Les bases lunaires extraterrestres - décembre 2020

Il existe de nombreuses théories du complot selon lesquelles les vaisseaux du programme Apollo ne se seraient jamais posés sur la Lune. Ces théories reposent sur une courte séquence de la diffusion télé du 20 juillet 1969 où l’on voyait le drapeau américain flotter au vent alors qu’un des deux astronautes essayait de le planter dans le sol; alors qu’il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune. Selon certaine source l’alunissage se serait réellement produit, mais la séquence du drapeau aurait été filmée sur Terre. Si tel est le cas, pourquoi avoir recouru à une telle tromperie ?

 

Lors de la préparation des alunissages du programme Apollo, les missions de reconnaissance de la NASA avaient pris des photos de différentes structures sur la face cachée de la Lune. Certaines de ces structures étaient anciennes, d’autres presque intactes – néanmoins toutes semblaient perfectionnés et de nature extraterrestre. Ne sachant pas à quoi s’attendre, les responsables de la NASA ont décidé de tourner des scènes d’alunissage factices, qui auraient pu être utilisées dans le cas où les extraterrestres auraient mal accueilli Neil Armstrong et Edwin Aldrin.

 

Lorsque le module lunaire s’est posé sur la Lune, la bordure du cratère était emplie de véhicules extraterrestres. En retardant le diffusion de cet alunissage, les responsables de la NASA ont pu ainsi opérer des coupes dans les séquences préformées et éliminer au montage les scènes où l’on voyait les astronautes réagir à l’apparition d’extraterrestres.

 

Les astronautes ont toujours refusé de s’exprimer sur l’existence de bases lunaires et sur la présence d’extraterrestres lors des alunissages des missions Apollo – chacun de ces astronautes avait été prévenu que la divulgation de la vérité entraînerait non seulement sa propre mort mais aussi celle de ses proches. Par ailleurs, Neil Armstrong a déclaré que nous avions été prévenu de nous tenir à l’écart de la Lune. Pour quelle raison ? 

Les extraterrestres nous ont prévenus de nous tenir à l’écart de la Lune parce que nous voulions nous y rendre dans le cadre d’une course aux armements avec l’Union Soviétique. En dépit de la noblesse du but fixé par le président John F Kennedy, le programme Apollo a été lancé en réponse au programme Spoutnik de l’URSS. Les alunissages effectués n’ont été en fait qu’une sorte de prolongement de la guerre froide.

 

Les menaces de la NASA ont profondément affecté Buzz Aldrin, qui a par la suite souffert de dépression nerveuse. 

Après quelques alunissages supplémentaires (sans oublier la présence perturbante des ETs) la mission Apollo a été abandonnée pour être remplacée par le programme de la navette spatiale. Six navettes furent construites dans le cadre de ce programme; deux d’entre elles explosèrent. Estimé à un coût moyen de 450 millions de $ par lancement.

 

Lorsque nous parlons d’intelligence extraterrestre, nous parlons en fait d’espèces avancées qui possèdent des niveaux de conscience beaucoup plus élevés que les humains. En effet, les humains tendent à être xénophobes et violents – ce qui a été illustré par les réactions militaires et civils à l’apparition des ovnis. La prédisposition humaine à considérer tout ce que nous ne comprenons pas et tout ce que nous ne pouvons pas contrôler comme intrinsèquement hostile et menaçant doit être dépassée.

 

Les extraterrestres ont imposé un véritable « billet d’entrée » à la civilisation humaine, pour pouvoir un jour devenir une espèce interplanétaire, nous devons d’abord et avant tout devenir civilisés, vivre ensemble de manière pacifique, renoncer aux armes de destruction massive et explorer l’espace sans aucun système d’armement tout en étant animés par la conscience d’une paix universelle. Lorsque nous aurons atteint ces objectifs, l’univers nous ouvrira ses bras.

 

Karl Wolfe

Karl Wolfe détenait une habilitation de sécurité Top-secret lorsqu’il servait dans l’armée de l’Air des É-U. Il a œuvré au sein du Commandement aérien stratégique, situé à la base aérienne de Langley en Virginie.

 

J’ai servi au sein de l’armée de l’air des É-U du 18 janvier 1964 au 18 octobre 1968. J’ai travaillé pour le Commandement aérienne de Langley en Virginie, plus précisément pour le 4444e Groupe technique de reconnaissance. Ce groupe était impliqué dans des missions de reconnaissance photographique. Nous travaillions sur les avions U-2 et sur les photos des satellites espions avant quiconque ne soit informé que nous disposions de cette technologie. À cette époque, personne ne sauvait que nous traitions des photos de satellites espions. Naturellement, personne ne savait que le programme des U-2 était opérationnel ni ne connaissait les capacités de ce programme. Nous utilisions aussi des films de reconnaissance, filmés à bord de C-130 ou de toutes sortes d’avions impliqués dans des situations de combat. Nous développions ces films pour appuyer nos groupes.

 

C’était en 1965… en juin ou juillet, j’étais alors un technicien en photographie ayant une bonne formation en électronique. L’organisation pour laquelle je travaillais était basée dans une installation neuve. Un jour, alors que je travaillais dans le labo où l’on développait les photos en couleurs, le sergent-chef Taylor est venu me voir pour m’informer qu’ils avaient des problèmes avec certains équipements. En fait, ils avaient des problèmes avec le programme d’orbiteur lunaire, dont la mission lunaire de 1969. Comme l’équipement dont nous disposions était de nature similaire, il m’a demandé de me rendre à l’installation de la NSA pour voir ce qui n’allait pas.

 

À cette époque, je ne savais pas ce qu’était la NSA! Je pensais qu’il voulait parler de la NASA. En conséquence, durant un certain temps, j’ai cru que j’avais visité une installation de la NASA. Cette installation était située sur la base aérienne de Langley, où la NSA regroupait toutes les informations en provenance de l’orbiteur lunaire.

J’ai donc pris quelques outils et je me suis rendu sur place; deux officiers m’attendaient, ils me conduisirent jusqu’à un vaste hangar qui abritait un laboratoire. Un aviateur de 2ème classe était posté là. Il brancha l’équipement et le fit fonctionner. À l’évidence, il ne fonctionnait pas correctement – tout de suite j’ai vu ce qui clochait! Je me suis tourné vers l’aviateur et je lui ai dit : « Il faut sortir cet équipement du laboratoire, je ne peux pas travailler dans cette chambre noire. » Cet équipement de la taille d’un gros frigo, n’était pas facile à déplacer. L’aviateur appela des hommes en renfort pour nous aider à le sortir du laboratoire.

 

Tout le personnel était sorti de la chambre noire; alors que l’aviateur de 2ème classe et moi attendions les hommes qui devaient nous aider, j’ai demandé à l’aviateur par quel procédé les images de l’orbiteur lunaire parvenaient au labo. Il m’a décrit le procédé en question, en décrivant avec précision comment les différents télescopes positionnés aux 4 coins du globe étaient reliés entre eux et comment les données étaient télérelevées et mesurées à distance par des techniciens de Langley Field. À cette époque, nous ne savions pas exactement quelle était la fonction dévolue à cette installation, à la chambre noire et à cette opération en général. Je croyais que c’était le lieu où ils regroupaient les données avant de diffuser les images auprès des téléspectateurs. Je ne pensais pas qu’il y avait d’autres problèmes et enjeux sous-jacents.

 

Lorsque l’aviateur a commencé à me faire part de toutes ces informations, j’ai compris qu’il s’agissait là d’une opération classée Top-secret et qu’il ne pouvait pas m’expliquer en détail tout ce qu’il faisait, et ce, en raison de la nature cloisonnée de nos fonctions respectives. Il m’a tout tout de même expliqué comment cela fonctionnait en partie – pour ce faire, il m’a montré l’équipement qui traitait les informations numériques et les convertissait en images photographiques. À cette époque, ils produisaient des bandes de film photographique de 35mm qui étaient ensuite assemblées en mosaïque de 45 cm sur 28. Il y avait une signature numérique et une échelle de gris sur chaque bande de 35mm; par ailleurs, ces bandes de film correspondaient aux circonvolutions successives autour de la Lune. C’est ainsi qu’ils procédaient, ils prenaient des photos successives puis faisaient des montages. Pour refaire, ils scandaient une section de la Lune puis une autre et une autre encore, et ainsi ils pouvaient, au terme de ce processus, obtenir une image plus grande, une mosaïque qui donnait une vue d’ensemble; celle-ci était ensuite traitée et imprimée.

Alors qu’il m’expliquait comment tout cela fonctionnait, il s’interrompit soudain et me dit : « Au fait, nous avons découvert une base sur la face cachée de la Lune. » Je lui ai demandé : « À qui appartient-elle ? » « Que voulez-vous dire par ‘a qui appartient-elle’? »

 

À cet instant, je me suis rendu compte de ce qu’il me disait et cela m’a vraiment terrifié; je savais que si quelqu’un rentrait dans cette pièce à ce moment-là, nous aurions pu avoir tous deux, de graves ennuis car il n’aurait jamais dû me faire part de cette information et je n’aurai jamais dû l’entendre. Il alors pris une de ces mosaïques et m’a montré cette base sur la Lune; sur cette photo, j’ai distingué plusieurs bâtiments regroupés sur une vaste superficie. Il y avait un bâtiment doté d’une structure en forme de disque. À proximité, on distingué un autre bâtiment dont la partie supérieure était angulaire et tronquée. Il y avait des édifices de forme sphérique, de très hautes tours et des constructions qui ressemblaient à des paraboles radars. Certains édifices avaient des structures très hautes et très fines. Je ne sais pas quelle était leur hauteur exacte! Il y avait aussi de grands bâtiments de forme sphérique, surmontés de dômes; ces immenses constructions apparaissaient nettement sur la mosaïque. J’ai essayé d’établir des liens entre ces édifices lunaires et des constructions terrestres, mais rien de ce qui existe sur Terre n’est comparable à ces constructions lunaires en terme d’échelle. Néanmoins, il y avait certaines similitudes. J’ai également essayé de relier ces édifices à des structures métalliques, cela ressemblait plutôt à des constructions fabriqués à partir de matériaux pierreux.

 

Certains édifices semblaient équipés de surfaces réfléchissantes. Par ailleurs, quelques-unes de ces structures s’apparentées aux tours réfrigérantes que l’on trouve dans les centrales électriques. Certaines étaient très hautes et très droites avec un toit plat alors que d’autres étaient de forme arrondie et munies d’un dôme… ce qui les faisait ressembler à des serres.

 

À un certain moment, j’ai décidé de ne plus continuer à étudier cette mosaïque car j’ai senti que ma vie était en danger. Certes, j’aurais aimé étudier plus avant ces photos, j’aurai aussi aimé en faire des copies… mais je savais bien que c’était impossible. Je savais aussi que le jeune aviateur qui avait partagé ces informations avait outrepassé ses pouvoirs et franchi une ligne rouge à cet instant.

Je savais qu’après avoir quitter l’armée je ne pourrais plus aller nulle part pendant 5 ans sans en référer au Département d’Etat. À chaque fois que je voulais voyager, même sur le territoire des Etats-Unis, je devais le signaler et demander la permission. Ils exigeaient de savoir où je me trouvais à tout moment. Par exemple, quand nous allions au Vietnam, il y avait toujours quelqu’un avec nous, avec un fusil, toujours prêt à nous descendre si nous tombions entre les mains de l’ennemi. Ils ne voulaient pas que l’ennemi nous capturât ; ils préféraient nous tuer. Nous savions dans quelles conditions nous opérions. Notre vie était en jeu à tout instant si nous tombions entre de mauvaises mains. Nous étions conscients de cela.

 

Quand j’ai quitté l’armée, j’ai été informé qu’ils enquêteraient régulièrement sur moi pour être sûr que je ne serais pas impliqué dans des activités contre les intérêts du gouvernement.

Tout en travaillant dans un service de la NSA, il a vu des photographies prises de la lune depuis la navette spatiale lunaire qui a montré des structures artificielles détaillées. Ces photos ont été prises avant l’alunissage d’Apollo en 1969.

Est-il possible que l’équipage de la mission Apollo 11 ait vu des ovnis sur la lune, et des bases secrètes ont-elles été installées sur sa face cachée ? Des preuves datant des années 1950 montrent que la Nasa nourrit depuis lontemps le projet d’installer des bases sur la lune et sur Mars. Si ces projets ont bien été réalisés, pourquoi n’ont-ils jamais été dévoilés ? 

 

Il existerait un lieu où 70 000 fichiers concernant les OVNIS seraient répertoriés depuis plus d’un demi siècle. Cet endroit s’appelle Hangar N°1 et ses portes sont enfin ouvertes pour investigation. Un gouvernement fantôme et ses agents spéciaux, les «hommes en noir», auraient pour mission de protéger ces précieuses informations et d’empêcher qu’elles parviennent aux oreilles du public. 

Vous êtes-vous déjà posés la question quant à savoir pourquoi les terriens ne sont jamais retournés sur la Lune ?  La NASA nous dissimulerait-elle un sombre secret. Y a-t-il des « Bases Extraterrestres » sur la Lune ?

 

De plus en plus de gens se présentent avec des histoires qui peuvent attester la véracité de cette déclaration.  Les rumeurs affirment qu’il y a une base lunaire sur la face cachée de la Lune.

 

On pourrai se demander pourquoi les missions spatiales ont cessé et pourquoi nous n’avons pas essayé de construire une Base Lunaire ? Il semblerait que ça soit une meilleure idée qu’avoir une station spatiale qui se meut dans le vide sans avoir accès aux matières premières ou aux ravitaillements ?

 

Selon l’astronaute de la NASA Neil Armstrong les extraterrestres ont une base Lunaire et nous ont fait savoir en des termes très clairs qu’il fallait rester à l’écart de la Lune !

 

Milton Cooper, un officier du renseignement maritime nous dit que non seulement des Bases Lunaires Extraterrestres existent mais la communauté du renseignement Naval US se réfère à l’une de ces bases extraterrestre lunaire en tant que « Luna », qu’il y a une exploitation minière gigantesque là-haut, et c’est là que les extraterrestres gardent leurs énormes vaisseaux-mères, tandis que les voyages sur Terre sont effectués avec des petites navettes.

La raison pour laquelle la NASA n’est jamais retournée sur la Lune

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