ARCHIVES OUBLIEES ET FAITS MAUDITS... "OVNIS " ENLEVEMENTS, QUAND LA MENACE VIENT DU CIEL

 

 

Par Guy Tarade

 

"Les Annales Politiques et Littéraires", en date du 22 janvier 1905, page 63, présentaient à leurs lecteurs un article intitulé: "Un nuage électrisé".

 

Ensemble, prenons-en connaissance

 

"Singularités météorologiques. Le new-York Herald a signalé dernièrement un phénomène bien curieux dont a été témoin le capitaine Hurgart commandant le navire anglais "Mohican" allant à Philadelphie.

 

Nous le mentionnons sous réserve tant il nous paraît extraordinaire.

 

Le navire se trouvait vers Delaware Breakwater.

Tout à coup, un nuage phosphorescent l'enveloppa, magnétisant tout à bord.

Le bâtiment et l'équipage furent entourés de feu

L'aiguille de la boussole, affolée tournait avec rapidité.

 

Sur l'ordre du capitaine, plusieurs matelots essayèrent de déplacer quelques chaises de fer posées sur le pont. cela fut impossible quoique leur poids ne fut que de vingt-huit-kilogrammes pour chacune.

 

Tout était aimanté : chaînes, clous, boulons, barres adhéraient fortement au pont comme s'ils y avaient été rivés.

 

Le nuage était si dense qu'il devint impossible de diriger le navire.

On ne pouvait voir qu'à très faible distance et chaque objet paraissait être une masse embrasée.

 

Brusquement, le nuage s'éleva dans les airs et, sur le navire, la phosphorescence s'affaiblit.

Quelques minutes après, le nuage était loin, et on peut le suivre des yeux encore quelques temps au-dessus de la mer.

 

C'est la première fois, que nous sachions, que l'on mentionne un pareil phénomène."

 

NDLR: Ce fait divers nous remet en mémoire les cas d'enlèvements de voitures effectués par des ovnis, que nous avons déjà mentionnés dans nos archives.

 

Cette curieuse aventure peut parfaitement s'identifier de nos jours à une apparition d'un mystérieux objet céleste.

 

Poursuivons plus loin nos enquêtes et tentons de lever d'autres voiles qui dissimulent d'évidentes réalités

 

LE CAS GUY DELAGE

 

Le 25 novembre 1978, lors de la traversée de l'Atlantique en solitaire, à bord du Salamandre, Guy Delage connut une bien curieuse aventure:

 

Voici ce que relata l'audacieux skipper:

 

"Je sais qu'on va penser que c'était une hallucination, mais je rapporte les faits tels que je les ai consignés dans mon journal de bord.

Un disque très brillant est venu se fixer juste au-dessus du bateau. Son éclat était insoutenable.

Je voyais des décharges électriques passer sur l'antenne de mon mât. La couleur a évolué du bleu vert à un blanc jaune. Lorsque le disque a disparu, sa vitesse était stupéfiante." 

 

Toutes les aventures liées à ces "Intelligences inconnues" ne se terminent pas toujours aussi bien.

 

Le cas de Donald Crowhurst serait à même de nous le prouver.

UN CAS ETRANGE !

 

Donald Crowhurst était un marin expérimenté.

Le 10 juillet 1969, son trimaran "Teignmouth Electron" était découvert en plein océan.

 

Crowhurst avait disparu.

Des navigateurs chevronnés assurèrent que Donald était devenu fou et qu'après avoir tourné en rond dans l'Atlantique (pas si fou que ça…), il se serait suicidé en se jetant à l'eau.

 

Cet excellent navigateur participait à la course autour du monde organisée par le journal anglais le " Sunday Times"; il était un des favoris, mais avait trop besoin de gagner la course pour risquer un échec.

C'est sans doute ce qui lui donna l'idée de monter un canular qui abusa longtemps la presse.

 

Il navigua jusqu'au Açores, à 700 milles à l'ouest par 35° de latitude, et resta sans bouger de façon appréciable, avant d'envoyer à la B.B.C. anglaise des messages fantaisistes tels que:

" Je franchis le cap Horn…le cap de Bonne-Espérance…je retourne en Angleterre…"

 

Pour tout le monde, Crowhurst était le premier.

 

Il est curieux de constater que la très sérieuse B.B.C. n'ait pas eu l'idée d'enregistrer les signaux radio qu'il émettait, ou tout au moins de radiogoniométrer sa réelle position !

 

Le 24 juin 1969, le navigateur reçut un message du SundayTimes :

"Rencontre prévue aux Îles Sorlingues…B.B.C. prépare interview exclusif pour les journaux…les éditeurs intéressés…arrivée triomphale prévue." 

 

Pris de panique, le marin décida de ne plus répondre et confia la vérité à son carnet de bord.

 

Il avoua que son bateau n'avait jamais bougé du 35° parallèle, mais ajouta des commentaires qui, pour certains, dénotait d'un dérangement profond…et pour d'autres d'une réalité que beaucoup refusent d'admettre !

 

Découvert dans la cabine du trimaran par les sauveteurs, un livre composé de 25.000 mots constitue le testament du navigateur disparu.

 

Il parle de Dieu et du système d'un monde où un cerveau cosmique se joue de lui;

 

Est-il resté de son plein gré dans la zone des Açores ?

 

Sa confession, sincère cette fois, laisserait supposer que des forces inconnues, issues d'un monde invisible, l'y ont contraint.

 

Il maudissait les ETRES COSMIQUES qui jouaient à des jeux avec les humains.

Ils s'amusent, écrivait-il, à imaginer des systèmes capables de fabriquer des êtres cosmiques par eux-mêmes.

 

La souffrance résulte de ce jeu !

 

Le 30 juin, il écrit qu'il est décidé à mourir :

 

"Mon âme est désormais en repos. je vous livre mon carnet de bord, la seule beauté est la vérité, personne ne doit et ne peut faire plus qu'il n'est possible. C'est la fin, la vérité est révélée, j'abandonne mon jeu à 11h50."

 

Nous pouvons toujours nous interroger sur la valeur exacte des confidences posthumes du marin solitaire.

Un fait est certain, il s'est passé quelque chose qui avait son origine soit dans le ciel, soit dans les eaux, et là, nous songeons à l'aventure survenue à Guy Delage et au capitaine Hurgart commandant le navire anglais Mohican.

 

Peut-on croire que des Intelligences d'un monde parallèle se manifestent sous des formes énergétiques dans notre univers à trois dimensions.

 

Il semble que ces formes de vie répondent à des appels de notre inconscient.

 

Ces "fantômes" transcendent à la fois l'espace et le temps. Nous avons dans nos dossiers les allégations matérielles de leurs passages parmi nous.

 

Mais la vérité est peut-être " Ailleurs ".

 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0