Mars : La NASA enquête sur la découverte d’une étrange “roche dorée”

L’agence spatiale a dit qu’ils ont envoyé le rover pour examiner de plus près cet objet pour le moins mystérieux. Le rocher a reçu un surnom de l’agence – ‘Little Colonsay’ – et a été repéré pour la première fois lorsque le rover a pris un grand cliché du paysage martien. La NASA a dit dans un communiqué : “L’un des échantillons que nous essayons de mieux voir est ‘Little Colonsay’. “L’équipe de planification pense que c’est peut-être une météorite parce qu’elle est si brillante.”

 

“Mais les observations peuvent être trompeuses, et la preuve ne viendra qu’avec la chimie.”

 

Ils ont ajouté : “Malheureusement, la petite cible n’a pas été atteinte lors de la tentative précédente, et avec cette information, Curiosity va réessayer.”

 

Les opérateurs de Curiosity utiliseront désormais la ChemCam à six roues du véhicule, ce qui leur permettra de mieux étudier la roche.

 

ChemCam tire un laser sur les roches et les pierres trouvées à distance et analyse la composition élémentaire des matériaux vaporisés à partir de zones inférieures à 1 mm à la surface de ces roches et sols martiens.

 

Un spectrographe fournit ensuite à l’agence des détails sur les minéraux et les microstructures des roches.

 

Pour ce faire, on mesure la composition du plasma qui en résulte, un gaz extrêmement chaud composé d’ions et d’électrons flottant librement.

 

La caméra a été programmée pour résoudre des caractéristiques de cinq à dix fois plus petites que celles visibles avec les caméras des missions des deux Rovers de la NASA pour explorer Mars qui ont commencés à explorer la planète rouge en janvier 2004.

 

La NASA a une poignée de roches qu’ils aimeraient d’étudier.

 

L’une d’elles s’appelle “Flanders Moss”, une roche qui, selon la NASA, présente “un revêtement intéressant, de couleur foncée, dont la chimie est nécessaire pour en confirmer la nature”.

 

Curiosity a récemment été recâblée suite à des problèmes de logiciel et de matériel et son ordinateur ‘côté A’ a été remplacé par celui de rechange en octobre après que sa mémoire eut été effacée en septembre.

 

Cela a permis aux ingénieurs de diagnostiquer le problème alors que le robot poursuivait ses opérations.

 

Une partie du côté A a été mise en quarantaine tandis que le rover continuait à stocker des données avec le côté non affecté.

 

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