Ovnis du secret officiel aux limites de la science - Daniel Robin

 

Ce livre n’a pas pour but de démontrer l’existence des ovnis. Leur réalité matérielle est un acquis irréfutable. Ce stade de la recherche ufologique est derrière nous maintenant. Les ufologues les plus avancés dans ce domaine sont allés beaucoup plus loin pour tenter de comprendre ce que sont les ovnis, d’où viennent-ils, comment pourraient-ils fonctionner, et pourquoi certains individus ont un contact psychique avec eux. Si donc l’existence des ovnis est aujourd’hui abondamment démontrée, à quoi cela sert-il d’écrire un nouveau livre sur ce sujet ? La réponse est simple : si cette étude a été réalisée, c’est parce que la réflexion au sujet des ovnis est loin d’être achevée et que les chercheurs doivent s’orienter vers d’autres domaines d’interrogations.

 

L’ufologie du XXIe siècle n’est plus celle des pionniers. Nous devons nous préparer à de grands changements dans ce domaine et envisager sérieusement la possibilité de contacts de plus en plus nombreux et rapprochés entre les ovnis et des groupes d’humains prêts pour ce type de « rencontre ».

 

 

Daniel Robin

 

L’auteur :

 

Daniel Robin est co-fondateur de la société Vertical Project Media qui organise des colloques, des conférences et des ateliers axés sur le thème de conscience.

Il prône un rapprochement entre science et spiritualité qui déboucherait sur une « 3ème voie de conscience », qui pourrait conduire, dans un futur proche, vers une compréhension plus profonde de l’Univers et une attitude plus respectueuse vis-à-vis de la nature.

Passionné d’astronomie et d’exobiologie, il a toujours été fasciné par la question de savoir s’il existait d’autres civilisations évoluées dans l’Univers. Daniel Robin a publié de nombreux livres, articles et dossiers sur la question de l’existence des civilisations extraterrestres dans des magazines spécialisés et sur différents sites internet.

 

I/ INTRODUCTION

 

Comment aborder aujourd’hui l’énigme des ovnis ?

 

II/ ILS SAVENT !

 

Quelques réflexions sur les militaires, les scientifiques et les politiques qui savent.

 

1) Le secret : version « ufologie noire ».

 

2) Le secret : version « ufologie incolore ».

 

3) Le secret : version « ufologie blanche ».

 

4) La question du transfert de technologies.

 

a) Transfert de technologies par imitation.

 

b) Transfert de technologies par récupération.

 

Les révélations sensationnelles de Philip J. Corso.

 

Jack Shulmann et son mystérieux « contact ».

 

c) Transfert direct de technologies.

 

III/ L’HYPOTHESE EXTRATERRESTRE AU DEUXIEME DEGRE ( HET2 )

 

L’hypothèse extraterrestre au premier degré (HET1).

 

L’origine de l’expression « soucoupe volante ».

 

Les faiblesses de l’HET1.

 

Préliminaires et approche de l’HET2.

 

Arguments en faveur de l’hypothèse extraterrestre.

 

IV/ COMBIEN DE CIVILISATIONS ?

 

L’équation de Drake.

 

V/ ESSAI DE CLASSIFICATION DES CIVILISATIONS EXTRATERRESTRES

 

Qu’est-ce qu’une civilisation ? 

 

Approche d’une classification des civilisations.

 

A) Les civilisations proto-planétaires de Type 0.

 

B) Les civilisations planétaires de Type I.

 

C) Les civilisations stellaires de Type II.

 

D) Les civilisations galactiques de Type III.

 

1) La colonisation lente de la Galaxie.

 

a) La propulsion chimique à ergol liquide.

 

b) La voile solaire (pression de radiation).

 

c) La propulsion à plasma.

 

d) La propulsion nucléaire à fission.

 

e) La propulsion à l’antimatière.

 

Les sondes dites de von Neumann.

 

2) La colonisation rapide de la galaxie.

 

E) Les civilisations d’amas galactiques de Type IV.

 

F) La Civilisation Universelle de Type V.

 

A quel Type de civilisations appartiennent les ovnis ?

 

La sémiologie du phénomène ovni.

 

L’incident Zeta Reticuli.

 

La pluralité des ethnies extraterrestres.

 

Des ethnies malveillantes ?

 

Seti et les ovnis.

 

VI/ LE PRINCIPE CEHV

 

Introduction au Principe de Corrélation entre l’Expansion « Horizontale » et « Verticale » d’une civilisation, ou Principe CEHV.

 

Il faut unir science et spiritualité, technologies modernes et sagesse ancestrale. 

 

L’Egypte ancienne et le Principe CEHV.

 

Quel avenir spirituel pour notre planète ?

 

Ovnis et spiritualité.

 

CONCLUSION

 

Préface de Gilles Pinon (contre-amiral):

 

Gilles Pinon était Diplômé de l’Ecole navale et de l’Ecole nationale supérieure de technique avancées, contre-amiral, et cadre de réserve.

 

Dès lors que l’on tient pour probable une intrusion extraterrestre, on ne peut que s’interroger sur son origine, son mobile et sa dangerosité. Sommes-nous en présence d’une seule civilisation, de plusieurs civilisations opérant de concert ou de plusieurs civilisations agissant en opposition ? S’agit-il d’une simple surveillance à distance, d’une intervention ponctuelle dans un but limité et précis ou d’une tentative de prise de contrôle ? L’intrusion est-elle bienveillante, neutre ou délibérément hostile ?

 

Il est vain d’espérer que d’une démonstration ovnienne ostensible et non brouillée surgiront un jour les réponses à ces graves questions. Pour la simple raison que le phénomène est discret et brouillé. Faut-il se contenter des déclarations des témoins, des récits des supposés contactés ou « abductés », des allégations des informateurs prétendument initiés ? Ce serait se fourvoyer car les informations recueillies sont toujours susceptibles d’être altérées, falsifiées, voire fabriquées de toutes pièces. En effet, il est de mieux en mieux établi que le phénomène ovnien est, depuis son origine, l’objet de deux types d’opérations de travestissement de la vérité : d’une part la désinformation mise en œuvre par des fabulateurs aux intérêts obscurs et par des agences gouvernementales motivées par l’enjeu stratégique, comme l’ont clairement montré d’excellents auteurs ; d’autre part le brouillage et le camouflage par les intrus eux-mêmes en application de leur propre stratégie, comme certains ufologues l’ont déjà suggéré.

 

Désinformation et brouillage sont si présents qu’il devient impossible d’extraire le signal du bruit, de faire la part entre la réalité et la fiction, de séparer les données factuelles des chimères, de restituer une information fiable et crédible à partir des seuls récits des acteurs.

 

Comment en sortir ? Quelles voies l’ufologie doit-elle emprunter ? En premier lieu la collecte et le classement des données relatives aux observations des ovnis. C’est un travail considérable qui doit recueillir les témoignages les plus insolites, même s’ils heurtent la raison, et ne pas se limiter aux cas les plus probants. C’est à ce travail capital que se consacre l’association « Ovni investigation » à laquelle appartient Daniel Robin. En second lieu leur interprétation. Si l’on admet que le phénomène est gouverné par une ou plusieurs intelligences aux intentions obscures, si l’on rejette a priori l’interprétation psychosociologique, de quel sorte de raisonnement cette interprétation doit-elle participer ? Face à des situations complexes mettant en jeu des intelligences aux desseins inconnus et des informations rares, sporadiques et brouillées, il convient de recourir à un raisonnement de type hypothéticodéductif consistant à formuler des hypothèses et des conjectures dont sont ensuite déduites des conséquences susceptibles d’être vérifiées par l’observation. Un tel raisonnement est itératif et adaptatif. Il astreint à une pensée formalisée. Il s’oppose au processus inductif de pensée qui va du particulier au général, qui justifie un énoncé général à partir d’un nombre limité d’observations. S’agissant de l’ufologie, la méthode inductive a malheureusement conduit à deux écueils : d’une part au scepticisme car les visages polymorphes et absurdes que revêtent les manifestations ovniennes depuis une vingtaine d’années ne permettent pas de justifier un énoncé général ; d’autre part, par extrapolations abusives, à l’élaboration d’interprétations hasardeuses.

 

Dans son dernier livre « Ovnis, du secret officiel aux limites de la science »,  Daniel Robin s’interroge sur la nature du phénomène ovnien et sa dangerosité en se gardant bien de généralisations imprudentes qui se fonderaient sur sa sémiologie. Il nous présente une analyse critique objective de l’ufologie, de ses tendances et de ses querelles oiseuses. Il fait à bon droit le procès de « l’ufologie noire » qui se complaît dans un tableau pessimiste de notre société, et qui voudrait que les intrus extraterrestres se comportent en véritables prédateurs et poursuivent l’épouvantable projet de nous asservir. Surtout, privilégiant le raisonnement hypothéticodéductif, il nous fait part de ses réflexions sur l’éthique et l’ordre spirituel que doivent développer les civilisations avancées pour assurer leur cohésion interne et leur pérennité. Il développe un concept original qui pose l’existence d’un lien nécessaire et vital entre la « dimension horizontale », essentiellement scientifique et technologique, et la « dimension verticale », essentiellement spirituelles d’une civilisation ayant acquis la maîtrise du voyage intersidéral. Il pose enfin la question de l’existence de plusieurs, voir d’une infinité, de niveaux de consciences dans l’univers.

 

Je suis convaincu que cette approche nouvelle, véritable quête de sens, par laquelle Daniel Robin aborde ici la problématique ovnienne ne manquera pas de susciter l’intérêt des lecteurs et d’ouvrir des débats animés et féconds, au-delà même du cercle étroit des ufologues. 

 

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