Le triangle de la Burle, terrier du lapin blanc …?

Le 1er point du triangle symbolisé par le Mont Pilat.

Il se trouve en France un endroit nommé le triangle de la Burle, ou ont lieux de terribles accidents d’avions, et des faits troublants et insolites, apparitions et rencontres avec des ovnis, y sont par exemple monnaie courante.

 

Commençons par situer ce mystérieux triangle de la Burle, dont les limites sont les suivantes : Massif du Pilat -  Le Puy en Velay – Mont Mézenc. Ce triangle est plus ou moins à géométrie variable, et s'étale sur dix départements : la Haute-Loire, la Loire, la Lozère, l'Ardèche, l'Aude, l'Hérault, le Gard, l'Aveyron, le Rhône et le Tarn.

 

Le Pilat est un massif montagneux sur les contreforts du Massif central, qui culmine au crêt de la Perdrix à 1 431 mètres d'altitude. Son nom viendrait de Ponce Pilate fameux préfet Romain de Judée de 26 à 36, qui ordonna l'exécution et la crucifixion de Jésus Christ.

 

Ponce Pilate serait mort en Gaule à Vienne dans le Rhône et selon la légende, enterré sur le mont Pilatus : le Mont Pilat. Certains auteurs ont recueilli des traditions qui font naître Pilate à Lugdunum, aujourd'hui Lyon.

 

Pour les catholiques Ponce Pilate est l’horrible Déicide, mais pour d’autres courants de la chrétienté c’est au contraire un saint ! 

 

L'Église éthiopienne orthodoxe le vénère comme saint et martyr avec sa femme, tandis que les Églises grecques orthodoxes honorent seulement celle qui, selon la tradition chrétienne, aurait été son épouse sous le nom de Claudia Procula. Les Églises des sept conciles la fêtent le 27 octobre et l'Église éthiopienne orthodoxe le 25 juin. Elle est en effet intervenue en faveur de Jésus lors de son jugement en ces termes dans l’’Évangile selon Matthieu, chapitre 27, verset 19 : Or, tandis qu'il siégeait au tribunal, son épouse lui fit dire : “Ne te mêle point de l'affaire de ce Juste ; car aujourd'hui j'ai été très affectée dans un songe à cause de lui”.

 

Selon certains le rêve de Claudia Procula avait été envoyé par Satan pour tenter de contrecarrer « le Salut » qui allait résulter de la mort du Christ ! En effet, le diable, qui réfléchit d'abord en se disant que si Jésus meurt, lui, le démon, perdra son emprise sur les âmes des hommes. Il essaie donc de la convaincre que Jésus est innocent et que s'il est condamné, elle et Pilate perdront leur position sociale. Elle se réveille et envoie un message à son mari, mais Anân et Caïphe (Grand-prêtre du Temple de Jérusalem) réussissent à convaincre Pilate qu'elle a fait ce songe parce que Jésus a usé de sorcellerie.

 

Selon l'écrivain Christian Doumergue, Claudia Procula serait née à Narbo (Narbonne) et y serait retournée avec Marie-Madeleine après la mort de Jésus.

 

Le rêve de la femme de Pilate par Alphonse François, d'après Gustave Doré.

 

Le Mont Pilat est à la limite entre ciel et terre, avec des panoramas époustouflants qui s’offrent au regard et se prolongent des Alpes au Massif central. Le parc naturel abrite Roisey, « ville la moins polluée de France ».

La légende raconte que Satan aurait planté ses crocs au lieu-dit des Dents du Diable. La roche était dure, il en aurait perdu trois. Cette (non Sainte) trinité se compose de la Grosse Roche, de la Roche Pointue et du Chastelas.

 

Le Mont Pilat ce lieu qui marque la pointe de notre triangle est donc chargé d’histoire et de légendes, mais également de tensions, de mystères, et de malédictions, et bien plus encore, mais nous y reviendrons un peu plus loin.

 

Le 2e point du triangle symbolisé par Le Puy en Velay.

 

Le Puy-en-Velay est une commune située dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. C'est la préfecture du département de la Haute-Loire et la capitale historique du Velay. Les Romains s’installent au Puy (appelé Anicium) après avoir conquis le territoire. Un centre religieux est construit à l’emplacement de l’actuelle cathédrale. Au Moyen Age, la ville est saccagée par les différentes invasions barbares et les habitations détruites. Au IXème siècle, la ville change de nom et devient Le Puy Notre-Dame. La ville s’entoure de repars au XIIIème siècle, dont la Tour Pannesac est aujourd’hui l’un de vestiges.

La ville est réputée pour être le départ de la Via Podiensis, un des quatre chemins de Compostelle français.

 

Dans la cathédrale Notre-Dame de l’Annonciation du Puy-en-Velay, il y a une Vierge noire, objet de nombreux pèlerinages au cours des siècles, elle trône sur un maître-autel baroque. L'actuelle effigie remplace celle qui aurait été offerte par Saint Louis à son retour de la croisade d’Égypte, et qui fut brûlée lors de la Révolution française. Les apparitions de Marie au Puy-en-Velay fondent le plus grand sanctuaire marial de la chrétienté médiévale.

 

L’origine du sanctuaire Notre-Dame du Puy-en-Velay remonte à l’an 430, date de l’apparition de la Mère du Christ à « une noble matrone », percluse de fièvre et qui en sera guérie. Il s’agit de la première apparition de la Vierge Marie de l’histoire de l’Église, confirmée par l’évêque local, un an avant le grand Concile d’Éphèse, qui proclamera Marie « Mère de Dieu ». Le Puy devient le plus grand sanctuaire marial de toute la chrétienté occidentale. Il est « le Lourdes » du Moyen-âge.

 

La légende de la Pierre des Fièvres ou Pierre des Apparitions…

 

Les légendes locales du Puy-en-Velay évoluent autour d'un dolmen qui occupait depuis plusieurs millénaires, sans doute, l'emplacement actuel de la cathédrale. Il reste de cette pierre basaltique une partie conservée dans une chapelle du Saint-Crucifix connue sous le nom de Pierre des Fièvres ou Pierre des Apparitions, sorte de dalle de 3 m de longueur sur 2 m de largeur. C'est sur ce dolmen que serait apparue la Vierge.

 

Avec cette légende, le Puy-en-Velay est, avec Chartres, le plus ancien sanctuaire marial de la Gaule chrétienne. On a retrouvé sous le pavé du chœur les fondations de cette première église qui mesurait 12 m × 24 m. De nos jours encore, des pèlerins s'allongent sur la pierre pour en recevoir les bienfaits. Si l'origine du culte de Notre-Dame de l’Annonciation se trouve dans la Pierre aux Fièvres, le Moyen Âge et les temps modernes vénèrent surtout la Vierge noire.

La statue de Notre-Dame de France au Puy-en-Velay et le rocher Saint-Michel d'Aiguilhe.

 

La statue de Notre-Dame-de-France…

 

Le rocher Corneille est surmonté d'une statue de la Vierge Marie, qui mesure plus de 16 mètres et pèse 110 tonnes, peinte en rouge. Elle fut érigée en 1860 avec la fonte du fer de 213 canons venant de la prise de Sébastopol en 1855 pendant la guerre de Crimée et donnés par Napoléon III. Elle a été rénovée fin 2012, retrouvant sa couleur « rouge cuivrée datant de 1986 ».

 

La statue se situe à 757 mètres d'altitude, au sommet du « rocher Corneille » reste d'un cône volcanique en basalte de 132 mètres de haut. La statue représente la Vierge Marie couronnée d'étoiles, se tenant debout sur un demi globe terrestre où elle écrase du pied un serpent, et tenant sur son bras droit l'Enfant Jésus qui bénit la ville et la France.

 

Le 3e point du triangle symbolisé par le Mont Mézenc…

 

Le mont Mézenc est un sommet montagneux d'origine volcanique situé au sud-est du Massif central, à la limite entre les départements de la Haute-Loire et de l'Ardèche. Il culmine à 1 753 m d'altitude au cœur du massif du Mézenc. Il est situé sur la même ligne de crête que le mont Gerbier-de-Jonc, entre Velay et Vivarais, sur la ligne de partage des eaux entre l'Atlantique et la Méditerranée. Mezenc vient des mots meze = espace, enc = feu.

 

Il est constitué de deux sommets distants d'un demi-kilomètre. Le sommet Sud est le plus élevé à 1 753 mètres d'altitude, il est situé dans le département de l'Ardèche dont il est le point culminant, sur la commune de Borée. Le sommet Nord est surmonté d'une croix et culmine pour sa part à 1 744 mètres d'altitude, à la jonction des communes de La Rochette, Chaudeyrolles et des Estables. Il s'agit du point culminant du département de la Haute-Loire et le plus haut sommet du rebord oriental du Massif central.

 

La croix en fer a été installée au sommet nord par les prisonniers français après leur retour des camps de prisonniers en Allemagne.

Il faut ajouter à cela un vent mystérieux, qui ne sévit qu’ici dans ce triangle, c’est la Burle, ce vent violent et glaciale « qui rend fou ». C’est un vent régional de secteur nord, soufflant sur les plateaux ardéchois, du Velay ou du Forez à l’est du Massif Central. Soufflant habituellement en hiver, la Burle est réputée pour apporter un temps froid, au ressenti glacial. Le vent souffle fort, voire en tempête. Quand la Burle est associée à de la neige, elle peut former des congères impressionnantes.

 

Son nom est également associé au "triangle de la burle". Un lieu, où comme le triangle des Bermudes, se concentre un très grand nombre de catastrophes aériennes. Depuis l'antiquité, le Mézenc et ses alentours passent pour être un « locus terribilis », un lieu terrible !

 

Au hameau de Monteil, au détour de la voie romaine, une stèle commémorative a été érigée à l'endroit où Jeannette Revergade, condamnée à mort pour sorcellerie a été brûlée vive le 6 août 1390.

 

Selon une légende locale, dans l’Antiquité, des guerriers gaulois auraient ramené au Puy-en-Velay une main dorée (en orichalque, un métal légendaire fabriqué sur l’Atlantide) arrachée à une statue du dieu Apollon, après le sac de Delphes en Grèce. Ce butin de guerre apporta le malheur dans la cité, où d’étranges phénomènes apparurent. Les druides firent fondre l’objet pour en faire une table d’or, sans pour autant réussir à annuler le sortilège. Ils décidèrent finalement de l’enterrer dans les montagnes, dans le massif du Mézenc, ou du côté des « Dents du Diables ».

 

Ovnis et crash d’avions dans le triangle de la Burle…

 

Toute la région est également sujette à l’apparition d’ovnis divers et variés depuis des temps immémoriaux, souvent, à notre époque, en relation avec des crashs d’avions.

 

Passons en revue une partie des nombreux accidents d’aéronefs qui se sont crashés dans et autour de ce fameux triangle de la Burle depuis des années. Au total, il y a eu plus de soixante-dix accidents d'avions dans ce périmètre pourtant 1 000 fois plus petit que le triangle des Bermudes.

 

Si la zone connaît ses premiers accidents d’avion dans les années 1928-1930, c’est durant la Seconde Guerre mondiale que débute la légende du Triangle de la Burle.

 

1943 : Le 3 novembre 1943 un avion militaire, un bombardier Halifax qui avait pour mission de parachuter du matériel pour la résistance. Les pilotes perdent le contrôle des commandes. Il est pris dans un remous mystérieux et plus aucune commande ne répond. Ce sont les propos du mitrailleur de queue, le seul rescapé du crash. Il explique effrayé qu'il y a une forte chaleur et puis soudain elle fait place à un froid glacial. Des témoins au sol voient le bombardier tomber en piquet avec tous ses feux de position allumés autour de lui. Mais pourtant, pour ce genre de mission derrière les lignes ennemies, les avions volaient tous feux éteints pour ne pas se faire repérer par les batteries de canons anti-aériens.

 

1944 : Le 1er novembre un Dakota C-47 de l'armée américaine s'est écrasé à cause du mauvais temps en début d'après-midi avec cinq membres d'équipage, une infirmière militaire, le lieutenant Aleda E. Lutz, ainsi que 15 blessés dont quelques prisonniers allemands. Il n'y a eu aucun survivant. Les secours mettent plusieurs heures pour arriver. Le crash a eu lieu au creux de la Botte non loin de la Jasserie où une stèle posée en 2002 rappelle cet accident. L'infirmière a été la première militaire américaine tombée en opération lors de la Seconde Guerre mondiale.

 

1948 : Retentissement mondial : Le 13 mai, un avion de la compagnie Skyways qui vole vers Nice s’écrase au lieu-dit « Serre du Péronnier », avec à son bord trois membres d’équipage et quatre passagers. Parmi ces derniers, Kathleen Kennedy, fille de l’ambassadeur des États-Unis à Londres et sœur cadette de JFK. Ce drame marque le début de la soi-disant malédiction des Kennedy, mais donne surtout un retentissement international à ce triangle tant redouté.

 

1952 : Le 12 Décembre : Crash d’un bimoteur à quelques centaines de mètres du précédent crash de 1948.

 

1963 : Deux Javelins Anglais se crashent le 5 novembre, l’un prend en enfilade plusieurs maisons à Jaujac, l’autre s’écrase un peu plus loin. Les pilotes ont pu s’éjecter mais si ceux du premier avion ont été retrouvés, les pilotes du 2e avions on ne les retrouvera jamais. Cette même année aura également lieu les crashs d'un Gloster Meteor, et d'un F104.

 

1964 : Deux avions à réaction se percutent et s’écrasent près de la commune de Chaudeyrolles le 31 Décembre. Les conditions météos étaient mauvaises, il y avait notamment de fortes bourrasques de vent, la fameuse « burle ».

 

1965 : C'est à nouveau deux F104 qui s'écrasent sur le Mont Mézenc dans le lieu-dit « les dents du diable ». Ils se heurtent au-dessus du Mézenc en plein vol et explosent. Cet accident a été observé par des témoins qui affirment que les F104 étaient poursuivis par six petites boules rosâtres qui restèrent au-dessus du point de chute jusqu'à l'arrivée des secours. Elles furent donc visibles par tout le monde pendant une période assez longue.

 

Un avion d'entrainement Fouga-Magister percute le sol près d’Orcival. Il était survolé par « 2 soucoupes volantes » distinctement vues par les 7 premières personnes arrivées sur les lieux de l'accident.

 

1968 : Le 18 Mars, collision d’un Fouga Magister et d’un Mirage III C, de nuit, près de Saint Félicien. Le 31 Octobre de la même année : Un autre Fouga Magister se crashe à trois kilomètres de Cros de Géorand.

 

1969 : Une très mauvaise année pour le Triangle de la Burle. Le 23 Juin c'est un Jodel qui tombe d'un coup, poursuivi selon deux témoins, par « des cigares volants et bourdonnants ». Le 12 août un nouvel avion s'écrase au col de Goudooze. Il était poursuivi par 3 triangles lumineux. D'autres témoins mentionnent la présence d'un quatrième objet lumineux d'une autre forme. Plus tard dans la journée un Wassmer s'écrase à son tour. Il a tenté un atterrissage en catastrophe mais n'a pas eu le temps de réaliser la manœuvre. Un mystère IV tombe en panne de radioguidage et s’écrase à Lachamp-Raphael. Et ce n'est pas terminé : un peu plus loin deux chasseurs venant de la base aérienne de Francazal se percutent en plein vol sans explication. En septembre, un avion à réaction s'est écrasé au sud du Béage, sur le Cros de Géorand : 2 morts.

 

Après quelques semaines de répit un nouvel incident survient le 21 novembre. Cette fois, heureusement, il n'y a pas eu de morts. Trois avions dont un Mystere IV connaissent diverses « pannes mystérieuses » alors que passent quatre « disques luisants et lumineux » au-dessus de Saint-Pierreville.

 

1970 : Crash d’un autre Mystère IV qui s’écrase près de Teste « accompagné d’un ballet de boules lumineuses surgies du Rhône ».  En Mai disparition d’un Bonanza qui signale des difficultés de vol, disparition, oui, car il ne sera jamais retrouvé, ni aucun de ses passagers.

 

1971 : Le 21 janvier un bimoteur Nord 262 de l’armée de l’air s’écrase à 1 342 mètres d’altitude, du côté de Mézilhace en Ardèche. À son bord : les plus grands cerveaux du programme nucléaire français, dont le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, qui se rendaient à la centrale du Tricastin. Après l’accident, qui fit 22 victimes, trois hélicoptères et 500 gendarmes et militaires sont mobilisés pour boucler la zone, afin de récupérer deux valises contenant des documents classés secret-défense. Officiellement, c’est la météo qui est une nouvelle fois en cause dans cet accident. Mais la presse de l’époque évoque le « mystère du 22e passager ». « Lors des recherches, les sauveteurs retrouvèrent 22 corps, alors qu’il n’y avait que 21 passagers officiellement à bord Nord 262. Une nouvelle fois, plusieurs témoins de l’accident affirment avoir vu des objets lumineux entourer l’appareil lors de sa chute.

 

Le 1 juin un CESSNA qui revenait de Fréjus s’écrase à St Front près du lac Arcône. Les habitants précisent alors que le lieu est fréquemment survolé par « des machines volantes et soufflantes ».

 

1972 : Le 17 Février un avion de tourisme de type Robin DR 253 se crash.

1975 : Crash d'un avion à Marat le 1° août. Les dépositions répétitives des témoins expliquent que l’appareil était surmonté de lumières pâles puis très vives au moment de l’impact.

 

1978 : Le 18 avril, après avoir heurté l’angle d’un immeuble de la commune de Montpezat sous Bauzon, un avion de tourisme s’écrase.

 

1980 : Le 06 septembre, un Hercules C 130 de l’armée de l’air du koweit s’écrase sur la commune de Saint-Vincent De Barres. Il se serait brisé en vol suite à un incident technique. Selon d’autres sources, il aurait été frappé par la foudre, 8 personnes trouvent la mort.

 

Le 18 septembre, de nombreux témoins aperçoivent un avion en difficulté dans le ciel du côté du Puy-en-Velay, et préviennent la gendarmerie. L’appareil disparaît derrière une montagne et une grande colonne de fumée noire s’élève dans les airs. Le plan SATER (pour Sauvetage AéroTERestre) est déclenché, les secours se rendent vers le lieu du crash, où ils rencontrent agriculteurs et automobilistes qui se sont arrêtés pour observer le phénomène. Un hélicoptère survole le lieu du mystérieux crash, mais on ne retrouve rien, pas un débris, pas un indice !

 

Deux mois plus tard, un autre avion est signalé en perdition par des témoins, dont une patrouille de gendarmerie. Une nouvelle fois, les secours sont envoyés à la recherche de l’engin, mais sans plus de succès : on ne trouve aucune trace d’accident et aucun avion n’est signalé perdu dans la région. Un mystère de plus !

 

Ce sont les premiers cas français de ce qui s'appelle un « crash de rien ». Il y aurait 22 cas recensés dans le monde dont 4 dans le triangle de la Burle.

 

Le 24 Septembre, un avion dont le moteur fume abondamment accroche la cime des arbres et s’écrase près de St Agrève.

 

1981 : Le 22 janvier correspond au signalement d'un nouveau cas de « crash de rien », toujours aux alentours du Mont Devez. C'est le troisième dans le Triangle de la Burle. En Février, c'est un quatrième cas qui est déclaré. Les gendarmes recueillent de nombreux témoignages concordants d'un avion en difficulté à basse altitude : feu, fumée et moteur avec des ratées. Jamais rien ne sera retrouvé. On retient certaines similitudes entre ces affaires dans les rapports d’observations dont certains (gendarmerie) sont indiscutables : les « appareils » en détresse, jamais retrouvés, sont tous de couleur très claire et comportent de nombreux éclairages rouges, pris pour des feux de position ou d’atterrissage. Enquête classée sans suite.

 

1984 : 28 Mars, un avion à réaction survole Privas en dégageant une fumée noire. Il finira par s’écraser près de St Agrève.

 

1987 : Le 20 mai, lors d'une mission d'assaut programmée dans le cadre de l'exercice « Harmonie Sud-Est » (attaque à basse altitude des bases de Lyon-Mont-Verdun, Orange et Istres), trois Mirage F1 français de la 30e escadre de chasse (affectée à la base aérienne 112 Reims-Champagne) s'écrasent dans le massif du Pilat, au crêt de Montivert. Volant en formation à basse altitude, par mauvais temps, les avions ont percuté la montagne à quelques kilomètres au nord de Pélussin. Les trois pilotes, qui n'ont pas tenté de s'éjecter, sont morts.

 

1991 : L'année 1991 est chargée en accidents d'avion ou même d'hélicoptère comme ce fut le cas le 14 Août. Un hélicoptère a en effet heurté une ligne à haute tension sur la commune de Chomérac. Quelques mois avant, en mai, un piper apache (avion bimoteur de tourisme) s’écrase aux estables suite à un changement de cap. Pour finir, le 26 décembre c'est un ULM qui décroche au décollage.

 

1996 : En mars, un Piper Aztec disparait au-dessus du triangle de la burle. Le 24 décembre c'est un avion de tourisme qui atterrit violemment entre Sagnes et Goudoulet sur une zone marécageuse.

 

2000 : Le 6 Septembre, un bombardier d’eau s’écrase aux alentours de Burzet.

 

2002 : Le 13 octobre, un ULM s’écrase sur la commune de Jaujac.

 

2003 : Le 14 Avril, un avion de tourisme s’écrase à Saint Marcel D’Ardèche.

 

2005 : Le 23 Avril c'est un autre avion de tourisme qui chute entre Villeneuve de Berg, Saint Germain et Sauveplantade.

 

2006 : Le 28 Décembre, un avion en flammes se crashe sur la commune de Saint Sernin.

 

2015 : En février, deux Ardéchois ont perdu la vie dans le crash de leur avion. L'appareil, un Robin DR400 dédié à la formation qui possédait des doubles commandes, avait décollé du Creux de la Thine, dans la Drôme. Il s'est écrasé sur la commune de Colombier, dans le parc naturel du Pilat. À bord, deux hommes âgés de 67 et 17 ans, n'ont pas survécu. L'ancien président de l'Aéroclub d'Annonay et son élève-pilote.

Les crashs aériens débutent en 1928. Depuis lors, avions de tous types, militaires et de tourisme, hélicoptères, aéronefs, ULM, planeurs et même une montgolfière s'abîment successivement dans le Triangle ou ses alentours.

 

Et cette liste n’est pas exhaustive, c’est dire le nombre de crash, de disparition, et d’apparition ovnis qui ont court dans cette région, le Triangle de la Burle fait parler de lui depuis l'Antiquité. Les Chroniques de Estienne Médicis, bourgeois du Puy, s'en font l'écho à la Renaissance avec ses mystérieux ballets d'objets lumineux et célestes. Il y a eu en 1420 au-dessus du Puy en Velay une apparition d’un appareil en forme de croix dans le ciel.

 

Il y a 250 ans, le voyage raté de Jean-Jacques Rousseau dans le Pilat…

 

 « Désastreux », « fort triste » ; c’est en ces mots que Jean-Jacques rousseau parlait de son voyage dans le mont Pilat, il y a tout juste 250 ans. Du 13 au 20 août 1769, le philosophe, passionné de botanique, arpenta les sentiers de l’actuel parc naturel, à la recherche de plantes de montagnes. Sur tous les points, son excursion fut un échec, comme les correspondances qu’il écrira à son retour en témoignent aujourd’hui.

« Il va passer six jours dans la brume et sous la pluie »

 

Le 13 août 1769, après avoir passé la nuit à Vienne pour se rapprocher du Pilat, Jean-Jacques Rousseau traverse le Rhône, se rend à Condrieu, d’où il empruntera un sentier en direction de La Valla-en-Gier. À 57 ans, c’est la dernière herborisation d’ampleur qu’entreprend le philosophe, dont la vue est de plus en plus diminuée. Il va passer six jours dans la brume et sous la pluie.

 

Le Pilat ne trouve pas grâce à ses yeux « et n’a rien de l’admirable variété des montagnes de suisse », écrit-il dans une correspondance. Quant à la Grange du Pilat, plus connue aujourd’hui sous le nom d’auberge de la Jasserie, où Rousseau passa ses nuits, elle ne lui laisse pas un meilleur souvenir. « Nous avons trouvé sur la montagne un très mauvais gîte. Pour lit du foin ressuant et tout mouillé, hors un matelas rembourré de puces », écrit-il à son retour.

 

Et alors que l’écrivain est venu enrichir son herbier avec des plantes qui lui sont signalées par un botaniste lyonnais qu’il connaît bien, il sera également déçu par ses trouvailles. Il dit n’avoir trouvé que des végétaux communs. « Et comme il herborise dans de mauvaises conditions, sous la pluie, une bonne partie des plantes qui ramène dans de petits sachets vont moisir ». Il perd également des graines qu’il met à sécher à son retour, et qui sont mangées par des rats.

 

Le Pilat ne laisse décidément pas une bonne impression à Rousseau, mais lui n’en laissera pas une meilleure à ses habitants, et notamment à ceux de Doizieux, qui décident de venir le saluer, pour être finalement ignoré par le philosophe, qui ne pense alors qu’à retrouver Sultan, son chien, qu’il a perdu au début de son voyage.

 

Seule consolation pour l’écrivain : à son retour à la ferme de Monquin, où il réside en Isère, il retrouve Sultan, indemne.

 

Le triangle de la Burle, est le second plus grand site mégalithique de France après la Bretagne, d’après certains observateurs il serait sans doute le 1er site ! A ce propos d’ailleurs voici une découverte récente appelée :

 

Le Cadran du Pilat…

 

Mystère dans les Monts du Pilat autour d’un site « mégalithique »

 

Des promeneurs pensent avoir découvert un site dont l’origine remonte au fond des âges. Chacune de leurs explorations soulève de nouvelles énigmes : pour eux, il s’agit d’un site « mégalithique » aussi important que celui de Carnac. Ils l’ont baptisé « Le Cadran du Pilat ».

 

Il y a deux ans, Thomas de Charentenay se balade en forêt à 1 200 mètres d’altitude près de la Pierre des Trois Evêques, dans le massif du Pilat. Curieux, Thomas s’aventure au-delà du sentier, longe une série de rochers, et machinalement, se met à compter ses pas. Surprise : c’est le même écartement entre chaque pierre : 12 pas exactement, soit 10 mètres à chaque fois, et le tout aligné plein Est.

 

Comme à Carnac ou Stonehenge !

 

Voilà qui rappelle le Yard Mégalithique : la mesure qui aurait été utilisée à la préhistoire, pour ériger des sites comme Carnac ou Stonehenge ! Alors Thomas contacte Eric Charpentier, un ami passionné de mathématiques qui décèle dans certains alignements entrecroisés des formes géométriques, basées sur le triangle de Pythagore.

 

Le mystère s’épaissit : la Pierre des Trois Evêques semble bien être l’épicentre d’un large cadran, aligné sur les solstices d’hiver et d’été, et pointant sur les principaux sommets alpins des Ecrins et de la Meije !

 

Un site mégalithique dans le Pilat…

 

Pour aller plus loin, Thomas De Charentenay créée un site Facebook : le collectif du « Cadran du Pilat ». Et fédère les passionnés, pour multiplier ensemble les investigations sur le terrain : Pas moins de 600 mégalithes alignés ou précisément positionnés sont recensés sur le site. Selon un statisticien, il n’y a qu’une chance sur cent mille pour que ce soit le fruit du hasard !

 

Besoin d’aide pour comprendre…

 

Calendrier solaire ? Carte préhistorique ? Le collectif contacte historiens et universitaires pour comprendre… mais aucun ne se montre disposé à les aider. Certains n’y voient que l’action de l’érosion, et du hasard. Le collectif du « Cadran du Pilat » a invité à une conférence le samedi 26 Mai à Saint-Appolinard, pour rendre publique cette découverte. Et chercher tous les appuis qui pourraient les aider à faire reconnaître ce qu’ils pressentent être un site préhistorique majeur.

 

Voir ici une vidéo explicative passée sur France3 :

 

https://www.youtube.com/watch?v=qiVdzgNR-oo

 

Comme on le voit le triangle de la Burle n’a pas fini de livrer ses secrets qui sont nombreux et variés.

 

Entre les sites mégalithiques mystérieux, les objets magiques dégageant de puissantes vibrations, les fréquentes apparitions de " boules de feu " et autre cigares qui sillonnent la région. Ces vaisseaux pouvant être d'assez grande taille poursuivant parfois promeneurs, voitures ou avions. Les importantes perturbations magnétiques, les sorcières d’autrefois, les druides, les apparitions de Marie, les liens entre Jésus, Ponce Pilate, la vierge noire, Marie Magdeleine, les Romains, les puissantes forces telluriques, les crash d’avions, la Burle glaciale, et le diable lui-même, il y a de quoi en perdre son Latin !

 

On pourrait objecter qu’il n’y a plus beaucoup de crash d’avions ces dernières années dans la zone, et ajouter que tout cela est sans doute exagéré ! Alors il faut bien s’imaginer que cette zone est sans doute officieusement déconseillée de survol (ce qui est la moindre des choses), et les progrès de la technique (radars anticollisions plus performants, dispositifs antigivre etc) ont sans doute largement contribués à réduire ces terribles statistiques de crash.

 

Liens entre Rennes Le Château et le Mont Pilat…

 

Mais revenons un instant au mont Pilat. Au cœur de la forêt de Pélussin, à plus de mille mètres d’altitude, se trouve la chapelle Sainte-Madeleine, un humble édifice niché au fond des bois, souvenir d’un modeste monastère où vécurent quelques ermites. On y voyait, jusqu’en janvier 2001, ce fameux tableau dont le vol fut très médiatisé, puisqu’il suscita même une émission de radio sur France-Culture ! Ce tableau est à l’origine de l’hypothèse « dite » du Pilat, qui relie l’affaire Rennes-le-Château à cette montagne. En réalité, il y aurait d’autres liens beaucoup plus subtils.

 

À gauche tableau de la chapelle Sainte-Madeleine du Pilat - À droite : bas-relief de l’autel de l’église de Rennes-le-Château.

 

Ce tableau représentait Marie-Madeleine d’une manière extrêmement classique : en prières dans une grotte, à genoux devant une croix de bois vert, un vase à parfums et un parchemin complétant la scène. Le détail particulier ajouté par le peintre, c’est ce paysage caractéristique du Pilat visible par l’ouverture de la grotte, le Pic des Trois Dents et le Crêt de l’Œillon. Il est vrai que la toile ressemblait au décor de l’autel de l’église de Rennes-le-Château. N’a-t-on pas dit que Bérenger Saunière s’en était inspiré pour peindre ledit décor ?

 

Or l'abbé avait ses habitudes dans le Pilat. « Nous avons retrouvé l'endroit où il logeait à Lyon, résume Patrick Berlier historien spécialiste du Pilat. Il y avait un petit pied-à-terre dans le quartier de Fourvière et il louait une carriole pour voyager. Un jour, l'essieu d'une de ses roues s'est brisé sur la route de Lupé, nous avons en notre possession la facture du réparateur qui en témoigne. Et nous sommes à peu près certains que l'abbé s'est rendu à Valfleury aux confins des Monts du Lyonnais. Nous pensons qu'il a fait réaliser les plans de Rennes-le-Château par l'architecte de l'église valfleurantine, Pierre Bossan. La tour Madgala ressemble étrangement aux tours du Pilat : celle de Pélussin et de Saint-Martin-la-Plaine notamment. »

 

La ressemblance tient surtout à la croix de bois vert. Une copie conforme de celle de Bonnel, sauf qu'elle est dans l'autre sens. Quel est l'original, quelle est la copie ? ». Les historiens ont démystifié la chose en annonçant que le tableau ligérien était postérieur au bas-relief de Rennes-le-Château. Était-il sur les traces de la sainte biblique, qui selon les légendes, n'aurait pas fini ses jours dans le massif de la Sainte-Beaume mais dans le Sud de la Loire ? A-t-il visité la chapelle de Pélussin ?

 

Un tableau crypté qu'auraient dérobé des chasseurs de trésor…

 

Cela étant dit, certains y ont peut-être vu d'autres indices car le plus étrange est à venir : le tableau de Bonnel a tout simplement disparu de son accroche en 2001. Volé, murmure-t-on, par quelque chasseur de trésor. Qui d'autre en aurait voulu ? « Il n'avait aucune valeur, confirme Patrick Berlier. Et il était en piteux état : troué et poussiéreux ». Le larcin a eu l'intérêt de pimenter l'affaire. À ce jour, et même si la commune a fait installer une copie dans la chapelle, le tableau manque toujours à l'appel.

 

Son vol a délié les langues, on sait aujourd’hui qu’il datait très certainement d’avant 1914. On connaît son auteur Jean Bonnel, et l’on sait qu’il faisait partie d’une série de trois toiles. Ainsi, notre abbé Saunière n’a sans doute pas pu le voir. Il n’empêche que le décor de l’autel de Rennes-le-Château s’orne d’un paysage avec une porte surmontée de trois dents, et une colonne solitaire. Des éléments qui par le jeu des langues anciennes rappellent le Pilat, comme cela a déjà été démontré de diverses façons. Notre sulfureux curé aurait-il découvert dans le Pilat une partie de son secret ? Ce secret était-il lié à Marie-Madeleine ?

 

Entre le Pilat et Marie-Madeleine, ce fut toujours une grande histoire d’amour ! Laurence Gardner affirme qu’à son arrivée en Gaule, la sainte pécheresse s’était installée sur les terres d’Hérode à Vienne, lesquelles si l’on en croit les traces que la toponymie nous a laissées étaient sur la rive droite du Rhône, c'est-à-dire sur les premiers coteaux du Pilat. Là existe encore un « Rocher d’Hérode » où, selon la légende, le futur empereur Claude aurait exécuté Ponce Pilate et Hérode Antipas, qu’il jugeait responsables de la mort de Jésus.

 

Il est vrai que Ponce Pilate le procurateur de Judée avait été exilé à Vienne. Marie-Madeleine l’y aurait accusé publiquement du crime de déicide. Vivait-elle alors dans cette montagne ? Les nombreux lieux-dits « la Madeleine » situés sur cette route sont peut-être les signes d’un jeu de piste restant à suivre. Et selon les légendes : une évocation des trois croix du calvaire apparu lors d'un tremblement de terre sous les pas de Ponce Pilate.

 

Conclusion :

 

Dans cet espace aérien de sinistre réputation, véritable « pot au noir », les défaillances mécaniques et humaines n’ont pas toujours tout expliqué. Au point que d’aucuns n’hésitent pas à rapprocher les erreurs de pilotage ou le dérèglement des instruments de navigation, à des effets magnétiques inconnus, à des légendes anciennes, à des dépressions telluriques, à des phénomènes météorologiques extraordinaires, à des « forces obscures », à la présence de lumières, et d’objets volants non identifiés.

 

Ce triangle de la Burle semble bien abriter une anomalie, et il existe des fils conducteurs troublants, permettant de relier un lieu à un autre, un personnage à un lieu, et tout cela n’étant que la partie immergée d’un iceberg bien plus grand encore, qui nous est totalement invisible et interdit, et dont nous n’avons même pas conscience. Et comme nous le verrons dans un prochain article ces lieux détiennent encore beaucoup de secrets.


Suis le lapin blanc :

 

Nous parcourons les sentiers de la vie sans la certitude de savoir comment, en réalité, est le monde qui nous entoure. Dans notre ignorance, nous vivons satisfaits jusqu’au jour où, comme Alice, surgit devant nous de façon inespérée un lapin blanc, une intuition qui met en doute quelques-unes de nos croyances. Quand cela arrive, nous pouvons choisir entre deux options : continuer par les chemins connus ou suivre le lapin blanc jusqu’à la chambre des mystères où, après avoir franchi une de ses portes, nous entrons dans les bois de la connaissance.

 

Le lapin blanc, figure emblématique d'Alice aux Pays des Merveilles, est le personnage qui l'entraîne, et par conséquent nous entraîne, au Pays des Merveilles. Indiquant le chemin, reliant le monde réel à celui de l'imaginaire, il éveille la curiosité dévorante. Gardien du temps, il rythme le lecteur par son inquiétude vis à vis du temps qui passe. Sa course incessante l'entraîne vers un rendez-vous dont on ignore tout. L'auteur britannique, Lewis Carroll, utilise le personnage du lapin blanc pour insister sur le fait qu'au Pays des Merveilles le temps est totalement déréglé.

 

Ce lieu insolite du triangle de la Burle nous invite-t-il à voir au-delà de la réalité, à découvrir un monde décalé de la réalité, où le temps est déréglé, un univers où la raison n'a plus sa place, un passage entre notre monde, et celui de la matrice ? Le lapin blanc symbolise les anomalies de notre monde, c’est en suivant le fil de ces anomalies que nous découvrons un nouveau monde en dehors du nôtre. Cela est même devenu commun d’utiliser le terrier du lapin comme portail vers un autre monde.

Ces 3 points du triangle de la Burle (Massif du Pilat -  Le Puy en Velay – Mont Mézenc) ont une histoire marquée d’évènements parfois extraordinaire. L’évidence semble bien être là, cette zone détient et conserve jalousement d’incroyables secrets, cette zone est une anomalie terrestre. Certes, l'évidence n'est pas toujours la vérité, mais il est plus facile de nier les choses que de se renseigner à leur sujet.

 

Le triangle de la Burle cache-t-il une de ces entrées du terrier du lapin blanc ?

 

Comme toujours, c’est à vous de juger…

Ce sujet est paru dans l'avant dernière revue Top Secret :

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