Une intelligence non humaine (INH) cause de l’observation de Wellington en 1978

La ré-analyse d’observations d’ovnis

prouve qu’elles ont été causées

par une intelligence non humaine.

 

Une publication du Dr Bruce Maccabee, le 03/04/2019

 

Une récente ré-analyse des mouvements de lumières et d’objets non identifiés détectés par radar lors des célèbres observations néo-zélandaises du 31 décembre 1978 prouve que les objets étaient contrôlés par des intelligences inconnues, c’est-à-dire " intelligence non humaine (INH)" .

 

L’analyse initiale, qui a duré trois mois et demi, a conclu que les feux et les cibles n’étaient pas explicables en termes de phénomènes connus. Cette conclusion a été présentée à la conférence de presse qui s’est tenue à New York il y a quarante ans le 26 mars 1979. Le lendemain, la section Science du New York Times, qui en a rendu compte, a déclaré que « ces observations constituaient le meilleur exemple à ce jour d’un épisode qui ne pouvait pas être expliqué par des moyens conventionnels ». Une ré-analyse récente des observations montrent que, non seulement les observations n’étaient pas explicables par des moyens conventionnels mais aussi que les mouvements des objets montraient qu’ils étaient contrôlés par une INH.

 

L’enquêteur en chef, le Dr Bruce Maccabee, a déclaré lors de la conférence de presse que c’était la seule observation civile d’ovni à cette date qui impliquait plusieurs témoins ainsi que des enregistrements audio, des films couleurs et des enregistrements radars terrestres et aériens. Il convient de noter que, selon le contrôleur de la circulation aérienne de l’aéroport de Wellington, l’avion Argosy transportant les témoins était le seul avion au sud de Wellington où les observations ont eu lieu.

 

 

Parmi les témoins de l’avion figuraient le pilote William Startup, le copilote Robert Guard et une équipe de presse composée de deux journalistes, Quentin Fogarty et Dennis Grant, du cameraman, David Crockett et du preneur de son, Ngaire Crockett. Les témoins du radar de Wellington étaient Goeffrey Causer et Bryan Chalmers. L’équipage se trouvait à bord de l’Argosy, un cargo quadrimoteurs, pour obtenir des images devant illustrer un documentaire sur des observations survenues dix jours plus tôt, le 21 décembre 1978.

 

Les observations ont eu lieu au cours de deux périodes débutant le 31 décembre, la première ayant eu lieu de 12h15 à 01h00 (heure locale) alors que l’avion volait vers le sud en emportant les journaux du dimanche de Wellington à Christchurch et le second entre 02h30 et 03h00 alors que l’avion volait vers Blenheim au nord.

Au cours de la première période, l’équipage a vu des lumières au comportement étrange près de Kaikoura sur la côte est de l’Ile du Sud tandis que le radar de Wellington détectait

des « cibles » inattendues (points lumineux sur l’écran radar indiquant la présence d’objets réfléchissant les ondes radar) à divers moments et endroits par rapport à l’avion.

Ces cibles se situaient entre 15 et 20 milles à l’est de la côte, près de l’avion. En règle générale, elles apparaissent à un emplacement pour une seule rotation du radar (12 secondes par rotation) et elles apparaissent ensuite à un emplacement différent, à des kilomètres de l’emplacement précédent lors de la rotation suivante.

 

 

Dans un cas, Wellington a dit à l’avion qu’il y avait une cible de 3 milles marins (plus de 5 km) devant lui et le commandant de bord a répondu immédiatement, « Merci. Nous l’avons trouvé. C’est une lumière clignotante. »

Le cameraman a filmé trois flashes d’une lumière bleu-blanche devant l’avion. Alors qu’il n’y avait pas de lumière bleue dans le cockpit de l’avion, seulement des ampoules de compteurs, rouges, éclairant faiblement, il n’y en avait aucune sur la surface extérieure de l’avion.

Les lumières de Kaikoura se trouvaient à plus de 20 milles à l’ouest de l’avion, trop loin pour être filmées, cela peut être considéré comme une observation multiple-témoins-radar-visuel-film-couleur, peut-être la toute première. (L’armée pourrait avoir quelque chose comme ça.)

 

Il y avait de nombreuses détections radar alors que l’avion volait vers le sud, mais une série de détections a été particulièrement intéressante car il était évident que la cible radar était sous contrôle intelligent.

Cet incident, surnommé « Cible Doublant de Taillle (CDT) », a commencé quand une cible est apparue immobile pendant environ une demi-minute derrière l’avion alors qu’il volait vers le sud. La cible s’est alors déplacée à droite de l’avion, à 4 milles. Environ 20 secondes plus tard, elle s’est dirigée vers l’avion et le contrôleur de la circulation aérienne a déclaré à l’avion,

"Il y a une grosse cible volant en formation avec vous à présent. Votre cible a doublé de

taille" .

Pendant ces conditions CDT, l’inconnu était si proche de l’avion, peut-être à seulement un kilomètre, que le radar de Wellington ne pouvait pas détecter une séparation entre les deux. La CDT a duré environ 40 secondes puis le contrôleur a dit à l’avion: " Votre cible a été réduite à une taille normale. "

L’objet inconnu s’est éloigné de l’avion. Il est à noter que l’avion volait à plus de 200 km/h lorsque l’objet inconnu s’est approché puis a ajusté sa vitesse pour qu’elle corresponde à celle de l’avion. D’autres fois, l’objet inconnu était stationnaire. Cela indique clairement que cet objet inconnu était sous contrôle intelligent.

 

 

L’avion a atterri à Christchurch où les journaux ont été déchargés.

Puis l’avion a volé vers le nord à travers la même région à l’est de l’Ile du Sud où les observations précédentes avaient eu lieu. Quelques minutes après le décollage l’avion se trouvait à une altitude d’environ 3 000 pieds et venait de percer la couverture nuageuse quand les membres de l’équipe de presse et l’équipage ont vu une lumière brillante devant eux, à environ 30 degrés à droite.

Elle semblait être à la même hauteur que l’avion. La première impression du capitaine Bill Startup c’était qu’il regardait la lune mais ne voyait aucune des caractéristiques lunaires (cratères). Le copilote Robert Guard a dit que cela ressemblait à une orange pressée et le journaliste Dennis Grant l’a comparée à une balle de ping-pong éclairée par une lampe de poche dans une pièce noire.

Quentin Fogarty a simplement dit que c’était si brillant que cela éclairait les nuages au-dessus de lui. David Crockett a commencé à tourner. Malheureusement, à cause de l’espace restreint dans le cockpit, il a dû tenir la caméra sur son épaule alors, toutes les images sont déformées par les mouvements de la caméra. Cependant, certaines des images ont été obtenues lorsque Crockett à placé l’appareil photo sur l’arrière du siège du copilote mais ces images sont rondes avec un « point » vert sur un côté.

 

 

Peu de temps après avoir vu la lumière, Bill Startup a activé le radar météorologique de l’avion et a détecté une grosse cible dans la direction de la lumière, à environ 30 degrés à droite et à une distance de 18 milles.

Alors que l’avion volait droit vers le nord-est et montait, la lumière restait à droite et la distance diminuait. Lorsque l’avion se trouvait à environ 35 milles de Christchurch, la lumière le suivait à une distance d’environ 10 milles. Quelques minutes plus tard, alors que l’avion se trouvait à 40 milles au-delà de Christchurch, Startup décida de se tourner vers lui pour voir ce qui se passerait. L’avion était à 13 000 pieds et volait à plus de 320 km/h. Lorsque l’avion a tourné à droite, la lumière a diminué son mouvement vers l’avant afin d’éviter de se trouver devant l’avion. Cette réaction au changement de direction de l’avion indique que la lumière était sous contrôle intelligent.

 

Il y a eu d’autres incidents impliquant des mouvements d’objets qui, en premier lieu, n’auraient pas dû être là. Lorsque ces observations ont été annoncées pour la première fois, les sceptiques ont proposé de nombreuses explications, telles que Vénus, Jupiter, des passeurs de drogue, des reflets de la lumière de la ville sur des oiseaux, des bateaux de pêche et des canulars. L’enquête initiale a permis de conclure que tous ces objets et lumières étaient inexpliqués. La ré-analyse récente confirme cette conclusion vieille de quarante ans et y ajoute la conclusion récente selon laquelle ces inconnus étaient sous contrôle « d’intelligence non humaine (INH) ».

 

Bruce Maccabee, le 03/04/2019

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