Le magazine Soucoupe Volante à Saint-Etienne - 21 novembre 2017

 

Article publié par Ch MACE du site http://ovniparanormal.over-blog.com

 

Saluons cette heureuse initiative à Saint-Etienne, en France !

 

Le titre de ce magazine nous fait bien plaisir.

 

Mais pour autant, y'a-t-il eu la publication d'un dossier objectif sur les ovnis, les extraterrestres ?

 

Si c'est pas le cas, ça va le faire ?.

 

Par exemple, dans le magazine "Soucoupe Volante" de Saint-Etienne, est ce que les cas ovnis vus près de ces écoles ont été abordés...ou le seront-il ?

 


Réflexion sur le sujet 

 

Pourquoi n'existe t-il pas dans les programmes des éducations nationales dans les différents points de "nôtre" globe, de préparations psychologiques des Humains à d'éventuels contacts avec des  extraterrestres ?

 

 

 

SOMMES NOUS PREPARES PSYCHOLOGIQUEMENT ET

TECHNIQUEMENT POUR DES CONTACTS AVEC DES ETRES D' AUTRES MONDES ?

 

Ce thème nouveau à aborder sort des sempiternels sentiers battus, et mérite que l'on s'y attarde, puisque ces probables contacts avec des Etres des autres univers est d'actualité maintenant, suite à nôtre propre sortie d'au-delà de "nôtre" propre planète…

 

Depuis les temps reculés, la sphère des contacts des Humains est allée toujours de façon exponentielle.

 

Au début de l'humanité, l'être humain était prisonnier de son implantation géographyque très étroite.

 

Les contacts se faisaient d'être humains à être humains de village à villages.

 

Puis au fur et à mesure du progrès et du développement des civilisations, ces contacts se sont élargis de plus en plus : du village à village, de régions à régions, de continents à continents.

 

Dorénavant, nous avons quitté "nôtre" planète, et l'élargissement des contacts d'humains à humains doit pouvoir s'étendre à ceux des autres mondes…

 

Car pourquoi l'être humain ne serait que le seul représentant, établis ici sur Terre ?

 

D'où la nécessité de se préparer ici et maintenant à ces nouveaux contacts…

 

A METTRE D'URGENCE AU PROGRAMME DES EDUCATIONS NATIONALES : LA PSYCHOLOGIE SPATIALE ! 

 

Christian MACE relit  en ce moment son  livre de science-fiction préféré, un livre de Jacques Sternberg (d'origine Belge)

 

"La sortie est au fond de l'espace", paru aux Editions "Denoël", collection "Présence du futur", réédité en 1990.

 

Les Humains sont contraints de quitter la Terre (les Survivants), et vers la fin de leur épopée, ils sont accueillis sur la Planète des Extraterrestres "Sconges"…

 

A la fin du livre, page 249 :

 

"En détruisant la Terre et ses habitants, les Sconges n'avaient fait que donner un coup de balai. La Terre, cette poubelle de l'espace, germe de pollution, de démence, de folie meurtrière et de crasse.

C'est ainsi qu'ils voyaient la chose. C'est ainsi qu'ils l'avaient vu. Car ils n'y pensaient déjà plus.

 

Ils avaient agi avec la même désinvolture qu'un homme lorsqu'il détruisait une toile d'araignée.

 

Aux yeux des Sconges, les Terriens étaient cependant des êtres humains. Cela ne laissait aucun doute.

 

Mais, cette notion d'humain, c'était précisément ce qui dégoûtait le plus les Sconges". 

 

Dans un passage précédent concernant les Extraterrestres

 

"Sconges" :

 

Page 209 : "Dans leur monde, il n'y avait plus de lois, plus de cartes d'identité, plus de permis de séjour. Plus de police, plus de réglement.

Parce que cela n'était plus nécessaire.

Expliquer exactement pourquoi ?

C'était trop compliqué à expliquer.

 

Quand à la question du gouvernement, elle avait été résolue également. Il n'y avait pas de gouvernement sur la Planète.

Pas de chefs et de subordonnés.

Les Sconges, on pouvait le déduire ou le supposer, étaient tous adultes, lucides, pleinements conscients de leurs gestes, de leurs pensées comme de leurs actes.

 

Ils n'avaient plus besoin d'être enfermés dans des législations qui n'étaient en réalité que des parcs grillagés pour grands enfants. Ils n'avaient plus besoin de policiers qui n'étaient en vérité que des gouvernantes déguisées. Ils n'avaient plus besoin d'être dirigés, conseillés, organisés parce que sans doute ils portaient en eux, d'instinct, le sens des responsabilités essentielles. Et certainement n'avaient-ils plus le besoin d'écouter un parti ou un gouvernement leur parler de liberté puisqu'ils étaient eux-mêmes liberté totale, acquise, mise à exécution.

 

Nous avions tort, c'était vrai, de vouloir comparer leur monde à la Terre.

 

Ce monde ne pouvait être que fort différent, parce que les Sconges, sous des visages qui ressemblaient aux nôtres, devaient couver une lucidité, une intelligence, un détachement et une force sans nervosité que nous étions bien loin de posséder. 

 

 

La question de la nourriture, soulevée aujourd'hui, nous a révélé d'autres perspectives.

 

Les Sconges nous ont en effet appris que cette question leur posait certains problèmes. Car nos points de vue divergeaient de façon sensible à ce sujet.

 

 

- Vous comprenez, nous ont expliqué les Sconges avec le plus grand calme, nous ne mangeons qu'une fois tous les six mois.Et notre repas se limite à quelques pastilles.

 

 

Les Sconges n'ont pas cru devoir ajouter ce que,probablement, ils pensaient : que pour nous, ils le savaient, toute la vie tournait autour de la table et des trois repas obligatoires et que les moindres de nos actes convergeaient vers la soupière ou le saladier. Ce qu'ils devaient d'ailleurs trouver répugnant ou simplement absurde. Non sans raisons.

 

-  Il faudra vous contenter de nos pastilles, ont ajouté les Sconges. Nous ne produisons rien d'autre. L'agriculture et l'élevage sont des mythes inconnus pour nous. Inconnus, bien sûr. L'agriculture inexistante puisque toute la nature avait été niée, recréée. Et l'élevage impossible puisqu'il n'y avait pas d'animaux sur la Planète…….

 

Cela dit, le fait que les Sconges ne mangent qu'une fois tous les six mois bouleverse évidemment tous les modes de vie que nous aurions pu imaginer.

 

Plus de lutte quotidienne pour le pain à la sueur du front, des poignets ou du cerveau. Plus de sentimentalité tournant sur elle-même autour de la misère. Plus de moyen de chantage social ou politique. Plus de prétexte au vol, au meurtre…..". 

 

Pour distraire les Terriens sur leur Planète, les Sconges apportent des documentaires filmés de l'existence passée des terriens :

 

Page 222 :

 

"Etrange séance qui dura une bonne partie de la journée. Elle nous permit de nous revoir, nous, les hommes, pris sur le vif dans certaines de nos acitivités passées. 

 

Ici, nous nous livrions à une course démente contre la seconde pour augmenter la productivité d'une usine en vidant de leurs tripes des maquereaux et des morues.

 

Ici, nous suivions avec passion une course de bolides dans le seul espoir de voir quelques voitures se renverser et prendre feu avec leurs occupants.

 

Ici, nous posions des culs-de-jatte en uniforme sur de petites tables pour les décorer officiellement et leur rendre les honneurs militaires.

 

Là, nous tentions de faire le tour du monde à quatre pattes avec un abat-jour en équilibre sur notre tête et dix oeufs frais dans la main droite.

 

Là, nous déléguions le pape, un bataillon d'archevêques, une division de prêtres déguisés en poupées de salon pour bénir le dernier canon atomique.

 

Là, nous laissions dix morts dans la neige et dix membres gelés dans la glace pour le simple plaisir de planter un drapeau au sommmet d'un pic.

 

Là, enconre avec des mines de juges-arpenteurs, nous prenions devant quelques hautes personnalités le tour de fesse de quelques reines du chou-fleur.

 

Il n'y avait pas de quoi être fier. Nous qui avions toujours accepté ces spectacles sans rien en penser, nous ressentions à présent une véritable oppression qui grandissait à chaque séquence. Tout nous paraissait odieux dans ces visions cependant si authentiques : nos gestes, nos expressions, notre avidité, nos corps, et même le décor gris, suintant, médiocre dans lequel nous avions si prétentieusement édifié une quantité d'institutions grotesques.

 

Un indiscutable sentiment d'infériorité nous prenait à la gorge quand nous pensions aux Sconges, à l'harmonie dans laquelle ils vivaient, à cette magistrale absence de ridicule ou de démence qui définissait leur monde………

 

Sans doute devaient-ils savoir, depuis longtemps, que nous avions été créés agressifs, crédules, fanatiques, exacerbés, sadiques et profondément masochistes…..

 

On pouvait même croire qu'ils avaient quelque espoir de nous voir devenir fort différents au contact de leur monde à eux……

 

Avec du temps et de la patience, les Sconges nous assimileraient à leur race. Leur but devait être cette assimilation en douce, sans heurt et sans manifestes.

 

Nous avions tout à gagner dans cette aventure et eux n'avaient rien à perdre…..".

 

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