Au-delà du 11 Septembre - 11/09/2018

 

Ceci est juste un petit rappel en mémoire à toutes les victimes américaines qui se font encore berner. Par ailleurs les théoriciens du complot US n'ont jamais été aussi nombreux.

 

L'organisation "AE911Truth" publie un livre remettant en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 à New York. Encore une nouvelle théorie du complot? Certes, sauf qu'elle rassemble cette fois plus de 2.351 architectes et ingénieurs.

 

 

Dans leur livre, ils disent n'apporter que des preuves scientifiques vérifiées par plus de 2.000 experts (architectes et ingénieurs). 

 

Richard Gage, le fondateur de l'association "AE911Truth", y dénonce les failles de l'enquête menée par le National Institute of Standards and Technology (NIST). Il exige une nouvelle enquête indépendante sur les causes de l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

 

Le mystère WTC 7

Les architectes et ingénieurs veulent surtout savoir pourquoi le WTC 7, le "petit frère" des Twin Towers situé à 100 mètres au nord du lieu du drame, s'est aussi effondré. Il s'est écroulé vers 17.20 (heures locales), soit sept heures après. L'US Secret Service, Department of Defense et la CIA louaient quelques bureaux dans ce bâtiment.

Jane Standley, la célèbre journaliste de la BBC, présente à New York le 11 septembre 2001, avait informé les téléspectateurs que le WTC 7 venait de s'effondrer, plus de 20 minutes avant les faits. Lors de son reportage, le bâtiment était encore visible en arrière-plan (voir la vidéo sous l'article).

 

Des explosifs contrôlés?

La manière dont le WTC 7 a chuté intrigue les experts. C'est un vrai mystère pour Richard Gage et les 2.351 architectes et ingénieurs. Il s'est effondré tout droit, comme si des explosifs avaient été contrôlés pendant la chute du bâtiment. Mais une telle explosion exige des mois de préparation et une extrême méticulosité.

 

D'après le rapport officiel, les incendies aux différents étages ont eu pour conséquence que les poutres en acier ont commencé à lâcher. Cela a provoqué une réaction en chaîne.

 

Des questions sans réponses

Mais selon Richard Gage, cette théorie est impossible. Un incendie de bureau ne peut pas faire autant de dégâts. Leslie Robertson, l'entrepreneur en chef du complexe du WTC, partage le même avis.

Qui a contrôlé ces explosifs à distance? Pourquoi? Richard Gage ne connaît pas les réponses à ces questions. Mais il est persuadé d'une chose: la version officielle sur les causes de l'effondrement des tours du World Trade Center n'est pas correcte.

 

10 faits irréfutables sur le 11 Septembre

 

Les chercheurs qui tentent d’élucider le crime perpétré le 11 septembre 2001 – que l’on appelle communément l

es « chercheurs de vérité sur le 11 Septembre » – sont souvent critiqués pour avoir utilisé des conjectures et des spéculations à l’appui de leurs affirmations.

 

Une telle critique peut parfois être justifiée, bien que souvent entachée de mauvaise foi.

En fait, il n’est pas nécessaire de recourir à des arguments spéculatifs pour démontrer que le compte rendu officiel du 11 Septembre est frauduleux car il existe des faits tangibles à l’appui de cette conclusion. 

 

1. Les autorités américaines n’ont pas réussi à retrouver, arrêter, juger, et punir une seule personne responsable du crime contre l’humanité commis le 11 Septembre.

 

Le meurtre de masse commis le 11 septembre 2001 est, selon le droit international, un crime contre l’humanité.

 

L’État où il a été commis – en l’occurrence les États-Unis d’Amérique – a l’obligation envers la communauté internationale de retrouver, d’arrêter, de juger et de punir les personnes responsables de ce crime.

 

Depuis 2002, les autorités américaines reconnaissent détenir à Guantánamo plusieurs personnes accusées d’avoir orchestré le 11 Septembre.

 

Leurs identités restent douteuses ; leurs prétendus aveux ont été extorqués à huis clos ; et leur procès devant un tribunal militaire ne respecte pas les normes internationales minimales en matière de procédure régulière.

 

Les autorités américaines affirment avoir condamné Zacarias Moussaoui à la réclusion à perpétuité pour n’avoir pas averti le FBI des préparatifs du 11 Septembre, une allégation qu’il a niée.

 

Aucune preuve n’a été présentée démontrant qu’il était impliqué dans les préparatifs du 11 Septembre ou qu’il savait quoi que ce soit au sujet de ces préparatifs. Il n’a pas même pas été prouvé qu’il connaissait les prétendus pirates de l’air. 

 

Les autorités américaines prétendent également détenir à Guantánamo, depuis 2003, un homme du nom de Khalid Sheikh Mohamed (KSM) qui aurait avoué avoir orchestré le 11 Septembre et plus de 30 autres opérations terroristes.

 

Il aurait également avoué avoir planifié une attaque contre une banque de l’État de Washington qui n’existait pas encore lorsqu’il a été enfermé à Guantánamo.

 

L’homme, dont l’identité reste trouble et dont le lien avec le 11 Septembre se résume à son invraisemblable confession, n’a pas été jugé et encore moins condamné.

 

Personne ne s’attend sérieusement à ce qu’il soit traduit en justice, encore moins à ce qu’il bénéficie d’un procès conforme aux normes internationales.

 

2. Lorsqu’elles ont annoncé leur décision d’attaquer l’Afghanistan, les autorités américaines n’ont pas apporté la preuve que le crime du 11 Septembre était lié, d’une quelconque façon, à l’Afghanistan. En fait, les preuves n’ont toujours pas été produites.

 

Lire la lettre du représentant des États-Unis, John Negroponte, au président du Conseil de sécurité des Nations Unies, le 7 octobre 2001 (archive).

 

3. Le gouvernement des États-Unis n’a pas permis une enquête sur les événements du 11 Septembre qui auraient pu satisfaire à des normes internationales minimales : la Commission sur le 11/9 n’a été ni indépendante ni impartiale, et son enquête n’a été ni approfondie ni transparente.

 

En ce qui concerne les normes minimales d’enquête, lire « The Events of 11 September 2001 and the Right to the Truth » d’Elias Davidsson, (archive) 

 

4. Bien qu’Oussama ben Laden ait été dépeint en chef terroriste, les autorités judiciaires des États-Unis n’ont pas réussi à l’inculper dans le cadre du 11 Septembre. Il n’était même pas recherché pour une quelconque connexion avec ce crime.

 

Le FBI a admis en juin 2006 qu’il ne possédait aucune preuve concrète reliant Oussama Ben Laden au 11 Septembre. (Lire, «  FBI says, it has no ‘hard evidence connecting Bin Laden to 9/11‘  » d’Ed Haas publié dans Information Clearing House le 18 juin 2006, [archive])

 

5. Les autorités des États-Unis n’ont pas réussi à fournir des preuves claires et convaincantes démontrant que les 19 personnes désignées par le FBI comme pirates de l’air avaient embarqué à bord des avions qu’elles auraient par la suite détournés.

 

Pour être précis: les autorités américaines n’ont pas produit de listes de passagers authentifiées incluant les noms des présumés pirates de l’air; de témoins ayant vu ces prétendus pirates de l’air dans les aéroports ou à bord des avions ; de vidéos authentifiées de caméra de sécurité prouvant leur présence dans les aéroports de départ ; et de tests ADN identifiant les restes de ces individus (lire l’analyse détaillée dans Hijacking America’s Mind on 9/11 d’Elias Davidsson [Algora Publishers, New York, 2013], chapitre 2).

 

6. Les autorités américaines n’ont pas réussi à produire des preuves claires et convaincantes démontrant que les avions de ligne se sont écrasés aux différents sites le 11 Septembre.

 

 Le FBI a admis dans une lettre adressée à la Cour américaine du Nevada District le 14 mars 2008 et signée par le procureur fédéral adjoint Patrick A. Rose, que les dossiers censés détailler la collecte et l’identification formelle des débris des avions écrasés n’existent pas (archive).

Le procureur a donc admis que le FBI n’avait pas identifié formellement les débris trouvés sur les différents sites comme appartenant aux avions prétendument détournés. Il n’est donc pas établi que les avions prétendument détournés se sont bien écrasés à ces endroits.

 

7. Les autorités américaines n’ont pas expliqué pourquoi plus de 1 100 personnes, présentes au World Trade Center le 11 Septembre, ont disparu.

 

De vastes parties des tours jumelles ont été littéralement pulvérisées, comme en témoignent des vidéos, des photos et des témoignages.

En 2011, pour plus de 1100 personnes disparues, pas une seule dent, un seul ongle ou un seul fragment d’os n’a encore été retrouvé (Lire, entre autres : « Connecting with lost loved ones, if only by the tips of fingers » d’Anemona Hartocollis, publié dans The New York Times le 11 septembre 2011 [archive]).

 

Les autorités américaines n’ont jamais expliqué comment plus de 1100 personnes ont pu disparaître sans laisser de traces. Elles ont l’obligation, en vertu des lois sur les droits de la personne, de déterminer la raison de ces disparitions.

 

8. Les autorités américaines ont indemnisé les familles des victimes du 11 Septembre qui ont accepté de renoncer à leur droit d’intenter de futures actions en justice. L’indemnisation a dépassé d’au moins sept fois le montant versé aux familles des pompiers décédés lors des opérations de sauvetage du 11 Septembre.

 

Les familles des victimes ont reçu du Fonds d’indemnisation des États-Unis, établi en octobre 2001, une moyenne de 2,1 millions de dollars si elles acceptaient de renoncer à leur droit d’engager une procédure civile (Lire, entre autres, « 9/11 Chief Faults Payments », de Brian Bernbaum, publié sur CBS News, le 4 septembre 2003 [archive]). En 2013, les conjoints de pompiers qui décèdent dans l’exercice de leurs fonctions peuvent obtenir 333 605 $ en vertu de la loi sur les avantages sociaux des agents de la sécurité publique (42 U.S.C. 3796). Le chiffre pour 2001 était sans aucun doute inférieur. 

 

Les 95 familles, qui n’ont pas présenté de demande au Fonds d’indemnisation et qui ont préféré laisser les tribunaux statuer sur leurs droits, ont obtenu en moyenne 5,5 millions $ en règlements extrajudiciaires (voir « The 9/11 Victim Settlements: A Chat with Skadden’s Sheila Birnbaum » d’Ashby Jones publié dans The Wall Street Journal, le 13 mars 2009 [archive]).

 

9. Les autorités américaines n’ont pas expliqué l’impact des nombreux exercices militaires effectués le matin du 11 Septembre – y compris la simulation de détournements d’avions – sur le déroulé de ce meurtre de masse.

 

Les exercices militaires ont semé la confusion et ont surpris les militaires et les civils responsables du trafic aérien, comme l’ont signalé les médias américains. Par exemple, le major-général du NORAD, Larry Arnold, a déclaré : « À la fin de la journée, vingt-et-un aéronefs ont été identifiés comme de possibles détournements » (Lire, « Conversation with Major General Larry Arnold », d’Eric Hehs, publié dans One Magazine, en janvier 2002 [archive]). Le colonel Robert Marr, commandant de bataille du NEADS, a affirmé qu’on lui avait rapporté 29 cas de détournements dans tout le pays. (Lire, « Commander of 9/11 Air Defenses Retires » de Robert A. Baker, publié dans Newhouse News Service, le 31 mars 2005 [archive]). Les autorités américaines n’ont pas expliqué comment ces exercices avaient affecté le déroulé du crime, notamment l’apparente incapacité à intercepter les avions détournés.

 

10. Les autorités américaines ont promu de nombreux fonctionnaires qui, selon le compte rendu officiel du 11 Septembre, n’avaient pas rempli leurs fonctions le jour des attentats.

Aucune personne n’a été tenue responsable, au gouvernement, de ce qui s’est passé avant le 11 Septembre.

 

Voici quelques exemples :

Richard Myers, responsable du Pentagone le 11 Septembre, a été promu président du comité des chefs d’état-major le 1er octobre 2001 ;

- Ralph Eberhart, responsable du NORAD le 11 Septembre, a été promu à la tête du nouveau « Northern Command » un an après le 11 Septembre ;

- Le capitaine Charles J. Leidig, directeur par intérim du Centre de commandement militaire national (NMCC) le 11 Septembre, a été promu en 2004 au grade d’amiral ;

- Le général de brigade Montague Winfield, qui était responsable du NMCC le 11 Septembre, a été promu en mai 2003 au grade de général de division deux étoiles ;

- Marion (Spike) Bowman, qui a bloqué les enquêtes du FBI sur les présumés pirates de l’air avant le 11 septembre 2001, a reçu une récompense pour "performance exceptionnelle" après qu’un rapport d’enquête du Congrès sur le 11 Septembre a affirmé que son unité avait fourni "des informations confuses et inexactes" et "manifestement fausses".

 

Conclusion

 

Les faits ci-dessus suffisent pour rejeter le compte rendu officiel du 11 Septembre et considérer l’administration du président George W. Bush comme le principal suspect pour ce crime contre l’humanité. Bien que les faits ne suffisent pas à incriminer spécifiquement des individus, ils permettent de tirer des conclusions générales sur la dangerosité du régime américain et sur la complicité de la classe politique, des principaux médias, du monde universitaire et du système judiciaire des pays membres de l’OTAN, qui ont couvert le crime du 11 Septembre et protégé ses responsables.

 

Source: Truth and Shadows

 

Et 17 ans après, toujours aucune nouvelle des 1 000 millions de dollars en or cachés sous le WTC

 

 

 

Mais qu’est-il arrivé à l’or que les 122 pays avaient stocké aux Etats-Unis d’Amérique ?

 

Personne ne le sait vraiment. Selon la Réserve Fédérale, en 1945 Fort Knox en était venu à stocker 20 000 tonnes d’or qui en 2013 se réduisaient à 4175 tonnes.

Dans le même temps, selon le web officiel de la Maison de la Monnaie, il y aurait environ 5 000 tonnes métriques d’or dans les coffres de la Federal Reserve Bank of New York(Réserve Fédérale de New York). Mais ces chiffres restent sujets à caution, car personne n’a pu les accréditer.

 

 

Déjà dans les années Reagan, lors de l’affaire de l’Irangate [Scandale politique des années 80 aux USA . Certains membres du gouvernement auraient vendu des armes à l’Iran pour financer les « Contras », mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au régime sandiniste de Daniel Ortega.

 

Il s’agissait donc bien de renverser un régime politique

dit « communiste ». Ndlt], les Etats-Unis, par manque de liquidités, avaient du recourir au narcotrafiquant bolivien Roberto Suárez Gómez pour commercialiser 500 tonnes de cocaïne sur le sol américain afin de financer les Contras et en finir avec le sandinisme au Nicaragua.

 

Ce qui est arrivé à l’or déposé dans les caves souterraines des 5 et 7 WTC après la tragédie du 11 septembre 2001, demeure également un mystère.

 

En effet, il devait s’y trouver, selon les informations officielles pour environ 1000 millions de dollars en or.

 

Et seuls 230 millions ont été retrouvés.

 

Par ailleurs, l’hebdomadaire US American Free Press a publié le 27 août 2011 une interview de l’ex parrain de la mafia Tony Gambino qui déclare

« je sais que le gouvernement de George W. Bush non seulement avait connaissance, mais a aussi contribué à organiser le 11 septembre aux fins de, premièrement provoquer une guerre en Irak, deuxièmement s’emparer de l’or caché sous leWorld Trade Center ».

 

 

En février 2014, le républicain membre du Congrès Paul Ron tira la sonnette d’alarme quand il déclara que depuis 40 ans il n’y avait eu ni audit à Fort Knox ni accès autorisé à aucun des membres du Congrès qui aurait pu permettre de s’assurer de l’existence de l’or.

 

Durant la séance, il parvint même à mettre en doute la réalité des richesses supposées à Fort Knox ou à la Banque de Réserve de New York.

Une tentative avortée de l’Allemagne pour rapatrier 300 des 1 560 tonnes conservées à New York décupla les doutes quant aux stocks d’or aux Etats-Unis.

 

En définitive, l’Allemagne n’a recouvré que 34 tonnes et la promesse de livrer les 266 tonnes restantes dans les sept ans à venir.

 

L’ex sous-secrétaire du Trésor, Paul Craig Roberts, ajoute

« les Etats-Unis d’Amérique ne détiennent pas d’or et ne peuvent donc le restituer, c’est pourquoi l’Allemagne a été sommée d’entériner cette situation et de cesser de réclamer ce qui lui appartient. Les Etats-Unis ont fait pression sur leur Etat allemand pantin pour qu’il taise la vérité et fasse paraître un communiqué modifié. »

 

De par la crise économique que traversent les Etats-Unis, on pourrait en conclure que le Grand Patron a dilapidé son or et celui des autres, mais à ce jour, personne n’est réellement en mesure de savoir ce qu’il se passe dans les profondeurs de Fort Knox et dans celles de la Banque de Réserve Fédérale.

 

Entre temps de nombreux pays font tout leur possible pour rapatrier leur or en pensant à l’avenir compliqué qui se profile.

 

Il y a quelques années, l’ex président Hugo Chávez réussit à recouvrer 39 des 300 tonnes du trésor vénézuélien dont les Etats-Unis étaient dépositaires.

 

Mais, qu’en sera-t-il pour les autres pays ?

 

Vicky Peláez pour Ria Novosti

Ria Novosti. Moscou, 4 décembre 2014.

Traduit de l’espagnol pour El Correo par : Florence Olier-Robine

 

Les 3 meilleurs documentaires sur le 11 septembre

 

 

Cette enquête journalistique s'appuie sur des interviews, filmées dans plusieurs pays, de survivants et de témoins oculaires du 11-Septembre, ainsi que celles de divers techniciens, scientifiques, chercheurs, journalistes et experts qui donnent toute sa crédibilité à l'investigation.

 

Y figurent en outre des enregistrements sonores et vidéo inédits et exclusifs, nombre de documents officiels ainsi que des modélisations informatiques jamais diffusées.

 

Trois narrateurs hors pair, le prix Nobel de littérature Dario Fo, l'actrice Lella Costa et l'homme de théâtre Moni Ovadia, guident le spectateur tout au long des moments clés du film.

 

Le documentaire comporte 6 chapitres :

 

Comment et pourquoi les tours du WTC se sont-elles

effondrées ?

- Que s'est-il passé au Pentagone ?

- Comment est-ce possible que le meilleur système de défense au monde ait pu échouer à ce point le 11 septembre 2001 et que personne n'en ait été tenu pour responsable ?

- Qui sont les pirates et comment ont-ils procédé ?

- Etaient-ils capables de piloter un Boeing ?

- Qu'est réellement Al-Qaida et quels sont ses liens avec les services secrets américains ?

- Pourquoi les enquêtes sur les pirates initiées bien avant le 11/9 ont-elles été stoppées par les échelons supérieurs du FBI et pourquoi les enquêtes après le 11/9 n'ont duré que 2 jours ?

 

Un film exceptionnel pour faire le point sur les connaissances actuelles de cet événement fondateur d'une nouvelle ère: celle de l'hyper terrorisme que nous vivons, des "guerres sans fin" et des atteintes aux droits les plus élémentaires dans nos démocraties.

 

 

11 Septembre - le nouveau Pearl Harbor

 

Documentaire très bien ficelé en 3 parties du réalisateur Massimo Mazzucco 

 

Missing Links et l'implication du Mossad :

 

Source 1

Écrire commentaire

Commentaires: 0