Quelques témoignages extraordinaires d'OVNI en Lorraine - 11 octobre 2017

OVNI de Revigny-Sur-Ornain en 1975

Article publié sur le site d'Ufo-conscience (http://olivierdesedona.over-blog.com/)

 

A l'occasion de la sortie ce vendredi 20h00 de la prochaine émission UFO Conscience dans laquelle il sera question d'observations OVNI en Lorraine, voici quelques descriptions de cas OVNI.

 

Abonnez-vous dès maintenant à la chaîne Youtube de l'émission à cette adresse:http://www.youtube.com/c/OlivierdeSedona

 

Forbach en 1954 (pendant la fameuse vague d'OVNI de 54) -

 

 

L'OVNI sur la route et le camion Coca-Cola:  

 

Jeudi soir, vers 19 h 20, revenant de sa tournée de distribution, le chauffeur de la firme Coca-Cola, M. Bou Charles, 30 ans, demeurant à Stiring-Wendel, 21 rue Nationale, se trouvait, après la traversée de Rosbruck sur la Route Nationale N.3, à l'entrée de Morsbach lorsque tout à coup, son attention fut attirée par un engin se trouvant sur cette route.

 

M. Bou, étonné, crut à un accident de la circulation et stoppa son camion à quelques mètres de l'engin. C'est alors qu'il se rendit compte, en descendant de son véhicule, qu'il s'agissait d'un engin circulaire d'un diamètre de 9 m et d'une hauteur de 4 m environ (plus de 2 fois la taille d'un homme normal), qui était éclairé par plusieurs faisceaux de lumières dirigés vers la terre.

 

S'étant approché et se trouvant à quelques mètres de cet engin bizarre, M. Bou vit tout à coup l'engin décoller à la verticale et s'élever à 10 m environ en l'air, pour se propulser ensuite en direction de Morsbach.

 

 

Toute cette scène se passait dans l'espace de quelques secondes devant le chauffeur ahuri.

 

M. Bou, encore sous le coup de l'émotion, reprit sa route et se rendit chez son patron, à qui il décrivit la scène, et alla en référer à la gendarmerie.

 

Le capitaine Bohler, averti, se rendit avec M. Bou sur les lieux, mais ne put déceler aucune trace sur la chaussée. Il interrogea longuement le chauffeur, qui lui déclara que la soucoupe avait la forme d'une assiette géante, de couleur bleue. Il n'a pas vue d'ouverture ni d'occupant.

L'engin en décollant, ne fit aucun bruit, pas de déplacement d'air et ne changeant pas de couleur. Au moment de l'apparition il pleuvait et M. Bou déclare que lorsque l'appareil s'est élevé et disparu il avait une vitesse excessive n'étant même pas à comparer avec un avion à réaction.

 

Le plus étonnant de l'affaire est que M. Bou, visitant un client quelques instants avant, à Merlebach, déclarait à celui-ci qu'il ne croyait pas à ces histoires de soucoupes volantes.

 

Il fut d'autant plus effrayé en voyant cet engin.

 

Le chauffeur que nous avons vu au cours de son interrogatoire par le capitaine Bohler, paraît être de bonne foi et était encore hier matin sous le coup d'une émotion visible.

 

Journal "Le Lorrain"

Metz en 1954 (pendant la fameuse vague d'OVNI de 54) La boule d'arbre de Noël et les militaires:

 

Paris, 13 oct. (AFP) -- Des observations de soucoupes volantes et de cigares ont été de nouveau rapportés aujourd'hui de certains points de la France et de l'Europe. Les enquêtes sur des rapports précédents sont également en cours.

 

Les autorités militaires continuent leur recherche sur la soucoupe qui est apparue dans le faisceau d'un projecteur installé à la Foire-Exposition de Metz. Les opérateurs de projecteur ont vu, à une distance estimée à 10 km, un cercle lumineux qui est demeuré immobile pendant plusieurs heures. Cependant, les opérateurs de radar, qui ont été alertés, n'ont pas pu détecter quoi que ce soit. Les autorités militaires étudient la possibilité qu'un certain phénomène météorologique particulier ait pu avoir été responsable.

 

Le gouverneur militaire de Metz étudie le rapport du commandant Cottel qui a vu un engin lumineux pris dans le faisceau d'un projecteur

 

METZ, 13 octobre (par téléphone).

 

Le gouverneur militaire de Metz, général Navereau, commandant la 6e région, attend ce matin le rapport du commandant Cottel, spécialiste des forces terrestres antiaériennes, sur la présence, dimanche dernier, dans le ciel de la ville, d'un mystérieux engin qui pendant trois heures resta le soir dans le faisceau d'un puissant projecteur de l'armée.

 

Ce rapport, on imagine avec quels mots et quelle prudence le commandant des F.T.A.A. l'a rédigé. Le commandant Cottel dirigeait le poste de radar installé au stand de l'armée à la foire commerciale de Metz qui vient de fermer ses portes. La station disposait d'un puissant projecteur qui, pendant toute la durée de la foire, balayait le ciel de la ville. Une dizaine d'hommes se trouvaient autour de l'appareil lorsque, dimanche soir, le rayon lumineux s'immobilisa soudain sur un globe immobile en plein ciel, "scintillant, aurait affirmé le commandant, comme une boule d'arbre de Noël."

 

Le rayon était à la verticale. La "chose" semblait se trouver à 16.000 mètres. C'est du moins ce qu'affirment les connaisseurs. On ne s'affola pas, il faut le dire.

- C'est un ballon-sonde, avança un des servants du projecteur...

- Impossible, "ça" doit avoir cinquante mètres de diamètre.

 

Tout le monde en convint.

 

Mais alors?

 

Le radar n'avait rien accroché

 

Alors, comme on ne voulait pas croire aux soucoupes volantes, on décida de nettoyer les glaces et même de changer les charbons du projecteur. Lorsqu'on ralluma celui-ci, le ballon était toujours là.

 

Les curieux, qui s'étaient groupés autour du projecteur, virent, eux aussi, "la boule de l'arbre de Noël". Ils la virent jusqu'au moment où, vers 22 heures on se résigna à éteindre le projecteur. Ils ne furent pas seuls d'ailleurs, puisque des habitants du faubourg de Sablon devaient, le lendemain, eux aussi, affirmer avoir constaté le phénomène.

 

Le radar, cependant, dont le pinceau, sans cesse, avait balayé l'espace, n'avait rien accroché.

 

- La "chose", expliqua un technicien, n'est pas métallique. Elle n'est pas décelable au radar.

 

Avant-hier, la foire de Metz, qui avait reçu plus de 800.000 visiteurs, fermait ses portes. Plus de projecteur, plus de radar, plus de sphère mystérieuse. Il ne restait que le témoignage d'une quinzaine de personnes, des servants du projecteur, d'un officier du service géographique de l'armée et du commandant Cottel, dont le rapport, qu'on attend au palais du gouverneur militaire avec l'impatience... et la curiosité que l'on devine, fixera ce point de l'histoire des soucoupes volantes.

 

France Soir

Journal l'Alsace

Revigny-Sur-Ornain en 1975. Deux OVNIs photographiés par un gendarme:

 

Lieux de l’observation : Une grande prairie près de la D. 103 et située près du bois Notre-Dame-de-Grâce, non loin de l’importante ferme du « Faux Miroir »

Durée totale de l’observation : entre 30 et 40 secondes. 

 

Un gendarme, le brigadier Michel F. de l’Escadron de Gendarmerie mobile de Révigny, caserne Maginot, a réussi à prendre deux clichés à 5 secondes d’intervalle, assez extraordinaires de deux OVNIs, alors qu’il marchait jusqu’à la sortie d’un bois.

Il avait aperçu un halo lumineux à faible hauteur, mais à une distance indéterminée. Au moment de prendre la deuxième photo, la lueur s’est atténuée en s’élevant. Le témoin a pu distinguer deux OVNIs partir à une vitesse prodigieuse et se perdre dans la nuit. En novembre 1974, un autre gendarme avait fait une observation semblable au même endroit.

 

Photo du gendarme

Cette photographie a été prise au moment ou l'OVNI quitte le sol pour s'envoler vers le ciel.

Metz en 1979. Observation d'un objet triangulaire en plein jour:

 

Le 3 décembre 1979, vers 16 heures 50, deux témoins observent un objet de forme triangulaire émettant deux traînées de fumée rouge. Au passage au-dessus d'une tour hertzienne, l'objet s'arrête quelques secondes avant de repartir. Les témoins l'ont suivi des yeux jusqu'à perte de vue, la fumée rouge étant visible jusqu'à la fin de l'observation.

 

Un troisième témoin a observé au même moment un point très brillant sans qu'il soit possible de faire une corrélation entre les deux observations. L'enquête n'a pas permis d'identifier un trafic aérien correspondant aux observations et celle-ci reste inexpliquée.

 

 

Base aérienne 133 de Nancy Ochey en 1987. Ovni en forme de disque:

 

Le témoin: "Septembre 1987, j'effectue mon service militaire sur la base aérienne 133 Nancy Ochey, dans le 54. Je suis affecté au G.R.I (groupe de renforts et d'interventions) et je suis de garde avec un ami à la tour de contrôle. Entre 00h00 et 2h00, nous étions à l'extérieur de la tour, en haut sur le parapet et nous regardions souvent le ciel très clair pour ses étoiles quand mon ami me dit qu'il voit quelque chose qui brille fortement dans le ciel. Je regarde et effectivement, je vois un point de lumière qui se déplace à 2 ou 3 km de nous. Je prends en premier mes jumelles et vois donc une masse lumineuse qui descend vers "le bout de la piste" mais derrière en fait, très lentement puisque nous avons le temps de prendre nos jumelles à sensibilsateur de lumière (vision nocturne aujourd'hui) et de voir comme une soucoupe de tasse à café renversée. Elle descend tranquillement puis s'immobilise au dessus de la piste face à nous, même pas une seconde et file à une vitesse incroyable et disparaît. Mon ami a signalé dans le même temps (car cela a bien duré 10 minutes avant la "disparition") l'objet volant non identifié à notre interlocuteur radar qui a confirmé la présence d'un objet par 2 fois.

 

A 2h00 de retour à notre bâtiment, tout le monde était en grande agitation, nous avons appris qu'une patrouille qui était dans le secteur "bout de piste" avait reçu une alarme grillage, sur place ils avaient découvert une vache prise dans le grillage et affolée et avait demandé de l'aide à une autre patrouille pour les aider à décoincer la vache, de plus ils nous disent avoir vu un disque au dessus d'eux, avec trois feux bien distincts sous ce disque qui a disparu sans bruit et d'un coup.

 

4 appellés et 2 sous-officiers engagés et digne de foi pour la patrouille, mon ami, moi même et le radar avons vu quelque chose mais quoi ???

 

Le lendemain matin, un sous officier est venu nous voir tous, il venait de Nice, d'un service de l'armée qui s'occupe de ce genre de manifestation. Nous avons été séparés et mis chacun dans une chambre. Nous devions faire un dessin par

personne, un entretien magnétophone et une déclaration écrite et signée."

 

Photo du contingent 87/04 en 1987 pour se faire une idée.

Écrire commentaire

Commentaires: 0