France : Rencontre rapprochée de type I (RR1) à BOUVILLE, (Essonne) le lundi 23 septembre 1996

 

Voici l'histoire vécue par Corinne lors d'une fin de journée du 23 septembre 1996.

Ce témoignage a été récemment transmis directement au site Odla par Corinne  et nous souhaitons le porter à la connaissance des internautes.

Il a été enregistré à l'époque par la gendarmerie,  puis par appel à témoins 2 jours après dans le Parisien.

Elle n'a jamais oublié cette séquence et souhaite nous faire part de son récit.

 

BOUVILLE :

Il y a 23 ans, des ovnis

ont traversés le ciel de 

la commune, peu après 

celui de Corbeil-Essonne

Le lundi 23 septembre 1996 vers 20h50, une jeune femme de 26 ans, qui roulait sur la D837, à la hauteur de Bouville, vi d’étranges lumières à l’horizon, au-dessus des maisons, qui pouvaient être considérées comme des ovnis. L’étrange scène qui avait pour cadre le ciel de Bouville a fait l’objet d’un appel à témoin lancé par la gendarmerie.

 

 

 

 

"Il y a tout juste 23 ans, un soir de Septembre 1996, vers 20h50, en rentrant d’un match de tennis, du TC de Milly-la-Forêt, je vis une chose étrange dans le ciel de Bouville, juste au-dessus des maisons, à la hauteur de la rue de la Mairie, et visible plus de 2 kms.

Je roulais à bord de mon Opel Corsa. Je me souviens j’avais doublé un vieux véhicule de type bétaillère qui transportait un cheval, en haut de la côte de Maisse… Quand, 5 kms plus loin environ, je vis au loin, cette chose étrange lumineuse. Le ciel était dégagé. Plus, je me rapprochais, et plus j’étais attirée par cette lumière mystérieuse.

 

 

J’étais seule à bord de mon véhicule, et seule sur la route…. Mon attention était bien trop concentrée sur cet objet lumineux, pour que je puisse poursuivre ma route à une vitesse normale autorisée.

 

Je réduis inconsciemment ma vitesse jusqu’en deuxième, en prononçant les mots

«Qu’est-ce que c’est, que ce truc là ?!?!».

Ma tête et mes yeux étaient bloqués dans la direction de cet anneau lumineux, composé de trois points blancs très puissants, immobile et sans bruit ; sur ma droite.

 

Etrange !!!

 

A Bouville, il n’y a aucun pylône, aucune piste d’avion à proximité, et il était impossible que ce soit un hélicoptère. Arrivée, à la hauteur de l’allée du Château de Farcheville, une lumière conique très puissance, se déclencha vers le bas, éclairant toutes les maisons de Bouville, au niveau de la rue de la Mairie.

 

Quelques instants plus tard, ce cône de lumière s’éteignait, ne laissant que les trois points lumineux éclairer la zone, et se mis à se déplacer rapidement en changeant de trajectoire (environ 80°)… Au bout, de quelques secondes, l’anneau était éteint.

 

 

J’étais complètement apeurée, je cherchais l’anneau partout, car sa trajectoire était dans ma direction. Plus aucune lumière sur Bouville, … je ne voyais plus rien à l’horizon...

 

Quand, soudain, ce cône de lumière se ralluma juste au-dessus de mon véhicule, équipé d’un toit ouvrant.

 

Je me rappelle que j’en ai hurlé très fort, et que j’avais qu’une hâte : de me sauver le plus rapidement possible.

 

A l’approche des feux du carrefour de Bouville, l’idée me traversa d’appeler de l’aide depuis la cabine téléphonique, qui s’y trouvait à l’époque. Mais, très vite, je réalisais que c’était une très mauvaise idée.

 

La lumière conique s’était à nouveau éteinte. Je gardais quand même un œil autour de moi, et je vis l’objet aux trois points lumineux, partir à toute vitesse, toujours silencieux, en direction du champs situé sur ma gauche (environ à 120°, puis 45°)… pour s’éteindre à nouveau et disparaître de mon champs de vision, juste au-dessus des bois.

 

Une fuite à toute vitesse en direction d’Etampes, était pour moi, la seule solution. Ne voulant, pas prendre le risque de rentrer par les petites routes.

 

A partir, de ce moment là, j’étais persuadée que c’était bel et bien un ovni. La frousse était toujours là, je supportais plus les phares du peu de voitures que j’ai rencontré sur cette D837.

Arrivée à Bonvilliers, je laissais passer une voiture qui surgissait un peu trop vite pour moi, du stop. Je préférais la savoir rouler devant moi, car une autre voiture me suivait déjà, et j’avais dans l’idée qu’ils pouvaient me suivre.

 

Je pris la RN20 en direction de Paris, pour rentrer chez mes parents. Affolée, je refermais toutes les portes à double tour, alors que mes parents m’attendaient pour dîner.

Je me souviens leur avoir immédiatement transmise ma frousse, et ils me conseillaient d’appeler le Commissariat de Police d’Etampes.

 

Inutile de vous dire, que celui qui m’a répondu c’est moqué de moi.

 

Seulement, deux jours après un appel à témoins étant lancé dans le journal.

Arrêtée depuis les faits, pour une entorse cervicale suivie de troubles et d’autres problèmes (sans parler d’une panne électrique de mon véhicule), je prends dans un premier temps contact par téléphone avec la personne qui gérait les faits.

 

Cette personne se présenta à mon domicile, quelques jours plus tard ; mais mon papa a refusé catégoriquement son aide, car il était persuadé que le meilleur de la guérison était le dénie.

J’en ai très peu parlé à mon entourage, car beaucoup de gens ne me croyais pas.

 

 

Aujourd’hui, à l’aube de mes 50 ans, je décide d’en parler ouvertement grâce à l’article, de Bernard Gaudain, qui raconte l’histoire d’Eric à Corbeil-Essonne, le même soir que moi.

Comme Eric, je suis persuadée, que, nous ne sommes pas les seules à avoir vu cette chose entre le lundi 23 septembre et mardi 24 septembre 1996, en région parisienne (Essonne).

 

Je suis persuadée également, que les habitants de Bouville (dit Bouvillons) ont dû voir ou ressentir des choses étranges également, au cours de cette soirée. Les animaux (chiens, chevaux) ont dû faire ressentir leur peur d’une manière comme une autre.

J’ai longtemps gardé le silence moi aussi, mais les souvenirs sont toujours là, et bien là, malheureusement.

 

C’est 23 ans après à bord de mon SUV Peugeot, que le déclic s’est fait. Je venais de déposer ma fille à Maisse, et repartais seule à nouveau à bord de mon véhicule équipé d’un toit vitré, sur cette D837. 

 

Le scénario se remis en route dans ma tête, seule au volant, seule sur la route, véhicule équipé d’un toit vitré … Du mouvement dans le champs…… Des tracteurs et moissonneuses actifs, me fit à nouveau tourner la tête vers l’endroit des faits. Les cervicales se bloquent à nouveau, et la frousse revient.

 

Je décide de faire des recherches sur internet, pour voir si d’autres témoignages n’avaient pas été déposé sur Bouville et les environs au cours de cette soirée-là.

Là, je retrouve l’enregistrement de mon témoignage (n°3988), pris par la gendarmerie, à la suite de l’appel à témoin ; et celui d’Eric, moins de trois heures avant les faits.

 

Ca y est c’est décidé, je contacte les organismes sur les phénomènes de ce genre. Mon mari m’avait souvent encouragé à le faire, en regardant les émissions sur les OVNI, et j’avais toujours refusé, pensant que j’avais tourné la page."

 

Corinne 

 

Écrire commentaire

Commentaires: 1
  • #1

    Corinne Surin (samedi, 01 février 2020 15:01)

    A quelques mètres des réserves d'Hydrocarbures de Bouville et d'Orveau, on a tout lieu de penser qu'ils étaient là pour observer ces sites exploités par le service des essences des armées.
    Message qui peut compléter celui du site ODLA.