Humanité et hybridation extraterrestre - 30 avril 2016

Découverte de gènes extraterrestres dans l’ADN humain

 

Dans la revue scientifique Nature (409, 860-921, 15/2/2001), un article faisant le point sur l'avancement du Projet Génome Humain montre (dans son tableau 24) que 223 gènes humains n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire et ont été apportés dans notre chromosome 21 par "transfert horizontal probable", c'est-à-dire hors évolution.

 

Le chromosome 21 a été littéralement "bombardé par de récentes insertions de duplications".

 

L'hypothèse d'un transfert par des bactéries est repoussée, compte tenu des filtrages effectués.

 

Selon cet article de Nature, nous n'avons que 200 fois plus de gènes codants que l'amibe et seulement 2 fois plus que la mouche ou le lombric.

 

Les séquences non codantes (environ 95 % du génome) sont apparemment composées de réplications ou répétitions avec de faibles variations.

 

Six ans plus tard, en 2007, cette étude fondamentale de biologie moléculaire n'est plus tout à fait pertinente car les chercheurs ont fait progresser les connaissances du génome.

 

Un groupe de chercheurs travaillant au « Projet du Génome Humain » (Human Genome Project) indique avoir fait une étonnante découverte scientifique. Ils pensent que les séquences dites « non codantes » qui composent 97 % de l’ADN humain ne sont rien d’autre que le code génétique de formes vivantes extraterrestres.

 

Les séquences non codantes sont communes à toute la matière organique sur terre, des moules aux humains.

 

Dans l’ADN humain, « elles constituent la plus grande partie du génome total » déclare le professeur Sam Chang, directeur du groupe.

Les séquences non codantes, autrefois connues sous le nom d’« ADN-poubelle », ont été découvertes il y a des années et leur fonction restait un mystère.

 

L’écrasante majorité de l'ADN humain est « hors de ce monde » de par son origine.

 

Lesdits «gènes-poubelles extraterrestres» «profitent simplement du voyage» avec les gènes actifs fonctionnels transmis de génération en génération.

 

Après analyse complète avec l'aide d'autres scientifiques, d'informaticiens, de mathématiciens et d'autres savants, le professeur Chang

s'est demandé

 

si ledit

 

« ADN-poubelle » humain n’avait pas été créé par une sorte de «programmeur extraterrestre».

 

Les segments étrangers dans l’ADN humain, observe encore le professeur Chang,

 

«ont leurs propres veines, artères et leur propre système immunitaire, qui résiste vigoureusement à tous nos médicaments anticancéreux.»

 

Le professeur Chang déclare ceci :

 

« notre hypothèse est qu'une forme de vie extraterrestre supérieure a entrepris de créer une nouvelle vie et de l’implanter sur diverses planètes.

La Terre est juste l’une d'entre elles.

Peut-être, après programmation, nos créateurs nous cultivent-ils de la même manière que nous cultivons des bactéries dans des boîtes de Pétri.

Nous ne pouvons pas connaître leurs motifs - si c'était une expérience scientifique ou une manière de préparer de nouvelles planètes à la colonisation ou si c’est depuis longtemps affaire de semer la vie dans l'univers. »

 

Le professeur Sam Chang indique encore que

 

"si nous pensons à cela en termes humains, lesdits «programmeurs extraterrestres »

 

travaillaient très probablement sur un

 

« grand code unique »

 

consistant en plusieurs projets, lesquels devraient avoir produit diverses formes de vie pour différentes planètes. Ils ont également essayé diverses solutions.

 

Ils ont écrit «le grand code», l'ont exécuté, n'ont pas aimé certaines fonctions, les ont modifiées ou en ont ajouté de nouvelles, l’ont exécuté encore, ont apporté plus d'améliorations et ont fait de multiples essais.

 

L'équipe de chercheurs du professeur Sam Chang conclut en outre que les apparents

 

«programmeurs extraterrestres »

 

ont pu avoir reçu l’ordre d’interrompre tous leurs plans d’avenir idéalistes quand ils se sont concentrés sur le « projet Terre », afin de pouvoir tenir leur délai concernant cette planète.

 

Semblant très pressés, les «programmeurs extraterrestres» ont pu avoir réduit rigoureusement le grand code et avoir ainsi fourni le programme de base prévu pour la Terre.

 

Le professeur Chang est seulement l'un des nombreux scientifiques et chercheurs qui ont découvert les origines extraterrestres de l'humanité.

 

Lui et ses collègues de recherche prouvent que des lacunes de l’apparente programmation extraterrestre dans le séquençage de l'ADN, précipitées par une hâte hypothétique pour créer la vie humaine sur Terre, ont donné à l'humanité une croissance illogique de masses de cellules que nous connaissons sous le nom de cancer.

 

Le professeur Chang indique encore ceci :

 

« ce que nous voyons dans notre ADN est un programme se composant de deux versions : un grand code général et un code de base ».

 

M. Chang affirme ensuite que

« Tôt ou tard », dit le professeur Chang

 

« nous devrons affronter la notion incroyable que chaque vie sur Terre porte le code génétique de son cousin extraterrestre et que l'évolution n'est pas ce que nous pensons. »

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