vous proposons de découvrir ces faits troublants dans ce dossier.De 10 à 20 000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées, essentiellement aux Etats-Unis, et ce depuis le premier cas signalé, c'était en 1967. Les animaux sont retrouvés dans les champs, certains de leurs organes ayant été prélevés après une découpe avec un instrument tranchant ou au laser, les parties mutilés parfaitement cicatrisés comme s'ils avaient été cautérisées avec une précision diabolique. Les nombreuses enquêtes effectuées par le FBI aux États-Unis, laissent à penser que ces prélèvements d'organes se produit après enlèvement de l’animal par voie aérienne : on ne trouve pas de traces de lutte ni de sang au sol, les animaux sont retrouvés dans des lieux inaccessibles à pied.

 

      

 

 

 

Vache retrouvée mystérieusement mutilée dans un ranch Us

Devant l'inexplicable, plusieurs hypothèses ont été avancées : animaux prédateurs (qui demeure l'hypothèse officielle), agissements d’une secte satanique, enlèvements d’origine extraterrestre puisque des ovnis sont parfois repérés à proximité, ou encore opération secrète de l’armée du fait que des hélicoptères non immatriculés évoluent souvent sur les lieux des mutilations.

La difficulté à attribuer ce phénomène à une origine humaine réside dans son ampleur : quelle organisation pourrait en effet réussir à mutiler plus de 10 000 têtes de bétail sans être jamais découverte par un témoin ou par les enquêteurs de police ? Les médias ne proposent aucune solution et les autorités des pays touchés par ce phénomène cherchent très nettement, de part leur attitude ambigüe à étouffer l’affaire.





Un véritable carnage

Des chèvres, des moutons, des chevaux, des vaches, des cerfs, des lapins et toutes sortes d'animaux domestiques sont pris pour cible par ces mutilations. Les bovins en général représente la plupart des animaux mutilés.


Un cas typique de mutilation animale peut se caractériser par une oreille "enlevée", un oeil "hôter" de son orbite, ou bien encore toute une série d'organes "retirés" avec une précision chirurgicale, comme si un faisceau laser aurait découpé et coterisé en même temps une partie du corps de l'animal. Le plus souvent visé sont les organes génitaux, que ce soit sur des mâles ou des femelles.
 
Mais le plus troublant dans cette affaire, c'est qu'il n'y a aucune trace de lutte ni de sang sur le sol où est retrouvé l'animal. Cela laisse entrevoir deux choses : soit l'animal à été transporté d'un endroit à un autre, impliquant que l'ablation des organes manquants n'ait pas eu lieu sur ces mêmes lieux, soit les mutilations ont été faites par une technique et des instruments qui permettent ne laisser aucune traces, ce qui est difficilement imaginable de nos jours lorsque l'on est en pleine campagne !

 

Histoire

 

Le mystère a commencé en septembre 1967 lorsqu'une jument Appaloosa nommée Lady a été trouvée morte et dépouillée jusqu'aux os de la tête au cou dans la vallée de San Luis du Colorado méridional. La tête et le cou squelettique sur le corps de la jument étaient mystérieux. Des objets volants non identifiés et des lumières mobiles avaient été vus dans le secteur, et les journaux dans le monde entier ont rapportés qu'il pourrait y avoir un raccordement entre la mort du cheval et la présence d'OVNI. Un journaliste a incorrectement mélangé le nom de la jument avec un autre cheval masculin appelé "Snippy" et ce nom resta dans les rapports de médias.'

'Toutes les organes internes à l'intérieur de la poitrine de Lady avaient également été enlevées "chirurgicalement avec de la chaleur," a déclaré le docteur John Altshuler de Denver...Il n'y avait aucune trace de sang et les coupes avaient une précision chirurgicale. Lorsqu'il a ramené des échantillons de tissu provenant des excisions à son microscope de laboratoire hospitalier, il a découvert que l'hémoglobine avait été cuite, indiquant que de la chaleur élevée avait été employée pour couper le tissu.'

'Les lasers n'ont pas été utilisés pour la chirurgie chez les animaux ou les humains avant les années 70. En 1974, le docteur Joseph Bellina, prof. de l'obstétrique et de la gynécologie à l'université de l'État de la Louisiane, fut le premier à essayer un laser dans la chirurgie gynécologique.'

 

Des similitudes avec les Crop Circles ?

 

L'animal mutilé est examiné, mais son environnement également. L'herbe autour des animaux présente des modifications dans son métabolisme cellulaire, très semblable à celles constatées lors de la présence d'un Crop Circles. Le seul moyen de provoquer de telles modifications impliquerait la présence de micro-ondes et d'un fort tourbillon.

Cercles mystérieux dans un pâturage du comté Meeker, au Minnesota, en décembre 1974. Une jeune vache mutilée a été retrouvée morte à l'intérieur d'un cercle

 

 

On le voit dans les faits exposés, l'hypothèse humaine semble peu probable même si l'utilisation d'une nouvelle arme militaire du type à micro-ondes pourrait être testée sur ces animaux. Les observations d'ovnis à proximité d'animaux mutilés et les caractéristiques des sites dans lesquels ils sont retrouvés laissent à supposer l'intervention d'un ou plusieurs humanoïdes et par voie aérienne. Cette conclusion peut paraitre hâtive, mais c'est à ce jour la plus plausible. 

 

 

Une énergie concentrée de façon aussi intense relève d'une certaine technologie, et si l'on tient compte des témoins qui disent avoir vu des engins dans les pâturages où l'on a retrouvé certains de ces animaux, on peut soupçonner une cause extra-naturelle, pour ne pas dire extraterrestre. On peut également supposer que le gouvernement américain (puisque c'est majoritairement le pays où est déclaré le plus grand nombre de cas de mutilations)  

 
La machoire de ce veau semble avoir été "découpée" avec un instrument au laser.

Origine extraterrestre inéluctable ?
Certains pensent encore que les lésions sont le fait de prédateurs naturels tels que les loups, les coyotes ou les oiseaux mais le tissu des animaux mutilés est sec, cautérisé et aucune trace à proximité de la dépouille. Donc, comment peut-on expliquer qu'un taureau originaire du Colorado pesant près de 900 kg se retrouve sur le dos, ses cornes enfoncées de 15cm dans le sol, la langue arrachée, les organes génitaux sectionnés et le rectum découpé?
Dans de nombreux cas, le tissu animal à été exposé à des températures élevées. Tout indique l'utilisation d'une technologie que nous ne comprenons pas. C'est pour cette raison que les services d'investigations avaient déjà pensé au début à une intervention d'origine aérienne. De plus, les quelques témoins oculaires rapportent avoir vu des faisceaux lumineux dirigés depuis le ciel sur les animaux. Dans deux cas, ils virent même les animaux monter le long du faisceau. Le problème, c'est que ce genre de témoignages sont rares, les témoins craignent en effet le ridicule...

 Des animaux "tombent" n'importe où comme ici :

 

 

 

Les chirurgiens des plaines

 

 

Nuit du 5 avril 1998, Boyce, Louisiane, USA :

 Une vache de 3 ans est retrouvée mutilée. Ses parties génitales ont été découpées et – étonnamment – il n’y a nulle trace de sang autour de la carcasse. Selon les indices, l’animal ne s’est pas débattu (1). Cet incident, bien qu’insolite, n’est pas isolé : les chiffres font  état de 2000 cas de ce genre par année aux Etats-Unis* (2).

Les rapports de mutilations animales émanent du globe entier, les pays les plus touchés étant le Mexique, Panama, Puerto Rico, le Brésil, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, la Suède, l’Australie, le Japon, les îles Canaries, le Canada et – principalement - les Etats-Unis. Une mutilation classique se présente ainsi : un mammifère est retrouvé avec des organes manquants  (langue, parties génitales, anus, yeux) ayant été enlevés «d’une manière chirurgicale» (dans certains cas, on nota une précision à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire qu’aucun dommage n’a été occasionné à la cellule au cours du prélèvement) ; de plus, le corps est vidé de son sang et les organes internes sont retrouvés en bouillie (3). Une précision importante : dans 90 % des cas, les parties sexuelles sont enlevées (4). D’autres éléments étranges viennent se greffer sur cette étrange mosaïque : les découpages sont symétriques, le bord des plaies est lisse et on signale une absence totale d’enlèvement de chairs. Encore plus énigmatique : les cadavres des animaux mutilés sont ignorés de la faune locale qui ne vient pas se nourrir dessus.  Normalement, lorsqu’un bovin meurt dans un pâturage de cause naturelle, sa carcasse est nettoyée jusqu’aux os dans un laps de temps situé entre 24 et 72 heures selon les lieux, les activités humaines environnantes, le climat, etc…(5) 

Dans la plupart des cas, aucune trace au sol (empreintes de pas, traces de pneus) n’est relevée.

De plus, les témoins, quand ils ne sont pas inexistants, sont extrêmement rares. Quant aux suspects, s’il existait de fortes présomptions, cet article n’existerait pas ! Confrontés à ces événements, la police locale, les experts (vétérinaires d’Etat et privés) ainsi que les paysans affichent une grande perplexité devant l’étrangeté de ces crimes, les motifs et les moyens employés par les mutilateurs.

Concernant les vétérinaires, nombre d’entre eux ont décidé de ne pas parler des mutilations en public : le sujet – comme nous allons le voir - est à controverse et à interprétations subjectives. Le corollaire étant la peur du ridicule vis-à-vis des collègues de la branche. Ce mutisme s’explique, d’une part, par le fait que des apparitions d’OVNIs et/ou de mystérieux hélicoptères soient rapportées juste avant, pendant ou après l’acte de mutilation et que, d’autre part, les vétérinaires se trouvent face à des crimes pour lesquels les explications rationnellement et scientifiquement acceptables font cruellement défaut.

 *A noter que dans de nombreux cas, les mutilations ne sont pas rapportées en raison des coûts financiers directs des autopsies, les examens en laboratoire, la peur des paysans d’être ridiculisés par la communauté, et la mentalité de celle-ci qui cultive l’indépendance et le fait de n’avoir aucun compte à rendre à personne. Notons encore tous ceux qui ne désirent pas attirer l’attention sur leur cas. La distribution statistique des types d’organes excisés par les mutilateurs de même que le silence des vétérinaires sont révélateurs de la singularité du phénomène. Le sondage suivant en est l’illustration :

Une enquête menée en 1996 par NIDS (National Institute for Discovery Science), afin d’établir l’incidence et la prévalence des mutilations animales aux Etats-Unis, a consisté en l’envoi de 3'849 lettres accompagnées de questionnaires à des vétérinaires spécialisés dans l’espèce bovine. Seuls 199 questionnaires ont été retournés, soit 4,91 %, ce qui est très faible. 

 

 

Illustration du nombre de cas d’animaux mutilés rapportés par Etat (cf. tableau ci-dessus) 


Sur les 92 cas de mutilations rapportées (cf. tableau), dans seulement 11 cas (11,95 %), une autopsie et une interprétation des découvertes pathologiques furent menées. Là encore, les résultats penchent pour un investissement minimal des vétérinaires pour élucider les causes des mutilations animales. Les examens en laboratoires ont été réalisés lors de 7 cas (7,60 %). Ici, ce sont les considérations financières qui entrent en jeu. Enfin, les enquêtes officielles ont été menées dans 28 cas (30,43 %). Donc, les 2/3 des cas de mutilations ne font pas l’objet d’enquêtes officielles !  Toujours selon cette enquête, la distribution des organes manquants est la suivante :

 

Organes/tissus excisés  Nbre de cas  Pourcentage

 

Muscles mâchoire infér.    21           22.82%
Langue                             39           42.39%
Yeux                                 54           58.69%
Oreilles                            13           14.13%
Tétines                            45           48.91%
Mamelles                         48           52.17%
Vagins                             70           76.08%
Rectum                            70           76.08%
Pénis/testicules                8            8.69%
Lèvres                              6            6.52%
Ongles                             1            1.08%
Autres organes                4            4.34%

 

Étonnamment, la fameuse précision chirurgicale n’a été rapportée que dans 4 cas (4,34 %). Et la disparition d’animaux dans 5 cas (5,43 %).

 

Mutilations au Canada et aux États-Unis entre 1967 et 1993

Pour en finir avec ce tour d’horizon des particularités de l’approche officielle du phénomène et de celles qui lui sont intrinsèques, j’aimerais ajouter que les incidents ne touchent pas de fermes particulières et que les animaux concernés par cette boucherie sont surtout des vaches âgées de quatre à cinq ans d’une part et des génisses de moins d’un an, d’autre part, avec une prépondérance pour les races Hereford ou Charlee. On remarquera encore que les mystérieux chirurgiens, qui sont capables de faire des découpes sur de gros bétail aussi lisses et nettes que celles faites avec un instrument chirurgical, ne le font pas sur des moutons. Cela semblerait indiquer qu’ils ont jeté leur dévolu sur un type d’animal bien précis : la race bovine. 

Les premières mutilations animales et l'enquête du FBI
Dans de nombreux pays, le folklore local ou régional décrit une constante dans le comportement des créatures parahumaines : il semblerait que le vol de bétail soit une pratique courante, d’ailleurs elle arrive en troisième position derrière les vols d’enfants et de jeunes gens (surtout de jeunes filles).

Pour ne prendre qu’un exemple, en Suisse, les nains locaux (les Kobolds, les Servants, etc., selon les cantons) exigeaient une contrepartie en produits laitiers pour permettre au bétail des éleveurs de paître en des lieux réputés dangereux pour les bêtes (6).

Il semblerait donc que le bétail, dès lors son exploitation par les humains, devienne la cible d’attaques par des forces surnaturelles et occultes.

C’est ainsi que la première vague de mutilation de bétail touche les Etats de Pennsylvanie et du Kansas en 1967. Le 1er cas rapporté est celui d’un cheval étalon âgé de 3 ans d’Alamosa, Colorado retrouvé mutilé le 9 septembre 1967 près du ranch de Harry King, le frère de la propriétaire dudit animal, Nellie Lewis. Le cheval, élevé au rang de martyr et initialement appelé «Lady», est rebaptisé «Snippy» par les passionnés de ce genre d’affaire, surnom qui donne une idée de l’état de l’animal au moment de sa découverte (7). Le mari de Nellie, Berle, commente l’augmentation soudaine de l’activité OVNI qui a accompagné la mutilation de son cheval : «On voit quelque chose – je ne dirai pas ce que c’est – chaque nuit».

Ce n’est que six années plus tard que la presse se fait l’écho de forfaits du même type : C’est à partir du deuxième semestre de 1973 que l’on entend parler pour la première fois des mutilations animales. Le Minnesota, le Missouri et le Kansas sont les premiers Etats touchés.

En 1974, c’est au tour de l’Oklahoma, du Texas, du Sud-Dakota et du Nebraska de constater les dégâts. Dans ce dernier Etat, plus précisément dans le conté de Madison, au moins 5 bovins furent mutilés. Dans chaque cas, les parties génitales sont excisées et des OVNIs rapportés dans la région. Un témoin, Harold Kester, décrit un objet volant comme celui-ci : «il était muni de lumières vertes de chaque côté avec une luminescence par dessus». Par la suite, une trentaine d’Etats sont concernés (8), principalement du Midwest. Pendant une période de deux ans (1975-77) dans deux comtés du Colorado, on ne dénombre pas moins de 200 rapports (9).

Alors que l’affaire est encore au stade embryonnaire, éleveurs et policiers pensent avoir affaire à des maniaques sexuels ou encore à des sectes sataniques. Mais l’absence de traces de pas ou de roues de véhicules remet sérieusement en question cette explication bien trop simpliste vu la complexité des circonstances (10).

Une étude de deux experts en animaux prédateurs, financée notamment par le Texas Agricultural Extension Service, confirme qu’«il n’existe aucun animal prédateur au monde ayant la capacité de faire des lésions aussi rectilignes ni aussi lisses que celles pouvant être réalisées avec un instrument tranchant très affuté tel que : couteau, ciseau, scalpel, rasoir, etc. Les animaux prédateurs n’ont ni les moyens physiques, ni l’intelligence pour agir de cette manière.   Quand un animal prédateur se nourrit sur une carcasse de gros mammifère mort de maladie ou tué de main humaine, il commence par déchirer l’abdomen pour avoir accès aux viscères puis entame les masses musculaires. Il n’a aucune attraction particulière pour les organes sexuels, la zone rectale, les oreilles, les babines. …Selon les cas, une carcasse est généralement dévorée dans les 12 à 48 heures après la mort de la victime. Cela dépend de nombreux facteurs : abondance des espèces, distance de présences humaines, climat et température, etc…»

  Jean Sider, dans son excellent ouvrage «Ultra Top-Secret», donne son avis sur le travail et les conclusions de Rommel :

 «Il en résume la plus grande partie dans un style acerbe, constitué d’affirmations péremptoires, de jugements définitifs, voire nuancés quand la dépouille a été vue par trop de monde. Il se fie essentiellement aux vétérinaires d’Etat ayant prêté leur concours à son «investigation » lorsqu’il y a un problème relevant des sciences vétérinaires». Howe commente : «Je crois qu’il a été payé pour étouffer les causes réelles de ces mutilations» (19).
 

Espérant réduire l’inquiétude et la panique dans la population et jonglant entre la réduction et la simplification, l’enquête a également permis de clore définitivement le dossier…en tout cas du côté des autorités.
Cette photo à elle seule détruit la thèse officielle : 

 

 

 

 

 

 

Les black hélicoptères
Les hélicoptères peints en noir et sans marques d’identification ont souvent été observés à proximité des sites de mutilations animales. Ces engins appelés «black helicopters» outre-atlantique seraient la propriété du gouvernement américain et s’engageraient dans des missions clandestines. Les apparitions de Black Helicopters ont commencé en 1971. Surtout rapportés aux Etats-Unis, ils ont également été signalés évoluant au-dessus des crop-circles en Europe, durant la guerre du Golf ou dans la région sud de Denver, Colorado en 1995. Dans ce dernier cas, ils survolaient la ville à 23h00, à 01h00 et encore à 03h00 du matin à raison de trois à quatre fois par semaine. Pour les officiels – à en croire, par exemple, le Major Shawn Flora de Buckley AFB, interviewé par des journalistes de Channel 4 lors d’une émission du 14 février 1995, ces hélicoptères n’existent pas !  
Ainsi, de 1971 à 1985, les hélicoptères sont régulièrement signalés à proximité des sites de mutilations – avant, pendant ou après que ces crimes soient commis. Durant les années 90, les manifestations des blacks helicopters se sont multipliées. Ces dernières années, ils  ont même survolé les agglomérations importantes, telle Denver, Colorado. Dans certains cas, les témoins ont rapporté qu’ils sprayaient les zones rurales et urbaines d’agents chimiques qui décimèrent cultures et bétail (26).

Dans le cadre des mutilations qui touchèrent Albertville en février 1993, Jole Strawn, un rancher, affirme avoir aperçu des hélicoptères atterrirent sur le plancher des vaches une nuit. Il a organisé un réseau de victimes et affirme qu’il est en mesure d’identifier trois types d’hélicoptères impliqués dans les mutilations, dont le UH-60 Blackhawk et le Agusta Bell 212 (27).

De nombreux mammifères mutilés ont été retrouvés avec des peintures fluorescentes afin d’aider à l’identification dans le noir. Il est probable que le bétail soit repéré à l’avance, puis marqué d’une quelconque manière, afin que les mutilateurs opérant de nuit la plupart du temps, puissent repérer leurs proies (28).

Les bêtes mutilées présentent toutes des marques corporelles ressemblant à celles qu’aurait pu faire un filin qui aurait servi à soulever les bestiaux, dont une meurtrissure particulière faite autour d’une patte. De plus, le poil est comme attaché sur le corps par bandes verticales bien précises, et la même patte est généralement brisée. Il y a donc des indicateurs que l’animal, après avoir été soulevé à une hauteur considérable, avait été relâché (29).

 

Et ce n’est pas Ted Oliphant qui dirait le contraire ! Policier de Fyffe, Alabama, il a enquêté sur les mutilations de plus de 35 animaux sur une période de 8 mois (d’octobre 1992 à mai 1993). Il rapporte que dans des cas se rapportant aux Etats d’Alabama (1993 et 1994), Californie (1996) et Floride (1997), des produits pharmaceutiques furent localisés dans le sang des bovins : de la barbiturique, des anti-coagulants, des amphétamines synthétiques et encore d’autres substances. Ces drogues ne sont pas destinées aux vétérinaires, mais aux humains.

 

Cet enquêteur explique également qu’en 1993, il eut la possibilité d’espionner des hélicoptères Chinook dans la région (Sand Mountain) menant, semblerait-il, des opérations clandestines. Ces engins se dirigeaient vers la base de Fort Campbell, Kentucky. Selon lui, il y a de fortes chances que la 101st Airborne Division de Maxwell AFB, Alabama soit impliquée dans les mutilations de bétail (30).

Une note interne du FBI du 16 février 1979, de Forrest S. Putman, un agent spécial du FBI basé à Albuquerque à l’attention de Washington, corrobore ces allégations :

 

 

 

 

 

«…les animaux ont été injectés d’une drogue paralysante et le sang a été vidé de l’animal après l’injection d’un anti-coagulant. Il semble que dans certains cas les jambes de l’animal ont été cassées et que des hélicoptères sans marques d’identifications furent signalés dans les environs de ces mutilations…»

 

Putman poursuit : «Valdez (NdA : un policier chargé d’enquête au Nouveau-Mexique et précurseur en la matière) est absolument convaincu que ces mutilations sont l’œuvre du gouvernement américain et qu’une opération clandestine de la CIA ou du Département de l’Energie est liée à des recherches de guerre biologique. Il justifie son opinion par le fait que le Los Alamos Scientific Laboratory a tout fait pour camoufler certains faits» (31).

 

 

 

 

Bien que toutes ces données vont dans le sens de la confirmation de l’hypothèse du projet secret, il y a des données qui la mette rudement à l’épreuve.

 

Premièrement, l’absence de sang dans l’animal souvent rapportée (une vache contient environ 12 à 16 litres de sang) complique singulièrement la question : afin de vider le sang d’une vache complètement, il faudrait lui couper la gorge, la retourner pendant que le cœur soit toujours entrain de pomper (désolé pour nos amis défenseurs des animaux…). Une opération qui prend du temps…

 

Deuxièmement, les animaux mutilés sont apparemment balancés depuis les airs (ce qui explique également l’absence de traces). On mentionne des cas où le mammifère est retrouvé sur le sommet d’une mont quasiment inaccessible. L’animal est apparemment capturé, mutilé et balancé par dessus bord, pas nécessairement du point où il a été capturée. Il semblerait que les mutilateurs ne prêtent pas attention à l’endroit où est déposée la carcasse. C’est tout simplement impensable pour une agence gouvernementale qui souhaite opérer dans la clandestinité ! Pourquoi ne pas embarquer la carcasse et s’en débarrasser à un endroit plus discret ? Pourquoi l’agence ne se procure-t-elle pas ses propres bovins au lieu de prendre tous ces risques inutiles ? De plus, depuis 1988, l’homme produit des clones de bovidés ! (32)

 

Troisièmement, le phénomène des mutilations datant de 1967, comment concevoir un projet s’étalant sur plus de 30 ans avec autant de moyens et de risques entrepris ?

 

Quatrièmement, bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ceux-ci n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Cette remarque nous renvoie à l’hypothèse extraterrestre que nous évaluerons plus loin. Là encore, cette hypothèse peine à convaincre…

 

 L'hypothèse de l'hystérie collective

 

Cette supposition part du principe que quelques cas de mutilations sont rapportés chaque année pour être montés en épingle par les journalistes avides de sensationnel, créant ainsi une psychose pour des éleveurs possédant des bêtes qui ne sont pas assurées et dont la valeur unitaire est estimée à environ 800 US$.

Les défenseurs de cette thèse font preuve d’une totale méconnaissance du dossier. On l’a vu : quand ce ne sont pas les ranchers qui se montrent peu enclins à faire état des pertes de bétail, ce sont les enquêteurs officiels qui étouffent l’affaire. Sans compter les vétérinaires, qui , soucieux de leur image de marque, n’osent pas aborder le sujet, du moins en public…

 

Si l’est vraiment question d’hystérie, elle ne se cantonne pas uniquement aux USA car, je le rappelle, le phénomène est mondial et l’Europe n’est pas épargnée. Sachant que les médias font une impasse quasi totale sur le sujet (à quelques exceptions près, voir ci-après) en Europe, on est donc en présence d’une hystérie se propageant d’une manière très originale ! Concernant les mutilations en Europe, j’en veux pour preuve :

Août 1994, à Bodmin Moor près de Launceston, Angleterre, un veau est retrouvé sans trace de sang, avec la gorge coupée, le museau enlevé de «manière chirurgicale» selon Malcom Delaida, qui rapporte le cas dans le périodique «Farmers Weekly» du 14 Octobre 1994.

 

Le 10 Octobre 1994, l’incontournable BILD se penche sur les mutilations de bétail en rapportant les centaines de chevaux retrouvés avec des excisions en Allemagne, Angleterre, Norvège, Suède et Finlande. De nombreuses bêtes ont survécu à ces attaques et certains sont décédés. Le magasine rapporte le cas de quatre chevaux qui ont survécu aux mutilateurs près de Bahrenbostel-Holzhausen, une communauté paysanne à Diepholz, Allemagne.

D’ailleurs, n’importe quel sociologue sait très bien que de telles hystéries ne peuvent pas durer 30 ans. C’est quelques mois à tout casser. 

 

L’hypothèse extraterrestre

 

Comme je l’ai fait remarquer plus haut, les mutilations sont souvent accompagnées d’observations d’OVNIs. Dans certains cas, d’étranges traces au sol près du cadavre de l’animal sont signalées dans les enquêtes de police (par exemple, le cas du 24 mai 1978 du policier Valdez).

 

Dans d’autres cas, les Aliens sont carrément observés en train d’enlever le bétail : dans son documentaire datant de 1989 «Alien Life Forms», Linda Howe interviewe les membres d’une communauté qui affirme avoir aperçu des Aliens s’engager dans une activité d’enlèvement d’animaux. Le compte-rendu le plus impressionnant émane de Ron et Paula Watson de Mount Vernon, Missouri. En juillet 1993, alors qu’ils se relaxent sur la véranda, ils remarquent quelque chose d’anormal dans le pré. Se munissant de jumelles, ils voient d’abord une vache couchée sur le côté, comme paralysée. A proximité s’agitent deux êtres vêtus de gris avec de grosses têtes blanches. Une des entités lève les bras, ce qui fait instantanément monter le mammifère dans les airs qui s’engouffre alors dans un OVNI en forme de cône. Puis, l’engin se propulse et disparaît.

 

A Houston, Texas, en mai 1973, Judy Doraty subit un enlèvement à bord d’OVNI. En 1980, le Dr. Léo Sprinkle, de l’Université du Wyoming, avec l’accord de Doraty, entreprend une régression hypnotique. Voici une extrait de la transcription de la séance d’hypnose :

 

Dr. Sprinkle : «Pouvez-vous me décrire ce que voyez ?»

 

J. Doraty : «Je m’élève…Je peux voir un animal enlevé à bord (de l’OVNI)…on l’amène dans une sorte de chambre et ça me donne des nausées en voyant comment il l’excise. C’est fait très rapidement, mais le veau ne meurt pas immédiatement. Son cœur n’est pas retiré…et je vois le veau redescendre à terre…et il ne bouge plus…»

 

Dr. Sprinkle : «Comment s’est coupé ?»

 

J. Doraty : «…avec des instruments…c’est comme un couteau…et il y a comme des aiguilles attachés aux tissus (du veau) ou des sondes avec des tubes connectées à celles-ci. Ils font la même chose avec les organes génitaux et les yeux».

Plus récemment, le 13 décembre 1993 à 22h00, Christopher O’Brien, journaliste dans le Colorado du Sud, reçoit un coup de fil d’une résidente de Crestone qui rapporte l’observation d’un «objet blanc brillant» ayant chuté sur le sol vers Baca, au nord de Hooper. Le lendemain, un taureau est retrouvé mutilé sur la propriété de Dale et Clarence Vigil dans le comté de Costilla. En plus de la précision chirurgicale est rapportée la présence de branches cassés au sol qui appartiennent à l’arbre situé au-dessus de la carcasse. Sur les branches de l’arbre (à 4 mètres de haut), on signale des poils ainsi que du sang comme si l’animal avait été balancé depuis les airs (33).

 

Quel serait la motivation des Extraterrestres pour ce genre d’exercice macabre ? John Lear affirmait que les extraterrestres (EBE), responsables des mutilations animales, ont un dysfonctionnement génétique détruisant leur système digestive. Ainsi, afin de s’alimenter, ils ont recours aux enzymes récupérés sur les bovins ou encore, sur les…humains.

 

Sur les humains ? Eh oui, il semblerait que les mutilateurs font également subir leurs sévices à de malheureux êtres humains. Un rapport très bien documenté et à la crédibilité irréprochable nous vient du Brésil :

Près du lac artificiel de Guarapiranga non loin de Sao Paulo, Brésil où l’on rapporte de nombreuses apparitions d’OVNIs, est retrouvé le 29 septembre 1988 le corps nu et affreusement mutilé d’un homme d’une quarantaine d’années. Ce cadavre est identifié mais la famille demanda que son anonymat soit préservé. En 1994, l’ufologue Encarnacion Garcia, enquêteur sur les mutilations de bétail au Brésil, prend connaissance des clichés, du dossier de l’enquête policière ainsi que du rapport d’autopsie établi par le docteur Cuenca. Et les similitudes entre les blessures infligées à cet homme et celles du bétail dépecé sautent aux yeux de l’ufologue.

 

Retrouvé 48 heures après la mort, le corps ne présente aucun signe de putréfaction ou d’attaques par les prédateurs et ne dégage aucune odeur.

 

Les joues et les lèvres ont été précisément découpées, la langue sectionnée, les yeux et les oreilles enlevés. L’absence de toute trace de sang semble indiquer qu’on a opéré à l’aide d’un instrument cautérisant par la chaleur, du genre laser. On note également la présence de perforations circulaires, d’un diamètre variant entre 3 et 4,5 centimètres visibles sur les bras, les épaules et les jambes. Se trouve également un trou net de 4,5 centimètres à l’emplacement du nombril. Les testicules ont été extraits avec la même précision chirurgicale. Quant à l’anus, il a été excisé suivant une large ellipse de 8,5 centimètres sur 17.


On relève aussi l’ablation de quasiment tous les organes internes, sans doute extraits par les orifices pratiqués (34).

 

Le rapport d’autopsie déclare : «On constate l’ablation de tissus sur une grande partie de la face et du cou de la victime… Il y a aussi l’extraction des tissus oculaires, des yeux, des organes auditifs internes et externes. La langue et plusieurs autres muscles ont également été extraits».

 

Par exemple, une des photos montre clairement les trous symétriques dans le bras par lequel les muscles ont été extirpés. Même constat pour la poitrine où un trou a permis de retirer des organes.

D’ailleurs, la police a immédiatement fait remarquer que les perforations n’ont pas été produites par des balles tirées d’une arme à feu.

 

La photo 3 est un zoom de la face gauche de la victime. On voit que l’oreille a été excisée très précisément comme le rapport le précise.

 

Les similitudes avec les mutilations sont frappantes : même technique précise, mêmes organes découpés et même mépris pour le cadavre.

 

Existe-t-il des précédents ? Malheureusement. La police brésilienne affirme qu’au moins une douzaine de cas similaires à celui de Guarapiranga se sont produits dans le passé. Aux Etats-Unis, un bon exemple est le cas du Sergent Jonathan Louette stationné à White Sands Missile Test Range en 1956. Son corps mutilé a été retrouvé trois jours plus tard, après qu’un Major de l’Air Force ait aperçu l’enlèvement de son collègue par un objet «en forme de disque». Là encore, les similitudes avec le cadavre de Guarapiranga sont frappantes : les parties génitales, les yeux et le rectum de Louette ont été excisées avec la même précision chirurgicale (35).

De nombreux éleveurs de bétail, policiers, enquêteurs privés ou encore spécialistes de la question sont convaincus que les OVNIs sont responsables de cette boucherie. Un autre argument vient soutenir leur thèse : bien que les lasers aient été produits au début des années 60, ils n’étaient pas capable de produire une telle précision dans les excisions rapportées, par exemple, en 1967 (cf. le cas de Lady). Si l’on reconnaît que l’incapacité des autres hypothèses à expliquer le phénomène rend la thèse E.T. séduisante et la renforce, on avoue qu’elle demeure la seule à pouvoir rendre compte de ces incidents.

 

Le paranormal intervient dès lors que le rationnel ne suffit plus à expliquer. Pourtant, certaines constatations sont considérées comme acquises:

 

Oui, des OVNIs sont repérés lors des massacres
Oui, des substances pharmaceutiques sont localisées dans les dépouilles
Oui, les mutilateurs n’ont aucun égard pour la vie et exposent les carcasses comme des trophées

 

Des trophées qui ont l’allure d’une énigme posée par les mutilateurs. Cette attitude démontre – en tout cas – qu’ils ne nous prennent pas pour des imbéciles, tant que l’énigme est difficile à résoudre…

 

Le 20 avril 1979, une conférence organisée par le FBI donne l’occasion à David Perkins, Directeur du Département de Recherche à la Libre School de Farasita, Colorado de présenter ses recherches sur un sujet pour lequel «il n’a jamais rencontré un tel défi» note le rapport du FBI. Il termine son exposé par la phrase suivante (36) :

 

«La seule chose qui est sensée dans cette affaire,  c’est qu’elle est complètement insensée».

  

Et 20 ans après, même constat tandis que les mutilations de bétail et son ballet de Black Helicopters continuent à défier notre compréhension :

 

Le lundi 20 Juillet 1998, quatre bovins mutilés sont retrouvés près de St. Johns, Arizona (3'294 habitants), une ville se situant à 216 kilomètres à l’est de Flagstaff. Les bovins sont retrouvés exsangues, manquant les yeux et les langues des quatre mammifères. Les coyotes et les vautours n’ont pas approché les cadavres .

Le dimanche 3 mai 1998, une vache mutilée est recouvrée à 16 kilomètres au sud-est de Questa, Nouveau Mexique. L’animal, duquel manquent les yeux et la langue, est déjà décédé depuis plusieurs jours .

Février 1998, une vache est retrouvée morte et mutilée à la ferme de George Giersch près de Dawson Creek, British Columbia, Canada. Giersch trouve le mammifère «baignant dans son sang avec sa langue en moins». Il ajoute que l’incision est «trop précise pour être l’œuvre d’un prédateur». Aucune trace de pas ou de véhicules n’est remarquée dans la neige. A la suite de suggestions de l’enquêteur local, Giersch laisse la carcasse de la vache in situ. «Aucun animal ne s’approcha de celle-ci jusqu’au cinquième jour, lorsque des oiseaux commencèrent à s’y attaquer. C’est louche. C’est bourré de coyotes ici».

 

Dans la nuit du 8 février 1999, plus d’une douzaine de black helicopters ont survolé Kingsville, Texas, une petite ville située à environ 80 kilomètres au sud-est de Corpus Christi. Les appareils se sont ensuite posés afin que des soldats en tenue de combat puissent mener à bien un exercice d’infiltration ordonné par l’U.S. Army Special Operations Command dont le nom de code est «Operation Last Dance. 

SOURCE :

http://www.les-ovnis.com/pages/les-mutilations-animales-betails-photos-et-video.html