Transfert de l’information génétique, biologique et psychique à l’aide d’un rayonnement bio-électromagnétique - 11 avril 2016

Au début des années 60, Tsiang Kan Zheng a formulé une hypothèse selon laquelle les molécules et les atomes de l’organisme vivant sont NECESSAIREMENT liés entre eux par des champs bio-électromagnétiques qui constituent le SUPPORT MATERIEL de l’énergie et de l’information.

Au cours des années suivantes, il s’est employé à obtenir des preuves à l’appui de son hypothèse.

 

Ses recherches ont abouti à une DECOUVERTE SENSATIONNELLE : la possibilité de transfert directif de l’information génétique, biologique et psychique à l’aide d’un rayonnement bio-électromagnétique à ultra- hautes fréquences (bio-transmission à U.H.F.). Mieux, il a réussi à opérer ce transfert au moyen d’un appareil conçu à cet effet.

 

Les premières expériences de ce genre ont été effectuées par Tsiang Kan Zheng dans les laboratoires de l’Université Chinoise. Leurs résultats se sont confirmés par la suite lors des investigations qu’il a menées à Khabarovsk.

 

De temps en temps, la presse soviétique a consacré des reportages au docteur Tsiang, qualifiant ses travaux de « recherches sensationnelles, à la frontière du réel et du fantastique ». Mais les autorités officielles du pays gardaient le silence. Et ce, malgré le fait que dès 1974, le savant avait déposé une demande d’enregistrement de sa découverte. Il n’a pas non plus reçu de réponse aux lettres qu’il avait adressées aux instances supérieures : à Brejnev, Andropov, Tchernenko, aux praesidiums, aux ministères, académies…

 

Deux choses l’ont aidé à riposter aux coups du sort : ses CONNAISSANCES et surtout la foi qu’il avait en ses forces et sa PREDESTINATION…

 

L’année 1989 a marqué un tournant dans sa carrière. Cette année, Tsiang Kan Zheng a présenté à Novossibirsk un rapport sur la transmission de l’énergie biologique à U.H.F. pendant un séminaire spécialement consacré à ce thème. Dirigé par l’académicien V. Kaznatchéev, le séminaire a réuni environ 130 scientifiques, ainsi que des responsables de l’Académie des Sciences, de l’Académie de Médecine et de l’Académie de l’Agriculture.

La théorie du docteur Tsiang fut enfin reconnue. Une fondation spéciale et un centre de recherche ont été institués. Ceux-ci ont permis au savant de poursuivre ses travaux.

 

La parole est à Tsiang Kan Zheng :

 

A l’heure actuelle, le phénomène de rayonnement bio-électromagnétique dans l’organisme vivant est attesté.

 

On sait que l’A.D.N. (acide désoxyribonucléique) est le porteur de l’information génétique.

 

Les récentes découvertes en physique m’ont amené à supposer que l’A.D.N. n’est qu’une cassette avec enregistrement de l’information, tandis que les signaux bio-électromagnétiques en sont le support.

 

En d’autres termes, le champ électromagnétique et l’A.D.N. constituent une MATIERE GENETIQUE COMBINEE existant sous deux formes : passive (A.D.N.) et active (champ bio électromagnétique).

Cela dit, la forme passive sert à conserver l’information génétique, alors que la forme active est en mesure de la modifier.

 

Dans quelle gamme de fréquences s’exerce le rayonnement bio-électromagnétique ?

 

Les signaux bio-électromagnétiques (à savoir ceux qui transmettent l’énergie et l’information) sont des photons qui revêtent, selon la théorie des quanta, un caractère à la fois corpusculaire et ondulatoire.

 

Le caractère corpusculaire du photon implique l’utilisation des basses fréquences, car dans ce cas, il devient possible d’obtenir de l’organisme un maximum d’information : plus la fréquence du photon est basse et plus son énergie est faible.

 

Par conséquent, l’énergie limitée de l’organisme pourra exciter le plus grand nombre de photons.

 

Cependant, le caractère ondulatoire du photon nous amène à étudier la bande U.H.F. du spectre. Cela permettrait d’effectuer la « lecture » de l’information génétique, tout en assurant une excellente qualité de sa transmission.

SCHEMA GENERAL DE L’INSTALLATION « BIO-TRANSMISSION A U.H.F. » :

 

1 – récepteur ;

2 – ligne de transmission dotée d’un bloc régulateur ;

3 – émetteur.

L’installation assure la « lecture » de l’information génétique contenue dans l’A.D.N. d’un organisme vivant et sa transmission à un autre organisme vivant.

Il s’ensuit donc que le champ bio-électromagnétique (support de l’énergie et de l’information) se manifeste dans la bande U.H.F. et dans celle des rayons infrarouges.

 

Effectuées en laboratoire au moyen d’une installation spéciale, les expériences qui consistent à transmettre l’information génétique d’un organisme vivant à un autre ont donné des résultats positifs.

 

Les recherches sont actuellement menées dans l’agriculture (amélioration des plantes et sélection des animaux), la médecine (traitement des maladies, rajeunissement de l’organisme) et la génétique.

 

Résultats des expériences relatives à l’amélioration de plantes et à la sélection d’animaux.

 

Action exercée par le champ bio-électromagnétique de germes de blé (donneur) sur des plantules de maïs (percipient).

 

La variété obtenue avait une multitude de tiges latérales. A la place des panicules, on a vu se former des épis avec des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs.

Les plantes soumises à l’expérience ont surpassé les plantes témoins de 300% pour la productivité de la masse végétale et de 200% pour celle des grains.

Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.

Action du champ bio-électromagnétique d’un melon (donneur) sur des germes de concombre (percipient).

Les concombres produits avaient un goût de melon ; l’analyse biochimique a révélé des modifications au niveau de l’A.D.N.

 

Ces modifications se transmettent par voie héréditaire.

Action du champ bio-électromagnétique d’une arachide (donneur) sur des semis de tournesol (percipient).

La forme des grains de tournesol a changé. Ils ont partiellement acquis un goût d’arachide.

 

Action exercée par le champ bio-électromagnétique d’un canard (donneur) sur des oeufs de poule (percipient).

 

Des 500 oeufs de poule soumis à l’action du champ bio-électromagnétique d’un canard, on a vu naître 480 poussins caractérisés par une série de modifications génétiques : pattes palmées (25%), tête plate comme celle d’un canard (80%), long cou (70%), yeux s’ouvrant dans la partie moyenne (90%).

 

Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.

Action du champ bio-électromagnétique d’un bouc aux cornes enroulées (donneur) sur une lapine en gestation (percipient).

Les lapins qui sont nés avaient de longues dents crochues.

Rajeunissement de l’organisme

En tant que médecin, je m’intéresse particulièrement à ce problème. Les premières expériences de rajeunissement ont été effectuées sur de vieilles souris.

 

Celles-ci ont été soumises au rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes plantes et d’embryons d’animaux.

 

Ces expériences ont donné les résultats suivants :

 

- rétablissement des fonctions sexuelles et de la capacité de reproduction chez 31% des sujets

- augmentation de la durée de vie de 53% des sujets (de 12 à 18 mois par rapport au groupe témoin)

- amélioration de l’appétit, de la réaction, de la motilité chez 68% des sujets

En 1987, j’ai effectué sur moi-même une expérience analogue qui s’est soldée par des résultats positifs. Le volontaire suivant a été mon père âgé de 80 ans.

 

A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l’allergie cutanée, le bourdonnement d’oreille (acouphène) et la tumeur bénigne ; six mois plus tard, des cheveux ont repoussé à l’endroit de la calvitie et les cheveux gris sont redevenus noirs. Un an après l’expérience, une dent a repoussé sur l’emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt.

 

Les résultats positifs obtenus dans ce domaine ont servi de fondement pour délivrer, en 1991, au docteur Tsiang Kan Zheng un brevet d’invention sur le thème « Méthode de rajeunissement de l’organisme » et un certificat du ministère de la Santé Publique de Russie autorisant la thérapeutique U.H.F.

Justification théorique de la méthode de rajeunissement

 

En biologie, il existe une loi selon laquelle la durée moyenne de la vie des mammifères est de 5 à 7 périodes de développement physiologique.

 

Par conséquent, la durée de vie d’un homme doit varier de 125 à 175 ans, car la période de son développement est de 25 ans.

 

En réalité, elle dépasse rarement 3 périodes.

 

J’estime que le vieillissement de l’organisme tient à la dégradation des structures subtiles des gènes actifs. Cela dit, le rétablissement de ces structures se révèle impossible. Les gènes actifs constituent tout juste 0,2% à 2,0% de la totalité des gènes présents dans l’organisme.

 

Le rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes organismes qui appartiennent à d’autres espèces que les vieux parvient à activer chez ces derniers les gènes qui ne s’expriment pas (gènes inactifs).

 

Ce processus déclenche des réactions propres à l’ontogenèse et à la régénération.

Résultats du traitement U.H.F. (y compris la méthode de rajeunissement)

 

L’autorisation donnée par le ministère de la Santé Publique de Russie m’a permis de procéder aux essais cliniques de la méthode U.H.F. Quatorze volontaires ont accepté de suivre le traitement :

 

bio transmission 11Du point de vue nosologique, les maladies étaient réparties comme suit : athérosclérose (5 cas), sténocardie (2), congestion cérébrale (2) ulcère de l’estomac (4), hépatite (5), ostéochondrose vertébrale (6), arthrose (2), eczéma (3), psoriasis (1), névrose (1) et tumeur bénigne (2). Cela faisait 37 au total cas d’affections de 11 types pour 14 sujets, soit près de 3 affections par sujet.

 

Résultats du traitement :

 

Guérison complète dans 6 cas, dont la tumeur bénigne ; amélioration considérable de l’état de santé dans 21 cas ; amélioration relative dans 8 cas ; sans effet dans 2 cas.

Résultats obtenus en matière de rajeunissement :

 

– amélioration de l’état général de santé : 12 personnes

– amélioration du physique (« rajeunissement » de 5 à 10 ans) : 11 personnes

– disparition de la canitie : 9 personnes

– activation des fonctions sexuelles : 7 personnes

Traitement du cancer

 

Le traitement du cancer et du SIDA, ainsi que l’inhibition de l’immunodépression due à la greffe d’organes tiennent une place particulière dans mes recherches.

 

Les premiers résultats positifs ont été obtenus il y a plus de 20 ans, à l’époque où nous avons effectué une série d’expérience consistant à transmettre l’information génétique de dix lapins (auxquels nous avions inoculé des cellules cancéreuses) à un groupe de 300 souris atteintes de cancer artificiellement provoqué.

 

On sait que le cancer ne frappe jamais les lapins. Leurs forces immunes stimulées par le vaccin ont aidé la plupart des sujets d’expérience (70%) à surmonter la maladie. Dans le groupe témoin, les 300 souris qui avaient un cancer artificiellement provoqué ont péri.

 

Quand j’étais laborantin à l’Institut de Médecine de Khabarovsk (1973-1978), j’ai mené des recherches sur le thème « La lutte contre le cancer au moyen de la bio-transmission à U.H.F. ». En 1991, j’ai fait breveter ma méthode visant à normaliser les réactions immunitaires en cas de traitement du cancer et de transplantation d’organes.

Recherches immunologiques

 

Les essais de la méthode de rajeunissement se sont déroulés parallèlement aux recherches immunologiques effectuées dans les principaux laboratoires cliniques de Khabarovsk.

 

Ces recherches portaient sur divers éléments du système immunitaire :

 

Phagocytes

T-lymphocytes

T-lymphocytes « actifs »

T-helpers

T-suppresseurs

B-lymphocytes

Leucocytes

Immunoglobulines A

Immunoglobulines G

Immunoglobulines M

 

Les données obtenues ont permis d’arriver aux conclusions suivantes :

 

1 – on parvient à optimiser la phagocytose de manière à assurer la réaction adéquate de l’organisme lors de sa réponse immunitaire à la pénétration d’agents pathogènes. Cela dit l’effet du rayonnement bio-électromagnétique dépend essentiellement de l’état de l’organisme : lorsque la fonction des macrophages est affaiblie, le rayonnement bio-électromagnétique arrive à la normaliser ou à la rapprocher de la norme. Toutefois, il demeure sans effet en cas de fonctionnement normal des macrophages.

 

2 – La dynamique des T-lymphocytes atteste l’action régulatrice et stimulante du rayonnement bio-électromagnétique sur ceux-ci.

 

3 – La méthode de rajeunissement sert également à régler l’activité des lymphocytes. Cela signifie que le fonctionnement des cellules immunocompétentes a été soit rapproché de la norme physiologique, soit complètement normalisé, ce qui permet d’utiliser le rayonnement bio-électromagnétique en tant que moyen d’immunocorrection.

 

4 – La dynamique des T-helpers montre la tendance des valeurs extrêmes vers la norme. Il y a lieu de croire que le champ bio-électromagnétique déclenche le mécanisme d’adaptation et d’autorégulation du système immun, ce qui sert à entretenir l’équilibre homéostatique.

 

5 – Pour donner une caractéristique complète du comportement des T-suppresseurs et en déterminer la dynamique, il serait judicieux de choisir des groupes d’organismes présentant des modifications pathologiques bien déterminées :

– état pathologique caractérisé par une hyperactivité des cellules immunocompétentes (auto-immunité, allergie)

– état pathologique caractérisé par l’insuffisance du système immun (immunodéficience)

– état d’immunité sans changements

Cette approche de la formation des groupes d’organismes sera également adoptée lors de l’examen d’autres populations de T-lymphocyctes, ainsi que de T-helpers et de B-lymphocyctes.

 

6 – Chez les sujets caractérisés par une insuffisance d’immunoglobulines A, le rayonnement bio-électromagnétique a entraîné une augmentation de cet indice, ce qui atteste l’activation des processus de défense et de réparation dans l’organisme, y compris au niveau du système immun. En cas de fonctionnement normal du système immun, l’effet du rayonnement bio-électromagnétique est pratiquement nul.

 

7 – Pour le moment, il est impossible d’aboutir à des conclusions définitives quant à l’évolution des leucocytes : cet indice doit être examiné parallèlement à la dynamique des lymphocytes, des T- lymphocytes et à la phagocytose, en partant des particularités qui caractérisent l’état initial du système immun.

 

Les résultats obtenus permettent d’affirmer que l’action exercée sur l’organisme humain par le rayonnement bio-électromagnétique crée des conditions susceptibles de déclencher dans le système immunitaire des processus de défense, de réparation ou de compensation entraînant la guérison et le rajeunissement de l’organisme.

 

Commentaires

 

Je connais le docteur Tsiang Kan Zheng depuis près de 20 ans et je suis attentivement ses recherches. Auteur d’une méthode foncièrement nouvelle, il utilise, pour ses expériences, une installation spéciale qui assure la transmission des ondes bio-électromagnétiques dans la bande des ultra-hautes fréquences.

 

Je connais certains de ses travaux en la matière.

Ainsi, sous l’action du champ bio-électromagnétique transmis de plantules de blé à des germes de maïs, on a vu se former des épis contenant des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs. La plante obtenue à la suite de l’expérience était celle de maïs, mais qui avait plusieurs tiges, ainsi que c’est le cas du blé.

 

En 1991, j’ai personnellement utilisé des semences d’orge irradiées par le champ bio-électromagnétique du blé. Elles ont donné une espèce caractérisée par une vitalité plus grande. Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes, comme le démontrent mes expériences effectuées en 1992.

 

Je considère que la découverte de Tsiang Kan Zheng peut être appliquée à grande échelle. Je propose également de fonder un laboratoire en vue d’étudier sa méthode sous tous les rapports.

 

Grigori Kazmine,

 

Directeur du Centre de recherches agricoles d’Extrême-Orient, membre titulaire de l’Académie d’Agriculture de Russie Khabarovsk, le 29.04.1993

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