L'HUMANITÉ VUE DE L'ESPACE

 

L’humanité vue de l’espace, est un documentaire (1h27) sur l'évolution de l'humanité, des chasseurs-cueilleurs jusqu'à l'ère industrielle et toutes les inventions qui permettent aujourd'hui d'avoir fait un bon technologique spectaculaire et très rapide à l'échèle de l'évolution humaine.

 

Il explore depuis l'espace l'incroyable influence de l'Homme sur la Terre, la manière dont nous avons transformé de vastes territoires de notre planète et créé un monde interconnecté d'une extraordinaire complexité.

 

Depuis son apparition sur Terre, l’Homme s’est hissé au rang d’espèce dominante, jusqu’à façonner aujourd’hui un monde interconnecté d’une grande complexité visible de l'espace.

Le documentaire revient sur les innovations parfois modestes qui ont changé le cours de la civilisation, s’interrogeant également sur la manière dont l’humanité devra relever des défis pour assurer sa survie.

Grâce à des données satellites et à des images de synthèse, on découvre comment l'humanité a évolué de groupes de chasseurs-cueilleurs jusqu'à devenir une espèce dominante sur l'ensemble de la planète, en faisant des allers-retours dans le temps pour bien illustrer la façon dont nous avons transformé notre planète, mais sans rentrer dans le détail des conséquences pour la planète et ses humains...

 

Sur les quatre milliards d'années environ d'existence de notre planète, toutes les espèces connues dateraient de moins de cent million d'années, l'Homme de moins d'un million d'années, le plus ancien dessin connu étant sur la paroi d'une caverne datant de 30.000 ans.

Il y a tout juste 500 ans, l'invention de l'imprimerie accélérait la diffusion du savoir. 200 ans nous séparent de la machine à vapeur qui provoqua la révolution industrielle. Avec ses 50 ans, l'ordinateur fait figure de jeunot. Et pourtant, quelle comparaison possible entre le premier ordinateur de 50 tonnes, 25 kilowatts, quelques milliers de positions de mémoire et une centaine d'instructions par seconde, avec le micro processeur Pentium de quelques grammes, 25 watts, 8 à 32 Mega-octets de mémoire, et 100 millions d'instructions par seconde. Tout laisse à penser que dans 10 ans le Pentium apparaîtra aussi démodé que le premier ordinateur.

 

La science et la technologie ont de plus en plus d’influence sur la vie des gens. Les avantages que l’humanité en a récemment tiré sont sans précédent dans l’histoire de l’espèce humaine, mais dans certains cas les impacts ont été nuisibles, ou leurs répercussions à long terme suscitent de graves préoccupations.

Un fort courant de méfiance à l’égard de la science et de crainte de la technologie existe dans le public aujourd'hui. Il s’alimente en partie au fait que certains individus et certaines collectivités croient qu’ils seront ceux et leurs descendants qui auront à subir les conséquences néfastes indirectes des innovations techniques qui ont été introduites au profit seulement d’une minorité privilégiée...

 

Le pouvoir de la science de changer les choses impose aux scientifiques l’obligation de faire preuve de beaucoup de prudence dans leurs actions et leurs paroles. Les scientifiques devraient réfléchir aux conséquences sociales des applications technologiques de leur travail et expliquer au public et aux décideurs la part d’incertitude ou d’inachèvement scientifique que leurs découvertes comportent.

Mais, parallèlement, ils ne devraient pas hésiter à exploiter à fond la capacité prévisionnelle de la science, avec toutes les réserves qui s’imposent, pour aider les gens à s’adapter au changement de l’environnement, en particulier en cas de menaces directes telles que les catastrophes naturelles, les pollutions diverses et industrielles, ou les pénuries d’eau, de matières premières, le changement de biodiversité, etc.

 

Nous surexploitons notre minuscule planète Terre.

 

Pour enrichir toujours plus la même minorité, on nous pousse à la surconsommation inutile.

 

Quand l'humanité va enfin en prendre conscience et changer de comportement ?

 

"L'humanité vit à crédit !"

 

En 2017 et en seulement sept mois, toutes les ressources que la Terre peut produire en une année ont été consommées. Pour continuer à boire, à manger, à nous chauffer ou à nous déplacer, nous devons surexploiter les écosystèmes et compromettre leur capacité de régénération...

 

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