Guy Tarade : Soucoupes volantes et civilisation d'outre-espace - 12 janvier 2018

 

 

Article mis en ligne par le site "http://ovniparanormal.over-blog.com" de Christian Guy Macé

 

 

Dans le livre de l'Ami Guy Tarade "Soucoupes volantes et civilisations d'outre-espace" paru aux Editions J'ai Lu, collection l'Aventure Mystérieuse n° A 214 paru 1er trim 1970 que j'ai sous les yeux, lire notamment

 

le chapitre 2

"Il y a dix mille ans, des extra-terrestres vécurent sur notre planète". Pages 23 à 45.

 

Grand Merci à notre Ami Guy Tarade qui m"a adressé par email hier 11 janvier 2018, ses photos qu'il a prises en allant explorer sur place le site de Palenque, au Mexique...

 

J'ai incorporé les photos de Guy, dans le corps de l'article. (sous forme de diaporama pour cette présentation) 

 

A noter que la première édition de ce livre de Guy Tarade aux Editions J'ai Lu, sera publiée au second semestre de 1969... 

 

 

 

A partir de la page n° 38, Guy nous parle de "Palenque, clé du mystère :

 

"Le document le plus troublant se rattachant au passage sur notre plante d'hommes venus de l'espace se situe au Mexique. Comme chacun le sait, la presqu'île du Yucatan est une pépinière de temples et de pyramides.

 

Le 15 juin 1952, Alberto Ruz Lhuillier et une équipe d'archélogues découvraient à Palenque un magnifique monument de forme pyramidale, sans doute le plus beau de tout l'Etat de Chiapas.

 

C'était un tombeau secret sous lequel reposaient les restes d'un homme dont la morphologie était totalement différente des Mayas de l'époque, qui étaient ses contemporains.

 

Sa taille, 1,70 m, dépassait de vingt bons centimètres la hauteur moyenne des indigènes qui eux n'excédaient jamais plus de

1,54 m.

 

 

L'ouverture du sarcophage restera un des moments les plus captivants et des plus exaltants de l'histoire de l'archéologie.

 

Seuls lord Carnavon et Howard Carter avaient connu avant Alberto Ruz Lhuillier des instants aussi émouvants, lorsque, les premiers, ils pénétrèrent dans la tombe de Tout-Ank-Amon.

 

Après être parvenus à l'intérieur de la pyramide, Lhuillier et son équipe d'archéologues découvrirent un sarcophage inviolé, recouvert par une dalle sculptée.

 

Cette pierre longue de 3,80 m et large de 2,20 m avait une épaisseur de 25 cm.

 

Elle pesait 6 tonnes.

 

Les archélogues ne possédaient pour tout instrument que deux crics de voiture.

 

Joignant la précision à l'adresse, ils réussirent à soulever cet imposant couvercle sans le casser. Celle dalle si lourde, qui donna tant de soucis à Alberto Ruz Lhuillier pour la dégager, mérite toute notre attention autant que le sarcophage qu'elle recouvrait.

 

 

 

Cette tombe vieille de plusieurs siècles avait la forme d'un poisson, Oannés-Itchou, signe sacré des initiateurs venus "d'ailleurs".

 

En la détaillant, on a l'impression qu'à l'instar des Hébreux qui rassemblèrent leurs connaissances dans le Talmud, les initiés Mayas sculptèrent dans la pierre un message extraordinaire, que leur avaient transmis leurs aïeux.

 

Pour qui regarde cette sculpture avec un peu d'attention et sans préjugé ni parti pris, il est possible d'y voir le schéma d'une machine volante que pilote un homme ou une femme.

 

Lorsqu'un peuple désire laisser un message impérissable à la postérité, c'est à la pierre qu'il le confie : c'est le seul matériau capable de lutter contre l'éternité. Dans le cas présent, c'est ce qu'ont fait les Mayas.

 

Cette sculpture est une des plus belles et des plus fines de tout l'art précolombien connu.

Elle est nette et équilibrée.

Le motif principal est entouré de vingt-quatre symboles, ce qui nous fait penser aux mystérieux signes qui ornent la porte du Soleil de Tiahuanaco, dont les motifs sculptés firent dire à l'académicien, soviétique V. Kolelnikov, qu'ils représentaient un calendrier vénusien.

 

Dans le cas présent l'idéogramme est varié et les signes répartis de la manière suivante :

 

9 en haut pour le ciel ;

9 en bas pour la Terre ;

3 à gauche pour l'ouest ;

3 à droite pour l'est.

 

Ces hiéroglyphes concernent certainement les conditions de pilotage d'un "vimana".

 

Les "vimanas", nous rapporte la tradition hindoue, étaient des engins volants perfectionnés susceptibles d'accomplir de fantastiques voyages cosmiques.

 

Le motif central qui représente le "pilote" nous permet de constater, que ce dernier porte un casque et observe ver l'avant de l'appareil.

 

Ses deux mains sont occupées, elles semblent manoeuvrer des manettes.

La tête du sujet repose sur un support, et un tube inhalateur lui pénètre le nez.

 

Un vaisseau cosmique utilisant l'énergie solaire.

 

Dans le concept maya, le perroquet symbolise le déguisement du dieu solaire.

 

C'est cet oiseau que l'on voit sur le rébus de Palenque.

 

Il s'accroche devant le véhicule cosmique, et le "déguisement" du "dieu solaire" devient ENERGIE.

 

Dans la décomposition de la lumière par un prisme, nous retrouvons les couleurs de son plumage.

 

Pour les amateurs de symbolisme, nous ajouterons que le vert est la teinte dominante de ce grimpeur.

 

Cette couleur sépare dans l'arc-en-ciel les teintes diamagnétiques des paramagnétiques.

 

La couleur verte était également l'attribut principal des grands dieux blancs des anciens Mexicains : Kukulkan et Quetzalcoatl étaient, soyons-en persuadés, des êtres venus d'une lointaine planète.

 

On les représentait traditionnellement, avec les yeux et le nombril incrustés de jade.

 

A la partie antérieure du vimana, trois récepteurs sont visibles, ils accumulent le rayonnement de l'astre du jour.

 

D'autres capteurs sont gravés à droite et à gauche du véhicule spatial.

 

Le "moteur" est compartimenté en quatres parties. Le système de propulsion se trouve derrière le pilote, la poussée est nettement marquée et elle se manifeste sous forme de flammes à l'arrière du vaisseau volant.

 

Le continent sud-américain est celui des mystères inexliqués.

 

La civilisation de la Venta, par exempe, édifia jadis des têtes de 30 tonnes, dans une région marécageuse, plantée de mangroves ; ces pierres géantes venaient de carrières situées à 120 kilomères des sanctuaires.

 

Le dieu Tlaloc, protecteur de la pluie, porte des lunettes de cosmonaute !

 

Il nous plaît de voir dans la plate-forme de Monte-Alban, près d'Oaxaca, la soeur jumelle de celle de Baalbeck au Liban.

 

Toutes deux étaient des aires de départ édifiées par un peuple de l'espace venu coloniser notre planète.

 

Cette colonisation du continent su-américain par un "space people" expliquerait facilement la connaissance super avancée de l'élite aztèque et maya, qui avait calculée avec précision le temps de l'année terrestre et celui de la rotation de Vénus.

 

Le calendrier sacré utilisé par les prêtres était un instrument de connaissance, que seuls les savants initiés savaient utiliser.

 

D'autre part, les tribus les plus reculées de l'Amazonie ont conservé, bien que coupées de toutes civilisations, le souvenir de dieux blancs venus apporter il y a des milliers d'années la paix et le bonheur sur ce continent.

 

L'érudit allemand Pierre Honoré voit dans "l'Homme au masque de jade" qui dormait de son dernier sommeil sous la pyramide de Palenque, Viracocha, la divinté à la peau blanche, adorée par ce ancien peuple (L'énigme du dieu blanc précolombien, Pierre Honoré, Editions Plon.).

 

Sans la fureur iconoclaste de Diego de Landa, l'évêque espagnol du Yucatan (1549-1579), qui détruisit 5000 idoles, 15 pierres d'autels gigantesques, 22 plus petites et 27 manuscrits sur peau de cheveuil, ainsi que 197 autres de toutes figures et grandeurs, nous aurions depuis longtemps compris le sens des 360 hiéroglyples qui ornent la pyramide de Palenque.

 

Nous saurions aussi les causes d'un phénomène qui se passa au-dessus du bateau de Juan de Grijalva le conquistador : un objet en forme d'étoile survola son navire, puis il s'éloigna en lançant des feux et s'arrêta au-dessus d'un village du Yucatan.

 

Pendant trois heures, cet objet projeta des rayons lumineux vers la terre et disparut ensuite.

 

Les prêtres mayas conservèrent jalousement les éléments matériels que leur avaient légués en héritage leurs Maîtres Cosmiques.

 

Lorsque, par précognition ou par une autre source que nous igorons encore, ils surent que des étrangers allaient venir envahir leur patrie, ils détruisirent ou cachèrent ce qu'il y avait de plus précieux.

 

Le Codex Telleriano-Remensis dépeint, en l'année 4 calli (1509), une immense flamme jaillissant de la terre jusqu'aus étoiles.

 

"Pendant plusieurs nuits, dit Ixtlilxochilt, apparut une grande clarté qui naissait de l'horizon oriental et montait jusqu'au ciel.

 

De forme pyramidale et avec des flammes, elle impressionna tellement le roi de Texcoco, que ce dernier décida de mettre fin aux guerres.".

 

Cette explosion, puisqu'il faut bien l'appeler par son nom, ressemble à s'y méprendre à celle qui détruisit Sodome et Gomorrhe.

 

Son origine atomique ne faut aucun doute, et la description que nous fait le codex Telleriano-Remensis a plus d'un point commun avec les manifestations lumineuses qui suivirent la catastrophe de Toungouse, survenue le 30 juin 1908, et dans laquelle les Soviétiques Zotkin et Tsikoulin voient la chute d'un vaisseau spatial piloté.

 

 

Est-ce une réserve de carburant qui fut sabotée en 1509 au Mexique ?

 

De nombreux éléments penchent en cette faveur.

 

Des Dieux en Bolivie.

 

Une légende bolivienne prétend, - mais au fond est-ce bien une légende ? - que le dieu Viracocha descendit autrefois sur terre près du lac Titicaca.

 

Il donna comme guides aux hommes, Manco Capac et Mama Occlos, sa soeur.

 

Aujourd'hui encore, sur le promontoire de Copacabana, face à l'île du Soleil, des milliers d'indiens de la Puna se rendent chaque année au mois d'août en pèlerinage, pour commémorer cet événement.

 

Beaucoup croient que c'est là que, dans la nuit des temps, les premiers colons venus d'outre-ciel posèrent le pied.

 

Luttant contre une végétation luxuriante et hostile, ils donnèrent à tout ce continent un art et une science rarement égalés, qui fait encore rêver certains".

 

Fin du chapître 2, page 45.

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Commentaires: 1
  • #1

    begood (dimanche, 18 mars 2018 22:03)

    Je suis aller voir ce tombeau on t il construit la pyramide autour de cette gigantesque pierre tombale.Seule des etres superieur a nous on pu construire de pareil monuments.