Et si nos ancêtres n’étaient pas des primates ?

Les ANCIENNES CIVILISATIONS - Bleuette Diot sur Fréquence Evasion

 

Lloyd Pye a proposé une théorie différente de celle de Darwin quant à l’origine des humanoïdes sur Terre.

 

Qu’est-ce qui peut nous faire croire que sa théorie est valable ?

 

Il est mort d’un cancer en bas âge … alors qu’il était en parfaite santé !

 

Moyen tout à fait caractéristique pour les gens de la cabale d’éliminer une personne gênante.

 

Ici, un extrait de mon "Petit guide pour aborder l’avenir", pp. 30-35.

 

Proposition de Lloyd Pye

 

« Lloyd Pye est psychologue de formation. Il a longtemps étudié la question de l’origine de l’homme, incluant les squelettes qu’on a trouvés de nos ancêtres. Au long de sa carrière, voyant l’attitude de l’establishment scientifique, il constate que les scientifiques établis doivent expliquer les phénomènes en termes terrestres. Ils ne peuvent prêter foi à des hypothèses extraterrestres ou divines. Ses recherches l’amènent aux conclusions suivantes:

 

1) Les différences morphologiques au niveau du squelette entre les australopithèques, les pré-humains et homo sapiens sapiens sont à ce point majeures qu’on ne peut pas parler d’évolution mais littéralement de transformations d’un type à l’autre (1).

Par exemple on compte de 20 à 30 changements majeurs sur les crânes entre les australopithèques et les pré-homos. Et ces changements se sont produits soudainement.

Il n’y a pas d’ « erreurs de manufacture » entre les 2 types. Autre considération : ces changements restent les mêmes, sans évolution, au cours de la très longue période qui sépare un type d’un autre.

 

Les bras des pré-humains posent problème : ils sont trop longs par rapport aux nôtres. Neandertal est plus grand que nous, sa boîte crânienne plus volumineuse.

 

2) Il y a 200,000 ans : apparition Cromagnon. Pouf ! Autre changement majeur. Rien de commun avec ce qui précède. Autre transformation.

 

Les sujets qui précèdent Cromagnon n’ont pas de front, des arcades sourcilières proéminentes, des cavités orbitales qui permettent aux yeux des primates d’avoir une bonne vision nocturne, la cavité nasale est large, le menton n’existe pas. Or, pour sa part, Cromagnon possède un front, une cavité nasale étroite, des cavités orbitales petites et rectangulaires qui ne permettent pas aux yeux d’avoir une bonne vision nocturne.

 

La gorge, par rapport au type précédent, est complètement redessinée. Les primates peuvent émettre de gros sons, puissants mais ils ne possèdent pas l’organe pour parler. Ils ne peuvent moduler le son, en émettre de petits. Ils n’ont pas de langage tel que nous le connaissons.

 

En outre : toutes les têtes de primates sont littéralement collées au tronc, directement sur les épaules, sans cou.

 

D’autres changements également, au niveau du squelette cette fois. Les os des primates sont plus forts, plus épais, plus denses que ceux d’homo sapiens sapiens. Et ces os plus forts permettent des muscles plus forts. Ces individus sont de cinq à dix fois plus forts que nous.

 

La cage thoracique des primates est triangulaire, la base étant près du bassin. Or, la cage thoracique de l’homme moderne est rectangulaire.

 

Il n’y a aucun os « humain » dans les squelettes de primates fossiles. Aucune transition entre les deux types. Aucun chaînon qui nous relie ensemble. De Lucy, il y a 3,5 millions d’années, à Neandertal, aucun fossile retrouvé ne ressemble à l’humain. Ils sont aussi différents de nous que le sont les primates : os, muscles, crâne, structure faciale, squelettique. Les fossiles démontrent indéniablement que nous ne sommes pas de cette lignée.

 

Autre fait intéressant.

 

  Pye se penche sur le cas des « hommes des bois ».

De nombreux récits et témoignages relatent qu’en divers endroits sur la planète existent des créatures bipèdes, complètement poilues, vivant dans des forêts denses, en altitude. Dépendamment de l’endroit où l’on se trouve, ces créatures prennent le nom de yéti, sasquatch, bigfoot, homme des neiges, etc. Étant donné qu’il existe des dizaines de milliers de témoins oculaires certifiant leur présence, depuis des siècles, on peut affirmer sans se tromper que leur existence est bien réelle.

On possède même un court film sur lequel figure l’une de ces créatures. Le film, après étude d’experts, révèle que l’être est tout à fait authentique.

 

Un mineur de la Colombie-Britannique au Canada, dans les années 1920, s’est fait kidnapper par un sasquatch et a vécu 6 jours en leur compagnie avant de pouvoir s’échapper.

Un autre cas documenté, celui de Zana, au Kazakhstan, dans les années 1850. Durant une quarantaine d’années, elle a servi d’esclave à tous les membres du village exécutant diverses tâches rudes … dont celle de servir d’esclave sexuelle.

Elle a donné naissance à huit rejetons, quatre ont survécu.

Le dernier est décédé en 1954.

On a conservé son crâne : il possède beaucoup d’attributs des primates : presque pas de front, larges cavités nasale et oculaires, pas de menton sur une très forte mâchoire inférieure. Les anthropologues disent de ce crâne qu’il est une extrême variation dans les normes humaines. On sait que les enfants de Zana savaient parler, possédaient une intelligence moyenne, étaient costauds sans être des géants, avaient une peau foncée sans être noire, la pilosité humaine, sans plus. Ils ont eux-mêmes eu des enfants.

 

Pour Pye, ces « hommes des bois » sont tout simplement des néandertaliens qui ont survécu jusqu’à nos jours.

Il considère que ce sont eux les vrais indigènes de la Terre. Ceux qui sont vraiment adaptés à la vie sur Terre.

Selon lui, nous, les humains, n’avons pas notre place dans le schéma naturel de la vie sur notre planète. Nous sommes d’une tout autre lignée, d’une tout autre provenance. 

D'où alors ?

Selon lui, des étoiles. Bref, des extraterrestres.

 

Grâce à l’ADN mitochondrial on peut affirmer que notre type d’ADN humain n’existe que depuis 250 – 200,000 ans.

Nous somme tout à fait nouveaux sur la planète (2).

Malgré les différences fondamentales que Pye a observées sur les fossiles, sur la morphologie des grands singes actuels ainsi qu’en matière de génétique, la science officielle persiste à nous convaincre que les primates sont nos ancêtres.

Comment expliquer cette mauvaise foi ?

 

D’un point de vue général, on observe que depuis Darwin, les scientifiques ont été amenés à adopter une convention à savoir qu’une définition acceptable de la science doit exclure toute explication basée sur une conception « intelligente ».

On nomme cette convention : le naturalisme méthodologique. Autrement dit, si on veut rester scientifique, il faut que nos explications se bornent à des causes naturelles. On ne peut invoquer l’ « intelligence » pour désigner une cause.

 

Ce qui conduit les scientifiques à ne plus l’être : ils abordent un phénomène avec un

« a priori ».

 

Erreur de méthode.

 

On tombe donc dans la pure croyance. Il est étonnant de constater que notre savoir concernant l’évolution de la vie, son développement, l’ensemble de nos institutions d’enseignement en biologie et zoologie reposent sur une théorie !

 

Rien ne repose sur des faits concrets et solides. De simples idées couchées sur du papier il y a plus de 150 ans et auxquelles on nous oblige à croire. En somme, une simple façon de voir, une doctrine.

 

Pourtant, ce n’est pas d’hier que la théorie de l’évolution est contestée. Peu après la sortie du bouquin de Darwin, sa thèse est remise en cause, notamment par la découverte d’artefacts. Curieusement, les publications spécialisées des détracteurs ont simplement été ignorées parce qu’elles réfutaient la théorie darwinienne que l’establishment scientifique trouvait commode.

 

Peut-on imaginer ce que les explications de l’origine de l’homme seraient actuellement si on avait tenu compte à ce moment-là des preuves des détracteurs?

 

Il est alors légitime de se poser cette question: pourquoi une telle dériveb?

 

Les éminents savants seraient-ils tous dépourvus de la faculté de poser une réflexion sur leurs façons d’agir, de concevoir le monde?

 

Autre observation.

 

Comme cette réfutation de la théorie de l’évolution n’est pas récente, pourquoi en ce cas la presse ne s’est-elle pas emparée de cette nouvelle qui est une véritable bombe afin de faire

la une ? 

Du genre : « Une découverte qui révolutionne la science et notre pensée: la théorie de l’évolution de Darwin ne tient pas la route! » ?

On n’en a tout simplement pas entendu parler encore. Redoute-t-on que cela vienne aux oreilles du grand public?

 

Fait curieux : il n’y a pas eu de longs délais entre l’acceptation des idées d’Einstein (E=mc2) et la réalisation de la bombe atomique. Bref, pour amener destruction, douleurs et souffrances à l’humanité.

Privilégierait-on certaines découvertes ? Au détriment de d’autres ? Ou veut-on créer un scénario, une histoire qui conviendrait à certains intérêts ?

 

La nouvelle tendance : un espoir

 

Heureusement, au cours des dernières années, on remarque un changement d’attitude chez les scientifiques. Autant pour expliquer le « Big Bang » que pour comprendre l’évolution de la vie, les scientifiques en arrivent maintenant à considérer qu’avant que tout soit, il y avait de l’information, une organisation, de l’intelligence. Une conception intelligente.

 

Toute hypothèse doit être considérée et étudiée sans a priori

 

Et si la complexité existait dès le début ?

Si les humains ne descendaient pas du singe, du moins pas à la manière de l’évolution des espèces telle que décrite par Darwin ?

Si les bonds que l’humanité, au fil du temps, a fait dans la connaissance ne sont pas attribuables à l’évolution, comment alors expliquer l’acquisition et le développement de la conscience et du savoir?

 

Si la théorie de l’évolution ne tient plus la route, l’hypothèse selon laquelle les humains auraient été soit le fruit d’hybridation avec des extraterrestres, soit le résultat de manipulations génétiques tient la route.

 

Et cela ouvre toute grande la considération d’autres hypothèses comme l’existence, avant notre civilisation, d’autres grandes civilisations … qui possédaient une technologie supérieure à la nôtre … et bien d’autres connaissances que l’on retrouve actuellement à l’état de vestiges dans le savoir ancestral.

 

Des civilisations qui se déplaçaient non seulement partout sur notre planète, mais qui connaissaient même les voyages spatiaux.

 

Si elles ont existé, d’où venaient ces civilisations? Comment ont-elles acquis leur savoir? Pourquoi sont-elles disparues? Ou ont-elles simplement quitté la Terre en emportant leur barda?

 

Quel est le plan, l’agenda cosmique?

 

Pourquoi la vie? »

 

Carl Sagan, cosmologue réputé, tient le même discours à propos des « sauts » dans la connaissance que nos ancêtres sur l’arbre généalogique darwinien font à plusieurs reprises.

 

Un autre chercheur, le Pr Sam Chang, qui a travaillé sur le Projet de génome humain, s’intéresse également à l’hypothèse que les humains sont la fabrication d’une ou de plusieurs races extraterrestres.

 

Il y a l’ADN nucléaire c’est–à-dire du noyau de la cellule. Il contient les gènes des 2 parents. Et il y a l’ADN mitochondrial c’est-à-dire l’usine énergétique des cellules transmises uniquement par la mère. Donc, il n’implique qu’une partie du génome.

 

 

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