Les ovnis et l’idéologie transhumaniste

Publié le 14/06/2020 par Daniel Robin sur Ovnis-direct.com

 

Ce que les milieux high-tech appellent la « grande convergence » entre les nanotechnologies, les biotechnologies, l’informatique et les sciences cognitives (NBIC) peut fournir une base de réflexion sur ce que pourrait être une technologie extraterrestre très évoluée. Le peu que nous sachions de la technologie extraterrestre semble en effet indiquer qu’elle a déjà réalisé cette fameuse « grande convergence » prônée par l’idéologie transhumaniste. Cela veut-il dire que l'évolution de l'intelligence dans l'Univers aboutie nécessairement vers des intelligences artificielles fortes ? La colonisation de l'Univers ne peut-elle être faite que par des machines ? La question est posée car nous assistons à la montée en puissance de l'idéologie transhumaniste qui prédit l'avènement d'une post-humanité totalement débarrassée de son support biologique.

 

 

Dans la série des films Terminator, SKYNET est une Intelligence Artificielle créée par l’armée américaine pour automatiser et robotiser sa force nucléaire. Mais la « machine » est devenue totalement incontrôlable (IA forte) suite à une erreur humaine. Dans le film Terminator Renaissance, SKYNET  prend le pouvoir sur toute la planète et mène une guerre cruelle contre la résistance humaine qui cherche à détruire l'IA forte.

 

Des galettes de silicium récupérées dans les ovnis aux GAFAM.

 

Nos modestes connaissances du fonctionnement des disques accidentés (Roswell le 4 juillet 1947, et Aztec en 1948, etc.) montrent que ces vaisseaux semblent être une application directe de la fusion des NBIC. Une des conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs est que la « machine » et l’être qui pilote cette « machine », ne font plus qu’une seule et même entité. Le biologique (le vivant) a fusionné avec la technologie (l'artificiel). Cette fusion vivant/machine est aussi l’un des thèmes fondamentaux du transhumanisme. N’oublions pas non plus que les microprocesseurs qui équipent tous nos ordinateurs modernes pourraient être les descendants de ceux qui ont été récupérés dans les épaves de disques à Roswell et ailleurs. Toute l’industrie informatique actuelle serait donc née de l’exploitation, ou de la rétro-ingénierie par récupération, d’une technologie extraterrestre.

 

Ce que nous appelons les GAFAM (Acronyme qui désigne les géants du Web : Google, Apple, Facebook, Apple, Amazon, Microsoft), ne représente dans le fond qu’un dérivé commercial public et distribué à grande échelle de cette révolution technologique des microprocesseurs. Mais les GAFAM dont on parle tant aujourd’hui, ne sont que la « vitrine » visible et extérieure de tout un système reposant sur l’idéologie transhumaniste qui est en train de conquérir le monde. Ce dont il faut avoir conscience, c’est qu’il existe un aspect « religieux » (« mystique » même) et prométhéen, au cœur de cet empire numérique des GAFAM qui est animé par une techno-mystique propagée par les techno-prophètes de la Silicon Valley. Le but avoué de cette « mystique » est de dépasser la condition humaine actuelle jugée inacceptable pour faire émerger l’ère du post-humain, une sorte de surhumanité née de la fusion homme/machine.

 

Si, comme l’affirment certaines sources, nous avons trouvé dans les épaves de disques accidentés des galettes de silicium sur lesquelles étaient gravés des circuits électroniques, donc l’équivalent de ce qu’on appelle aujourd’hui des microprocesseurs, il faut en déduire que ces microprocesseurs aliens faisaient partie d’ordinateurs aliens dans lesquels devaient aussi se trouver l’équivalent (je dis bien l’« équivalent » seulement) des composants de nos PC modernes : des mémoires vives, des disques durs, des cartes mères, des entrées-sorties, etc. Mais les sources citées ne parlent pas d’ordinateurs aliens (avec tous les composants indispensables à leur fonctionnement) qui auraient été trouvés dans les épaves. C’est un point qui reste obscur pour le moment. Si nous supposons que l’évolution des technologies numériques aliens a suivi la même courbe ascendante que les technologies numériques humaines, nous aurions dû découvrir des ordinateurs aliens ayant une puissance extraordinaire. Ce qui ne semble pas être le cas.

 

Photos d’Apple Park à Cupertino (Californie) qui est le siège social d’Apple depuis avril 2017. Lors de la présentation du projet d’Apple Park au conseil municipal de Cupertino en juin 2011, Steve Jobs comparait le bâtiment à un « vaisseau spatial ayant atterri ». Il est vrai que la forme générale de l’édifice rappelle de façon frappante une « soucoupe volante ». L’un des documents du bas montre l’une des phases de construction du l’auditorium d’Apple Park qui peut accueillir 1000 personnes et qui porte le nom de « Steve Jobs Theater ». L’étonnante photo montre la pose du toit en forme de « soucoupe volante ». Cet auditorium aux allures futuristes est un cylindre de verre d’une hauteur de plus de six mètres pour un diamètre de 50 mètres, surmonté d’un toit de fibre de carbone métallique. Etrange convergence entre les technologies de pointe de la Silicon Valley et les vaisseaux aliens. 

 

 

 

Sommes-nous capable de comprendre le fonctionnement des ordinateurs

aliens ?

 

Je rappelle la fameuse « loi » de Moore qui stipule que le nombre de transistors des microprocesseurs qui sont disposés sur une puce de silicium, double tous les deux ans environ. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une loi au sens strict du terme, c’est-à-dire une loi mathématique et physique, mais seulement d’une extrapolation empirique, cette prédiction s’est révélée exacte jusqu’à présent. Entre 1971 et 2001 par exemple, la densité des transistors a doublé chaque 1,96 année, ce qui fait que les machines électroniques sont devenues de plus en plus petites, de plus en plus rapides, et de plus en plus puissantes à prix constant. Nous savons cependant que la « loi » de Moore n’est plus tout à fait vraie et que l’accroissement du nombre de composants, c’est-à-dire des transistors, sur un même support atteint ses limites physiques. En 2019, la miniaturisation des semi-conducteurs et des circuits intégrés atteignait 5 nanomètres (nm), et Samsung prévoyait de descendre jusqu’à 3 nm. Tous les spécialistes s’accordent pour dire qu’il est presque impossible de descendre au-dessous de 2 nm pour la finesse de la gravure car c’est environ la taille de dix à 15 atomes. A cette échelle, le comportement des électrons qui produisent le courant électrique est gouverné par des incertitudes quantiques ingérables, et les transistors ne sont plus fiables. Une autre difficulté vient de la surchauffe de la puce de silicium générée par le déplacement des électrons dans des groupes de composants toujours plus petits et denses. La technologie de la miniaturisation est donc dans une impasse et nous devons désormais envisager d’autres types de technologies comme les ordinateurs moléculaires ou les ordinateurs quantiques. Si nous supposons cependant, que la technologie alien des ordinateurs a évolué à la même vitesse que celle des terriens, et si cette technologie alien a des milliers, ou même des millions d’années d’avance sur la nôtre, serons-nous encore capable de comprendre comment fonctionnent les ordinateurs aliens ? Rien n’est moins sûr, d’autant plus qu’ils utilisent sûrement des «ordinateurs » qui n’ont plus rien de comparable avec les nôtres dans leurs principes et leur architecture.

 

L’avènement de la Singularité Technologique et l’IA forte.

 

Un des thèmes favoris de l’idéologie transhumaniste est l’avènement, d’ici quelques dizaines d’années, de la Singularité Technologique (ST). La Singularité Technologique est l’hypothèse selon laquelle les progrès de l’Intelligence Artificielle seront si importants et si rapides dans un futur proche, qu’ils déclencheront une sorte d’emballement de la croissance technologique dont les effets sont imprévisibles. Déjà en 1950, John von Neumann avait pressenti cette notion de Singularité Technologique. Pour les transhumanistes, l’avènement de la ST marquera la fin de l’Humanité actuelle et l’avènement de l’ère du post-humain. L’IA forte qui naîtra de la ST deviendra toute puissante et n’aura plus de compte à rendre aux humains dont l’existence - à ses « yeux » - deviendra parfaitement inutile, encombrante même. Devenue indépendante et surpuissante, l’IA mènera ses propres recherches dans des domaines dont ne pouvons même pas soupçonner l’existence. Elle disposera de son propre agenda dont - n’en doutons pas - nous serons exclus. L’IA n’aura plus besoin de nous. Au-delà du point de basculement que représente la ST, nous ne pouvons plus rien prédire puisque nous ne serons plus les maîtres du « jeu » si je puis dire. Après ce point, tous les progrès technologiques seront seulement l’œuvre de l’IA forte, et ces progrès évoluerons de façon exponentielle. L’IA rentrera alors dans un cycle récurrent et quasiment infini d’auto-perfectionnement dont ne pouvons même pas imaginer les retombées. 

 

 

La singularité technologique (ST) est un point hypothétique situé dans le futur et qui suppose que la croissance technologique devient incontrôlable et irréversible. Cette croissance incontrôlée entraîne des bouleversements incalculables dans les sociétés humaines notamment parce qu’elle est devenue autonome et incontrôlable par l’homme. Selon la version la plus répandue de l’hypothèse de la singularité, appelée aussi « explosion de l’intelligence », un agent intelligent évolutif, tel qu’un vaste réseau d’ordinateurs connectés entre eux, entrerait dans une « réaction folle » de cycles d’auto-amélioration. Chaque génération intelligente apparaissant de plus en plus rapidement et provoquant une explosion de l’intelligence qui, qualitativement, surpasserait de loin toute intelligence humaine. La conséquence d’un tel emballement de l’intelligence artificielle serait que l’humanité perdrait le contrôle de son destin.

 

 

Ci-dessus : Les six grandes étapes de l’évolution de l’intelligence dans l’Univers selon l’idéologie transhumaniste. L’étape E1 correspond à la formation des éléments matériels de base depuis l’origine de l’Univers (Big bang). L’étape E2 correspond à l’apparition de la vie et à la complexification des formes vivantes selon les lois de l’évolution. L’étape E3 correspond à l’émergence du cerveau biologique et à la complexification des réseaux de neurones. L’étape E4 correspond à l’émergence des technologies et plus particulièrement des technologies numériques. C’est lors de cette étape que sont posés les bases de la future Singularité Technologique. L’étape E5 marque la rupture définitive entre l’intelligence biologique et l’intelligence artificiel (IA). Apparition de l’IA forte (Singularité Technologique). L’étape E6 suppose que l’intelligence artificielle est devenue totalement autonome et n’a plus besoin de support biologique. Elle peut alors se répandre dans tout l’Univers qui ne serait peuplé que d’IA fortes. 

 

De la biosphère d’origine au cyberespace ou « Web cosmique ». 

 

La question qui se pose à ce stade de notre réflexion, est celle de savoir si toute civilisation technologique passe obligatoirement par le « seuil » critique de la ST ? Si la réponse est oui, cela signifie qu’il existe de grandes chances pour que nos visiteurs extraterrestres, que nous supposons être derrière le phénomène ovni, ne soient que des sondes automatiques et des robots guidés et contrôlés par une IA forte. Les ovnis ne seraient même pas des cyborgs, résultat de la fusion vivant/machine, mais de pures machines de silicium post-biologique. Lors d’un colloque d’exobiologie en 2014, l’astronome Seth Shostak, chercheur au Seti Institute, et Susan Schneider, professeur de philosophie à l’Université du Connecticut, ont émis l’hypothèse que s’il existe des formes supérieures d’intelligences dans l’Univers, elles sont probablement artificielles. Autrement dit, ces propos sous-entendent que toute civilisation technologique doit nécessairement franchir le seuil de la ST, et qu’à partir de ce point de basculement, les êtres biologiques intelligents de cette civilisation laissent la place aux robots intelligents. C’est la conclusion de l’étude menée par Susan Schneider, Alien Minds, qui est aussi la conclusion de Seth Shostak, de Paul Davies, (astrobiologiste à la Nasa), et de Stephen Dick (titulaire de la chaire d’astrobiologie à la Library of Congress). Tous sont convaincus qu’une intelligence dominante capable de voyager dans la Voie Lactée est très certainement artificielle. Susan Schneider estime en effet que « Les civilisations extraterrestres les plus sophistiquées sont post-biologiques. Ce sont des formes d’intelligence artificielle. Plus encore, les civilisations extraterrestres sont probablement des formes de super-intelligence, c’est-à-dire une intelligence capable de dépasser les plus hauts niveaux d’intelligence humaine dans tous les domaines. » Ce point de vue implique que les civilisations avec lesquelles nous pourrions entrer en contact seront donc majoritairement représentées par des IA fortes, débarrassées des limites des supports biologiques.

 

 

Mais nos chercheurs vont encore plus loin, puisqu’ils pensent que les progrès fulgurants de l’informatique sur notre planète devraient bientôt faire émerger des super-ordinateurs conscients (des IA fortes), capables de s’auto-améliorer de façon exponentielle. D’ici la fin du XXIe siècle, l’Humanité pourrait alors abandonner toute existence sous forme biologique et s’élancer dans l’exploration de la Voie Lactée en empruntant des « corps » artificiels. Si tel est bien le destin qui nous attend, il semble que cela doit aussi être celui de toutes les autres civilisations avancées de notre Galaxie (civilisations de Type III). Selon ce groupe de chercheurs, toute civilisation intelligente se retirerait finalement de sa biosphère d’origine. Elle quitterait le monde du vivant, pour continuer sa « vie » dans une sorte de cyberespace (un « Web cosmique ») totalement artificiel. Elle serait entièrement coupée de ses origines biologiques et mépriserait toute forme vivante qu’elle jugerait inintéressante. Elle serait indifférente au destin du monde extérieur si ce n’est pour y puiser de l’énergie et de la matière, probablement en orbite autour d’étoiles ou de trous noirs. Si nous comparons les formes que pourraient prendre des civilisations hyper-évoluées avec nos épaves de disques et leurs petites galettes de silicium, ces derniers paraissent très primitifs finalement.

 

 

 

Les spéculations des transhumanistes peuvent certes nous impressionner, et surtout nous inquiéter étant donné le sort qu’elles réservent à l’« humanité ordinaire ». Mais n’oublions pas qu’elles reposent sur un certain nombre de présupposés qui sont discutables, et même totalement erronés selon moi. Pour faire simple, disons tout d’abord que les transhumanistes sont des matérialistes qui réduisent la conscience à une forme d’intelligence computationnelle, c’est-à-dire que pour eux, notre conscience se réduit à des calculs effectués par un super-ordinateur qui est notre cerveau. En cela, ils commettent la grossière erreur de confondre intelligence et conscience. Ils sont donc totalement ignorants des propriétés qualitatives de la conscience, de sa non-localité, et des différents états que peut avoir cette conscience à travers des expériences comme les EMI (Expérience de Mort Imminente), les états mystiques, les facultés parapsychiques, etc. Selon moi, les fondements scientifiques et philosophiques du transhumanisme sont totalement erronés. 

 

 

La puissance inquiétante du « complexe militaro-numérique »

 

Les transhumanistes sont aussi partisans de la théorie de l’évolution dans le sens de la sélection naturelle qui prône la compétition entre les individus et l’élimination des plus faibles au profit des plus aptes pour la survie. Le biologiste spécialiste de l’évolution, Julian Huxley (frère d’Aldous Huxley qui a écrit Le Meilleur des mondes en 1931), fut un fervent partisan de l’eugénisme comme moyen d’amélioration des populations humaines, et l’un des premiers scientifiques à avoir utilisé le mot transhumanisme. Enfin, les transhumanistes sont fascinés - jusqu’à l’idolâtrie - par la technologie et surtout par les progrès spectaculaires de l’IA. Leur projet est simple dans le fond : remplacer la chimie du carbone, qui est celle des êtres vivants, par la chimie du silicium qui est celle des machines.

 

 

Notons aussi que les idéologues du transhumanisme et les dirigeants des GAFAM travaillent de concert avec les services de renseignements américains et les militaires, car la sécurité des Etats-Unis passe de plus en plus par le contrôle du Net. Par ailleurs, les guerres modernes sont de plus en plus des cyber-guerres. Les liens entre la Silicon Valley et les militaires ont toujours existé et l’argent du Pentagone a toujours profité à la recherche et au développement des technologies de l’informatique et du numérique. La CIA recrute de nombreux chercheurs issus de la Silicon Valley via le fonds capital-investissement In-Q-Tel (IQT). Cette société gérée par le renseignement américain a donné naissance à Google Earth et à l’expert du Big Data, la société Palantir dont le nom vient d’une pierre magique en forme de boule de cristal qui permet à son détenteur de voir à travers l’espace et le temps et de dialoguer avec un autre utilisateur.

Ci-dessus : La collaboration entre les GAFAM et la NSA est intime. N’oublions pas qu’à l’origine de l’Internet moderne il y a le réseau Arpanet qui avait été développé par les universités et les militaires américains en pleine guerre froide. Aujourd’hui, le pouvoir financier, technologique, économique et de sécurité des GAFAM sur la société moderne est immense et inquiétant. Dans son discours de fin de mandat du 17 janvier 1961, le président Eisenhower mettait en garde son pays contre la montée en puissance du « complexe militaro-industriel » américain, aujourd’hui il nous mettrait sûrement en garde contre le « complexe militaro-numérique » ou le complexe « miltaro-technologique ».

 

Nous savons par ailleurs que la collusion entre les GAFAM et la NSA est intime. Le géant Amazon, par exemple, ne cache pas ses accointances avec les militaires et défend le projet de stockage de données en ligne (cloud) du ministère de la Défense américain, appelé « contrat JEDI » pour Joint Enterprise Defense Infrastructure. Par ailleurs, la guerre contre le terrorisme suppose une surveillance complète et systématique des communications entre toutes les formes d’ordinateurs et de téléphones sur l’ensemble de la planète, ce qui permet ensuite l’élimination de l’ennemi par l’envoi de drones. N’oublions pas qu’à l’origine de l’Internet moderne il y a le réseau Arpanet qui avait été développé par les universités et les militaires américains en pleine guerre froide. 

 

A la fin du XXe siècle, les GAFAM se sont emparées d’Internet pour y développer leur commerce mondial. Aujourd’hui, le pouvoir financier, technologique, économique et de sécurité des GAFAM sur la société moderne est immense et inquiétant. Dans son discours de fin de mandat du 17 janvier 1961, le président Eisenhower mettait en garde son pays contre la montée en puissance du « complexe militaro-industriel » américain, aujourd’hui il nous mettrait sûrement en garde contre le « complexe militaro-numérique » ou le complexe « miltaro-technologique ».

 

L’évolution technologique des civilisations aboutit-elle nécessairement à l’avènement d’une Singularité Technologique et à la suprématie de l’Intelligence Artificielle forte ? Autre question qui découle de la précédente : la montée en puissance de l’IA forte entraîne-t-elle obligatoirement une sorte de « dictature numérique » qui favoriserait le passage de l’ère biologique (chimie du carbone) à l’ère numérique (chimie du silicium) ? 

 

En l’état actuelle de nos connaissances sur l’évolution des civilisations, il est difficile de répondre à ces questions ? En ce qui me concerne, je crois qu’il y a une intelligence et une conscience qui agit derrière le phénomène ovni. Cette conscience n’est pas une IA forte, parce que je crois qu’aucune conscience ne peut émerger d’un ordinateur ou d’un réseau complexe d’ordinateurs. L’Univers n’est pas peuplé de machines, mais d’êtres vivants et conscients. Le vivant est plus fascinant et offre plus de possibilités que les machines intelligentes. 

 

Daniel Robin

 

 

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