RENCONTRES entre un OVNI ET un POLICIER en ITALIE - Décembre 2018

 

Tard dans la soirée du Mercredi 6 Décembre 1978 le vigile Fortunato Zanfretta était en service dans sa voiture dans la zone de Torreglia, un petit village dans les hauteurs de l'arrière pays Génois.

 

Il faisait très froid et la neige qui était tombée durant la journée s'était transformée en une dangereuse plaque glacée qui recouvrait une bonne partie de la chaussée.

 

Zanfretta qui roulait doucement, cherchait autant que possible à éviter les coins éclairés qui pouvaient révéler sa présence. Pour le reste, cet homme était habitué au climat rude des montagnes et des zones qu'il avait appris à connaître depuis ces deux dernières années.

 

Pourtant cette nuit-là ne fut pas comme les autres. Il était 23 heures 30 quand Zanfretta prit la déviation, qui de la route 45 conduisait à Marzano, le vigile parcouru la petite route qui l'emmena au centre du village, et en continuant, se dirigea vers la villa " casa nostra " appartenant à un dentiste Genois : Ettore Righi. La nuit était sombre et sans lune mais le ciel étoilé rendait moins obscure l'aride paysage de l'Appenin Ligure.

 

Après une centaine de mètres le vigile laissa derrière lui la dernière habitation et se retrouva en pleine campagne. Il était presque arrivé quand, avant le dernier virage, le moteur et les phares de la Fiat 126 s'éteignirent ; " Mais qu'est ce qui arrive" murmura t-il, surpris.

 

C'est quand il mit pied à terre qu'il vit dans le jardin de la villa quatre lumières qui bougeaient ; alors, oubliant la panne qu'il venait juste d'avoir et qui l'avait immobilisé, il prit le micro de sa radio pour communiquer à la centrale opérative de "l'Institut de vigilance", ce qu'il était prêt à faire. "kangourou 68 , kangourou 68", appela t-il," je vais à l'intérieur de la villa voir si il y a des voleurs ".

Mais la centrale ne répondit pas. Même la radio était en panne. Il empoigna son "Smith & Wisson calibre 38 spécial" et sa torche électrique éteinte dans sa main gauche il s'approcha avec précaution de la villa ; le portillon du jardin était ouvert, ainsi que la porte d'entrée. Zanfretta entra et se plaqua contre le mur périphérique et doucement il s'avança vers l'angle ; il voulait surprendre les voleurs, mais sa stupeur fut grande quand il se sentit touché sur les épaules.

Rapidement il se tourna avec la torche allumée et son revolver prêt à faire feu s'il cela était nécessaire ; cela n'aurai pas été la première fois, mais le faisceau électrique n'illumina pas un voleur... Interrogé le matin suivant par le brigadier des carabiniers Antonio Nucchi, commandant du poste de Torriglia ; Zanfretta, tremblant, raconta avoir vu un être énorme, haut d'environ 3 mètres avec la peau ondulée comme si cela était de la graisse ou bien alors une combinaison ; mais de toute façon de couleur grise...

 

 

ll avait des yeux triangulaires jaunes, sur sa tête apparaissait des veines rouges, et ses oreilles étaient de forme pointues, ses mains avaient des doigts dont les ongles étaient arrondies.

 

Zanfretta terrorisé laissa tomber sa torche, il la ramassa et couru à toutes jambes vers sa voiture, et là il empoigna le micro.

 

"Le premier appel, dit Carlo Toccalino qui faisait son tour de garde à la centrale, je l'ai reçu vers minuit et quart, Zanfretta hurlait en disant continuellement "mama, mama qu'est ce qu'il est affreux", je lui est alors demandé si il était en train de se faire agresser,il me répondit : "non, ce ne sont pas des hommes, ce ne sont pas des hommes " et à ce moment la communication s'interrompa."

 

Pendant que Zanfretta hurlait à la radio, tout d'un coup une grande lueur triangulaire s'éleva de derrière la maison ; il l'a décrivit plus tard comme étant un disque lumineux plus large que la villa ; la lumière l'aveugla à tel point qu'il dû se cacher les yeux avec ses bras, puis dans un grand sifflement et une accélération fantastique l'appareil se perdit dans le ciel. Sur le terrain où l'"ovni" se serait posé, les carabiniers ont découverts une grande trace semi circulaire qu'ils définirent comme une empreinte laissée par un hélicoptère ou bien par quelque chose d'important qui se serait posé dans le pré avoisinant la villa.

 

Zanfretta s'était évanoui.

 

Quand ses collègues l'eurent trouvés après une heure de recherche, il était prés de la villa, en état de choc. Pendant qu'ils l'emmenaient lui continuait à dire "je les ais vu, je les ais vu " et vraisemblablement il n'était pas le seul. Les carabiniers, durant leurs enquête, trouvèrent 52 témoins qui confirmèrent qu'à cette heure-là et dans cette zone ils ont observés un gros objet volant de forme aplatis et triangulaire diffusant une intense lumière variant du blanc au rouge . (...)

 

L'hypnose, c'est vrai, est une méthode utilisée pour faire revivre des expériences passées en dissociant le côté conscient de l'individu, pourquoi ne pas essayer ?

Zanfretta consenti de suite ; et le soir du 23 Décembre il se trouva allongé, hypnotisé sur le petit lit du docteur Mauro Moretti. Le résultat de cette séance, enregistrée sur bande audio fût déconcertante.

A un moment donné Zanfretta commença à revivre les instants où il était entré dans le jardin de la villa...Zanfretta: "Qu'est ce qu'il y a ? Qu'est ce qu'y arrive ? Mama... " 

 

Moretti: "Que ce passe t-il ? Racontez moi, je suis avec vous. Il ne peut rien vous arrivez, dites-moi ce que vous voyez "

 

Zanfretta: "Madonna, pourquoi je devrai venir avec vous ? Que voulez vous me faire ? Que sont toutes ces lumières, vous n'êtes pas des humains, allez vous-en ....que me mettez-vous sur la tête ? allez vous-en .....je ne veux pas ...laissez moi tranquille "

 

Il était clair que le vigile parlai de détails qui lui était inconnu au stade conscient.

 

Il disait, en gros, qu'il avait été enlevé et emmené dans un lieu où on l'a interrogé et fait subir des examens.

 

Zanfretta: " je ne veux pas que vous retourniez, je ne peut rien dire ? enlevez-moi cette chose de ma tête...j'attendrai que vous reveniez...quelle chaleur ..enlevez-moi ce truc de la tête...allez-vous en..vous êtes des monstres...je veux retourné chez moi...ma torche "....

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