Une rencontre avec un OVNI impliquant des militaires US en Afghanistan

Article publié par Olivier de Sedona

 

D'après une information de Marie Cisneros qui est la directrice du MUFON pour l'état du Montana il y aurait eu une rencontre entre un OVNI et une section de quinze militaires en 2004 dans la capitale Afghane.

 

 

Cet incident, répertorié dans la base de données comme CE-2, s'est produit vers minuit le 10 mai 2004 lorsqu'une unité des forces spéciales de l'armée a vu un objet sphérique inconnu à travers des lunettes de vision nocturne alors qu'elle était en service à Kaboul, en Afghanistan. 

 

Dans son rapport, un militaire originaire du Montana a déclaré que pendant qu'il était en mission à Kaboul, en Afghanistan, lui et toute une unité de l'armée de quinze hommes ont été témoins d'un OVNI.

 

Le témoin a déclaré que cet engin était «énorme» et qu'il était si près qu'ils auraient pu lancer une pierre et l'atteindre. L'objet non identifié semblait sortir de nulle part et flotter au dessus de l'une des montagnes au sud qui était à l'est de la base qu'ils avaient construite. 

 

 

Quand ils l'ont vu, ils se sont arrêtés et ont regardé avec étonnement et admiration.

 

 

L'OVNI ne faisait aucun bruit et ce qui est vraiment étrange dans cette affaire était qu'il ne pouvait pas le voir à l'œil nu, mais uniquement à travers des lunettes de vision nocturne. Le témoin a décrit l'objet ayant l'apparence d'une ampoule mais était une sphère et était à peu près de la taille de la lune en comparaison. Il avait une apparence translucide mais brillait, éclairait toute la zone environnante avec ses lumières. 

 

Pendant qu'ils le regardaient, il planait à environ 15-30 mètres au dessus du sol, se déplaçant lentement à environ 10km/heure.

 

Il se trouvait à environ 100 mètres du périmètre extérieur du camp de base et, alors qu'ils surveillaient l'engin, leur commandant se trouvait au camp de base, au sud-ouest de leur position. 

 

Le commandant pourrait également avoir vu l'objet car à la radio il a annoncé à l'unité je cite «de se remettre au travail, c'est rien», en parlant de l'engin en question...

 

Après que leur commandant leur ait dit de retourner au travail, ils ont regardé ce vaisseau pendant encore dix minutes avant de devoir se retourner et retourner vers le nord.

 

L'engin s'est arrêté à environ 400 mètres au nord-est de leur position et a semblé s'arrêter au-dessus du feu de camp que certains habitants de la ville avaient fait.

 

L'OVNI a alors tiré un faisceau lumineux sur leur camp, mais ils ne pouvaient pas voir la base du tire d'où ils étaient, juste le scintillement sur le dos de la montagne. Ils ne pouvaient pas voir ce qui se passait sur le sol avec ce faisceau de lumière.

 

Pendant ce temps, le chef d'escouade a arrêté de regarder et a voulu retourner au travail, alors le témoin qui a fait connaître ce cas est retourné dans le Humvee (véhicule de transport) et ils ont commencé à conduire vers le nord.

 

 

Le témoin a déclaré qu'il voulait continuer à regarder l'objet, mais ils l'ont perdu de vue lorsqu'ils sont partis parce qu'une colline bloquait leur vue; qui était la même colline qui bloquait le faisceau qu'ils avaient vu.

 

Après une minute de route vers le nord, il a remarqué que l'objet avait décollé du campement local. Il a déclaré que l'objet a décollé à la verticale à très grande vitesse, faisant même un angle de 90 degrés tout droit jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus le voir. 

 

Pour lui, les lumières de l'engin semblaient avoir une réaction tardive parce que l'engin avait décollé si vite. Des rayons de lumière dans le ciel lors du départ ont également été observés avant la disparition de l'OVNI.

 

Son rapport au MUFON était la première fois qu'il avait parlé de cet incident à quelqu'un d'autre que sa famille.

 

L'ufologue Marie Cisneros a regardé les informations qui figuraient sur le rapport et a écouté l'interview audio donnée par le témoin. Elle l'a senti crédible, donnant de bons détails d'une manière cohérente et factuelle. Elle n'a rien trouvé dans sa manière de parler qui puisse indiquer une tromperie intentionnelle.

 

En l'état actuel, ce n'est que l'un des milliers de cas rapportés par le personnel militaire. 

 

 

Olivier de Sedona

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