USA/Russie et autres belligérants  : les Aliens ont la capacité de désactiver vos bombes atomiques - exemple de l'affaire de la base militaire de MALMSTROM - 19

Le 16 Mars 1967, Robert Salas est officier de tir sur un des sites de Malmstrom AFB où il contrôle dix silos de Minuteman.

Son adjoint dans la capsule, le lieutenant Fred Meiwald dort lorsque Salas reçoit un appel d'un garde qui lui dit qu'un objet lumineux se déplace dans le ciel et qu'il ne s'agit pas d'un avion.

Salas, septique par rapport à ce sujet, ne peut quitter son poste, mais demande quand même au gardien de le rappeler si la situation venait à évoluer.

Quelques instants plus tard, le garde, angoissé rappel Salas pour lui dire que l'Ovni est en vol stationnaire près du portail de sécurité.

Salas réveille donc Meiwald et c'est alors que des voyants rouges s'allument sur la console de surveillance et où on pouvait lire " No Go ". Ce qui veut dire qu'un Minuteman est désactivé. Meiwald voit ensuite plusieurs voyants s'allumer.

En quelques secondes, au moins huit missiles tombent en panne. Ce qui est très rare, voire même impossible.

Meiwald qui alerte immédiatement le poste de commandement demande l'envoi d'une équipe d'intervention. Une fois sur les lieux ces derniers voient aussi l'objet. C'est alors que leur radio cesse d'émettre. Pendant ce temps Meiwald et Salas qui cherchent à connaître les origines de la panne détectent un problème au niveau du système de guidage et de contrôle.

La même chose se produit sur les missiles d'un autre groupe de silos (officiers de tir le capitaine Eric Carlson et le lieutenant Walt Figel).

Il aura fallu attendre environ 24h pour que les missiles redeviennent opérationnels.

Salas et Klotz évoque ce cas dans leur ouvrage et cite d'autres témoignages comme ceux d'Arneson, Ortyl ou Morales.

 

Les survols de silos de missiles intercontinentaux  et de bases de bombardiers B-52 reprennent huit ans et demi plus tard dès octobre 1975


 

 

Article publié sur le site Ovnis-Direct 

 

 

Les extraterrestres luttent-ils contre l'arme nucléaire ?

(28 Septembre 2010)

 

États-Unis -

 

Des anciens militaires de l'US Air Force et de la Royal Air Force affirmeent que, depuis plus de 60 ans, des Ovnis survolent des bases militaires pour saboter les missiles nucléaires.

 

Lundi, lors d'une conférence de presse à Washington, sept anciens militaires de l'US Air Force et de la Royal Air Force ont affirmé que des Ovnis avaient stationné au-dessus de bases militaires. Ces survols ont été aperçus durant les années 60, 70 et 80, mais existeraient depuis les années 40. Présent à cette conférence, le capitaine Robert Salas, officier de lancement sur la base de Malstrom, aux Etats-Unis, en 1967, prétend notamment avoir assisté en direct à un de ces survols : "Un objet est arrivé et s'est mis à planer directement au-dessus du site."

 

Il explique ainsi qu'après ce passage d'Ovni, 10 des missiles nucléaires, stockés sur la base, étaient devenus inutilisables. Pour Salas, ce survol d'Ovni n'avait qu'un intérêt : lutter contre la course à l'armement entre les États-Unis et l'URSS lors de la Guerre Froide : "Je crois que cette planète a été visitée par des êtres d'un autre monde qui, pour une raison quelconque, se sont intéressés à la course à l'armement nucléaire qui a débuté à la fin de la Seconde Guerre mondiale."

 

Missiles en panne (1967)

 

En 1966, on note un incident en rapport avec les missiles intercontinentaux, en l'occurrence dans ce cas les " Minuteman " (missile balistique intercontinental (ICBM) américain à ogive nucléaire lancé depuis le sol.)

Ils sont prêts à l'emploi dans les silos souterrains de béton et d'acier situés dans de grandes bases du Nord des États-Unis, le long de la frontière canadienne.

 

Les bases de Minot AFB (Dakota du Nord) et de Malmstrom AFB (Montana) vont être les théâtres d'événements troublants, une première fois en août 1966, puis à plusieurs reprises l'année suivante.

Il s'agit à l'origine de missiles extrêmement fiables qui ont besoin de très peu d'entretiens et qui tombent très rarement en pannes.

 

1er cas

 

Le premier cas qui se déroula dans la nuit du 24 au 25 aout 1966 sur la base de Minot a été évoqué par Allen Hynek dès le 17 décembre dans un article du " Saturday Evening Post " soit le Cas N°9 du rapport Concon que le comité a bizarrement très peu détaillé.

 

Des gardes au sol signalèrent dans la nuit la présence dans le ciel d'un objet lumineux de diverses couleurs. Lorsque le radar de la base détecte l'Ovni, il se trouve à une altitude avoisinant les 30 000 mètres. Soudain, l'objet plonge vers le sol avant de remonter.

La qualité des transmissions devient tellement mauvaise que le missile n'est plus opérationnel d'après l'équipage.

 

C'est alors que l'avion de ravitaillement en vol " KC-135 " qui rôdait dans les parages est envoyé en reconnaissance. Mais ils ne détectent même pas l'objet sur leur radar.

Deux F-106, intercepteurs de hautes performances, finissent par décoller de la base de Grand Forks avant d'arriver dans la zone où ils ne captent à leur tour pas le moindre écho radar de l'Ovni.

Un témoin au sol a raconté qu'à chaque fois que les avions  F-106 passaient sur la zone, l'objet éteignait ses lumières et changeait soudain d'altitude.

Pendant ce temps, dix Minuteman étaient hors d'usage et les communications défaillantes.

Tout redevint normal qu'au moment où l'Ovni disparût totalement.

 

Voici ce que dit le Rapport Condon à ce sujet : " Une situation de cette sorte est difficile à évaluer, à cause du nombre de personnes impliquées et d'objets observés, et du caractère vague et inconsistant de nombreux détails ". Ils concluent à une coïncidence de circonstances banales et à une confusion avec l'étoile Capella.

 

2eme cas

 

Une autre apparition d'Ovni eut lieu dans les mêmes circonstances le 14 Septembre. Mais on a très peu d'indications à ce sujet.

 

3eme cas

 

Cela se situé dans le Montana à quelques km au nord de Lewistown au début de l'année 1967.

L'histoire est racontée par un colonel aux auteurs de " Faded Giant ".

Deux membres d'une patrouille de sécurité observent en pleine nuit un objet de grandes tailles en vol stationnaire au-dessus d'un silo, à 100 m d'eux.

Crawford alerte par téléphone le poste de commandement où l'officier de service lui répond : "  On ne s'occupe pas de ces trucs là… Ce refus d'affronter la situation peut paraître totalement invraisemblable, mais si l'on se penche sur ce que nous disent Salas, Klotz, Fowler et d'autres, concernant l'attitude de la hiérarchie à propos des incidents de ce genre, elle s'inscrit parfaitement dans ce qui semble avoir été une politique concertée : on ne peut rien faire contre ces choses-là, et surtout, on n'en parle pas. Il n'est surtout pas question que l'information s'ébruite… "

 

4eme cas

 

Le 16 Mars 1967, Robert Salas est officier de tir sur un des sites de Malmstrom AFB où il contrôle dix silos de Minuteman.

Son adjoint dans la capsule, le lieutenant Fred Meiwald dort lorsque Salas reçoit un appel d'un garde qui lui dit qu'un objet lumineux se déplace dans le ciel et qu'il ne s'agit pas d'un avion.

Salas, septique par rapport à ce sujet, ne peut quitter son poste, mais demande quand même au gardien de le rappeler si la situation venait à évoluer.

Quelques instants plus tard, le garde, angoissé rappel Salas pour lui dire que l'Ovni est en vol stationnaire près du portail de sécurité.

Salas réveille donc Meiwald et c'est alors que des voyants rouges s'allument sur la console de surveillance et où on pouvait lire " No Go ". Ce qui veut dire qu'un Minuteman est désactivé. Meiwald voit ensuite plusieurs voyants s'allumer.

En quelques secondes, au moins huit missiles tombent en panne. Ce qui est très rare, voire même impossible.

Meiwald qui alerte immédiatement le poste de commandement demande l'envoi d'une équipe d'intervention. Une fois sur les lieux ces derniers voient aussi l'objet. C'est alors que leur radio cesse d'émettre. Pendant ce temps Meiwald et Salas qui cherchent à connaître les origines de la panne détectent un problème au niveau du système de guidage et de contrôle.

La même chose se produit sur les missiles d'un autre groupe de silos (officiers de tir le capitaine Eric Carlson et le lieutenant Walt Figel).

Il aura fallu attendre environ 24h pour que les missiles redeviennent opérationnels.

Salas et Klotz évoque ce cas dans leur ouvrage et cite d'autres témoignages comme ceux d'Arneson, Ortyl ou Morales.

 

Les survols de silos de missiles intercontinentaux  et de bases de bombardiers B-52 reprennent huit ans et demi plus tard dès octobre 1975.

 

 

L'Incident d'Anderson Peak (Automne 1964)

 

En Septembre 1964 (le 2, 3 ou 15), lors d'un lancement d'une fusée Atlas F ou D, porteuse d'une tête nucléaire factice et tirée dans le cadre du programme Nike Zeus pour la mise au point d'un missile anti missile, un Ovni en forme de soucoupe entra en action par la gauche, avant de se rapprocher de la fusée qui se déplaçait à 29 000 km/h vers sa cible située dans le Pacifique.

L'Ovni émit quatre éclairs bien distincts, dont la source semblait se situer à mi-hauteur du dôme, avant de disparaître.

 

Ces faits auraient été filmés par Robert Jacobs, alors officier de carrière dans l'USAF et spécialiste de la photo et du cinéma, qui appartenait au 1369e escadron de photographie aérienne, basé à Vandenberg AFB, en Californie.

L'affaire avait été révélée dans le numéro 249 du très sérieux " Mufon UFO Journal ".

 

Le lendemain matin, après avoir filmé cet incident, le lieutenant Jacobs fut convoqué par son supérieur, le commandant Mansmann.

On lui fit projeter le film ainsi qu'à d'autres personnes, et on lui suggéra de ne jamais rien raconter.

A noter que c'est lors de la projection que Jacobs se rendit compte de l'incident, car durant le tournage il était trop occupé avec son équipe à certaines manœuvres.

Il précise de plus qu'en 1964, il n'existait à sa connaissance aucun appareillage permettant de pointer un rayon laser sur une fusée se déplaçant à 29000 km/h..

 

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