Anciens témoignages d'Ovnis (Charenton-France, Tahiti et Valensole-France)

 

Article publié sur le site http://ovniparanormal.over-blog.com de 

Christian Macé

Monsieur Macé nous fait part d'un courrier reçu  le  mercredi 07 mars 2018 :

"cette remarquable lettre d'informations ovnis de Daniel Guigner, qui habite dans le même département du Var, en France, que moi-même. Grand Merci à Daniel ! On apprend que des observations d'ovni à Tahiti ont été censurées.."

 

Ci-après, la lettre in extenso de Daniel.

 

Les illustrations sont de Christian Macé .

 

L'observation de Charenton en 1957

 

C'est un témoignage ancien ; mais il est des événements dans la vie qui dépassent l'imagination et qui restent indélébiles, parce qu'on y pense souvent sans jamais apporter de réponse.

 

Malgré mon jeune âge à l'époque de ces faits, j'étais un passionné d'aviation. Je voulais devenir pilote (ma vue est de 13/10 et n'a pas changé), je ne manquais jamais le meeting du Bourget et les appareils de ces années là n'avaient aucun secret pour moi ; j'avais une bonne connaissance du fonctionnement des réacteurs, statoréacteurs, pulsoréacteurs (V1), turbocompresseur et le mode de propulsion des fusées à carburant et comburant liquides, comme les V2...

 

C'était en 1957, j'avais 15 ans et sortais du collège Darsonval, situé à St Maur-des-Fossés dans la région Parisienne, en compagnie de plusieurs camarades.

Un bus nous déposa et nous devions traverser le pont de Charenton qui enjambe la Marne pour rejoindre la commune de Maisons-Alfort où nous habitions.

 

Ci-après, une vue ancienne, une scène figée, à Charenton, dans le Val-de-Marne, près de Paris :

 

 

Il était environs dix huit heures, au beau milieu du mois de juin, il faisait jour et le ciel était bleu sans nuages.

 

En arrivant vers le milieu du pont, nous rencontrâmes un attroupement d'une dizaine de personnes qui regardaient vers le ciel, à la verticale. Un bus à plateforme arrière, typique de ces années là, s'était arrêté à la demande des passagers pour pouvoir observer cette érange apparition.

 

Instinctivement, nous avons également levé la tête pour apercevoir ce qui paraissait être de prime abord : deux ballons.

 

Ma première réaction fut : "tiens, des ballons sondes".

 

Et puis, après quelques secondes de réflexion : "Non, ce ne peut pas être des ballons".

 

Mes camarades qui connaissaient mon intérêt pour l'aviation me demandèrent pourquoi !

Je répondis que s'il s'agissait de ballons sondes ou de ballons captifs, il y aurait des instruments ou des nacelles fixées en dessous. Or là, il n'y avait rien. Et puis, ces deux objets en position statique et silencieux de couleur grise d'aspect métallique, qui apparaissaient de la taille d'une grosse pièce de monnaie tenus à bout de bras et qui auraient dû bouger à cause du vent, étaient pour le moins insolites.

 

J'avais baissé la tête un moment pour argumenter avec mes camarades, mais l'un deux qui continuait à observer le ciel s'écria soudain "regardez, regardez !".

 

Je levais la tête à nouveau et vis ce qui restera à jamais gravé dans ma mémoire : un des deux objets, que je croyais être une sphère, bascula sur lui-même et se révéla être à ma grande surprise un engin discoïdal se positionnant pour un départ.

 

Ce fut fulgurant, l'appareil s'élança dans le ciel, silencieux, suivant une trajectoire courbe, à une vitesse prodigieuse, en laissant une très fine traînée noire, comme un trait de crayon qui se dissipa instantanément, et disparut définitivement dans le ciel.

 

Les yeux grands ouverts, stupéfait, totalement abasourdi, mais conscient de l'événement  qui venait de se produire, je suivis avec l'attention que vous devinez, le départ du deuxième appareil.

 

Lui aussi s'élança dans le ciel dans les mêmes conditions que le précédent. Avec une caméra, ou un téléphone portable de nos jours, j'aurais réalisé le film du siècle. Parce que, à la différence des observations classiques de lumières ou d'objets lumineux, il s'agissait d'objets matérialisés, d'aspect métalliques, observés en plein jour, devant de nombreux témoins...

 

 

A cet instant précis, j'ai su que ces extraordinaires machines ne venaient pas de "chez  nous"  ; contrairement à ce que pensaient mes camarades, ainsi que de nombreux autres témoins et même ma famille à qui je raconterai cet événement plus tard ; tous étaient persuadés que c'était les américains, les soviets ou les chinos avec leurs armes secrètes.

 

Ce fut la première fois qu'on parla à la radio , en France, de soucoupes volantes qui auraient été aperçues dans la région parisienne (C'était une des premières émissions d'Europe 1, nous n'avions pas la télévision en ce temps  là).

 

Les années 50 furent riches en événements de ce genre.

 

Presque 60 ans plus tard, de nos jours, je ne connais toujours pas l'appareils semblable sur la Terre capable de telles performances.

 

Il ne fait pas de doute que parmi les milliards de galaxies qui composent notre univers, à commencer par la notre dont le diamètre est de 100 000 années lumières, il doit exister de nombreuses planètes qui gravitent autour des 200 milliards d'étoiles semblables à notre soleil. Et que la vie a forcément dû apparaître sur un grand nombre d'entre-elles.

 

Je suis convaincu que nous sommes "visités" depuis longtemps, sous la forme d'apparitions soudaines ou furtives, par curiosité, pour des raisons scientifiques ou cherchant peut-être à nous avertir d'un danger pour notre planète (Comme l'équipage d'un engin extraterrestre l'a fait comprendre à des enfants d'une école au Zimbabwe) en évitant les contacts directs  avec des autorités qui, de nos jours et par sécurité, envoient des avions de chasse qui ouvrent le feu avant de se poser des questions...

 

Leur capacité de voyager ou de déplacement dépasse tout ce que nous connaissons et serait même totalement incompréhensible à notre niveau. Une technologie qui aurait des milliers, voir des millions  d'années d'avance sur la notre et dont l'approche pourrait être dangereuse pour les humains que nous sommes...

 

Je ne crois pas qu'il faille espérer le moindre contact officiel avant longtemps, nous ne  vivons pas dans le même espace temps et le choc des civilisations pourrait être profondément traumatisant pour la majorité des êtres humains non préparés à un tel événement et imprégnés de religion.

 

Pour ces êtres là, la vitesse de la lumière et nos fusées lunaires, c'est l'âge de pierre !

 

Des contacts ou des visites se sont probablement produits à une époque reculée, faisant croire aux hommes qu'il s'agissait de divinités (Nazca ?) ou d'apparitions (Lourdes et  Fatima en particulier dont on sait qu'un engin discoïdal d'aspect métallique vu par des milliers de personnes fit croire à la "danse du soleil", et récemment au Zimbabwe où deux  humanoïdes  semblables à ceux de Valensole (voir plus loin), laissèrent un message écologique télesthésique (perception à distance d'un phénomène non accessible par des voies sensorielles) dans l'esprit des enfants sur nore planète en danger dextinction à plus de 60 élèves dans la cour d'une école pendant que les professeurs éaient en réunion).

 

On remarquera qu'à chaque fois qu'il y eu un contact délibéré, il s'agissait souvent d'enfants et dans des régions reculées : Lourdes et Fatima à l'époque et le Zimbabwe aujourdhui...

Quoi qu'il en soit, jusqu'à présent, ils ne se sont jamais montrés hostiles.

 

Preuve que leur intelligence, et leurs connaissances, sont très supérieurs à la notre.

 


Les observations de TAHITI 

 

1.

Cette année là, j'étais responsable de l'école du Club Méditerranée à Moora, près de Tahiti.

 

Michel, un de nos amis plongeur était pilote sur NEPTUNE, un bimoteur de patrouille maritime bourré d'électronique qui avait pour mission de surveiller une zone gigantesque aux alentours de Fangataufa où devait avoir lieu un essai nucléaire arien français.

 

 

Au cours d'une de ces missions, le radar du bord signala qu'un appareil survolait l'océan à faible altitude et à faible vitesse.

 

Ce qui était surprenant ; seul un hélicoptère pouvait voler à cette vitesse et la première île se situant très loin, il était donc tout à fait improbable qu'un appareil de ce type puisse voler dans cette région.

 

Aussitôt le NEPTUNE changea de cap et se dirigea vers l'appareil repéré.

 

Michel me raconta qu'au loin ils aperçurent un objet brillant volant au ras des flots. Ce n'est qu'en s'approchant suffisamment que l'équipage s'aperçu qu'il s'agissait d'un engin  discoïdal énorme qui soudain, fila à une vitesse fulgurante et disparut à l'horizon.

 

Ce incident a été signalé, mais Michel fut prié de "garder" l'information secrète. Il ne m'en parla qu'à la suite du récit de l'observation que j'avais faite moi-même.

 


2.

Le deuxième témoignage est très intéressant :

 

Un de mes amis travaillait au Club Med comme Public Relation Air France-UTA à Los  Angeles (LA). A cette époque les avions d'Air France s'arrêtaient à cette escale et étaient relayés par la compagnie UTA pour aller jusqu'à Tahiti et continuer le tour du monde.

 

Lors d'un séjour à Moorea, mon ami me raconta une histoire étonnante : un équipage de Mc Donnel Douglas DC 10 avait témoin d'une extraordinaire observation.

 

Cet équipage français passerait tôt ou tard à Moorea en escale et j'aurai l'occasion de le rencontrer.

 

Effectivement, quelque temps plus tard, trois hommes et deux jeunes femmes se présentèrent à mon faré de plongée au village du Club. Ils voulaient me voir. Mon ami de  LA leur avait parlé de mon témoignage, et très marqués par leur expérience, ils étaient ravis de rencontrer une personne qui avait été confrontée au même phénomène.

 

Voici ce qu'ils me racontèrent :

 

Au cours d'un vol DC 10 d'UTA Tahiti-LA, l'avion volait sur pilote automatique, il faisait encore jour, le pilote et le copilote conversaient lorsque soudain, l'un d'eux remarqua une ombre sur le nez de l'appareil. A 9000 mètres d'altitude et à la vitesse de 900 km/h, ce ne pôuvait pas être un nuage !

 

 

Tous se penchèrent vers le pare brise pour voir voir ce qui pouvait provoquer cette ombre. 

 

Ils restèrent stupéfaits lorsqu'ils réalisèrent qu'il s'agissait d'un énorme appareil discoïdal qui dépassait "lentement" le DC 10.

 

D'après eux, les dimensions de l'objet circulaire étaient à peu près celles du DC 10.

 

La position haute de l' "intrus" ne permettait pas aux passagers de l'observer.

Progressivement, l'appareil inconnu dépassa l'avion pour aller se positionner devant, à environs 500/700 mètres, d'après le radar météo.

 

Aussitôt, le commandant de bord demanda à une hôtesse de trouver rapidement un passager disposant d'une caméra. Très vite, elle revint avec un homme équipé d'une caméra super 8 (il n'existait pas de vidéo à cette époque).

 

L'homme eu le temps d'impressionner deux cassettes de 3 minutes avant que l'engin observé disparaisse soudainement, à une vitesse hallucinante, à l'horizon.

 

Immédiatement, le commandant de bord contacta LA pour annoncer l'observation d'un  UFO dont l'équipage fut témoins et des films réalisés.

 

Un interlocuteur lui demanda de bien vouloir patienter un instant.

Presque aussitôt, un nouvel interlocuteur répondit sèchement : vous être priés de faire le black-out immédiatement, nous vous verrons à l'escale de LA.

 

A l'aéroport, dès que la passerelle fut mise en place, deux hommes habillés de noir avec chapeaux, style FBI de l'époque, pénètrent dans l'appareil avant qu'en descendent les passagers.

 

L'équipage et le passager caméraman furent réunis à l'avant.

 

Les deux hommes réclamèrent les deux films, les empochèrent et dirent : "vous n'avez rien vu, ne parler de cela à personne et surtout pas à la presse". Puis ils disparurent aussi vite qu'ils étaient arrivés.

 

3.

Autre témoignage indirect d'un fait très connu (Valensole)

 

Cette histoire a défrayé la chronique en 1965 et continue de nos jours à susciter des polémiques : il s'agit de la fameuse rencontre du 3ème type de Valensole que l'on peut découvrir sur le net pour ceux qui ne connaissant pas cette histoire.

 

Je vous conseille vivement de regarder sur You Tube l'interview de Maurice Chaspoul, que j'ai eu la chance de rencontrer récemment, ex Conseiller Général de Haute-Provence, qui était un ami et le légataire du héro de cette histoire : OVNI : retour sur la rencontre du 3ème type à Valensole.

 

En gros : un cultivateur, Maurice Masse, aurait été témoin d'un atterrissage d'OVNI dans son champs de lavande. Deux humanoïdes de petite teille très minces avec une grosse tête avec de grands yeux en V semblaient prélever des échantillons de lavande, voyant Mr Masse, ils le paralysèrent à quelques mètres.

 

L'homme qui restait conscient vit les créatures continuer leur ramassage et avant de regagner leur appareil ils le regardèrent avec leurs grand yeux dans lesquels ils ressentit une immense bonté. Après quoi ils pénètrent dans leur machine qui décolla et disparut à une vitesse prodigieuse.

 

Très perturbé, Mr Masse ne raconta cette histoire aux gendarmes que plusieurs jours plus tard car il craignait le ridicule... Ce qui déclenchât une ruée de nombreux journalistes venu du monde entier et des analyses très poussées du site de l'atterrissage.

 

Lorsque j'ai connu ma femme Mireille, elle travaillait au centre de recherches nucléaire de Cadarache. Grâce à elle j'ai pu faire la connaissance de personnels et ingénieurs de ce site prestigieux très fermé.

 

L'un d'entre eux, qui allait devenir un ami, Richard, qui habite Manosque, m'invitât un jour à ramasser des olives das un champ dont il était le propriétaire sur le plateau de Valensole.

 

Aussitôt le nom de Valensole me fit sursauter et immédiatement je fis le rapprochement avec la "soucoupe volante" de Maurice Masse et j'en fit part à notre ami qui ne fut pas étonné.

Je connais très bien Maurice, me dit-il, d'ailleurs son champ de lavande jouxte le miein sur le plateau de Valensole où je possède également un petit mas.

 

Richard me déconseilla de rencontrer Mr Masse qui ne voulait plus parler de cette histoire et qui aurait pu devenir riche tant il eu de propositions, mais il a toujours refusé.

 

Grâce à note ami, j'eu l'occasion de voir l'emplacement où se posa cet engin venu d'ailleurs.

 

C'était un cercle de lavande blanche (deuxième photo plus bas), contrastant fortement avec le bleu lavande du champ dans on ensemble.

 

Richard ma racontât que pendant des années, à cet emplacement, la terre était comme du béton (première photo), et rien ne poussait ;  on aurait dit que quelque chose d'une masse colossale s'était posée là.

 

Lorsque je lui parlais de la crédibilité de Mr Masse, il me confirma que c'était un homme très sérieux qui n'aurait jamais pu inventer une telle histoire.

 

Maurice Masse, resté très discret, avait gardé un souvenir extraordinaire de son expérience et il considérait ces humanoïdes comme des amis bienveillants.

 

Il paraît même que peu de temps avant sa mort il aurait revu le même objet passant lentement au-dessus de lui, comme un dernier adieu.

 

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