L'ancien Président KENNEDY et les Ovnis

 

John F. Kennedy a eu bien des dossiers à gérer lors de sa brève présidence. Après le débarquement raté de la baie des Cochons et la crise des missiles de Cuba, Kennedy était conscient que les agences de renseignements devaient être mieux encadrées incluant le groupe qui gérait les opérations secrètes et contrôlait toutes les questions relatives aux ovnis et aux extraterrestres.

 

John F. Kennedy :

Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’infiltration au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées.

 

Kennedy avait aussi l’intention de diminuer la taille du complexe militaro-industriel, de mettre un terme à la guerre froide et de conclure une paix durable avec l’URSS. Il voulait aussi se désengager du Viêt-nam, dissoudre la CIA qui était impliquée dans des complots infâmes, incluant la vente de narcotiques, il voulait également que toute la lumière soit faite sur la question des OVNIs.

 

Le Président John F. Kennedy avait parfaitement conscience du danger que représentait cette organisation tentaculaire pour les Etats-Unis et pour le reste du monde et avait déclaré :

 

« Je fracasserai la CIA en mille morceaux…« 

 

La CIA constitue un Etat dans l’Etat. La CIA (Central Intelligence Agency « agence centrale de renseignement » en français), fondée en 1947 par le National Security Act, est l’une des agences de renseignement les plus connues des États-Unis. Elle est chargée de l’acquisition du renseignement (notamment par l’espionnage) et de la plupart des opérations clandestines effectuées hors du sol américain. Elle a le statut juridique d’agence indépendante du gouvernement des États-Unis.

Cette agence de renseignement a son quartier général depuis 1961 sur le site de Langley, dans la ville de McLean en Virginie, aux États-Unis, à environ 40 km de Washington. Auparavant elle occupait des bâtiments délabrés connus sous le nom de Foggy Bottom, situés au 2430 E Street à Washington. Elle a le droit de garder secrètes la plupart de ses caractéristiques : nombre d’employés, budget, etc. et échappe à tout contrôle parlementaire.

Discours de Kennedy sur l’Etat profond

C’est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial «officiel» quand, dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d’envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l’honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables découler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable Programme Spatial. L’Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s’adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliens, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune. 

 

Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l’environnement y était propice à la vie. Il n’en fallait pas davantage pour qu’on s’y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s’y trouve aujourd’hui des villes peuplées d’individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l’Union Soviétique et les Etats-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c’était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense Nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde. 

 

Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des Aliens. C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty 12, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty 12 de son intention de révéler l’existence des Aliens à toute la nation l’année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3. Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de «Comité des politiques». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue. 

 

La décision du président Kennedy fit l’effet d’une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l’ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous visionnez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d’étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n’ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain. 

 

Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère des extraterrestres, ils ont connu la même fin tragique. À l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard.

 

En décembre 1988 j’ai eu (William Cooper) une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : « Voudrais-tu le voir ? ». Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John. Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder est Lars Hansson. John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait. 

 

Extrait du livre de Milton William Cooper « Le Gouvernement Secret »


 

L’ATTENTAT CONTRE JF KENNEDY

 

Les motifs de l’attentat contre JF. KENNEDY sont l’objet de violentes spéculations depuis novembre 1963. Nous savons que le jeune président se préparait à choisir sa propre orientation concernant des questions d’une grande importance stratégique, ce qui l’opposait fortement aux puissants intérêts politiques et financiers de l’Establishment. Il n’était pas un bon « partenaire » et l’une des causes de son assassinat fut qu’il renvoya, peu après sa prise de fonction en 1961, le chef tout-puissant de la CIA, Allen DULLES, qui venait de subir un échec dans l’ « opération de la Baie des Cochons » (il s’agissait d’exilés cubains qui ne purent pas atterrir dans la « Baie des Cochons » à Cuba en avril 1961). De plus, il envisageait le retrait de quelques conseillers américains du Viêt-nam. Il leur donna l’ordre, en effet, de se retirer en octobre 1963. Ce qui gênait aussi énormément les Illuminati fut le fait que Kennedy voulait diminuer les activités militaires de la CIA dans l’Asie du Sud-Est. Il fit savoir, en outre, au Congrès, le 18 juillet 1963, qu’il avait l’intention de mettre en application toute une série de dispositions pour renverser le déficit des paiements des États-Unis. Il voulait relancer l’exportation de marchandises industrielles et prélever des impôts sur les avoirs des citoyens américains à l’étranger. Les impôts à payer sur le capital investi à l’étranger se seraient élevés jusqu’à 15% par an. Cela représentait, évidemment, un handicap de plus pour les banquiers internationaux. Kennedy aurait été – ô combien – l’homme qu’il fallait pour défendre les droits du peuple. 

 

Si nous voulons prendre en compte un autre motif bien plus important, quittons brièvement, le secteur de la politique. Cela se rapporte à la découverte de la soucoupe volante qui s’était écrasée le 2 juillet 1947 à ROSWELL, au Nouveau Mexique. 

 

On découvrit dans cette soucoupe quatre petits humanoïdes. Il y eut 92 témoins, 35 témoignages de première main (du personnel de l’Air Force). Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial dans les environs d’Aztec, au Nouveau Mexique. La deuxième chute d’un autre vaisseau dans cette même région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart Canyon. Le disque avait un diamètre de 33m, il était fabriqué avec un métal qu’on n’avait jamais vu et l’on y trouva seize morts qui mesuraient environ 1.20m. En 1949, une autre soucoupe fut trouvée à Roswell, et l’un des passagers survécut. Un officier d’aviation reçut l’ordre de l’emmener à Los Alamos où se trouvaient, à cette époque, les installations les plus sûres des forces armées des États-Unis. On décrivit le passager comme un humanoïde reptiloïde avec certaines caractéristiques propres aux insectes. On le nomma simplement « EBE » (Extraterrestrial Biological Entity). EBE relata que ceux de sa race rendaient visite à la Terre depuis 25.000 ans, qu’il venait d’un système d’une étoile double, que leur planète était désertique et que leur soleil menaçait de disparaître. Il dit aussi qu’ils disposaient de bases souterraines dans différents pays de la Terre. 

 

EBE enseigna au jeune colonel qui lui tenait compagnie l’existence de la réincarnation et la survie de l’âme qui correspondent aux lois de l’Univers. Tout fut noté et rassemblé sous le code « Yellow Book« . On essaya de pendre contact avec la race d’EBE mais sans succès. Ce projet portait le nom de SIGMA. 

 

Fin 1951, EBE tomba gravement malade. Comme les fonctions biologiques de son corps dépendaient de l’apport de chlorophylle, on fit appel à un botaniste, le Dr Guillermo Mendoza, pour le traiter. EBE resta à Los Alamos jusqu’à ce qu’il y mourut le 18 juin 1952 « pour un motif inconnu ». Le colonel qui s’occupait de lui aurait pleuré à sa mort. Il l’aurait aimé comme un enfant. Plus tard, sous le projet ROBERTSON-PANEL, on adapta cet événement à l’écran ; le film porta le titre « E.T. ». Ce film de science-fiction avait pour but de familiariser le public avec cette réalité.

 

Le 6 décembre 1950, une autre soucoupe (de 30m) tomba près de Laredo, au Texas. On trouva dans les débris un passager calciné d’1m30 avec une tête extrêmement grosse. Cet incident suscita une vive émotion lors de la parution des photos. Le 20 mai 1953, on récupéra à Kingman, en Arizona, une autre soucoupe qui ne mesurait, cette fois, que 10m de diamètre. Il y avait quatre morts qui, eux aussi, furent emmenés, comme les autres, à la « Wright Patterson Air Force Base » (Hangar 18) (Comme le disent si justement les Américains : « Reality is sometime stranger then fiction ! » – La réalité dépasse parfois la fiction.

 

Dès la première chute, plusieurs organisations secrètes furent créées, elles s’occupaient de tout ce qui concernait les OVNIs : la plus importante fut l’opération MAJESTIC 12, fondée le 12 septembre 1947 par le président Truman et dont dépendaient tous les autres projets (MAJESTY est le nom de code pour le président). Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller scientifique du président ; le ministre de la Défense James Forrestal, mais aussi, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef de la CIA et J. Edgar HOOVER, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les douze étaient aussi membres de la « JASON SOCIETY » ou JASON-SCHOLARS, de l’élite de l’ordre « SKULL & BONES ». Le siège du groupe situé à Maryland, accessible seulement par les airs, est connu sous le nom de « Country Club » par les cercles d’initiés. Les projets conçus sous la direction du Majestic 12 étaient, entre autres, les suivants : le projet MAJI, c.-à-d. « Majority Agency for Joint Intelligence ». Ce service réunit toutes les informations concernant les services secrets. MAJIC signifie contrôlé par MAJI. Toutes les informations et désinformations à propos des OVNIs et des extraterrestres sont exploitées par MAJI, en collaboration avec la CIA, la NSA, le DIA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service secret de la marine); 

 

le projet SIGN : concerne l’étude des phénomènes OVNIs. Plus tard, ce projet prit le nom de projet GRUDGE; 

 

le projet BLUE BOOK : se rapporte au sauvetage d’objets volants tombés à terre, et, de concert avec le projet ROBERTSON-PANEL, qui vise à désinformer intentionnellement le public; 

 

le projet SIGMA : concerne la communication avec la race d’EBE; 

 

le projet SNOWBIRD : se rapporte à la technologie d’objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces objets; 

 

le projet AOUARIUS : sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres; 

 

le projet GARNET : étudie l’influence des extra-terrestres sur l’évolution humaine; 

 

le projet POUNCE : concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur les corps des passagers; 

 

le projet REDLIGHT : décide des essais à faire en vol avec des vaisseaux spatiaux qui ont été trouvés ou été mis à disposition par des extraterrestres. Ce projet est mené, dans la base de la ZONE51/GROOM LAKE, au Nevada;

 

le projet LUNA : nom de code pour la base extraterrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes d’Apollo. On y exploite une mine, et on y gare des grands astronefs en forme de cigare; les DELTA FORCES : ce sont des unités spécialement formées pour ces projets.

 

Selon le rapport de William Cooper et George Segal, la CIA aurait été créé spécialement pour dissimuler l’existence des extra-terrestres. D’après W. Cooper et G. Segal, le groupe d’élite secret international les Bilderberger, a été créé aussi pour cacher les contacts établis avec les extraterrestres.

 

Qu’attendent-ils donc, de nous, les extraterrestres ? 

 

Pourquoi ne s’adressent-ils pas aux dirigeants ou au président d’un pays ? Ils l’ont fait ! Et ils ont été plusieurs à le faire ! Il n’y a pas que George Washington et Abraham Lincoln qui ont affirmé avoir été contactés par des extraterrestres. 

 

Le président Roosevelt aurai eut, en 1934, lors d’une croisière sur le Pennsylvania dans le Pacifique, une rencontre arrangée par Nikola Tesla avec les passagers d’une soucoupe volante. 

 

Le président Truman, lui aussi, aurait eu une entrevue personnelle avec des extraterrestres le 4 juillet 1945. 

 

Cependant, il y a aussi des preuves concrètes des rencontres du président Dwight D. EISENHOWER. Michael Hesemann écrit à ce sujet (« UFOs – Die Kontakte ») : 

 

« Ainsi qu’il ressort des rapports établis par les personnes en contact avec les extraterrestres, ceux-ci, depuis leur apparition massive au-dessus de Washington l’été 1952, ont pris contact avec le gouvernement américain. (…) De plus, ils chargèrent différentes personnes, entre autres George van Tassel, d’envoyer des messages au président. Après les présidentielles de l’automne 1952, ce fut le général Dwight D. Eisenhower qui occupa le poste de président. Auparavant, pendant sa carrière militaire, il avait déjà été informé des chutes d’ovni à Roswell, Aztec et Laredo qui se produisirent entre 1947 et 1950. Après son élection le 18 novembre 1952, il reçut un rapport sur la situation de la commission gouvernementale « Majestic 12 » qui avait été chargée par son prédécesseur Truman d’examiner les épaves d’ovnis récupérées. La commission recommanda au président le secret absolu pour raison « de sûreté nationale ». (…) Le lieu choisi pour qu’Eisenhower établisse son contact fut la base de l’armée de l’air d’Edwards de Muroc en Californie. Des démonstrations d’ovnis s’étaient déjà déroulées à cet endroit-là depuis des mois, voire même des années, le 8 juillet 1947, quatre différents ovnis en forme de disque sont aperçus au-dessus de Muroc Air Force Base et du terrain d’essais secret de Rogers Dry Lake ; le 31 août 1948 un grand objet avec une traînée de flammes bleues, longue de plus d’1km passe au dessus de Muroc à 17.000m d’altitude, le 14 juin 1950 un pilote de la marine et différents pilotes civils observent un astronef en forme de cigare à 40m à l’est de Muroc ; le 10 août 1950, Robert C. Wykoff, physicien dans la marine, observe dans son télescope un grand objet en forme de disque qui manœuvre près d’Edwards ; le 30 septembre 1952 le photographe spécialisé Dick Beemer et deux autres témoins observent deux objets en forme de boule, légèrement aplatis, manœuvrant au-dessus d’Edwards ».

 

Le 20 février 1954 fut le jour J. cet évènement fut confirmé par des prises de vues cinématographiques et par différents témoins, dont Geralt Light du puissant groupe médiatique CBS, comte de Clancerty, membre de la Chambre haute des lords en Angleterre, William Cooper, ex-agent secret, Paul Salomon, membre du personnel de l’armée de l’air et beaucoup d’autres qui étaient stationnés, à cette époque-là, à Muroc/Edwards. Ce jour-là, tous les officiers, y compris le commandant, accoururent à la tour de contrôle pour y observer un grand disque de 60m à 100m de diamètre qui planait au-dessus de la piste de décollage. Ils l’observèrent pendant des heures jusqu’à ce que tous ceux de la base, jusqu’au dernier, soient au courant. Le disque faisait des manœuvres en vol défiant toutes les règles de la physique. Il se déplaçait de bas en haut, d’un côté à l’autre, en angle droit, etc. Un peu plus tard, il y eut, au total, cinq objets volants, trois en forme de disque et deux en forme de cigare.

 

Le président Eisenhower arriva en avion à la base, il faisait, à ce moment-là, une cure à côté de Palm Springs. Lui-même ainsi que tout le personnel de la base furent témoins de la descente d’un petit groupe d’occupants qui s’approchèrent d’eux. Ils avaient un aspect humanoïde, leur taille était à peu près celle des êtres humains, ils étaient blonds et parlaient anglais. Ils proposèrent leur aide pour le développement spirituel de l’humanité à la condition, dirent-ils, que nous acceptions de détruire nos armes atomiques. Ils n’étaient pas prêts à mettre à notre disposition leur technologie puisque nous n’étions pas capables d’utiliser la notre en humains responsables. Ils pensaient que n’importe quelle technologie nouvelle ne servait qu’à nous entre-tuer. Cette race expliqua que nous étions sur une voie d’autodestruction, que nous devions cesser de nous détruire, de polluer la Terre, d’en exploiter les richesses minières. Nous avions mieux à vivre en harmonie avec la création. Il était capital pour nous d’apprendre à nous considérer comme les citoyens d’une famille planétaire et nous avions le devoir de nous comporter comme tels. Nous devions abandonner au plus vite notre croyance de pouvoir agir à notre guise. Nous ne pouvions entrer en contact avec eux si nous commencions à nous conduire comme citoyens d’un système planétaire. Ils étaient, eux aussi, une partie de cette famille planétaire, et nous devions les traiter ainsi, eux et tous nos semblables sur cette Terre. Dès que nous aurions appris à avoir des rapports de paix avec les autres nations nous pourrions accéder à des rapports interplanétaires. Toutes les personnes présentes étaient des plus sceptiques face à ce langage surtout en ce qui concernait l’exigence impérative du démantèlement nucléaire. Personne ne pouvait imaginer qu’un désarmement pût être dans l’intérêt des États-Unis. Tous craignaient de se trouver sans défense face aux extraterrestres. L’offre fut refusée ! Les étrangers déclarèrent alors qu’ils continueraient à avoir des contacts seulement avec des individus tant que les humains ne les accepteraient pas. C’est alors que les extraterrestres firent une démonstration de leurs possibilités techniques qui imposèrent le respect au président, qui se tenait là et à son entourage, paralysé. Ils montrèrent leurs vaisseaux spatiaux au président et prouvèrent même leur capacité à se rendre invisibles. Eisenhower en éprouva un malaise ! Personne ne pouvait les voir mais tous savaient qu’ils étaient là. Les étrangers montèrent ensuite dans leurs vaisseaux et décollèrent. L’astronaute américain Gordon Cooper confirme cet événement en racontant qu’il vit un film pendant son service montrant un atterrissage d’ovnis sur une base de l’armée de l’air en Californie dans les années cinquante. 

 

Il y eut d’autres contacts avec des gouvernements mais il faudrait prendre connaissance de tous ces contacts pour avoir un aperçu de la diversité des thèmes touchant aux ovnis. Il y a, en outre, des vidéos qui contiennent en particulier l’atterrissage d’une soucoupe en 1964, dans la base de l’armée de l’air d’Holloman. 

 

Après avoir été élu président et avoir été informé des ovnis récupérés, et des projets secrets qui incluaient l’étude des survivants, JF. Kennedy voulut rendre ces informations publiques. James Forestal, alors ministre de la Défense et membre de MJ12, avait déjà essayé d’en faire autant, il fut jeté par la fenêtre de l’hôpital avec un drap de lit autour du cou le 22 mai 1949. 

 

JF. Kennedy eut droit à un traitement similaire. Il fut assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas. Le premier coup de fusil vint du toit de l’entrepôt mais il ne fût pas mortel. Le coup mortel fut donné par le conducteur de sa propre voiture, l’agent de la CIA William Greer qui visa la tête de Kennedy avec une arme propre à la CIA. Quand on regarde au ralenti le film original de l’attentat et qu’on prête attention au chauffeur, il est clair que celui-ci se retourne, l’arme à la main, tire et c’est alors que l’arrière de la tête de Kennedy éclate. Dans les films projetés dans la plupart des pays occidentaux, le chauffeur n’apparaît pas. Dans une émission de l’ARD (première chaîne de télévision allemande), le « Spiegel TV », on essaya, le 21 novembre 1993, de convaincre les spectateurs que l’attentat n’avait rien à voir avec la CIA alors que RTL diffusait, presqu’au même moment, un avis contraire. Sans parler des commentaires, on ne montra sur les deux chaînes qu’une seule fois le film en entier ; dans les films suivants, il n’y avait pas le chauffeur. Mais celui qui savait où il devait porter son attention pouvait reconnaître, dans le film original, le chauffeur tirant avec son arme. 

 

John Lear, fils de Lear Aircraft (aujourd’hui propriétaire) et autrefois désigné comme le meilleur pilote de l’US Air Force (avec 17 records du monde), trouva 3 films originaux, entre autres au Japon. Il les fit analyser par un ordinateur pour prouver leur véracité. Lui-même et William Cooper, ex-membre de la Naval Intelligence (service secret de la NAVY) et auteur de « Behold a Pale Horse », font des conférences aux États-Unis où l’on peut obtenir les films originaux par leur intermédiaire. William Cooper perdit sa jambe droite à cause de ce film, il fut victime d’un attentat en 1973. La télévision japonaise a, par la suite, diffusé plusieurs fois ces films originaux dans les actualités télévisées aux heures de grande écoute. L’analyse par ordinateur permit d’identifier l’arme et la décrivit comme étant d’un calibre spécial employé par la CIA. Quant à la balle, il s’agissait également d’un projectile spécialement conçu par la CIA qui explosa dans le cerveau de Kennedy et provoqua sa désintégration. Avaient participé à la préparation de l’attentat les membres de la Orlando Bosch, E. Howard Hunt, Frank Sturgis et Jack Rubenstein (alias Jack Ruby). La CIA épongea, les énormes dettes de jeu de Ruby. 

 

Lee Harvey Oswald, qui avait aussi été membre de la CIA, travaillait, au moment de l’attentat, pour Jack Ruby. Sa mort fut programmée. Jack Ruby le tua avant qu’il ne pût prouver son innocence. Le coupable était trouvé, il ne pouvait plus prouver le contraire. 

 

La CIA haïssait Kennedy, d’après elle, il était responsable de la mauvaise tournure que prenaient leurs projets concernant le Viêt-nam, Cuba et les OVNIs. Un collaborateur de la CIA, qui avait participé à l’opération de la « Baie des Cochons », dit que toutes les personnes travaillant dans son secteur se levèrent et applaudirent lorsqu’ils apprirent la nouvelle de la mort de Kennedy. Aux auditions devant le comité spécial pour attentats, nombre de ces faits furent dévoilés mais selon la loi de sûreté de l’État américain, les archives sont closes jusqu’en 2029. Après ces auditions, la CIA se vit défendre toute opération secrète à l’intérieur des États-Unis. (Qui peut croire qu’elle s’y est tenue ?) Tous les témoins de la conspiration furent tués ou moururent d’un cancer foudroyant qui leur avait été injecté (le chauffeur qui avait tiré, mourut trois semaines après l’attentat). 

 

D’après le « Warren-Commission-Report », rapport officiel de l’attentat contre Kennedy, Lee Harvey OSWALD aurait été l’unique tueur. C’est ce qu’on pouvait lire déjà neuf heures plus tard dans tous les journaux américains. La conspiration de la CIA et du Comité des 300 fut passée sous silence. Pour une bonne raison : Les Illuminati avaient été très efficaces en contrôlant les agences de presse. Ceci est un exemple parmi d’autres qui prouve que des nations entières reçoivent pendant des décennies des informations erronées, jusqu’au jour ou un chercheur courageux se donne la peine de faire des investigations. 

 

Robert F. KENNEDY, le frère de J. F. KENNEDY, qui faisait aussi obstacle aux Illuminati dut mourir le 5 juin 1968, juste avant de gagner les élections présidentielles. Dans ce cas-là, le tueur unique était Sirhan SIRHAN. Celui-ci était sous l’effet d’une drogue préparée par la CIA pour cette circonstance spéciale. Pour être sûr que Sirhan SIRHAN ne manquerait pas sa cible, le garde du corps de Howard Hughes avait tiré avec la « balle supplémentaire » que l’on trouva, plus tard, dans la tête de Kennedy. Selon les dires du juge d’instruction s’appuyant sur les preuves balistiques, le canon de l’arme a dû être éloignée de 5 à 8 cm de la tête de Kennedy ; quant à l’arme de Sirhan, elle était éloignée d’au moins 30 cm. Ceci fut aussi dissimulé au public. Les publications internes du CFR et de l’ordre « Skull & Bones » contiennent, cependant, ces informations. D’après le § 12 des « Protocoles », il faut supprimer les personnes qui sont une entrave au « plan ». 

 

Vous trouverez dans le livre de William Cooper « Behold a Pale Horse » l’histoire complète de l’attentat avec les noms, les données et des faits concrets ainsi que les relations entretenues par les États-Unis avec les extraterrestres.

 

UNE NOUVELLE DÉCLARATION AFFIRME QUE JFK A ÉTÉ ASSASSINÉ PAR LA CIA QUELQUES JOURS APRÈS AVOIR RÉCLAMÉ LES DOSSIERS SUR LES OVNIS ET UNE VISITE À LA NASA…

 

La demande a été faite après que la candidate démocrate à la présidence des États-Unis, Hilary Clinton, ait juré de faire la lumière sur une prétendue dissimulation d’OVNI au sein du gouvernement.

 

Scott C. Waring, rédacteur en chef de UFO Sightings Daily, a publié sur son site web des copies d’une lettre envoyée par JFK au chef de la CIA de l’époque, juste 10 jours avant son assassinat.

 

 

Le mémo est un document déclassifié confirmé, publié par la CIA.

« J’ai été le premier à publier ce document dans mon livre UFO Sightings 2006-2009. » Il a écrit : « La candidate à la présidence Hillary Clinton ne le sait pas encore, mais elle n’a pas le pouvoir de divulguer de telles informations. » La CIA la tuerait avant qu’elle ne le puisse, tout comme elle l’a fait pour JFK. Oui, juste une semaine avant sa mort, JFK a écrit un mémo à la CIA pour qu’elle divulgue toutes les informations pertinentes à la NASA, mais d’une manière ou d’une autre, il a été tué avant que cela n’arrive. 

 

M. Waring a ajouté : « JFK a écrit le mémo à la CIA le 12 novembre 1963, puis le 22 novembre 1963, il a été tué. » 

 

Le mémo demandait une répartition des observations identifiées et non identifiées dont la CIA avait connaissance.

 

JFK a écrit :

 

"Il serait très utile que vous fassiez examiner les cas à haut risque dans le but d’identifier les sources de bonne foi par opposition aux sources classées de la CIA et de l’USAF. Il est important que nous fassions une distinction claire entre les connaissances et les inconnues au cas où les Soviétiques tenteraient de prendre notre coopération élargie pour une couverture de la collecte de renseignements sur leurs programmes de défense et spatiaux. J’aimerais que vous organisiez un programme de partage de données avec la NASA où les inconnues sont un facteur..."

 

Le même jour, JFK a envoyé un mémo séparé à la NASA demandant

« une coopération avec l’ancienne Union Soviétique sur les activités spatiales mutuelles ».

 

Il est entendu que JFK était préoccupé par le nombre élevé d’observations d’OVNI au-dessus de la Russie et craignait que les Soviétiques ne croient à tort qu’il s’agissait de matériel d’espionnage américain.

 

Quatre jours plus tard, le 16 novembre 1963, il se rend à la NASA à Cape Canaveral, en Floride, ce qui alimente encore plus la théorie des conspirateurs.

Plusieurs autres chercheurs sur les extraterrestres ont déclaré soutenir cette théorie sur divers sites web.

 

Dans les années 1990, un document connu sous le nom de « mémo brûlé » a fait surface. Il aurait été reçu par courrier par un chercheur sur les OVNI appelé Timothy Cooper en 1999 et aurait été envoyé par une source anonyme de la CIA qui aurait travaillé à trois reprises entre 1960 et 1974. La source présumée a affirmé que le document, dont la véracité n’a jamais été vérifiée, a été sauvé par lui-même d’un incendie alors que la CIA brûlait du matériel sensible, d’où les marques de scotch.

 

Le mémo n’avait pas de date et faisait référence à « Lancer », le nom de code supposé des services secrets pour JFK. Il aurait reçu ce message du directeur de la CIA : « Comme vous devez le savoir, Lancer a fait des recherches sur nos activités, ce que nous ne pouvons pas permettre. Veuillez nous faire part de votre point de vue au plus tard en octobre. Votre action dans cette affaire est essentielle à la poursuite du groupe. »

 

Les sceptiques prétendent que le « mémo brûlé » était un faux pour ajouter de l’huile sur le feu à la conspiration. Il y a eu de nombreuses conspirations autour de la mort de JFK, y compris celles prétendant l’implication de la CIA, mais pas toujours à cause des OVNIs.

 

L’ex-marine Lee Harvey Oswald, 24 ans, a été accusé de l’attentat, ce qu’il a nié, mais il a lui aussi été abattu par le patron d’une boîte de nuit, Jack Ruby, avant de pouvoir être jugé.

 

En novembre, James Files, 72 ans, un tueur à gages de la mafia emprisonné pour des meurtres distincts, a affirmé dans une interview qu’il avait été sniper le jour de la mort de JFK et lui a tiré une balle dans la tête. De façon controversée, il affirme qu’il y a eu collusion entre la mafia et la CIA pour tuer Kennedy, 46 ans, ce qui pourrait l’amener à être appelé à témoigner sous serment à Washington. Le vétéran de la guerre du Vietnam faisait partie de l’équipe de la CIA qui a formé une milice pour l’invasion de la Baie des Cochons à Cuba en 1961, ce qui a retourné de nombreux membres de l’agence contre Kennedy lorsqu’il a appelé à un arrêt soudain de l’opération clandestine. Après avoir été expulsé de l’armée, Files a rejoint la « bande » à Chicago, devenant le bras droit du chef de la mafia Charles « Chuckie » Nicoletti, un tueur à gages pour le chef de la mafia de Chicago, Sam Giancana.

 

Files a déclaré qu’il avait également un contact à la CIA, aujourd’hui décédé. Files, qui purge une peine pour complicité de meurtre, affirme que les hommes de la CIA se sont sentis trahis lors du fiasco de la Baie des Cochons et ont craint que Kennedy ne ferme l’agence parce qu’elle était hors de contrôle. Ils ont fait appel à des mafieux pour perpétrer le meurtre à Dallas, au Texas, dit-il.

 

Source : https://www.express.co.uk/news/science/631341/New-shock-claim-JFK-was-murdered-by-CIA-days-after-demanding-UFO-files-and-NASA-visit

 


EST-CE QUE JFK ÉTÉ ASSASSINÉ EN RAISON DE SON INTÉRÊT POUR LES EXTRATERRESTRE ? UN MÉMORANDUM SECRET DÉMONTRE QUE LE PRÉSIDENT A EXIGÉ DES DOSSIERS SUR LES OVNIS, 10 JOURS AVANT SA MORT

 

 

Une lettre non couverte écrite par John F Kennedy au chef de la CIA montre que le président a demandé à recevoir des documents hautement confidentiels sur les OVNI 10 jours avant son assassinat.

 

 

Le mémo secret est l’une des deux lettres écrites par JFK demandant des informations sur le paranormal le 12 novembre 1963, qui ont été publiées par la CIA pour la première fois.

 

L’auteur William Lester a déclaré que la CIA lui avait communiqué ces documents en vertu de la loi sur la liberté d’information après qu’il en eut fait la demande lors de ses recherches pour son nouveau livre « A Celebration of Freedom » : JFK and the New Frontier » (Une célébration de la liberté : JFK et la nouvelle frontière). L’intérêt du président pour les OVNIs peu avant sa mort est susceptible d’alimenter les théories de conspiration sur son assassinat, selon AOL News.

 

Des chercheurs étrangers affirment que les derniers documents, remis à M. Lester par la CIA, renforcent la thèse selon laquelle le président aurait pu être abattu pour l’empêcher de découvrir la vérité sur les OVNIs.

 

Dans le second mémo, envoyé à l’administrateur de la NASA, le président exprime un désir de coopération avec l’ex-Union soviétique sur les activités spatiales mutuelles.

 

Les documents précédemment classifiés ont été communiqués en vertu de la loi sur la liberté de l’information au professeur William Lester dans le cadre des recherches pour un nouveau livre sur JFK. Il déclare que l’intérêt de JFK pour les OVNIs pourrait avoir été alimenté par des inquiétudes sur les relations avec l’ex-Union soviétique.

 

L’une de ses préoccupations était que beaucoup de ces OVNIs étaient observés au-dessus de l’Union soviétique et il craignait que les Soviétiques ne les interprètent à tort comme une agression américaine, croyant qu’il s’agissait d’une partie de notre technologie », a déclaré M. Lester à AOL News.

 

Je pense que c’est l’une des raisons pour lesquelles il voulait mettre la main sur cette information et la soustraire à la juridiction de la NASA afin de pouvoir dire aux Soviétiques :

« Écoutez, ce n’est pas nous, nous ne le faisons pas, nous ne sommes pas provocateurs« .

 

Mais les théoriciens de la conspiration ont déclaré que les documents ajoutent de l’intérêt à un dossier litigieux, surnommé le « mémo brûlé », qu’un enquêteur OVNI prétend avoir reçu dans les années 1990. Le document, qui porte des marques de brûlures, aurait été envoyé au chasseur d’OVNI Timothy Cooper en 1999 par une fuite inconnue de la CIA, mais n’a jamais été vérifié.

 

Dans une note envoyée avec le document, le divulgateur a déclaré qu’il avait travaillé pour la CIA entre 1960 et 1974 et a sorti la note d’un incendie alors que l’agence brûlait certains de ses dossiers les plus sensibles.

 

Le mémo non daté contient une référence à « Lancer », qui était le nom de code des services secrets de JFK. Sur la première page, le directeur de la CIA a écrit : « Comme vous devez le savoir, Lancer a fait des recherches sur nos activités, ce que nous ne pouvons pas permettre. Veuillez nous faire part de vos commentaires au plus tard en octobre. Votre action dans ce domaine est essentielle à la pérennité du groupe« . Le propriétaire actuel du « mémo brûlé », qui l’a acheté à Timothy Cooper en 2001, a déclaré à AOL News que cela montre que lorsque JFK a posé des questions sur les OVNIs, la CIA l’a « mis hors course ».

 

L’enquêteur sur les OVNI, Robert Wood, a déclaré qu’il avait testé le papier sur lequel elle avait été imprimée, l’âge de l’encre, les filigranes, les types de police et d’autres marques. Il a déclaré : « J’ai engagé une société de médecine légale pour vérifier l’âge de l’encre et plusieurs autres éléments que vous pouvez dater, en utilisant les mêmes techniques que celles utilisées dans un tribunal« .

 


JF & RF KENNEDY : LES COMPLOTS QUI LES ONT TUÉS ET LES BOUCS ÉMISSAIRES QU’ILS N’ONT PAS ÉTÉ…

 

Robert F. Kennedy a été assassiné il y a 42 ans au milieu de sa campagne pour la présidence des États-Unis. Largement éclipsé par la mort de son frère, le président John F. Kennedy, le récit officiel de la fin tragique de RFK, prétendument abattu par un tireur isolé, comme son frère, a reçu beaucoup moins d’attention. Dans les deux cas, il s’agit d’une mise en scène qui s’inscrit dans un schéma récurrent dans l’histoire des États-Unis et du monde, où des individus innocents (ou « boucs émissaires ») sont appâtés et piégés à des fins de dissimulation. Le professeur James H. Fetzer, expert dans l’étude scientifique des assassinats, nous donne un aperçu de la façon dont nous savons ce qui leur est arrivé et pourquoi, alors que l’assassinat de RFK était en partie destiné à empêcher une nouvelle enquête sur la mort de son frère.

 

Les assassinats de JFK et de RFK étaient tous deux des conspirations. Tous deux impliquaient la destruction de preuves. Les deux impliquaient la fabrication de preuves. Les deux impliquent la complicité de fonctionnaires locaux. Ils ont tous deux été planifiés par la CIA. Toutes deux ont été utilisées pour refuser au peuple américain le droit d’être gouverné par des dirigeants de son choix. Mon but ici est de décrire comment ces choses sont faites, parce que les agences responsables de ces événements continuent d’utiliser les mêmes techniques, non seulement pour tuer leurs cibles mais aussi pour les couvrir. Plus nous comprenons comment ces choses sont faites, moins nous risquons d’être à nouveau trompés.

Robert Kennedy :

 

Chaque fois qu’un homme défend un idéal, il agit pour améliorer le sort de tous, ou il lutte contre une injustice et transmet une infime onde d’espoir. Ces ondes se croisent avec d’autres, venues d’un million de centres d’énergie différents, et ont l’audace de créer un courant qui peut faire tomber les plus puissants murs de l’oppression et de l’intransigeance. 


 

JOHN F. KENNEDY JUNIOR EST-IL TOUJOURS VIVANT ?

 

La rumeur qui circule dans certains cercles de médias sociaux sur Internet est que JFK Jr est toujours en vie. Je suis une personne qui voudrait croire qu’il l’est, et j’étais là à 85% à un moment donné. Je n’en suis plus si sûr maintenant, mais je ne peux pas l’exclure.

Son esprit est vivant, il n’y a aucun doute à ce sujet. J’ai vu la photo d’un homme qui lui ressemblait beaucoup dans une vidéo Youtube et pourtant cette personne était trop jeune pour être lui mais quelqu’un disait que cela pouvait être son fils. C’est un bel homme.

Comme vous le savez, l’histoire officielle est que le soir du 16 juillet 1999, John F. Kennedy Jr, fils du président américain John F. Kennedy, est mort lorsque l’avion qu’il pilotait s’est écrasé dans l’océan Atlantique au large de Martha’s Vineyard, dans le Massachusetts. L’épouse de Kennedy, Carolyn Bessette, et sa belle-sœur, Lauren Bessette, étaient également à bord et sont décédées. Le Piper Saratoga, un monomoteur, avait décollé de l’aéroport du comté d’Essex, dans le New Jersey, et son itinéraire devait longer la côte du Connecticut et traverser le Rhode Island Sound jusqu’à l’aéroport de Martha’s Vineyard.

L’enquête officielle du National Transportation Safety Board (NTSB) a conclu que Kennedy avait été victime d’une désorientation spatiale alors qu’il descendait au-dessus de l’eau la nuit et avait par conséquent perdu le contrôle de son avion. Kennedy n’était pas titulaire d’une qualification de vol aux instruments et n’était donc autorisé à voler que selon les règles de vol à vue. Au moment de l’accident, les conditions météorologiques et de luminosité étaient telles que tous les repères de base étaient obscurcis, ce qui rendait le vol à vue difficile, bien qu’il soit toujours légalement autorisé.

L’avion transportait également la femme de Kennedy, Carolyn Bessette, et sa belle-sœur, Lauren Bessette. Kennedy avait acheté son avion trois mois avant le crash. Les sœurs Bessette étaient assises dans la deuxième rangée de sièges, qui faisait face à l’arrière de l’avion et était dos à dos avec le siège du pilote.

La rumeur qui circule est qu’il a survécu ou qu’il a simulé sa mort parce qu’il était la cible de quelqu’un qui craignait qu’il ne fasse obstacle à ses ambitions politiques.

Certaines personnes ont vu et photographié un homme lors des rassemblements de Trump qui, selon elles, pourrait être JFK Jr. D’autres personnes ont laissé entendre que la chaîne Youtube « I am Scotus » ou « Santa Clause of the United States » pourrait être JFK Jr.

 

A quoi pourrait ressembler JFK junior aujourd’hui ?

 

Voici ci-dessous la couverture de George Magazine datant de février 1997, qui s’intitule

« Guide de survie pour l’avenir ». Ce qui attire l’attention, c’est que l’une des pièces qui se trouve à l’intérieur est « Le jour de l’inculpation ». Hillary sera-t-elle arrêtée ? La Lune et l’OVNI sont-ils des indices laissait volontairement, avant sa disparition ? Tout cela faisait partie du Plan!

 

Apparemment, des messages ont commencé à apparaître sur le célèbre tableau de messages de 8Chan, suggérant que JFK Jr avait simulé sa mort et s’était caché par crainte d’être la cible de la même conspiration étatique profonde qui, selon QAnon, cible également Trump depuis qu’il est entré en politique.

 

LA FAÇON DONT Q PARLE DE JFK SR. DANS SES POSTS, C’EST AVEC TANT D’AMOUR ET DE PASSION, CELA ME FAIT PENSER QUE C’EST QUELQU’UN QUI LUI EST PROCHE. SI JFK JR. AVAIT SIMULÉ SA MORT ET QU’IL ÉTAIT VIVANT, IL SERAIT LOGIQUE QU’IL SOIT LE MYSTERIEUX Q

 

Trump a prétendu ne rien savoir de la conspiration avant de commencer à en faire l’éloge, en disant :

"Je sais qu’ils sont très opposés à la pédophilie. Ils la combattent avec acharnement. Mais je n’en sais rien… Je ne sais rien sur QAnon."


Après l’assassinat du président Kennedy, John Loengard se rend à Dallas sur ordre de Robert Kennedy. Là, il rencontre un responsable gouvernemental, Jesse Marcel. Selon lui, un vaisseau extraterrestre aurait été abattu au Nouveau-Mexique quelques années plus tôt. John et Kim réalisent avec effroi que les funérailles du président Kennedy devraient être l’occasion, pour les membres de la Ruche, d’assassiner tous les chefs d’Etats présents… 

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