Photos ovnis à Gréoux-les-Bains dans les Alpes-de-Haute-Provence le 27 novembre 2017 et rapport du MUFON

 

Le témoin déclare : 

 

"Bonjour, 

Une amie vient de me faire parvenir l'article de journal signalant de mystérieuses boules orange dans le ciel du Luberon dans la nuit du 24 au 25 décembre. 

J'ai été témoin le 27 novembre du même  phénomène à  Gréoux les Bains avec un survol de Cadarache et d'ITER. 

 

Travaillant sur Grenoble, j'ai contacté un Ufologue qui a un compte rendu. 

Le lundi suivant, j'ai témoigné à  la gendarmerie qui a récupérée mon dossier avec les photos que j'ai prises ce soir là . 

Je vous joins le compte rendu de cette observation 

 

Bruno BONNEL".


 

 

Compte rendu d’observation OVNI du 27 novembre 2017

Contexte de l’enquête:

 

Nous avons été informé des faits par l’intermédiaire de Mme Fabienne B....., qui est une amie

commune de moi-même et du témoin. L’enquête s’est déroulée au domicile de cette dernière, le 29 novembre 2017 en

présence du témoin principal.

 

 

Signalétique du cas:

 

Identité des témoins:

M. Bruno B., enseignant en technologies (Ayant par le passé travaillé dans le domaine de l’aérospatial,

spécialité propulsion par moteurs fusées) et son épouse.

M. Bruno B. est passionnée par tout ce qui touche au domaine de l’astronautique et en fait profiter ses élèves au

travers d’exposés didactiques (Qu’il nous a été possible de consulter dans le cadre de l’enquête).

 

Lieu d’observation:

Depuis le domicile des témoins, situé sur la commune de Gréoux-les-bains, département des Alpes de

haute Provence (04).

 

Direction de l’observation:

Dans l’azimut du site du chantier ITER (Prototype de réacteur à fusion nucléaire) et du centre

d’étude de Cadarache (Voir carte et illustrations photos).

Le centre d'études de Cadarache est le plus grand centre de recherche et développement en Europe sur l'énergie

nucléaire (la fission et la fusion), les nouvelles technologies de l'énergie et la biologie végétale. Il comprend

19 installations nucléaires de base (INB) et une installation de base secrète (INBS) et emploie en moyenne 5 000

personnes1 dont 2 400 salariés du CEA. Le reste de l'effectif est constitué d'agents d’AREVA, de l’institut de

radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), et de celui des divers sous-traitants.

Compte rendu d’observation OVNI du 27 novembre 2017

 

Distance d’observation:

Estimée entre 3 et 9 kms à vol d’oiseau pour les phases statiques.

 

Durée de l’observation:

Environ 4 minutes, entre 18h36 et 18h40.

 

Nature de l’observation:

Phénomènes lumineux, mobiles (Au nombre de 2).

 

Enregistrements disponibles:

6 photos et une courte séquence vidéo réalisées à l’aide du smartphone (Samsumg Galaxy S6)

du témoin principal.

 

Suite prévue:

M. Bruno B. m’a confié son intention d’aller déposer témoignage en gendarmerie, ce qui devrait donner lieu à

un PV, et une procédure de remontée d’information auprès du GEIPAN.

(Il est possible qu’à cette occasion d’autres témoins soient éventuellement découverts).

 

Narration des faits:

 

Le témoin principal est sorti à l’extérieur de son domicile, accompagné de son épouse, pour préparer son véhicule, car il doit remonter sur la région grenobloise pour ses obligations professionnelles.

 

Il a alors son attention attirée par une forte lumière jaune dans le ciel, qui semble se rapprocher de sa position.

 

La lumière se fige au bout de quelques secondes dans une position statique.

 

Elle semble à ce moment là être positionnée à la verticale du site ITER qui est situé dans cette direction.

 

Sa hauteur angulaire par rapport à l’horizon est estimée à une dizaine de degrés.

 

Pour ce qui est de la taille apparente, le témoin l’évalue initialement à environ 3 cm à bout de bras.

 

Le calcul donnerait alors, selon la formule

 

(Distance du phénomène x taille apparente) / longueur du bras = taille du phénomène,

 

soit (9000 x 0,03) / 0,68 = 397 mètres!!!!  (Remarque: 0,68m est la longueur du bras pris pour référence).

 

On peut considérer que l’une ou l’autre des données prises pour hypothèse de départ, distance du phénomène ou taille

apparente, sont probablement largement surestimées.

 

Ce qui paraît le plus vraisemblable c’est que cela soit la taille apparente (Si on considère les photos disponibles).

 

Imaginons qu’elle est été surévaluée d’un facteur 3, on arrive encore à une taille de plus de 133 mètres pour la partie lumineuse, mais nous allons voir que l’étude détaillée des images va révéler une structure porteuse encore plus grande !!!

 

On peut donc également supposer que la distance est plus courte que celle envisagée initialement, d’autant qu’entre Gréoux-lesBains et le site ITER, il y a une vaste plaine couverte de champs, qui serait un site plus approprié pour un atterrissage en toute discrétion, et auquel cas, on serait dans des fourchettes de distances de l’ordre de 3 à 4 kms.

 

Dans cette seconde hypothèse, le calcul de taille donnerait une dimension pour la source lumineuse de l’ordre de 44 mètres

(On a pris dans ce cas une distance de 3 kms, et une taille apparente à bout de bras d’un centimètre).

 

M. Bruno B. et son épouse contemplent le spectacle, assez perplexes, se demandant de quoi il peut bien s’agir.

 

Aucun feu de signalisation réglementaire pour un aéronef n’est visible. Il n’y a pas de bruit particulier audible en provenance de

cette source lumineuse. Leur chien, également présent à leurs côtés, ne manifeste aucune réaction particulière.

 

M. Bruno B. s’empare alors de son Smartphone, Samsung Galaxy S6, équipé d’un capteur de 16 mégapixels de résolution et il réalise 3 images respectivement à 18h36 et 47 secondes (Image 1), 18h36 et 52 secondes (Image 2), 18h36 et 58 secondes (Image 3).

 

(Voir dossier photographies et leur analyse ci-après).

 

Le phénomène lumineux semble alors s’éloigner dans la direction d’où il est venu et disparait dans le lointain en quelques

secondes, selon une trajectoire rectiligne, à l’opposée de la position du témoin, soit en direction sud-ouest, ce qui a dû l’amener à passer à proximité, voir survoler le site ITER ainsi que le village de Saint-Paul-Lez-Durance.

 

Aucun bruit particulier n’est perçu en provenance du phénomène, que cela soit pour la phase statique, ou les phases de

mouvement.

 

Les témoins ont alors la surprise de voir une seconde source lumineuse décoller du sol, d’une position approximativement située à verticale de celle où la première lumière avait stationné.

 

En moins de 3 secondes la lumière gagne la position précédemment occupée par la première lumière.

 

M. Bruno B. va alors réaliser 3 clichés supplémentaires, avant d’enchainer par une courte séquence vidéo d’une durée d’une

minute et quatorze secondes au cours de laquelle cette seconde lumière se met en mouvement pour disparaître à son tour dans

le lointain (Images réalisées respectivement à 18h38 et 2 secondes, 18h38 et 29 secondes et 18h38 et 57 secondes.

Le film a démarré a été enregistré à 18h39 et 38 secondes).

 

 

L’intensité lumineuse semble connaitre quelques fluctuations, à moins que cela ne soit dû aux turbulences atmosphériques en

basse couche.

 

On peut dans la seconde moitié de cette séquence vidéo voir plusieurs flashs dans le ciel, dissociés de l’OVNI en cours d’éloignement.

 

Peut-être sont-ils produits dans le lointain par le premier OVNI à moins qu’il ne s’agisse de bruit électronique ou autre artéfact, voir l’effet induit par le scintillement d’étoiles…

 

Il serait intéressant d’aller prospecter la zone des champs s’étendant au sud de Gréoux-les-Bains, en quête d’éventuelles traces au sol.

 

L’étude des images disponibles va révéler des détails fort intéressants, laissant entrevoir une structure porteuse possiblement en forme de soucoupe (!).

 

Au vu du rapport de proportions entre la partie éclairée et le reste de la structure sombre on peut spéculer sur une taille au moins trois fois plus importante, soit une fourchette entre 100 à 130 mètres dans le plan horizontal, compte tenu des diverses estimations de distances (Celles paraissant les plus plausibles, mais cela reste malgré tout très subjectif).

 

 

Quant à la lumière, on peut plutôt spéculer qu’il s’agisse d’un plasma peut-être en rapport avec un quelconque système de sustentation et propulsion plutôt qu’un gros phare.

 

Quand on zoome fortement sur la lumière, on peut noter en périphérie comme des flammèches et avoir la sensation d’une espèce de tourbillonnement.

 

On note sur plusieurs clichés un faisceau ténu qui part de cette source lumineuse en direction du sol (Ce qui renforce le sentiment qu’il s’agit là d’un moyen de propulsion).

 

Pour ce qui concerne la direction d’arrivée et de départ du phénomène, on peut donc émettre, qu’à défaut d’avoir stationné directement à la verticale du chantier ITER, ou des installations mitoyennes du CEA à Cadarache, ces deux objets les ont probablement survolées.

 

Eu égard à la nature particulière et hautement sensible de ces deux sites (Même si pout ITER l’installation n’est pas encore opérationnelle), on ne manquera pas d’envisager la possibilité qu’il puisse s’agir là d’un nouvel épisode à verser au chapitre déjà très fourni des OVNI et du nucléaire.

 

Au vu des éléments révélés par l’analyse et les divers traitements appliqués aux images, on peut convenir que les objets ayant évolué ce soir là au sud de la commune de Gréoux-les-Bains ne sont pas conventionnels.

 

A chacun de se faire son opinion.

 

D’autres éventuels témoins pourraient contribuer à apporter un éclairage utile sur ces étranges manifestations.

 

Jeudi 30 novembre 2017.

Denis Alarcon

Enquêteur.


ETUDE IMAGE N°1


ETUDE IMAGE N°2


Au total 6 images de l'ovni ont été analysés dans le rapport officiel téléchargeable en fin d'article - document d'importance pour ceux qui veulent analyser le plus scientifiquement possible le phénomène Ovni !


 

Désormais, tous les réacteurs ITER seront sous surveillance rapprochée des extraterrestres qui nous veulent du bien !

 

LE RAPPORT est disponible ICI 

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