Des humanoïdes volants - 28 Août 2017

 

 Des dizaines de témoins ont affirmé avoir vu une silhouette d’homme survolant le Sequoia Park, près de Los Angles.

 

Trois personnes, situées à des endroits différents ont filmé cette scène insolite.

 

Sur internet la vidéo a intrigué et éveillé les fantasmes des fans d’ufologie qui affirment qu’il s’agit d’un humanoïde.

 

Sur les images, on y voit un homme vêtu d’une combinaison blanche vraisemblablement une combinaison spatiale, tenir un objet dans sa main qui disparaît soudainement.

 

En effet, ces vidéos ont été tournées à l’issue d’un rassemblement de fans d‘ufologie (personnes fascinés et traquant les ovnis)

 


 

Ovni et humanoïde aperçus par des villageois en Inde

 

 

Des travailleuses agricoles affirment avoir observé un ovni et une "silhouette humanoïde" en Inde.

 

Une silhouette non identifiée a été repérée par les travailleuses agricoles dans le village de Kanagal (village de Nalgonda dans le district de Telangana), quartier Mysuru, vers environ 14 heures le jeudi 1er octobre, alors qu'elles travaillaient dans les champs.

 

Les témoins ont rapporté que la silhouette se trouvait à bord d'un vaisseau avant de descendre de l’engin et émergée d’une sorte de nuage rouge qui se dirigeait vers eux.Il aurait décollé quelques secondes après l'atterrissage et provoqué des éclairs et étincelles autour.

 

 

Nigel Watson, auteur du Manuel UFO Investigations, a déclaré : « Ces types d’observations ne sont pas rares et ont bien eu lieu avant que nous nous intéressions à ces phénomènes ».

 

Il ajoute :

« Ce que les villageois ont vu est difficile à expliquer, mais il y a certainement eu un impact sur eux. Il s’agissait en tout cas de quelque chose d'inhabituel ».

 

Depuis l'observation, les personnes ayant un intérêt pour les aliens, ont fait le voyage à Kenagal afin de parler aux femmes concernées.Manjunatha, un passionné, a déclaré :

 

« Les femmes affirment que le vaisseau spatial est descendu à près de 500 pieds du sol et qu’elles pouvaient repérer des personnages de type humanoïdes. Ces gens n’ont même pas connaissance de récits de ce type et impliquant de soi-disant aliens. Ils n’ont jamais entendu parler de telles choses. Donc, nous supposons qu'elles ne mentent pas ».

 

« Les femmes auraient-elles confondu un objet volant avec un vaisseau spatial. Sachant qu’il s’agissait d’un journée nuageuse », a-t-il ajouté.

 

Les passionnés ont l’intention de porter la question à l'attention du gouvernement.

 

 

Ce cas rappelle brièvement l'affaire de Broad Haven, présentée récemment.

 

Cet extraordinaire incident a eu lieu près d'une école primaire le 4 février 1977, où 14 élèves ont été témoins d’un atterrissage d'OVNI.

 

Un engin en forme de cigare jaune aurait atterri dans un champ, à proximité de l'école primaire de Broadhaven. Des enfants jouaient au football lorsqu’ils virent l'engin ainsi que ce qu’ils décrivirent comme une « créature d'argent ».

 

Ces faits rappellent à leur tour étrangement ceux de Harare au Zimbabwe le 16 septembre 1994.

 

Alors que les professeurs sont en réunion, dans une école post coloniale dotée d'une certaine discipline, et qu'une soixantaine d'enfants âgées d'environ huit à douze ans jouent dans la cour d'école pendant leur pose du matin, ces derniers aperçoivent soudain une soucoupe volante se poser accompagnée d'un bruit inhabituel et deux êtres étranges en sortir.

 

 


 

L'affaire de Broad Haven 

 

Le ministère de la Défense a été ouvertement accusé d'avoir couvert une enquête top secrète concernant l’une des plus célèbres observations d’OVNI de l’histoire du Royaume-Uni.

 

Dans les années 1970, un certain nombre d'objets mystérieux ont été repérés au-dessus d'une zone qui est depuis connu sous le nom de « Broad Haven Triangle » et située dans le comté de Pembroke sur la côte Ouest du Pays-de-Galles.

 

Un jour de 1977, 14 élèves d’une école primaire locale virent, de leurs propres yeux, un impressionnant OVNI atterrir sur le sol. L’ensemble des témoins dessinèrent ce qu’ils avaient observé et chacun des dessins recueillis possédaient des similitudes frappantes attestant de la véracité de cette affaire extraordinaire.

 

Un parlementaire de la Chambre des Lords a demandé au ministère de la Défense britannique d’avouer publiquement ce qu’il sait sur ces étranges évènements.

 

Guy Vaughan, le Baron de Black of Brentwood, a déclaré :

 

« Un certain nombre de fichiers du ministère de la Défense ont récemment été publiés. Ils laissent peu de doute sur le fait qu’un petit nombre d’observations de phénomènes aériens - en particulier ceux rapportés par le personnel militaire, les pilotes et les contrôleurs de la circulation aérienne - demeurent inexpliqués et non identifiés. »

 

« Il doit y avoir une enquête plus approfondie sur ces questions dans l'espoir d'apprendre quelque chose de nouveau. »

 

L’homme politique porte un intérêt de longue date sur les OVNI. Mais sa passion sur cette vieille affaire a été déclenchée par de nouvelles recherches effectuées sur les observations de Broad Haven.

 

Neil Spring, un romancier, a enquêté sur plusieurs cas pour son prochain livre intitulé « The Watchers ».

 

Il a ainsi déterré un document qui suggère qu’une enquête secrète OVNI a été faite dans la région, sans que les politiciens ne soient au courant.

 

 

« Etant sceptique, je suis allé Broad Haven, et j’y suis reparti convaincu que certains de ses habitants en savaient beaucoup plus sur les événements mystérieux de 1977 que ce qu'ils sont disposés à révéler. »

 

Le document déclassifié est une lettre du chef de la police de la Royal Air Force, une aile du ministère de la Défense, qui fonctionne comme une sorte de force de police interne au sein de la RAF.  Dans cette lettre, un fonctionnaire a suggéré qu’une « enquête discrète » était la meilleure façon de procéder dans les cas d’observations d’OVNI.

 

Nick Pope, qui a travaillé comme enquêteur OVNI pour le ministère de la défense, a déclaré :

 

« Ce document est une bombe. Il montre que le ministère de la défense avait demandé à la police de la RAF de mener une enquête secrète sur ces événements mystérieux, tandis que le gouvernement disait au Parlement, aux médias et au grand public que ce sujet était sans importance pour la défense nationale. »

 

Les observations de Broad Haven ont eu lieu près d'une base militaire, conduisant certains observateurs à suggérer que le vaisseau spatial était un jet de l’armée et que les extraterrestres étaient des soldats portant des tenues ignifugées.

 


 

Politique du secret

 

Neil Spring, un romancier, a enquêté sur plusieurs des cas, dans le cadre de ses recherches autour du livre « The Watchers », paru le 24 septembre 2015. 

 

Il a même retrouvé un document qui évoque l’existence d’une investigation secrète sur le sujet des ovnis dans la région.

 

Il a déclaré :

« Je suis allé à Broad Haven en tant que sceptique, et suis reparti convaincu que certains de ses habitants savaient beaucoup plus sur les événements mystérieux de 1977 que ce qu'ils étaient disposés à révéler ».

 

Le document déclassifié est une lettre du chef de la zone S4, une aile du ministère de la Défense, le Service Provost & Security, qui fonctionne comme une sorte de force de police interne au sein de la RAF.Dans ce mémo, un fonctionnaire a exprimé sa stupeur concernant les observations d’ovnis décrites par les témoins et suggéré une "enquête discrète".

 

Nick Pope, qui a travaillé comme enquêteur OVNI pour le ministère de la défense, a déclaré :

 

« Ce document détonant montre comment le ministère a demandé à la police de la RAF de mener une enquête secrète sur ces mystérieux événements, tandis qu’il a été dit au Parlement, aux médias et au public que le sujet était sans importance ».

 

Les observations de Broad Haven ont eu lieu près d'une base militaire, conduisant certains observateurs à suggérer une hypothèse militaire. Le 17 février 1977, le même engin observé par les enfants aurait été vu par certains enseignants de l'école dont l'un aurait vu une créature. Le propriétaire du « Haven Fort Hôtel » à Little Haven prétend avoir vu une « soucoupe à l'envers » le 19 avril 1977 sur un champ voisin avec deux créatures humanoïdes.

 

 


 

Similarité avec le cas du Zimbabwe

 

Les faits cités précédemment rappellent étrangement ceux de Harare au Zimbabwe le 16 septembre 1994.

 

Alors que les professeurs étaient en réunion dans une école post coloniale et qu'une soixantaine d'enfants âgées d'environ huit à douze ans jouaient dans la cour d'école pendant leur pose du matin, ces derniers ont soudainement aperçu une soucoupe volante se poser, accompagnée d'un bruit inhabituel. C’est alors que deux êtres étranges en sortir.

 

Une créature a été observée au-dessus du vaisseau et une autre se diriger vers les enfants. Les créatures furent décrites comme ayant une grosse tête, de gros yeux noirs ainsi qu'une combinaison noire très serrée.

 

La soixantaine d'élèves présents ce jour-là dans la cour furent terrifiés et pensaient être capturés. Il semble y avoir eu une communication télépathique entre les enfants et la créature.

 

Des enfants qui prétendirent plus tard s'être trouvés face à l'Alien auraient ressenti des sensations étranges, comme s'ils avaient pris conscience que la terre était en train de se détruire à cause de l'homme. 

 

 

Types de contact et intrication psychique

 

Le phénomène semble puiser dans la psyché des experiencers pour se manifester lors de rencontres rapprochées. Cette conscience exogène est omnisciente et connait tout du témoin. Certains humains semblent être privilégiés du fait de leur personnalité, « degré d’ouverture » et sensibilité.

 

Les êtres humains ne semblent pas intégrer de la même manière les interactions psychiques avec cette conscience exogène.

 

Pour revenir aux cas de RR3 des enfants du Zimbabwé et de Grande-Bretagne, le philosophe Philippe Solal explique dans son article intitulé "Les RR3 et leur fonction miroir" que c'est dans les rencontres rapprochées de type III, les RR3, que le phénomène OVNI se laisse le mieux approcher, le mieux "capté" :

 

« Dans les RR1 et RR2, son élusivité est trop forte et rien ne permet de déceler en lui sa nature "spéculaire", c'est-à-dire la mise en miroir qu'il met en œuvre dans sa scénographie.

 

Dans ces deux derniers cas, il se présente comme un vaisseau spatial de forme variée souvent lenticulaire ou discoïdale, parfaitement conforme à notre imaginaire et à nos projets de conquête spatiale. L'illusion est parfaite, car le phénomène est trop loin de nous.

 

Dans les RR4, l'élusivité du phénomène est aussi trop forte, mais cette fois par un effet de trop grande proximité avec nos représentations inconscientes : fantasmes, êtres cauchemardesques, scénarios d'enlèvements et d'examens génétiques et gynécologiques à forte connotation sexuelle (y compris avec des scènes supposées de rapports sexuels avec des entités, cf. cas Vilas-Boas, 1957).  Nous sommes cette fois placés trop près du phénomène et il devient impossible de démêler l'écheveau entre son extériorité et notre propre intériorité. »

 

Il ajoute :

 

« Ce sont les cas bien connus du champignonnier qui observe un OVNI en forme de champignon;

du bijoutier qui décrit un engin en forme de rivière de diamants.

De ces cas Italiens de pécheurs qui rapportent des humanoïdes couverts d'écailles sortir d'une soucoupe.

 

De ce témoin qui observe des humanoïdes qui jouent une scène qui ressemble à s'y méprendre à ce qu'il avait lui-même vécu pendant la Guerre d'Algérie (transport d'un blessé).

 

Parfois l'habillage du phénomène emprunte son étoffe phénoménale à des expressions courantes et nous fait "le coup de la panne" (exemples nombreux lors de la vague de 1954) ou pratique la "navigation aérienne" (airships 1896-97). C'est aussi le cas exemplaire de Petite-ile (Réunion, 1975) avec des bonhommes Michelin qui sautent à pieds joints sur le sol et analysent de la terre, comme l'avait fait quelques années plus tôt Neil Armstrong sur la lune.

 

 

« Le mimétisme est évident, mais il faut aller plus loin dans l'analyse que parler simplement ici d'imitation.  Tout se passe comme si une conscience exogène se connectait avec la conscience d'un témoin humain et utilisait son "matériel psychique" pour se manifester à lui. C'est ce que j'ai appelé "l'intrication psychique" (par comparaison avec la notion d'intrication physique). De l'information circule entre les deux consciences, l'une puisant son apparence dans l'autre, comme s'il s'agissait d'un transfert énergétique entre deux neurones.

 

C'est John Penniston, à propos du cas de Rendlesham qui a lui-même parlé de "télépathic download" pour décrire les informations qu'il avait reçues lors de son observation de 1980. »

 

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