France : Pierre Dauchin publie un livre sur son observation ovnis à Liancourt dans l'Oise le 18 avril 2015

 

Ci-dessous l'article publié par le journal Le Parisien, le 29 mai 2017. La photo du journal Le Parisien aussi ci-dessus. 

 


 

Pierre Dauchin publie un livre dans lequel il raconte les jours qui ont suivi son témoignage après avoir observé des ovnis.

 

Il a fêté il y a peu le deuxième anniversaire de cette soirée peu ordinaire.

 

Le 18 avril 2015, Pierre Dauchin, ingénieur et journaliste retraité habitant à Liancourt, observe deux lumières immobiles dans le ciel, à quelques centaines de mètres de lui.

 

Aujourd’hui, il publie un livre pour raconter les jours qui ont suivi son observation.

Intitulé «OVNIS, parcours d’un témoin de l’impossible», son ouvrage est aussi une manière de revenir «sur les nombreuses bêtises qui se sont dites», selon lui.

Une sorte de porte-parole pour les personnes qui assurent avoir vu des objets volants non identifiés.

 

Le tumulte médiatique, la réaction de ses proches et des gendarmes, les hypothèses sur les explications…

 

L’auteur de 72 ans retrace les suites de son observation.

 

«Je suis vieux, je ne crains plus rien, ma carrière est derrière moi, mais c’est moins simple pour d’autres», confie-il.

 

Il aura fallu trois mois avant qu’il ne retrouve la tranquillité, avant que ses amis et les Liancourtois arrêtent de lui en parler.

 

«Les gens m’arrêtaient dans la rue, certains m’appelaient l’extraterrestre, d’autres m’ont pris pour un fou, s’amuse-t-il aujourd’hui. Lors de discussions en tête à tête, mes amis ne me jugeaient pas, ils m’écoutaient.»

 

Il a toutefois été déçu par le comportement de certains d’entre eux.

 

De son audition chez les gendarmes, il se souvient de militaires «sceptiques mais respectueux». «C’est drôle à vivre», reconnaît-il avec le recul.

 

Dans ce petit témoignage de 90 pages, l’ancien ingénieur dans le bâtiment qui vit sur les hauteurs de Liancourt se souvient toutefois d’une drôle d’attitude des gendarmes.

 

«Ils sont passés devant chez moi pour voir comment je vivais. Eux ont prétexté venir chercher mon numéro de téléphone», rigole-t-il.

 

Les jumelles et l’appareil photo, qu’il n’avait pas à l’époque pour immortaliser l’instant, sont prêts. Au cas où. Il a même installé une glace dans sa chambre pour voir le ciel depuis son lit.

 

 

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