Des nanospirales métalliques vieilles de 20 000 ans ? 06 Juin 2017

 

Les minuscules spirales métalliques déterrées en Russie provoquent toujours de nombreux débats houleux sur Internet.

Nombre d’entre elles défient la technologie des métaux d’aujourd’hui.

 

Ces pièces métalliques minuscules ont été trouvées à une profondeur de 3 à 12 mètres et sont âgées entre 20 000 à 300 000 ans.

 

Elles ont été découvertes lors d’études géologiques d’extraction d’or, dans les montagnes de l’Oural, près des rivières Kozhim, Narada et Balbanyu en 1991.

 

Ces objets signifieraient-ils qu’une culture préhistorique sophistiquée dominait déjà la nanotechnologie ?

 

En fait, ces spirales n’ont pu être créées que par des mains humaines.

 

 

Ces trouvailles sont faites de tungstène et de molybdène

 

Parmi les trouvailles, on trouve des morceaux de bobines, des spirales, des tiges et autres éléments non identifiables.

 

Selon une analyse de l’Académie russe des sciences à Syktyvkar, les plus gros éléments sont en cuivre, les plus petits en tungstène ou molybdène.

 

 

La taille des pièces varie entre trois centimètres et trois millièmes de millimètre (de la taille de bactéries).

 

Elles ressemblent étonnamment à des éléments de constructions miniatures comme on en voit dans la nanotechnologie.

 

Des vestiges de missiles russes ?

 

L’hypothèse évidente que ces petites structures seraient des restes de tests de missiles, à proximité du site de Plesetsk, a également été discutée.

Un Institut de Moscou a alors communiqué que ces parties métalliques étaient trop vieilles pour correspondre aux productions modernes.

Par ailleurs, EW Matvejeva, du Département central de recherche scientifique de géologie et du développement de métaux précieux à Moscou, a écrit en 1996 que ces éléments devaient, malgré leur âge considérable, avoir une origine technologique.

 

Les pièces ont été trouvées dans les couches sédimentaires profondes de trois à douze mètres, dont l’âge géologique a été estimé entre 20 000 et 318 000 ans.

 

Comment les hommes auraient-ils pu fabriquer ces petits composants, dans un passé si lointain et à quoi servaient-ils ?

 

 

Pour certains, ces artefacts sont la preuve que la race humaine dans le Pléistocène (l’Âge de Glace) a connu une période technologiquement avancée.

 

Pour d’autres, ils pourraient être l’œuvre des extraterrestres.

 

Un représentant connu de cette thèse est le Suisse, Erich von Däniken , qui a exposé quelques-uns des ooparts (« objet hors contexte ») au parc de Jungfrau à Berne.

 

Ces artefacts russes ont été étudiés par des instituts à Helsinki, Saint-Pétersbourg et Moscou.

 

Les recherches ont été interrompues en 1999 avec la mort de Johannes Fiebag, un expert dans ce domaine.

 

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