Reflexions sur les Crop Circles

et les Êtres élémentaires

 

Le physicien Daniel Harran donne son interprétation, surprenante, sur les crop circles, les cercles de céréales, etc..

Son site : http://www.crop-circles.eu/pages/accueil_agroglyphes.php?lang=fr

 

A propos de l 'auteur Danier Harran (tiré de son site)

 

Parmi les disciplines scientifiques, la physique est celle qui cherche à décrire les lois de l'univers. C'est sans doute une attirance pour ces lois qui m'a conduit vers des études de physique. Après un doctorat en thermodynamique, j'ai choisi la carrière d'enseignant-chercheur en physique (à l'université de Pau), les thèmes de recherche que j'ai abordés se rapportant à l'étude des polymères par des méthodes rhéologiques (relations entre les déformations appliquées et les contraintes subies).

 

Ma fonction de Maître de Conférences m'a permis de répondre à mon désir de transmettre les connaissances de la physique.

 

J'ai ressenti peu à peu les limites de cette science trop matérialiste pour décrire réellement notre univers, et je me suis alors intéressé à titre personnel à quelques phénomènes inexpliqués par la science. C'est ainsi que le mystère des agroglyphes est devenu une de mes passions.

 

Il était facile de comprendre qu'une partie des formations créées dans les champs de culture était l'œuvre de l'homme. Mais si les nombreuses analyses scientifiques menées depuis plus de vingt ans ont conduit à des conclusions très significatives, elles n'ont pas permis cependant d'élucider la nature du phénomène.

 

J'ai donc décidé d'aller observer moi-même le phénomène en me rendant en Angleterre dans le comté du Wiltshire. J'ai aussi pu visiter une formation apparue en France.

 

Les idées présentées ici sont le résultat de mes observations sur le terrain, de mes recherches livresques et de ma réflexion personnelle.

  

 

« qui sont les auteurs ? » et « quel est le sens des agroglyphes ? ».

 

Ce n'est qu'en nous efforçant de ne pas nous laisser emprisonner par les schémas de pensée auxquels nous sommes habituellement soumis, que nous pourrons espérer approcher la réalité de ce phénomène mystérieux.

 

Voici  quelques extraits de ses recherches et reflexions :

 

Daniel Harran nous démontre, sur son site, qu’il existe deux catégories d'agroglyphes... et deux catégories d'auteurs.

 

Ils nous démontre également que les auteurs de ces Crops Circle seraient présents sur Terre, mais que ce ne sont pas des êtres humains !

 

Il est bien conscient, que son raisonnement est parfaitement discutable et ne constitue en rien une démonstration, mais il présente l'avantage d'être cohérent.

 

Vous constaterez sur son site, que les agroglyphes sont les œuvres d'êtres intelligents et immatériels, présents parmi nous. Or l'homme moderne n'a pas connaissance que de tels êtres soient présents sur Terre puisque pour lui, les seuls êtres vivants qui habitent cette planète sont la multitude des êtres du monde animal et les êtres humains eux-mêmes, mais les hommes sont les seuls êtres doués d'une intelligence et d'une conscience. C'est bien ce que nous avons tous appris par l'éducation que nous avons reçue.

 

C'est pourquoi notre questionnement sur l'identité des auteurs des agroglyphes nous amène naturellement à imaginer que ces êtres intelligents et immatériels viennent d'ailleurs, viennent de l'espace, d'où l'hypothèse couramment proposée de leur origine extraterrestre.

 

D'ailleurs, l'existence des deux messages codés de Chibolton et Winchester vient effectivement renforcer cette hypothèse, et la plupart des gens en viennent à penser alors que les auteurs recherchés ne peuvent être que des créatures très évoluées, originaires d'un autre système stellaire.

 

Mais autrefois les hommes connaissaient pourtant l'existence d'êtres spirituels sur Terre, nos anciens connaissaient en effet les êtres que la tradition judéo-chrétienne appelle les anges, les archanges et toute la hiérarchie spirituelle, qui sont décrits comme des êtres plus évolués que l'homme. Ils connaissaient aussi l'existence des êtres élémentaires, appelés parfois êtres de la nature car ils sont responsables des forces de la nature, de la croissance des plantes par exemple.

 

Mais notre civilisation moderne marquée par la prédominance de l'intellect et le règne de la rationalité, par un développement technologique qui augmente exponentiellement et un attachement toujours croissant aux biens matériels, nous a fait perdre toute sensibilité aux choses subtiles, nous a fait perdre le sens de l'intuition, et nous a fait oublier ces connaissances qui sont passées au rang des mythes et légendes.

 

Pourtant ces légendes font partie de l'histoire ancienne de tous les peuples, sous toutes les latitudes, et nous savons qu'il y a toujours une part de réalité à la base de ces légendes.

 

De plus certains parmi nous, qui ont reçu en don une certaine sensibilité au subtil, les médiums, les clairvoyants mais surtout les enfants en bas âge, ont la capacité de percevoir, ou même de voir les êtres élémentaires de la nature en particulier. Il se trouve même que les personnes capables de les voir (et elles seules) sont naturellement capables de les photographier et peuvent par là apporter des éléments de preuve aux autres (à condition bien sûr de pouvoir écarter toute fraude à coup sûr) !

 

Et, même si ce sujet est peu connu, très nombreux sont les témoignages de scènes dans lesquelles une présence extérieure à nous se manifeste, pour nous sauver d'un danger imminent par exemple, ou pendant une expérience aux frontières de la mort (NDE) . On parle alors de notre ange gardien.

 

Les hommes ne sont pas les seuls êtres intelligents dans l'univers - cette idée est de plus en plus souvent prise en considération aujourd'hui par les scientifiques - mais ils ne sont pas non plus les seuls êtres intelligents sur Terre , même si cette idée est encore contraire à l'opinion couramment répandue.

 

Nous pensons que l'hypothèse d'une origine terrestre des agroglyphes, c'est-à-dire qu'ils seraient les œuvres d'êtres spirituels liés à la Terre et présents parmi les hommes, mérite et doit être explorée. Cette hypothèse s'appuie sur les connaissances que nos Anciens avaient de ces êtres spirituels, complétées par les ouvrages contemporains écrits sur le sujet et les témoignages actuels.

 

La réponse à la question : « quels êtres spirituels se manifestent dans les agroglyphes ? » demande avant tout d'avoir une connaissance suffisamment large du monde spirituel. Or force est de constater que l'homme moderne a bien peu de connaissances de ce monde depuis qu'il a perdu ses capacités de perception directe..

 

La hiérarchie des êtres spirituels sur Terre…

 

D'après l'histoire des religions comme d'après les philosophes spirituels contemporains, les anges, les archanges, etc. sont des guides spirituels pour les hommes et pour l'humanité. Ces êtres angéliques ne se manifestent pas matériellement à nous (ils ne sont pas matériels) et c'est pourquoi nous ne les percevons pas.

 

Ils se manifestent directement à notre esprit, pendant notre sommeil en particulier, de façon inconsciente pour nous. Par exemple, chacun de nous est accompagné dans son existence par un ange (par un guide) qui lui est propre - l'ange gardien - et dont on peut parfois pressentir la présence dans les moments clés de notre vie. Ils sont plus évolués que l'homme, et il existe une hiérarchie entre les anges, les archanges, etc.

 

On peut se faire une idée de ces êtres en les imaginant comme des entités « parfaites », ayant développé toutes les qualités nobles, et qui sont au service de l'humanité. Cette idée de hiérarchie - hommes, anges, archanges, etc. - fait donc appel à la notion d'évolution.

 

De même qu'il existe des êtres appartenant à la hiérarchie supérieure (supérieure à l'homme) sur l'échelle de l'évolution tels que les anges et les archanges, il existe aussi des êtres situés plus bas sur cette échelle, qui sont moins évolués que les hommes et sont appelés êtres élémentaires. Ils sont appelés ainsi car ils sont attachés à l'un ou l'autre des éléments que sont la terre, l'eau, l'air et le feu et qui constituent notre monde.

 

« C'est comme s'ils avaient leurs domaines, leurs territoires, dans ces éléments, tandis que le domaine de l'homme est la planète entière. De même que l'être humain est chez lui dans l'univers, ces êtres ont leur territoire dans un des éléments nommés. »

 

Ce monde des êtres élémentaires est très complexe, la très grande variété des noms qui leur ont été donnés en témoigne déjà : tout le monde a pu lire des contes dans lesquels interviennent des fées, des lutins, des farfadets, des faunes, des nains, des gnomes, des elfes, des ondines, des sylphes, etc.

 

On peut s'en faire une idée en les imaginant comme des esprits purs au service de la nature. Ils sont chargés de la croissance des plantes pour les uns, ou chargés de mettre de l'harmonie dans un lieu pour d'autres, ou chargés de guider les oiseaux ou les insectes dans leurs déplacements, etc.

 

Rudolf Steiner, philosophe clairvoyant, les décrit comme des êtres étonnamment vifs et intelligents, qui comprennent immédiatement tout ce qu'ils perçoivent et s'intéressent beaucoup au monde qui les entoure. « Ils possèdent un sens qui ne fait pas que voir et entendre, mais qui aussitôt comprend ce qu'il voit et ce qu'il entend, un sens qui ne reçoit pas seulement des impressions, mais saisit partout des idées.

 

Ce qu'ils voient, ils le savent du même coup, voir et savoir n'est pour eux qu'un seul acte. En ce sens, leur savoir ressemble, jusqu'à un certain point, à celui des hommes, mais leur entendement est universel, c'est pourquoi ils regardent de haut l'entendement des hommes, qu'ils considèrent même comme assez médiocre ».

 

Mais ils ont des possibilités d'intervention très limitées dans leur domaine, et ils n'ont pas de relation directe avec les hommes. D'ailleurs la plupart d'entre eux ne s'intéressent pas à l'homme, leur attention est dirigée essentiellement vers le milieu naturel dans lequel ils vivent et dont ils sont responsables, mais ils souffrent justement des dégradations de ce milieu, et ils savent que l'homme en est responsable.

 

Anges ou êtres élémentaires ?

 

Dans l'hypothèse d'une origine terrestre des agroglyphes, qui seraient donc créés par des êtres spirituels liés à la Terre, devons-nous chercher cette origine vers les êtres plus évolués que nous, les anges, ou bien au contraire vers les êtres moins évolués, les êtres élémentaires ?

 

Si l'on considère l'aspect mystérieux du phénomène, qui dépasse nos capacités d'entendement actuelles, nous sommes tentés de penser que les agroglyphes sont les œuvres d'êtres plus évolués que l'homme, donc des entités angéliques. Il paraît difficile en effet d'envisager que ces œuvres d'art souvent magnifiques et qui témoignent de connaissances très élaborées puissent être créées par des êtres moins avancés que l'homme sur l'échelle de l'évolution.

 

Pourtant l'absence de message explicite dans les agroglyphes, et un certain nombre d'observations approfondies qui mettent en évidence des imperfections, des anomalies et une évolution frappante depuis les techniques les plus simples jusqu'à la complexité actuelle, nous amènent à penser au contraire que les auteurs seraient plutôt des êtres intelligents mais peu évolués qui s'expriment par ce moyen, d'autant plus que Rudolf Steiner décrit les gnomes comme « des êtres d'entendement par excellence, qui ont la conscience la plus nette qui soit ».

 

Cette hypothèse, très déconcertante au premier abord pour la plupart d'entre nous, peut être justifiée puis validée en examinant successivement plusieurs caractéristiques liées aux agroglyphes. Mais elle demande à être considérée en laissant de côté toute forme d'orgueil déplacé, et en se plaçant au contraire dans une attitude d'humilité devant un phénomène concret qui nous interpelle mais qui nous est encore mystérieux.

 

Absence de message explicite…

 

Nous avons vu que la quasi-totalité des agroglyphes sont de type géométrique et se distinguent par là des deux messages de Chibolton et de Winchester.

 

 

 

 

Ces deux derniers s'adressent à l'homme dans un langage certes codé mais compréhensible, le deuxième message par exemple a été exprimé en langue anglaise (à l'aide des codes ASCII), qui est le langage le plus utilisé par l'homme.

 

Par contre les agroglyphes de type géométrique sont des réalisations dans lesquelles les auteurs interpellent l'homme et manifestent leur existence, leur présence parmi nous, mais ils s'expriment de façon symbolique par des figures géométriques, sans utiliser de langage à proprement parler. C'est cette absence de langage d'ailleurs qui rend ces agroglyphes énigmatiques et qui fait qu'il est difficile pour nous d'en capter le sens réel.

 

Ceci doit nous faire comprendre que ces messages ne s'adressent pas à notre intellect, mais d'abord à notre « cœur », à notre intuition et toute la difficulté est là pour nous.

 

L'homme moderne est habitué à raisonner, à réfléchir avec son mental, mais ces esprits ne peuvent pas (ne savent pas) utiliser notre langage pour se faire comprendre clairement (pas plus le français que l'anglais...). Cette remarque nous porte à penser que ce serait des êtres élémentaires qui s'exprimeraient là plutôt que des êtres spirituels supérieurs.

 

Une évolution de la dimension et de la complexité des motifs

 

En portant un regard sur l'ensemble des agroglyphes (de type géométrique) observés au cours du temps, on se rend compte que ces réalisations n'ont pas toujours été élaborées comme de nos jours. Pendant très longtemps - depuis des siècles jusqu'aux années 1980 - il semble que tous les motifs des agroglyphes se limitaient à des cercles simples et de petites dimensions (quelques mètres de diamètre seulement, alors qu'on observe couramment aujourd'hui des formations de plusieurs centaines de mètres).

 

Cette grande sobriété ou simplicité des motifs circulaires s'accompagne d'ailleurs de la « relative » simplicité des techniques utilisées : tous les blés étaient simplement couchés dans le même sens à l'intérieur des cercles, autour du centre.

 

Il y a donc eu une évolution très nette des agroglyphes au cours du temps en dimension, avec en même temps une progression étonnante dans la complexité des motifs représentés, depuis les motifs les plus simples jusqu'aux plus élaborés.

 

Mais même si nous focalisons habituellement notre attention sur les formations les plus belles et les plus élaborées, il n'en est pas moins vrai qu'à notre époque, en 2008 par exemple et en Angleterre, un petit nombre d'agroglyphes authentiques sont encore très simples : cercles ou anneaux de petites dimensions.

 

Ainsi si l'on admet que les auteurs d'aujourd'hui sont les mêmes qu'autrefois, il nous est difficile d'attribuer la réalisation de cercles petits et simples à des êtres très évolués, et il semble que l'évolution progressive des motifs représentés traduise une évolution des capacités d'expression de ces êtres, évolution qui ne serait pas partagée par tous.

 

Cette observation tend à nous faire penser que les auteurs pourraient être des êtres élémentaires, plutôt que des êtres de la hiérarchie spirituelle supérieure.

 

De plus, il est frappant d'observer que, depuis que les motifs représentés sont devenus plus complexes et spectaculaires, tous ceux-ci sont pratiquement concentrés dans un pays et un seul : l'Angleterre.

 

Les motifs représentés en France par exemple, mais aussi dans les autres pays, sont dans l'ensemble nettement plus simples, même si un début d'évolution est aussi apparu ces toutes dernières années. On observe donc que l'évolution des motifs dans les autres pays du monde est en retard sur l'Angleterre.

 

Si l'on considère que les agroglyphes sont une forme d'expression utilisée pour s'adresser à l'homme, force est de constater que ce mode d'expression est plus évolué en Angleterre que dans l'ensemble des autres pays du monde ! Ce qui peut paraître bizarre à moins de considérer que les Anglais sont plus évolués que les autres...

 

Le même phénomène des agroglyphes existe aussi depuis très longtemps dans le sud de l'Afrique, en Namibie en particulier. Dans une région de savane où la végétation naturelle est rare et limitée à des herbes sèches, ils se manifestent par des petits cercles de quelques mètres de diamètre dans lesquels l'herbe ne pousse pas, la bordure de ces cercles étant marquée par une plus grande densité d'herbe.

 

Les motifs sont donc on ne peut plus simples, puisqu'il n'y a pas de plantes couchées mais simplement absence de plantes (dans des étendues non cultivées). Ce mode d'expression utilisé pourrait être considéré comme tout à fait primaire et n'a montré aucune évolution à ce jour.

 

Les gens du pays, qui ne comprennent pas ce phénomène mystérieux, appellent cela des « cercles de fées »...! Il est intéressant de remarquer cette appellation.

 

Cette observation qui fait apparaître une discrimination entre les pays, ne semble pas compatible avec l'idée que les agroglyphes seraient des messages envoyés à l'humanité par des êtres appartenant au niveau d'évolution des anges (ou plus).

 

Elle nous porte encore à penser que les auteurs des agroglyphes seraient plutôt des êtres moins évolués et qui ont peu de relations entre eux selon les régions du monde. Ils pourraient donc appartenir à la catégorie des êtres élémentaires.

 

En effet, d'après Rudolf Steiner, « les gnomes ont encore un autre trait de caractère : leur instinct d'indépendance et de liberté quasi invincible. Toute leur attention est tournée vers le monde extérieur et il ne se préoccupent pratiquement pas les uns des autres.

 

Un gnome s'intéresse peu aux autres gnomes, mais tout ce qui l'environne l'intéresse par contre prodigieusement. » Cette précision nous permet de comprendre la disparité entre les différents pays.

 

D'autre part, on peut se rendre compte que même dans les œuvres les plus magnifiques et les plus spectaculaires formées en Angleterre, une petite partie d'entre elles présentent des imperfections. En se limitant aux formations de 2008 dans le Wiltshire, quatre exemples peuvent être observés.

 

Le très beau cristal, appelé « diamant », photographié le jour suivant sa réalisation, montre une anomalie dans les plages alternativement claires (blé couché) et foncées (blés debout) qui entourent ce cristal : l'une de ces plages est foncée alors qu'elle aurait dû être claire. Visiblement, le travail n'a pas été fini, l'œuvre n'est pas parfaite. Oubli ou erreur ?

 

 

 

Cela fait penser à la possibilité que les auteurs auraient pu être surpris ou perturbés et n'auraient pas achevé leur travail. Mais il faut se souvenir que, d'après les témoignages tous convergents des personnes qui ont eu pu observer de leurs yeux un agroglyphe en train de se faire, la réalisation ne prend que quelques secondes, ce qui porte à penser qu'il s'agit effectivement plutôt d'une erreur ou d'un oubli.

 

D'ailleurs une nouvelle photographie du même agroglyphe prise quelques jours plus tard montre que le dessin a été complété (proprement) pour réparer justement l'oubli ou l'erreur commise !

 

Remarque analogue dans la magnifique formation parfois appelée « les hirondelles » ou « les hibous ». On peut remarquer d'ailleurs que cette formation a été réalisée en deux fois, au cours de deux nuits consécutives.

 

 

 

Dans ce cas, la première partie formait elle même un tout cohérent et harmonieux, puis le dessin a été complété le lendemain pour former un ensemble plus complexe, avec un raccordement parfait entre les deux parties.

 

Grâce au fait que l'ensemble ajouté est formé de plusieurs parties identiques (plusieurs représentations d'hirondelles), on peut se rendre compte nettement, aussi bien d'avion (dans le secteur en bas à gauche de la photo d'avion) que du sol, d'une imperfection sur la bordure d'une hirondelle.

 

 

 

Dans cette bande, les blés ont été partiellement et irrégulièrement inclinés, comme s'ils avaient été couchés dans un premier temps, puis maladroitement relevés ensuite, alors qu'ils auraient dus être laissés intacts. Il s'agit là manifestement d'une erreur.

 

Dans la formation suivante, on aperçoit nettement une ligne fine qui s'écarte de l'axe central et qui ne respecte pas la symétrie et l'harmonie du motif. Une autre ligne apparaît également en haut à gauche de l'image, qui ne semble pas justifiée.

 

 

 

Ces deux lignes ne peuvent pas correspondre à des étapes intermédiaires de la construction du dessin. Il semble qu'elles soient bien des défauts, d'autant plus que n'étant pas présentes à l'extérieur de la formation, elles sont donc liées à la réalisation de l'agroglyphe.

 

 

Enfin, dans la représentation du système solaire apparue dans un champ d'Avebury, les observateurs ont été intrigués par une « tache » aux contours mal définis dans laquelle les blés ont été irrégulièrement pliés, près des planètes Neptune et Uranus ; elle fait penser à la représentation d'une planète, mais elle est située en fait entre deux orbites de planètes et ne correspond à rien dans le système solaire.

 

 

 

Là encore, il semble que cette « tache » soit en fait une erreur, car une fois que les blés ont été pliés, il n'est pas possible d'effacer une erreur commise.

 

Ces petites imperfections dans la réalisation matérielle des agroglyphes semblent indiquer que leurs auteurs n'ont pas une maîtrise absolue des méthodes mises en œuvre, ce qui va encore dans le sens qu'ils pourraient êtres des êtres élémentaires.

 

Le pictogramme de Grasdorf…

 

C'est un agroglyphe unique par ses caractéristiques, qui est apparu en Allemagne en 1991, et qui est à lui seul un triple mystère !

 

 

 

Il a été découvert dans un lieu préhistorique sacré qui date de plus de 4000 ans ; les archéologues le décrivent comme l'un des sites culturels préhistoriques les plus importants. Il consiste en un ensemble de cercles, d'arcs, et d'une croix, le tout relié par des segments rectilignes et mesurant une centaine de mètres de longueur. Le premier mystère est bien sûr dans l'existence même de cet agroglyphe, par qui et pourquoi ?

 

Or un chercheur qui analysait le lieu de la formation muni d'un détecteur de métaux, a découvert trois disques métalliques de mêmes dimensions (une trentaine de centimètres de diamètre), enfouis dans le sol au centre des trois cercles entourés par un demi-anneau : l'un était en or pur, le deuxième était en argent pur à 99,9 %, c'est-à-dire plus pur que l'argent utilisé de nos jours ! et pesait près de 5 kilogrammes ; le troisième était en bronze.

 

 

 

 

 

Michaël Hesemann, spécialiste des crop circles a pu les étudier de près, et les a exposés au public lors d'une conférence en 1992.

 

Mais le plus étonnant est que sur chacun de ces disques était représenté le même motif, le même pictogramme que celui qui venait d'être dessiné dans le champ de blé, c'est-à-dire que le motif de l'agroglyphe était en fait une reproduction exacte du motif représenté sur chacun des trois disques métalliques !

 

Alors qu'on peut supposer que ces disques étaient probablement enfouis dans le sol depuis des milliers d'années. Des analyses spectrographiques ont révélé que l'argent et l'étain (contenu dans le disque de bronze) étaient issus d'un gisement proche de Grasdorf (le lieu de création de l'agroglyphe). Cette coïncidence des motifs constitue bien sûr un deuxième mystère.

 

Le troisième mystère étant : pourquoi ces trois disques similaires mais en or, argent et bronze montraient-ils ce même motif ? Et qui, quelle civilisation avait fabriqué ces disques ? apparemment une civilisation très ancienne présente dans cette région d'Allemagne et qui avait développé un savoir-faire surprenant.

 

Il est évident que ces trois mystères sont étroitement liés.

 

Intéressons-nous d'abord à la question des auteurs de l'agroglyphe. Je me place bien sûr dans l'hypothèse où tout ce qui a été rapporté est authentique, ce que semble bien confirmer les analyses et l'étude effectuées par Michaël Hesemann, malgré l'étrangeté des faits.

 

Il est évident que ces auteurs avaient connaissance de ces trois disques enterrés, oubliés par les hommes depuis des milliers d'années sans doute.

 

 

 

Ce sont donc des êtres qui ont la vision de ce qui est dans la terre, des êtres dont la vision n'est pas arrêtée par l'élément matériel terre, c'est à dire des êtres spirituels. Et dans ce cas précis, les êtres élémentaires liés à l'élément terre paraissent les mieux placés pour répondre à la question. Rudolf Steiner explique qu'ils peuvent en effet se déplacer librement dans la terre, et qu'on les trouve plus souvent près des veines métalliques terrestres, ils sont donc plus attirés par l'élément métal !

 

Puisque ce sont des êtres intelligents, il est évident que, par la réalisation de cet agroglyphe, ils ont voulu attirer l'attention de l'homme sur ces trois disques, attirer notre attention sur ce troisième mystère. Pourquoi ? Nous reviendrons sur ce point plus loin.

 

Conclusion

 

Bien que l'hypothèse couramment envisagée par ailleurs est que les agroglyphes seraient créés par des « extraterrestres » venus de l'espace, nous avons voulu envisager ici l'hypothèse d'une origine terrestre, par des êtres spirituels qui vivent parmi nous et sont donc liés à l'humanité.

 

Il existe en effet de très nombreux témoignages divers de l'existence des anges aussi bien que des êtres élémentaires : toutes les traditions humaines rapportent nombre de légendes dans lesquels ces esprits se manifestent. Leur présence est attestée dans les trois religions monothéistes : « Dans le Talmud, livre religieux juif, les gnomes sont considérés comme les gardiens de la terre et des mondes souterrains...

 

Le Coran affirme qu'en plus des anges et des êtres humains, Dieu a créé les djinns ou génies... Dans le livre d'Enoch, personnage cité plusieurs fois dans la Bible, il est question d'anges, mais aussi d'esprits, responsables des éléments » et l'évangile chrétien fait apparaître un ange à Marie. D'autre part, les personnes douées de perceptions subtiles (les jeunes enfants en particulier) sont capables de percevoir et pour certaines même de voir les élémentaux les plus denses (gnomes et ondines qui s'occupent respectivement des éléments terre et eau).

 

Et enfin les philosophes spirituels parlent abondamment de ces êtres et expliquent qu'ils font partie de notre monde même s'ils sont invisibles à nos sens.

 

Nous avons analysé ensuite les caractéristiques des agroglyphes de type géométrique : l'absence de message explicite compréhensible intellectuellement, l'évolution de leurs dimensions et de leur complexité avec le temps, mais aussi le fait que cette évolution n'existe pas dans tous les pays, et parfois des erreurs manifestes dans leur réalisation, tout cela nous porte à penser que les auteurs sont des êtres intelligents mais qui possèdent des moyens d'action limités.

 

Ces caractéristiques ne sont donc pas en faveur, et ne semblent même pas compatibles, avec l'hypothèse d'une origine extraterrestre des auteurs, qui seraient nécessairement des êtres très évolués. Nous proposons l'idée que les auteurs appartiendraient à la famille des êtres élémentaires (ou élémentaux).

 

D'après Rudolf Steiner, « les êtres élémentaires sont l'intermédiaire entre la Terre et l'univers spirituel. L'évolution que l'homme a subie au cours de la période actuelle est responsable du fait qu'il ne soit plus en état de percevoir ces êtres comme il voit les animaux, les plantes, etc. du monde physique, alors qu'ils pouvaient les percevoir aux temps anciens.

 

Les gnomes, qui sont les êtres liés à la terre, sont extrêmement intelligents. Ce sont des êtres de raison par excellence, et ils ont la conscience la plus claire. Ils portent toute leur attention au monde qui leur est extérieur, à ce qui les entoure ».

 

Après cette description, on peut comprendre que ces élémentaux ont en effet bien des raisons de s'inquiéter du comportement irresponsable des êtres humains qui n'ont plus de respect pour la nature et qui détruisent la Terre, car ils sont les premiers concernés, c'est pourquoi ils ont décidé de se manifester !

 

Source : http://www.crop-circles.eu/pages/accueil_agroglyphes.php?lang=fr