La Lune est-elle habitée ?

 

Article proposé par Daniel HARRAN

 

L’étude exposée depuis plusieurs années dans ce site ( https://blog.ecoutelaterre.f) et développée dans plusieurs livres a mis l’accent sur le caractère multidimensionnel du phénomène ovni et a proposé une interprétation basée sur l’existence des êtres élémentaux.

 

Ces élémentaux sont des êtres intelligents (non-humains), qui vivent habituellement dans un monde parallèle (c’est pourquoi ils nous sont invisibles) mais ils ont la capacité de se manifester dans notre monde matériel.

 

La très grande diversité de ces êtres élémentaux peut expliquer les manières très différentes par lesquelles ils se manifestent aux hommes. Il existe en effet une grande variété de phénomènes mystérieux, inexpliqués par la science, qui peuvent leur être attribués. Les êtres de la nature, qu’on les appelle aussi les esprits de la nature, en font partie.

 

Or le développement de cette recherche m’a amené à prendre conscience  … qu’il existe une autre catégorie d’êtres élémentaux, qui sont liés à la Lune, et sont présents dans le plan matériel sur la Lune.

 

De nombreuses observations attestent en effet que la Lune n’est pas un astre entièrement mort comme nous l’avons tous appris. Il existe de nombreuses preuves qu’elle est occupée par des êtres intelligents (non-humains), mais cette réalité est cachée aux hommes. Les prochains articles de ce blog se proposent d’aborder ce sujet. Le présent article s’intéresse aux émissions lumineuses perçues depuis la Terre.

 

Depuis plusieurs siècles, de nombreux astronomes, des amateurs comme des professionnels, ont observé, simplement armés de leurs lunettes astronomiques, des phénomènes lumineux sur la Lune, qui ne peuvent pas être expliqués par une origine naturelle. Ce sujet n’est pas connu, pourtant, une riche documentation existe sur le sujet.

 

 

Fred Lawrence Wipple (1906-2004), célèbre astronome américain, a écrit :

« De nombreux observateurs ont noté des phénomènes d’apparition de brumes, de colorations rougeâtres ou d’intensification de lumière sur certains fonds de cratères et sur les rives de certaines mers dès le 18ème siècle. »

 

Barbara M. Middlehurst et Patrick Moore, astronome britannique renommé, surtout connu comme un spécialiste de l’observation de la Lune, ont relevé plus de quatre cents rapports similaires, dont certains remontent à près de deux cents ans, comme celui du célèbre astronome William Herschel, découvreur de la planète Uranus.

 

En 1797, il avait observé trois taches rougeoyantes sur la partie non éclairée de la Lune.

 

Ces observations ont été faites en de nombreux endroits de la Lune, par exemple :

 

           – dans le cratère d’Aristarque : on a relevé des lumières clignotantes, des lueurs rougeâtres, des points scintillants, des lumières changeantes, etc. au sommet des pics périphériques et sur le fond du cratère ;

 

           – dans le cratère de Platon : des lumières clignotantes, des points lumineux, des lumières mouvantes, des lueurs rougeâtres ;

 

           – dans cratère de Gassendi : des lumières clignotantes, des éclairs sur la paroi extérieure puis intérieure, une lueur rose sur le fond du cratère, des ombres mouvantes sur les parois verticales.

 

           – dans le cratère de Poséidon : une coloration ocre de l’arête occidentale par ce qui semblait être une sorte de nuage.

 

Le 3 novembre 1958, Nikolai A. Kozyrev, astronome astrophysicien russe de l’observatoire de Kharkov, avait braqué son spectrographe sur la crête centrale du cratère Alphonsus. Il remarqua d’abord que l’arête devint floue et baignée d’une lueur rougeâtre. Deux heures plus tard, une vive lumière blanche en émanait. Il lui sembla qu’il y avait eu une émission de gaz ayant duré entre une demi-heure et deux heures et demie. Au cours de nombreuses autres observations, N. A. Kozyrev en vint à la conclusion qu’il y avait de temps à autre des émissions de gaz en quantités importantes provenant de fissures ou de cratères lunaires. La nature de ces gaz et leur origine ne lui étaient pas accessibles.

 

L’astronome américain Dinsmore Alter, à propos du « voile » qu’il a observé en 1956, cachant le fond du cratère Alphonsus, a attribué ce phénomène à une décharge de gaz émanant de petits points noirs répartis le long de certaines fissures, cette décharge étant peut-être destinée à former une sorte d’atmosphère provisoire. Le même phénomène a été observé dans le cratère de Linné. On voit que dans ce rapport, l’hypothèse est émise que cette « sorte d’atmosphère provisoire » pourrait être le résultat d’une activité intelligente.

 

L’astronome soviétique Alexandre N. Deutsch a suggéré en 1961 que, compte tenu de la température constante qui règne sous l’écorce de la Lune, il pourrait y avoir des réserves de gaz capables de favoriser l’apparition de la vie animale ou végétale.

 

Au-delà des phénomènes lumineux, l’existence temporaire de nuages et de poussières en suspension a été observée par d’innombrables hommes de science parmi les plus illustres. On a souvent attribué les lumières lunaires au volcanisme. Mais la Lune ne révèle aucune activité volcanique visible et, dans le rapport scientifique de la mission Apollo 17, la NASA a définitivement écarté cette hypothèse en déclarant que la Lune est parfaitement inactive sur le plan du volcanisme.

Ainsi, selon les connaissances de la science, tous ces phénomènes « ne peuvent pas exister », c’est pourquoi tous ces rapports et ces travaux ne sont pas diffusés et restent secrets.

 

Or ces innombrables observations, faites et répétées par des astronomes différents, sont autant de preuves de la présence mystérieuse d’êtres intelligents sur la Lune, que la science n’est pas prête à reconnaitre officiellement. C’est une réalité qui doit être connue et doit pouvoir être expliquée.

 

Ces informations ont été tirées d’un livre publié en France en 1978 par George Leonard.

Celui-ci était un des employés de la NASA qui étaient chargés d’analyser les photos prises par les sondes lunaires américaines. Dans le cadre de ce travail, il a compris que la NASA savait qu’il y avait une activité intelligente sur la Lune, mais qu’elle faisait tout pour cacher cette information au public.

Il a alors décidé de partager ses propres connaissances sur le sujet en publiant le

livre « Somebody else is on the Moon » aux Etats-Unis (en 1977).

Il a ensuite été traduit en français avec le titre "Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA" .

 

Mais la version américaine, comme la version française, ont été très vite retirées du marché et interdites à la vente !

 

C’est pourquoi leur existence n’est quasiment pas connue. En 2016 cependant, le même livre a pu être publié en France de nouveau grâce à un autre éditeur, sans toutefois qu’il puisse être diffusé en librairie, et le livre est de nouveau disponible aussi aux Etats-Unis.

 

Les responsables de la censure ont peut-être considéré que, quarante ans après la rédaction du livre, son impact dans le public serait suffisamment amoindri. Mais les révélations contenues dans ce livre sont toujours d’actualité et toujours aussi « explosives ». Dans la première partie du livre il a rapporté les résultats de sa recherche bibliographique sur les observations lumineuses. C’est cette partie qui a été résumée ici.

 

Ce livre est disponible à la vente dans ce site :   https://www.ecoutelaterre.fr/public/livres/pas-seuls-sur-la-lune

 

 

George Leonard, dans son livre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA »(1), déclare avoir étudié, scruté des milliers de photographies de la NASA parmi les meilleures, d’excellente qualité, dont certaines révèlent des « choses fantastiques ».

 

A partir de ses observations, il a noté les anomalies les plus évidentes et les exemples les plus convaincants d’activités technologiques, qui prouvent la présence d’êtres intelligents sur la Lune.

 

Résultat des examens de photos

 

Sur deux photographies prises au même endroit à environ deux jours d’intervalle, dans la région du cratère de King, il a eu la surprise de voir une sorte de geyser sur l’une, puissant et impressionnant, et pas sur l’autre.

Ce geyser jaillissait d’un petit cratère et retombait loin au-delà des bords du cratère.

 

C’était déjà la preuve d’une activité importante, non naturelle. Mais ce n’est pas tout. Sur la première de ces photos, prise donc deux jours avant l’autre, le geyser n’apparaissait pas mais l’examen attentif lui permit de découvrir l’image d’un monstre mécanique, tel qu’il en avait vu de nombreuses fois sur d’autres photographies. Cet engin était situé sur le versant intérieur du cratère, précisément à l’endroit d’où allait jaillir le geyser deux jours plus tard.

 

A partir de cette observation et des multiples observations des monstres mécaniques qu’il faites par ailleurs, George Leonard a pu associer ces engins à des travaux de génie civil, des travaux de nivellement, avec éjection et pulvérisation de matériaux.

Pour être détectés sur les photographies, l’auteur a calculé que ces engins, qui sont en forme d’X sont quarante fois plus gros que tout ce qui peut être conçu sur Terre.

 

A ce propos, rappelons que la gravité est six fois plus faible sur la Lune, que sur Terre, le poids des objets est donc six fois plus faible.

 

L’une des configurations les plus extraordinaires que l’on peut voir sur la Lune est celle de tours étroites se dressant à des hauteurs de 1000 à 1500 mètres.

 

Ces tours sont toujours droites, verticales et, c’est le plus remarquable, quand elles sont édifiées sur une arête de cratère ou un massif montagneux, elles se trouvent toujours au point le plus élevé.

Le scientifique Farouk El Baz, qui a formé le groupe des astronautes en géologie et faisait partie du comité d’étude des missions lunaires à l’époque du programme Apollo, a confirmé cette découverte quand il a déclaré lui-même :

 

« Il existe sur la Lune des tours plus élevées que la plus haute des constructions terrestres. »

 

Leurs ombres sont projetées sur plusieurs kilomètres. Mais aucun vaisseau lunaire n’a aluni à proximité pour en prendre des photos.

Un certain nombre de constructions en formes de dôme ont été également découvertes sur des plateformes.

 

Les preuves de la présence d’objets mobiles et de diverses constructions à la surface de la Lune sont donc abondantes et convaincantes, selon George Leonard. Il y a aussi les éclairs de lumière, les nuages de gaz, connus depuis longtemps : nous savons maintenant de façon certaine que la Lune est occupée, elle est habitée.

La question qui vient alors nécessairement à notre esprit est : qu’ont vu les astronautes qui ont marché sur la Lune ?

 

Témoignages des astronautes 

 

            Les enregistrements des conversations des astronautes montrent qu’ils n’ont cessé de manifester surprise et admiration devant le spectacle qu’ils découvraient sur la Lune. Mais ces parties de leurs conversations ont été supprimées dans les enregistrements officiels. Neil Armstrong et Buzz Aldrin ont été les premiers astronautes à poser le pied sur le sol lunaire. C’était le 20 juillet 1969 dans le cadre de la mission Apollo 11, dans la mer de la Tranquillité.

 

Une information a abondamment circulé à cette époque, qui ne provenait pas des circuits officiels et avait été captée par des radioastronomes amateurs. Selon ceux-ci, les premières paroles de Neil Armstrong après l’alunissage du module lunaire et les premiers instants de surprise, auraient été pour annoncer qu’ils étaient observés, car de grands vaisseaux étaient alignés, face à eux, menaçants … ! Les astronautes, comme tous les gens de la NASA, sont tenus par l’obligation de secret qui leur a été imposée.

 

En 1972, lors de la dernière mission Apollo (Apollo 17),  Le Dr. Farouk El Baz a mentionné l’observation faite par les astronautes. Au cours de la première révolution autour de la Lune, Harrison Schmitt avait vu un brillant éclair qui l’avait presque aveuglé. L’éclair provenait de l’endroit même, au nord du cratère Grimaldi, où l’équipage d’Apollo 16 avait signalé le même phénomène. Schmitt avait reconnu qu’il y avait d’autres choses sur la Lune : des dômes, des formes étranges, des constructions. Le lendemain, pendant la 14ème révolution, son co-équipier Ron Evans signala un éclair aussi brillant émanant du bord de la mer Orientale et en fit des commentaires tout aussi admiratifs. A ce sujet, le Dr. Farouk El Baz avait déclaré : « Il y a une chose que je ne peux pas comprendre ni expliquer, c’est l’apparition de ces énormes éclairs lumineux. A mon avis, le doute n’est pas permis, ces phénomènes ne peuvent pas être naturels. »

 

Ces découvertes rapportées par George Leonard ont été confirmées aussi par le chercheur Steven Greer (2). Celui-ci a rapporté que les photographies de la Lune prises par la sonde Lunar Orbiter (avant les atterrissages des fusées Apollo) montraient des détails de structures artificielles. Il précisait aussi que l’on avait découvert une base sur la face cachée de la Lune ; il y avait de très grandes tours, des constructions qui ressemblaient quelque peu à des coupoles de grandes tailles.

 

Tous ces témoignages – très peu connus – convergent pour montrer qu’il y a effectivement de la vie sur la Lune, même dans le plan matériel. Les astronautes n’ont pas du tout découvert un astre mort et inhabité tel qu’on le décrit habituellement, bien au contraire, malgré une surface désertique et inhospitalière. Ces découvertes ont évidemment une portée philosophique et spirituelle immense. Mais la chape de secret est encore très lourde.

 

(1)  George LEONARD, Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA – Ed Ecopolia (livre censuré pendant 40 ans, disponible uniquement sur le site Ecoute la Terre)

 

(2) Steven GREER – Révélations Tome 2 – Ed.  Nouvelle Terre

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