Des débris du site du crash de Roswell pourraient être confisqués

 

Publié le 28/06/2018 sur le site 

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Un chercheur ayant découvert un matériau particulier sur le site du crash de Roswell, où beaucoup pensent qu'un engin spatial extraterrestre s'est écrasé, prétend que le "Bureau of Land Management" (BLM) pourrait confisquer sa découverte dès la semaine prochaine. Il affirme être sur le point de prouver que le matériel recueilli est d'origine extraterrestre et cherche de l'aide pour empêcher le BLM de mettre un terme à ses recherches.

 

INFO A PRENDRE AVEC DES PINCETTES !

 

Frank Kimbler enseigne la géologie et d'autres sciences de la terre à l'Institut militaire du Nouveau-Mexique de Roswell.

 

Lorsqu’il est arrivé à Roswell pour débuter ses recherches à l'Institut, il a avoué s’intéresser à la légende locale au sujet du présumé crash de Roswell en 1947.

 

Kimbler a examiné des photos de satellites de la région et mis en évidence des zones où il semblait que le sol avait été brûlé. Il a fouillé ces zones et trouvé des fragments inhabituels.

 

Un test de rapport isotopique initial effectué en collaboration avec le musée et centre de recherche ufologique de Roswell n'a pas été concluant, mais a suggéré que le matériel pouvait être d'origine non terrestre.

 

Kimbler a poursuivi ses recherches sur le matériel et déclaré être proche de prouver qu’un engin d’origine extraterrestre s’était bien crashé à Roswell.

 

Kimbler a récemment été contacté par le BLM qui lui a exhorté d’apporter le matériel le lundi 25 juin.

 

Cette nouvelle arrive moins de deux semaines avant le festival ufologique annuel de Roswell.

 

Le Bureau of Land Management aurait contacté Kimbler en lui demandant d'apporter les artefacts découverts, en invoquant des lois américaines.

 

Kimbler dit que le BLM a été informé de ses recherches dans le cadre de recherches réalisées autour des organisateurs du festival.

Cependant, selon Kimbler, selon une brochure de BLM, il ne viole aucune de leurs règles.

 

En effet, la brochure dit qu'il a le droit de récupérer une

quantité « raisonnable » de matériel, à condition que cela ne représente pas de vestige historique ou culturel.

 

Le matériel que Kimbler a recueilli ne correspondrait à aucune de ces spécifications, à moins qu'ils ne prouvent le contraire.

 

Selon lui, le gouvernement tente de prendre possession de son matériel découvert sur le lieu de l'écrasement et demande donc l’aide du public !

 

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