Le plan de santé d’Obama télescopé par l’embargo sur la vérité des ovnis - 23 avril 2016

USA BLACK VAULT : Certains documents US relatifs aux Ovnis ont été déclassifiés en 2015 dont celui-ci que nous vous proposons de découvrir sur OVNIS-DIRECT. En voici une synthèse et la raison pour laquelle il avait été classifié.

 

Le 11 mars 2011, Diana Zunker de l’OSTP (Office of Science and Technology Policy) du bureau exécutif du président Obama répond à une question de John Greenewald relative à l’impact de la stratégie de clarification de la politique spatiale du président sur la prétendue clarté affichée de sa politique de santé.

 

Accéder à ces échanges en 2011 n’était pas possible parce que la NSC (National Security Concil) classifie les thèmes de politique spatiale lorsqu’ils touchent de près ou de loin aux ovnis. Nous allons voir que dans ce cas, ce sont les moyens médicaux qui sont invoqués plutôt que les moyens observés de déplacements d’E.T. Il a même fallu que Jim Kohlenberger Patron de l’OSTP (et de Diana Zunker) obtienne courant juin 2011, par échanges de mails, l’accord de communiquer sur le sujet avec des scientifiques. Quant à la déclassification, elle aura attendu fin 2015.

LE DILEMME

 

En un mot, l’engagement de clarté sur les objectifs du plan de santé d’Obama par la création d’un blog où chaque américain pouvait s’exprimer, est entaché par un manque de clarté concernant la détection d’implants biologiques très discrets dont la justification nécessitait (et nécessite toujours) d’être clarifiée.

 

Pourquoi ?

 

Parce que le pionnier reconnu de la détection et de l’extraction d’implants, le chirurgien D. Roger Leir(1), avait, entre 1995 et 2011, opéré 15 interventions de prélèvement de 16 implants (dont 8 parfaitement identiques) chez des sujets qui se sont déclarés victimes d’une abduction par des ‘non-humains’. Et parce que ces implants biologiques s’apparentant à de minuscules objets de tracking repérables aux rayons X et au scanner (mais pas à la vue), ne provoquent étonnamment pas de réaction immunitaire, il en a référé à la presse en 2009. Et c’est John Greenwald qui a transmis le problème au président Obama parce que :

 

D’une part, les analyses de ces implants aboutissent à des caractéristiques remarquablement atypiques qui ne permettent que deux hypothèses :

 

Ou bien une manufacture de nature extraterrestre est capable de fabriquer et d’implanter dans le corps humain de minuscules appareils biomécaniques extrêmement sophistiqués.

 

Ou une institution terrestre disposant d’énormes ressources a atteint un niveau nanotechnologique capable de produire un objet complexe bien au-delà des capacités humaines révélées. Et l’implante sur des humains à leur insu.

Dans les deux cas, ne pas clarifier la situation revient à jeter une suspicion sur la clarté des perspectives de la politique de santé du président. Et cela justifie l’interpellation de son bureau scientifique.

 

D’autre part, parce que le Dr. Robert W. Koontz  Ph.D.(2), considérant que les caractéristiques électromagnétiques, l’émission de radiofréquences et les ratios isotopiques des implants faisant appel à des matières premières qui ne sont semble-t-il pas d’origine terrestre, déclare qu’il s’agit d’un sujet de sécurité planétaire.

 

Et à ce titre également, la présidence est interpellée.

QU’Y A-T-IL DE SI ETONNANT ?

 

Ces prélèvements suscitent en effet suffisamment d’étonnement pour que des laboratoires soient sollicités. De nombreux laboratoires ont été missionnés : Los Alamos National Lab, New Mexico Tech, University of Toronto, Univ. Of California etc. Jusqu’à Doug Perovic, directeur du département des sciences matérielles et de l’ingénierie de l’Université de Toronto, qui déclara au Dr. Leir : "La prochaine fois, emmenez-nous quelque chose de moins compliqué !"

 

Sans aucune trace de l’insertion sur la peau, les minuscules implants manufacturés de 3 millimètres, de forme triangulaire et de couleur marron foncé, non sécables au bistouri, dégagent un flux magnétique de 5 mGauss. C’est 50 fois plus puissant que nos magnets de réfrigérateurs et 1000 fois plus que les zones magnétiques les plus significatives du corps humain.

 

Le métallurgiste Alex Moser (3) suggère que le champ magnétique du dispositif pourrait avoir une fonction énergétique d’alimentation électrique, contrairement aux implants ‘terrestres’ de dimensions comparables qui n’ont qu’une fonction RFID (4)

 

Il faut bien une puissance électrique, car avant d’être extraits du corps, ils produisent de façon autonome (sans sollicitation radio externe) des radiosignaux dans une très large gamme de fréquences. Depuis l’extrême basse fréquence 9 Cycles/sec (similaire à celles du cerveau humain) à plusieurs gigahertz. Pour références, l’ELF 9Hz permet le contrôle du cerveau, 17 Mhz une communication aéronautique et 20GHz une communication satellitaire.  Retenons que le changement de fréquence est réputé avoir un effet sur le fonctionnement humain, comme la production d’adrénaline.

 

Alex Moser, constate qu’à l’inverse d’une puce RFID qui répond brièvement à une sollicitation de transmetteur externe, l’implant émet en permanence avec une puissance qu’il évalue entre 10 et 100 mW. Mais seulement tant qu’il est dans le corps.

 

Le tissu biologique qui enrobe la partie mécanique a non seulement une fonction anallergisante pour éviter le rejet des matériaux composites, mais aussi une fonction bioénergétique. (à moins que comme les puces contemporaines bien plus imposantes, ce soit les variations de température qui génèrent le courant, mais ce n’est pas invoqué dans le document)

 

La partie solide présente une structure de nanotubes de carbone. Mais le gallium, le germanium et autres métaux précieux, dans la portion métallique des échantillons, sont présents dans le ratio similaire aux composants des météorites essentiellement constitués de fer/nickel.

"pépin de melon" pignet gauche de Tim Cullen, "T" orteil gauche  de Patricia

Les liens avec les ovnis

 

Eve Frances Lorgen (ufologue américaine connue, spécialiste des enlèvements) a interviewé cinq des personnes ayant subi une opération, et elle a trouvé que " toutes les personnes, un homme et quatre femmes, avaient un point en commun des rencontres avec des ovnis et des contacts avec des êtres non humains " (Mufon UFO Journal, nov. 1998).

 

Les deux cas les plus récents entrent eux aussi dans cette catégorie. Tim Cullen a eu une rencontre rapprochée en 1978, alors qu’il voyageait en voiture avec sa femme. Il n’en a parlé que vingt ans plus tard quand il a jugé que ses enfants étaient assez âgés pour connaître cette histoire.

 

L’hôtesse de l’air, opérée en octobre 2001, a le souvenir d’une observation nocturne d’ovni une vingtaine d’années auparavant. Elle fut réveillée dans sa chambre par une vive lumière, et vit au-dehors un ovni en vol stationnaire. Le lendemain matin, elle découvrit une protubérance sous-cutanée : c’était l’implant qui a été extrait en 2001.

QU’EN CONCLURE ?

 

Le fait que l’OSTP ne nie pas la question et autorise la déclassification en 2015 de la prise en compte de la référence ufologique de la question d’experts imminents, réduit au moins les prétextes de tourner en ridicule toutes les questions ufologiques.

 

De fait, de nombreuses questions ne peuvent plus être balayées avec mépris par les instances académiques qui se replient systématiquement derrière la notion de complot. Sachant qu’il ne s’agit là que de cas détectés. Beaucoup de patients ont pu se faire extraire ce qui peut être assimilé à une écharde (certains implants étaient dans le pied), de très nombreuses personnes en sont peut-être nanties sans le savoir puisque minuscules, ils ne provoquent ni démangeaison ni inflammation… la plus importante question posée par les protagonistes dans le document joint est :

 

S’il existe quelque forme avancée d’intelligence qui nous étudie, alors quelle structure secrète de notre société, quelle agence est ouvertement en train de nous taguer, tracer et étudier ? Qui approuve cette politique ? Qui provisionne les fonds ?

 

Dans le cadre de l’ensemble des items balayés par le projet de santé de l’administration, la prise en compte de ce questionnement pourtant sulfureux par le bureau exécutif du président appelle trois démarches novatrices :

 

 

Que son administration inclut le financement pour détecter, extraire et étudier ces implants de façon à, au moins, étudier le tissu biologique permettant d’éviter tout type de rejets,

Qu’il ne suffit pas de faire la déclaration d’intention d’œuvrer en toute honnêteté pour la santé des citoyens, si on masque des techniques sophistiquées constatées, par un embargo sur l’information au prétexte qu’elle semble loufoque aux ovnis-sceptiques.

Qu’il est nécessaire d’encourager une recherche libre et ouverte sur tous les aspects du phénomène ovnis parce qu’ils peuvent recéler la clé de progrès significatifs pour l’humanité.

 

Patrick ESIALA

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