France : Des OVNI lumineux encore observés à Valensole ? 18 juillet 2017

Lieu : Valensole, France

Date : 05 juillet 2017

Source : MUFON

 

Le 5 juillet 2017, une multitude d'OVNI lumineux sont apparus dans le ciel au-dessus de la ville de Valensole, au sud-est de la France.

 

L'un des témoins de ce phénomène a réussi à photographier ces lumières non identifiées.

 

Récit des événements :

 

« Je fais la déclaration pour les témoins.

 

Le 05/07/2017 à 22h Sébastien est sorti dans son jardin, il a aperçu des lumières dans le ciel. Direction SO 234° .

 

3 sphères alignées qui semblaient dessiner un cigare en position horizontale. Cet ensemble s'est redressé verticalement comme pour observer le sol ou un cabanon situé dans les environs.

Le témoin déclare que c'était comme des petits soleils.

Il a pris des photos

 

Sébastien a appelé son ami qui à vu les lumières et est parti prévenir ses voisines.

 

Ces voisines sont arrivées vers 10h20, elles ont vu les lumières réapparaître en venant de l'ouest vers 22h30 comme si elle sortaient de l'horizon et se déplaçaient dans le ciel, pour elle les sphères étaient indépendantes.

 

Il y a eu aussi la présence de petite boules rouge et bleu.

 

Les témoins ont entendu un hélicoptère pendant cette observation. »


 

 

Bref rappel historique sur les extraterrestres du plateau de Valensole et les lavandins 

 

 

 

Selon les sources internet au sujet de l’affaire des extra-terrestres de Valensole ( http://www.forum-ovni-ufologie.com/t8168-1965-la-rencontre-de-maurice-masse-a-valensole#ixzz32Li7eUKS ) Il s’est avéré qu’un témoignage de dernière minute avait été caché au grand public…

 

 

Provencedoc.com a enquêté auprès de la famille d’Augustin Roche, dont le témoignage aurait pu tout faire basculer.

 

 

 

Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole, Alpes de Haute-Provence.

 

Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu’un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes.

 

Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées….

 

Au petit matin du 1 juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 05:00. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 05:45, s’apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne.

 

De là où il se trouve, il ne peut en localiser l’origine mais, pensant à un hélicoptère militaire, se dirige vers l’origine du bruit.

 

Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu’un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m.

 

Cependant sa forme rappelle plutôt celle d’un ballon de rugby.

 

Masse s’approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la 

 « machine ».

 

L’objet, du volume d’une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate.

 

Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s’enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée.

 

L’objet n’est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis…

 

Le capitaine  Valnet, commandant de la compagnie de gendarmerie des Alpes de Haute Provence contrôle le déroulement de l’enquête des gendarmes Azias et Santoni.

 

Ceux-ci s’attellent à leur tâche dès le lendemain, recueillant un 1er témoignage de Masse, d’abord réticent par peur du ridicule.

 

 

Mais ce que la presse et les médias ne disent pas, c’est que la gendarmerie a recueilli le témoignage d’un autre agriculteur Augustin Roche, âgé de 67 ans, et qui semble confirmer les dires de Masse.

 

 

 

D’après Roche, la soi-disant soucoupe volante qui a atterri dans le champ de lavande était peuplée par un groupe d’extra-terrestres qui parlait un dialecte incompréhensible fait de sons bizarres, de sifflements et de gestes de la main.

 

 

Ils apparaissaient comme portant une sorte d’uniforme de cosmonaute, mais  avec une tête beaucoup plus grosse que celle des humains.

 

D’après Augustin Roche, ils semblaient venir sur terre avec un plan bien précis, et nous citons : « observer les habitants de la région et comprendre leurs us et coutumes».

 

 

Alerté par ce témoignage surprise, le capitaine Valnet rencontra Roche en personne, fermement décidé à ne rien laissé au hasard, l’affaire ayant fait couler beaucoup d’encre cet été 1965.

 

 

L’officier se rendit donc au domicile de Roche environ une semaine après l’événement et lui posa une certains nombre de questions, toujours liées à la présence d’extra-terrestre sur le plateau, comme on le dit au pays.

 

Rendu perplexe par les affirmations d’Augustin Roche sur la vision de cette soucoupe volante et de l’étrange peuplade qui l’habitait, le capitaine Valnet posa une ultime question pour étoffer son rapport :

 

« Monsieur Roche, comment pouvez-vous être si sûr qu’il s’agit d’extra-terrestres ? »

Augustin, la voix ferme et enracinée dans ses convictions répondit :

« capitaine, venez voir ma grange… ils m’ont piqué ma scie, mon marteau tout neuf, mon cruciforme, ma clef de 12 et mon opinel acheté au marché. Putain, y a que des extra-terrestres qui pouvaient savoir où je les avais planqués ! »

 

 

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