Les petites momies du Pérou - 08 décembre 2016 - 08 décembre 2016

D'après le peu d'informations qui commencent seulement à "transpirer", la découverte initiale remonte à janvier 2016, dans le désert du nord chilien d'Atacama, proche de la frontière péruvienne et chilienne donc, par une personne se déplaçant dans la zone désertique de Tacna, près de Arica (notez que Tacna est au Pérou et Arica au Chili, et que le désert d'Atacama commence bien au niveau de la frontière Pérou/Chili...).

 

Si on suit le premier article au sujet de cette histoire, paru dans le magazine péruvien el Matutino, son site internet (qui a eu une mise à jour depuis) et aussi une petite émission télévisée de CTC HD, la première découverte a été faite "presque au ras du sol" et concerne la plus petite momie trouvée (car il y a eu d'autres découvertes par la suite).

 

Selon le propriétaire actuel, Paul, qui est une personne connue localement pour s’intéresser aux OVNI et à la vie extraterrestre, le découvreur l'a donc contacté et lui a donné cette étrange petite momie. 

 

Paul le décrit ainsi :

" il a la morphologie humaine, n'a que trois doigts à chaque main et pied, le corps ressemble à un être humain avec des jambes, des bras et une tête, mais cette dernière est très allongée et effilée (conique) d'une façon qui n'avait jamais été vue (et les cranes allongés sont pourtant communs à cet endroit), la taille est très petite, 21 centimètres, mais en 2003, il  en a été révélé un au Chili qui mesurait 16 centimètres, mais d'une morphologie différente ".

 

Une autre personnalité, française  dont j'ai déjà également parlé plusieurs fois, un vrai scientifique car il s'agit de l'archéologue expérimenté, historien/géographe diplômé et explorateur Thierry Jamin a été également contacté afin que les momies découvertes soient sérieusement analysées.

 

Il semble donc que fin octobre ou début novembre, des échantillons aient été envoyés dans 3 laboratoires différents (dont un français) et que l'enquête continue.

 

Les choses s'accélèrent ensuite car il semble qu'un chercheur américain impliqué localement dans le tourisme comme voyagiste et organisateur de circuits touristiques au Pérou, Bolivie et Chili, mais également connu comme chercheur archéologique et directeur du musée d'Histoire de Paracas, ait été contacté ou mis au courant de l'affaire : il s'agit de Brien Foester, qui a déjà étudié et fait analyser justement une mystérieuse petite momie trouvée également dans la région d'Atacama.

 

Ces analyses (et aussi celles de plusieurs crânes allongés) n'ont pas démontré l'existence d'extra-terrestre, mais tout de même un grand intérêt archéologique car des preuves supplémentaires de migrations très anciennes en provenance de divers points de l'Europe (y compris centrale) et de l'Asie du Sud-est, en plus de la Sibérie.

Les nouvelles infos données par Thierry Jamin lors de cette interview 

 

- La découverte a été faite par des pilleurs de reliques pré-colombiennes, par hasard et en plein désert du sud péruvien.

 

Un petit monticule à peine visible sous le sable et les pierres a révélé une porte en pierre, qui a été forcée par les pilleurs. Un escalier menant à une grande salle contenant un sarcophage contenant lui-même des artefacts de pierre et de métal, puis à un cerveau d'apparence humaine, parfaitement conservé dans du coton.

Cette première salle est grande comme un salon et est comme une grotte, mais comporte des pierres taillées et des murs.

En continuant leur fouille, les pilleurs ont trouvé des galeries sur plusieurs étages, puis une autre salle avec un grand sarcophage, qui contenait des petites momies (une vingtaine) comme celles montrées, de différentes tailles, des têtes coupées, le tout dans une sorte de poudre ou plâtre.

Nous avons affaire à un véritable temple enfoui.

Ce qui est aussi extraordinaire, c'est que ces salles contiennent des reliques protégées et enveloppées par du coton, mais aussi, dans les sarcophages, par une sorte de poudre, mais aussi que des animaux momifiés font partie des reliques.

Le SARCOPHAGE

 

Des animaux inconnus mais de petit taille et faisant plutôt partie de nos légendes, anciens textes religieux et mythes

ancestraux :

des animaux avec deux bras et deux jambes mais aussi des ailes (anges, démons, tayir,...), mais aussi avec une unique corne frontale (licornes, démons,...) par exemple...

 

Parmi les artefacts trouvés :

des organes connus (cerveaux, coeurs) ou inconnus, protégés par du coton ou de la poudre et encore souples au toucher, des têtes coupées (comme celle photographiée ci-dessus) et des mains à trois doigts coupées, le tout également protégées du temps.

 

Il est à noter que cette sorte de coton est aussi apparente dans les momies, et que des traces de sang ont également été relevées sur ce coton (analysable donc). Il y aurait aussi des artefacts "techniques", comme des implants et des plaques de métal (celui-ci étant décrit comme un alliage argenté), avec notamment des mains comportant des sortes de bagues-implants entourant un os ou un tendon et aussi des plaques métalliques sur les paumes ou au dos des mains, comme un appareillage mystérieux...

Des objets métalliques à mémoire de forme ont également été trouvés !

 

 Seul 10% de cet endroit a été fouillé par les pilleurs à priori. On note aussi que plusieurs reliques ont déjà été vendues, (cerveaux, cœurs, artefacts métalliques) mais que le nom de ces acheteurs est maintenant connu et que les artefacts sont récupérables.

 

L'endroit se trouve à quelques kilomètres d'un lieu très connu pour ses reliques anciennes (Paracas, Nazca...) et significatives.

 

Thierry Jamin, étant donné la zone, pense qu'une datation de 2000 ans (Nazca), voir plus ancien, est possible.

Les précautions de protections trouvées, et la pratique des têtes coupées, font penser à un leg global pour la postérité et les civilisations futures de la part des Nazcans...

 

Pour en finir avec le lieu des découvertes, les pilleurs ont recouvert l'entrée d'une bâche puis enterré le tout, aplani les lieux : l'endroit est introuvable et invisible sauf par quelqu'un qui sait...

- Comme le dit Thierry Jamin dans l'interview, il n'a été mis au courant de cette affaire que récemment, en novembre (alors que la découverte date de janvier 2016), tout à fait par hasard et via un ami journaliste qui lui a présenté le propriétaire de quelques artefacts (les 3 montrés dans ces photos avec la main coupée).

 

Cette découverte est bien sûr en train d'être découverte au Pérou (les télévisions commencent à s'y intéresser fortement) et dans le monde entier.

 

Une équipe de télévision française était à Cuzco pour un autre sujet, mais elle s'y est bien sûr intéressée... et elle est repartie du Pérou avec des images et des échantillons à faire analyser : un grand laboratoire parisien est en train d'analyser ces échantillons donc, avec des premiers résultats attendus sous trois semaines...

 

En attendant, les preuves sont tout de même très solides avec ces 3 différentes reliques examinées par des spécialistes (avec leurs connaissances des momies...), mais pour l'histoire en elle-même et le lieu, tout repose sur les pilleurs de tombes et le propriétaire de quelques reliques (qui est un connaisseur en matière d'OVNI et de théories extra-terrestres ou de mondes parallèles...).

 

Brien Foester a été appelé car il a une expérience de biologiste et il était sur place en temps que directeur du musée d'Histoire de Paracas...

- La petite momie trouvée n'est pas une fabrication artificielle (style poupée faite d'os, de peau et de tissus), mais bien un être vivant à l'origine, momifié en apparence naturellement (desséché) mais ayant tout de même subi une intervention car du coton a été trouvé au niveau des membres inférieurs (style de momification inconnu).

 

L'être semble avoir des petits organes sexuels, peut-être même un nombril et un anus, ne mesure pas plus de 21 centimètres mais ne ressemble pas à un fœtus ou même bébé (une technique de réduction comme celle employée par les Jivaros (Shuars) pour les têtes coupées est-elle envisageable ?).

 

On peut envisager aussi une autre hypothèse (déjà amenée dans le monde de la science-fiction via les voyages spatiaux de longue durée) : le nanisme dû à l'environnement (un peu comme les éléphants-nains découverts sur des îles) :

 

des êtres obligés de vivre pendant plusieurs générations dans des vaisseaux spatiaux (environnement très limité donc) lors de voyages durant des millénaires (théorie connue des vaisseaux-mondes), ne seraient-ils pas atteints de nanisme avec le temps?

 

Une autre constatation concernant ces petits êtres aux grands crânes, avec une toute petite bouche et avec des yeux "d'amphibiens, de reptiles ou même d'insectes" et de leur peau grise, en dehors de leur correspondance avec les, ou certains, "modernes petits gris" cités lors d'enlèvements par des OVNIs, est aussi une grande similitude avec au moins deux très anciennes légendes de l'Humanité :

 

celle connue en Amérique Latine des "hommes-fourmis" et celle, mondiale, des "reptiliens" et du culte des hommes-serpents, voir de tout ce qui rattache (en "bon et en mal" en lien avec le serpent dans la mythologie...).

Les dernières nouvelles de T. Jamin sur Facebook du 2 décembre 2016

 

Voir la vidéo sur sa page Facebook - Son site : granpaititi 


Chers Amis Internautes,

 

Voici les dernières nouvelles concernant cette incroyable affaire de « créatures momifiées », découvertes dans le désert péruvien en janvier 2016.

 

C’est aussi la dernière fois que nous publierons des informations concernant cette histoire, jusqu’à l’obtention des analyses ADN et C14. S’il s’agit d’une imposture, nous la dénoncerons avec la plus grande vigueur. Cependant, en l’état actuel de ce que nous savons, rien ne nous permet d’affirmer qu’il s’agisse d’un « fake ».

Comme nous le précisons à la fin de cette vidéo, nous avons pris la décision de ne plus communiquer sur cette histoire à l’avenir, pour éviter toute confusion sur mes activités de recherches et celles de mon groupe. L’Institut Inkari-Cusco est une Organisation Non Gouvernementale consacrée à la recherche archéologique, et rien que cela.

 

À Très Bientôt Chers Amis… sur les traces de Païtiti !

 

Bien Amicalement À Vous, T. Jamin 

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