VISITEURS SANS PASSEPORTS « ILS SONT DÉJÀ LÀ » – MICHEL ZIRGER

 

Dans son précédent ouvrage, « Extraterrestres : le contact a déjà eu lieu ! », Michel Zirger avait écarté tout aspect autobiographique. Aujourd’hui, il révèle que cet ouvrage fut la résultante collatérale d’une série de contacts « extraterrestres » qu’il avait lui-même eus au fil des années. Ce sont ces « contacts » qui lui donnèrent l’impulsion d’écrire et qui l’embarquèrent dans une véritable mission.

 

Outre ses propres contacts, l’auteur revient dans ce nouvel ouvrage sur deux figures ufologiques majeures : George Hunt Williamson et George Adamski. Il y affine et complète son analyse du premier contact extraterrestre de l’histoire moderne qui eut lieu le 20 novembre 1952 et dont George Hunt Williamson fut le « témoin privilégié ». Il dissèque et illustre, d’autre part, le concept des « Wanderers », extraterrestres qui se réincarneraient cycliquement sur Terre – un concept initié par G. H. Williamson et jamais évoqué dans la littérature ufologique française. Une première donc! Autre première française, Michel Zirger consacre deux grands chapitres au fabuleux cas italien de contacts multiples appelé « Amicizia », avec des informations absolument inédites en France. Bref, ce deuxième volume, abondamment illustré, est placé sous le signe des contacts extraterrestres, mais de ces contacts généralement délaissés ou traités avec condescendance par les ufologues contemporains : les cas de contacts avec des extraterrestres d’apparence humaine.

 

Chapitres : 

 

1/ Rencontres extraterrestres à Tokyo

 

2/ Le premier contact extraterrestre des temps modernes

 

3/ Le cas Amicizia : le chaînon manquant ?

 

4/ Le cas Amicizia (partie II) : D’un disque à l’autre ou la marque d’Adamski

 

5/ George Hunt Williamson, Un témoin privilégié

 

6/ D’une révélation à l’autre… ou le paradigme de Desert Center

 

7/ Un nouveau concept : les Voyageurs

 

8/ Mise au point 1. Adamski, Williamson et l’extrême droite

 

9/ Mise au point 2. Erich, Josef, Zarkon et les autres

 

10/ Trois hommages et quelques révélations

 

11/ Epilogue

 

Annexes :

 

1. Rencontres non identifiées.

 

2. Conférence sur George Hunt Williamson : Les troies vies de GHW

 

3. Extraits de lettres de G. H. Williamson au sujet d’une vision de Howard H. Wells

 

4. Lettre de G. H. Williamson au sujet des Kachinas

 

5. Lettre de G. H. Williamson au sujet des Andes

 

6. Lettre du 12 novembre 1956 montrant les liens de George Adamski avec le Mexique

 

7. Lettre de Rey d’Aquila du 26 mars 1959 portant sur l’organisation de l’audience privée du 18 mai 1959 entre George Adamski et la Reine Juliana des Pays-Bas

 

8. Origines et significations des légendes et prophéties indiennes dans le Sud-Ouest américain, de Daniel Ross

 

9. Planète X – Nouvel élément de preuve du contact extraterrestre d’Adamski en 1952 ? Warren P. Aston

 

LES EXTRATERRESTRES DE VÉNUS ONT-ILS RÉELLEMENT PRIS CONTACT AVEC NOUS EN 1952 ?

 

Le chercheur français Michel Zirger a écrit un livre très détaillé sur les contacts extraterrestres, qui met en lumière les rencontres de George Adamski avec des présumés extraterrestres de Vénus. 

 

Dans Visiteurs sans passeports – Ils sont là ! (2017), Zirger donne un solide aperçu d’une collection de photos et de témoignages qui étayent la célèbre rencontre d’Adamski le 20 novembre 1952 près du Desert Center, en Californie. M. Zirger souligne que la rencontre d’Adamski a été le premier cas documenté de contact avec un passager d’une soucoupe volante, généralement considérée comme un extraterrestre vénusien.

 

SIX TÉMOINS ONT VU DEUX UFO LE JOUR DE LA RENCONTRE D’ADAMSKI.

 

Le premier était une grosse embarcation en forme de cigare qui volait au-dessus de sa tête, et le second était une plus petite soucoupe en forme de scout qui atterrit. De l’engin de reconnaissance, un occupant est apparu pour rencontrer Adamski, qui prétendait venir de la planète Vénus, et qui s’appelait Orthon.

 

Dans son livre, Zirger inclut des copies numériques améliorées des photos originales prises lors de la rencontre d’Adamski, qui montrent à la fois l’engin scout planant avant l’atterrissage et son occupant qui est sorti après l’atterrissage. Les photos ont été mises en valeur par l’artiste danois René Erik Olsen qui a mis à disposition les photos de Desert Landing sur son site web.

 

Les six témoins du débarquement et de la rencontre d’Adamski avec son occupant ont signé un affidavit à l’appui de la version d’Adamski des événements qui a été publié par la suite dans son ouvrage co-écrit en 1953,  The Flying Saucers Have Landed.

 

Zirger cite un des témoins, George Hunt Williamson, qui a été enregistré pour dire au cours d’une conférence :

Je tiens à réaffirmer ici que l’expérience, telle que George Adamski l’a relatée dans « Les soucoupes volantes ont atterri », où mon épouse et moi, ainsi que des amis à nous, avons été témoins de l’accident, s’est déroulée exactement comme M.  George Adamski. Il y fait allusion dans Les soucoupes volantes ont atterri: le gros bateau a été vu, et puis, à l’aide de jumelles, nous avons été témoins d’autres événements à environ un mille de distance sur le désert…

 

Nous avons vu M. Adamski parler à quelqu’un… à distance. On a vu le gros bateau. Nous avons vu des éclairs de lumière qui nous ont appris par la suite que le plus petit bateau était sorti du plus grand. Nous avons vu une grande ouverture dans l’embarcation plus grande à travers laquelle le petit navire scout a dû quitter le plus grand navire….. Nous avons vu le petit navire planer dans la selle[voir photo de la base des petites collines où se trouvait Adamski.

 

Malgré les preuves convaincantes, la rencontre d’Adamski en 1952 fut largement écrasée. M. Zirger discute de la mesure choquante dans laquelle les preuves et les témoignages à l’appui du célèbre Desert Center d’Adamski ont été rejetés, ridiculisés ou déformés par d’éminents scientifiques de l’époque tels que le Dr Donald Menzel, le Dr Jacques Vallee et le Dr Carl Sagan. La plupart des chercheurs d’OVNI ont depuis lors écarté Adamski comme un canular, malgré les preuves convaincantes suggérant le contraire.

 

En effet, les photos d’Adamski des soucoupes volantes et des navires en forme de cigare datant de 1950 n’ont jamais été montrées comme étant des faux.

 

Adamski croyait que l’être qui débarqué de l’engin en 1952, venait de Vénus. Zirger discute de la faisabilité de la croyance d’Adamski compte tenu des données scientifiques qui ont par la suite émergé montrant la surface de Vénus comme inhabitable en raison des températures élevées (462°C; 863° F) et de la pression atmosphérique écrasante (92 fois celle de la Terre).

 

Zirger discute d’un certain nombre de possibilités de la façon dont les extraterrestres peuvent habiter Vénus. Il suggère que la NASA pourrait mentir sur les terribles conditions à la surface de Vénus. Une autre possibilité est que les extraterrestres aient simplement une base là-bas et viennent d’ailleurs dans la galaxie.

 

Cependant, une autre possibilité est que des extraterrestres vivent dans les régions souterraines de Vénus, comme le permettent les recherches scientifiques récentes. Il cite Sean McMahon, qui a dirigé une équipe scientifique de l’Université d’Aberdeen, qui a affirmé que la vie pouvait évoluer à l’intérieur de la planète, loin d’une surface inhospitalière :

Les surfaces des planètes rocheuses et des lunes que nous connaissons ne ressemblent en rien à celles de la Terre. Elles sont typiquement froides et stériles, sans atmosphère, ou très minces et même corrosives. Le fait d’aller sous la surface vous protège contre toute une série de conditions désagréables sur la surface. La zone habitable souterraine peut donc s’avérer très importante. La Terre pourrait même être inhabituelle si elle avait la vie en surface.

 

Zirger semble favoriser l’explication du « Nouvel Âge » selon laquelle une civilisation très évoluée, qui « s’est élevée » à un autre plan dimensionnel, existe aujourd’hui sous la surface de Vénus. Il suggère que sur la surface de Vénus, aujourd’hui, il n’ y a peut-être que des vestiges rares de l’ancienne civilisation qui prospérèrent à la surface. Il cite une série de textes et de sources ésotériques qui soutiennent l’idée qu’une civilisation avancée existe sur Vénus, mais qu’elle est cachée des télescopes modernes et des sondes planétaires envoyés par différentes agences spatiales nationales. Par exemple, il se réfère au livre de 1899, A Dweller of Two planets :

Aucun télescope ne révélera jamais la vie sur Vénus : non pas qu’elle n’est pas là, mais que ses formes sont de la Substance Unique accomplie par une gamme de forces les rendant imperceptibles aux yeux terrestres. 

 

Il y a eu un certain nombre de personnes contaminées qui prétendent avoir rencontré des Vénusiens de l’intérieur de la planète, loin des télescopes et des sondes spatiales. Il s’agit notamment de Frank Stranges, auteur du livre, « Stranger au Pentagone ».

 

Plus récemment, l’initié du programme spatial secret, Corey Goode, affirme qu’il a été emmené sur Vénus où il a vu certaines des anciennes structures qu’il appelle « technologies de la race des Bâtisseurs » à la surface de la planète.

 

Nous nous sommes dirigés vers Vénus à une vitesse ultra-rapide, percutant les nuages épais. Je pouvais à peine percevoir la couleur jaunâtre, nous les avons vus si vite. Et puis nous nous sommes arrêtés à environ 1 000 pieds [305 mètres] au-dessus du sol, et je regardais autour de moi, et j’ai vu ce terrain qui semblait avoir été érodé par beaucoup de vent et de pluie, un peu comme vous le verriez sur Terre. Ils ressemblaient à des montagnes qui s’étaient érodées et ressemblaient presque à des gens. J’ai remarqué que, soudainement, le plafond et le plancher devenaient transparents… Et j’ai regardé vers le bas, et je pouvais voir le grand bâtiment géant en forme de H assis à l’intérieur de ce cratère.

 

Goode dit qu’il y a rencontré un être ancien appelé la « Sentinelle » qui surveillait l’ancienne technologie des Bâtisseurss qui était protégée par un bouclier énergétique quelconque. Son récit a des parallèles avec la visite présumée à Vénus de Luis Mostajo Fernando, contacté bolivien, qui affirme qu’il est entré dans une zone fertile de Vénus protégée par un bouclier énergétique.

 

La discussion de Zirger sur les explications de la prétention d’Orthon à venir de Vénus malgré ses conditions de surface inhospitalières est vaste et informative.

 

Pourtant, c’est dans une autre possibilité que Zirger soulève qui pourrait offrir une façon plus précise de voir la rencontre d’Adamski 1952. Zirger se demande si Adamski a été nourri de désinformation par Orthon étant de Vénus, sa véritable origine :

Adamski a-t-il été manipulé par un « pseudo-vénusien »? Cette origine vénusienne faisait-elle partie d’un écran de fumée ou d’une sorte de « plan de communication » extraterrestre pour éveiller notre conscience à l’idée de vie extraterrestre ? …. La devise sous-jacente de cette « stratégie de communication » serait alors quelque chose comme: Racontons des mensonges, racontons des mensonges, il restera encore quelque chose, »Adamski n’étant considéré pas beaucoup plus qu’une interface à un jeu de désinformation ou de tromperie ». (Kindle Edition, 1032 de 5403)

M. Zirger croit que la possible désinformation a été conçue pour protéger les véritables origines d’Orthon et de son engin spatial en voie d’apprentissage. Il s’est dit perplexe quant aux raisons pour lesquelles les extraterrestres d’un autre système solaire voudraient faire semblant d’appartenir à un monde inhabitable de notre propre système solaire :

Pourquoi une telle mascarade alors qu’ils auraient simplement pu dire qu’ils venaient de la planète T du système solaire Y? (Kindle Edition, 1042 de 5403)

Zirger oublie une explication centrée sur la terre de la désinformation qui aurait pu être transmise à Adamski. Ceci est soulevé par l’un des cas de contact mentionnés par Zirger dans son livre. Il cite le cas de Reinhold Schmidt, en 1957 :

Je voudrais citer brièvement un dernier cas, celui de Reinhold O. Schmidt, 60 ans à l’époque, un acheteur de céréales de Bakersfield (Calif.). Le 5 novembre 1957, il prétendait avoir parlé pendant environ 30 minutes à l’équipage d’un gros OVNI en forme de cigare d’argent qui aurait atterri près de Kearney dans la prairie du Nebraska pour y effectuer des réparations. Dans une entrevue enregistrée d’une heure et demie, Schmidt a déclaré que l’équipage était composé de « quatre hommes et deux femmes ». Ils lui parlaient tous en langue américaine avec un accent allemand, mais il lui semblait parfois qu’il pouvait les entendre parler entre eux en  haute langue allemande, très bon allemand. (Édition Kindle, 526-531).

 

L’affaire Schmidt soulève la question suivante : Orthon faisait-il partie d’un programme spatial secret allemand et ne faisait que prétendre être un Vénusien ?

 

L’ASTRONAUTE ALLEMAND FAISAIT-IL SEMBLANT D’ÊTRE DE VÉNUS PENDANT LA RENCONTRE AVEC ADAMSKI EN 1952?

 

La première partie de cet article a soulevé la possibilité que George Adamski ait été trompé en croyant que Orthon était originaire de Vénus, l’occupant de la soucoupe volante, qu’il a rencontré en Décembre 1952. 

 

Il y a un certain nombre d’aspects de l’affaire Adamski contacté en 1952, qui mène à la conclusion que Orthon faisait partie d’un programme spatial secret allemand, et/ou liée à une alliance extraterrestre qui avait activement aidé l’Allemagne nazie avant et pendant la 2ème guerre mondiale.

 

Les soucoupes volantes qu’Adamski avait photographiées ressemblaient beaucoup à l’engin antigravité Haunebu qui aurait été mis au point en Allemagne par les nazies.

 

Vladimir Terziski, ingénieur et ancien membre de l’Académie bulgare des sciences, a été le premier à publier les spécifications exactes de l’engin Haunebu contenu dans les fichiers SS nazis. Les dossiers nazis ont été relâchés après l’effondrement du Pacte de Varsovie le 25 février 1991, et sont entrés en possession de Terziski après qu’il eut immigré aux Etats-Unis en 1984.

 

Voici la comparaison d’un dessin de 1943, d’une soucoupe volante Haunebu II développée par les SS nazis pour l’effort de guerre et d’un engin de reconnaissance photographié par Adamski en décembre 1952.

 

Des scientifiques italiens et allemands ont confirmé que les puissances de l’Axe coopéraient dans un effort secret pour armer les soucoupes volantes.

 

La configuration de l’embarcation Haunebu de 1943 est tellement semblable à celles qu’Adamski a photographiées en 1952 qu’elle suggère que, si ce n’est pas le même type de véhicule, celui qui a développé ce dernier se trouvait à un niveau de développement technologique similaire à celui des Allemands au milieu des années 1940.

 

Pourtant, si Orthon était originaire de Vénus et faisait partie d’une association interplanétaire avancée, comme Zirger en a parlé dans son livre, alors comment la première génération de soucoupes volantes nazies aurait-elle pu être presque identique à celle d’un engin utilisé dans une société interplanétaire beaucoup plus évoluée sur le plan technologique ?

 

L’une des explications est que les extraterrestres avaient fourni des embarcations à l’Allemagne nazie pour qu’elles puissent être fabriquées en rétro-ingénierie.

 

Ceci est étayé par les informations fournies par l’ancien ingénieur aérospatial, William Tompkins, qui dit que les espions de la marine américaine avaient signalé lors de leurs débreffages à la base aérienne navale de San Diego, de 1942 à 1946, que les Allemands avaient reçu plus d’une douzaine de modèles d’engins spatiaux antigravité opérationnels. Les nazis essayaient furieusement d’inverser les règles du génie pour l’effort de guerre, mais ils ont finalement échoué en ce qui concerne leurs programmes basés en Europe.

 

L’information de Tompkins nous aide à comprendre que le diagramme de 1943 du Haunebu II était une tentative des nazis d’armer une soucoupe volante antigravité, qui avait été donnée au 3ème Reich d’Hitler par des alliés extraterrestres à la suite d’un accord secret.

 

Par conséquent, Orthon a peut-être seulement prétendu être de Vénus, pour cacher l’existence d’un programme spatial allemand qui avait survécu à la Seconde Guerre mondiale.

 

Orthon ne communiqua qu’avec Adamski non-verbalement en langage gestuel lors de la rencontre avec le Desert Center en 1952. Adamski a expliqué dans une conférence qu’Orthon « a parlé principalement dans un dialecte étrange complètement incompréhensible à Adamski ».

 

Il s’agissait du « dialecte étrange » haut allemand qui, comme mentionné dans la première partie de cet article, Reinhold Schmidt a été identifié comme étant utilisé par les occupants de l’engin spatial au cours de son expérience en 1957. Schmidt avait une origine allemande et a également enseigné l’allemand à l’école, mais Adamski n’a pas été en mesure d’identifier les dialectes allemands depuis son origine en tant que polonais-américain.

 

Adamski savait peut-être que Orthon parlait allemand, mais il n’ a pas été autorisé à le révéler publiquement pour des raisons de sécurité nationale.

 

La rumeur dit depuis longtemps qu’après chacune de ses expériences de contact extraterrestre, Adamski a été secrètement transporté de Californie au Pentagone par l’ U. S. Air Force où il a été débriefé au sujet de ses contacts. En mai 2009, une rare vidéo a été publiée contenant des entrevues avec divers témoins qui connaissaient Adamski et ses débrieffages secrets au Pentagone.

 

Les témoins ont confirmé qu’Adamski possédait une carte d’identité militaire lui permettant d’accéder au Pentagone. 

 

La carte d’identité militaire a été observée par plusieurs personnes qui avaient travaillé à divers postes du Département de la défense. Parmi les témoins figurait William Sherwood, qui avait déjà travaillé pour le département de l’Ordonnance de l’armée américaine et qui possédait son propre laissez-passer. Sherwood a vu le laissez-passer Ordonance d’Adamski et a confirmé son authenticité.

 

Le témoignage de Sherwood et d’autres témoignages à l’appui donne foi aux rumeurs selon lesquelles Adamski était effectivement en train d’informer secrètement le Pentagone de ses contacts extraterrestres.

 

En 1952, le Pentagone savait très bien qu’un programme spatial allemand avait survécu à la Seconde Guerre mondiale et avait commencé à opérer au-dessus du territoire américain.

 

Les hauts fonctionnaires du Pentagone voulaient garder ça secret. Par conséquent, il est fort possible qu’on ait dit à Adamski de ne rien dire sur Orthon parlant allemand pour empêcher le public d’apprendre la vérité.

 

La possibilité qu’Orthon fasse partie d’un programme spatial secret allemand, basé en Antarctique et opérant sur le territoire américain, est renforcée par les événements qui ont précédé le survol de Washington en 1952.

 

Cela c’est produit quelques mois seulement avant la rencontre d’Adamski avec Orthon.

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