Harry Truman, James Forestal et les Ovnis de Washington

Harry Truman (président de 1945 à 1953)

 

Si officiellement l'armée de l'air américaine ne s'intéresse plus aux Ovnis, qu'en est-il de la connaissance du dossier par les divers présidents qui se sont succédé depuis les années 1940 ?

 

 

Il avait donné les ordres, qui furent suivis dès 1949, d’abattre les « intrus ». Cette politique fut poursuivie sous Dwight Eisenhower, au moins jusqu’à la fin des années 1950, lorsqu’il apparut que la technologie des visiteurs était trop avancée et qu’il s’avérait impossible de les abattre. Néanmoins, le fait que de tels ordres aient été donnés a toujours été niée par l’US Air Force. En seulement quelques années le dossier OVNI est arrivé au plus haut responsable du pays.

 

H. Truman : «  Oh oui! Nous avons parlé de ce sujet à chaque réunion que nous avons tenue avec l’armée. Des choses comme ça surgissent toujours… des soucoupes volantes… et, vous savez, nous avons eu d’autres choses, si je ne me trompe pas. »

 

De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s’écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n’avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant. Hormis l’appareil qui s’était désintégré dans l’atmosphère, 13 de ces incidents se produisirent sur le territoire américain, dont l’un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L’un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu’il devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation. 

 

Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mésa près d’Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l’élément le plus intrigant fut la découverte, à l’intérieur des deux astronefs, d’une importante banque d’organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïa s’empara rapidement de tous ceux qui étaient «dans le secret» quand ils comprirent qu’un démon venait de leur dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l’affaire fut classifiée «plus qu’ultra-secrète» et scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s’était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l’Histoire de l’humanité.

 

En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN, lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d’Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ Livre Bleu ] dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA. 

 

Durant ces premières années, l’Armée de l’air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d’abord été créée par décret présidentiel en tant que «Groupe central de renseignements» pour s’occuper expressément du problème de la présence extraterrestre. Par la suite, l’Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d’«Agence centrale de renseignements».

 

Le «Conseil de sécurité nationale» fut établi pour superviser les organes de renseignements et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question des extraterrestres. Une série d’ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par «légaliser» son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d’activités quelconques.

 

Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu’à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d’État, le président Truman approuva le rapport NSC 4 concernant la «coordination des mesures d’information sur les services de  renseignements étrangers». À la page 49 du livre 1 du «Rapport final de la Commission d’enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements» – Sénat américain, 94e conférence, 2e session, rapport No 94755, 26 avril 1976 – le service des renseignements étrangers et militaires cite : «Cette directive a donné au secrétaire d’Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme».

 

Une zone tampon s’installa donc entre le président et l’information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l’abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents successifs dans l’ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu’ils voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d’étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard. 

 

 

James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l’amenèrent à pencher en faveur d’une diffusion publique de l’information. James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu’il eut parlé du problème aliens aux leaders de l’Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d’être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tard qu’il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l’on craignait qu’il n’ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C’est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d’un drap autour de son cou, en attachèrent l’autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenant l’une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic. 

 

Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de Sécurité Nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliens en vue d’établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s’inscrivait dans la suite des précédents efforts. L’objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n’importe quel appareil et provenant de n’importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu’extraterrestre, et de préserver le secret de leur présence. Le projet Sigma fut fructueux. 

 

La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d’autres programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu’elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n’est pas écrit dans le texte de l’une ou l’autre loi votée par le Congrès, la NSA n’est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d’autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l’ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: «Où va l’argent va le pouvoir». Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n’est plus aujourd’hui qu’un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSA vise encore les communications avec les extraterrestres, mais elle s’est maintenant accrue d’autres projets en liaison avec eux. 

 

Le président Truman avait tenu nos alliés – y compris l’Union soviétique – au courant des développements du problème exogène. Il avait agi ainsi de peur que les aliens ne se révèlent menaçants pour l’espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d’invasion planétaire, mais il s’avéra difficile de garder un projet d’envergure internationale à l’abri de la curiosité normale des journalistes à l’égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d’alors – comme de nos jours, d’ailleurs – ne sont qu’une farce monumentale à l’échelle internationale.

 

Le groupe Bilderberg a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la Commission Trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS etc.

La Commission Trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette entreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre Mondial. 

 

La Commission Trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Viet-Nam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiaire de ces 2 organismes. 

 

Le CFR est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales. 

 

Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains rythes initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes permet aux Illuminati de s’assurer que leurs « recrues » sont en accord avec leurs objectifs). 

 

Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu’à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux. 

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