CONTACTS OVNIs AU BRESIL

Voici un livre dont je recommande particulièrement la lecture. C’est le livre incontournable en la matière. Les présentations ci-dessous ne peuvent donner qu’une idée insuffisante à propos de son intérêt. Il faut avoir accès à son contenu pour apprécier pleinement celui-ci. Le Brésil est l’un des pays les plus prolixes en matière de rencontres OVNI et notamment en matière de rencontres rapprochées du troisième type. Ce livre de plus de 450 pages, avec de nombreuses photos, est simplement descriptif, il n’y a pas d’hypothèses ou de théories fantaisistes comme on les trouve chez des auteurs « encensés » comme Jacques Vallée, etc. Bref, seulement du factuel. 

 

Alain Moreau

 

 

 

Extraits du site FlyingDisk France : 

 

Voici un premier texte introductif au livre CONTACTS OVNIS au BRESIL, de l’ufologue brésilien Thiago Luis TICCHETI, auteur et enquêteur à la réputation bien établie, co-éditeur de la prestigieuse Revista UFO fondée par A. J. Gevaerd, et auteur de plusieurs livres antérieurs.

CONTACTS OVNIS au BRESIL constitue un parcours très substantiel des cas de tous genres, survenus au Brésil entre les années 1930 et 2010. On y trouve un recensement impressionnant d’observations d’ovnis dont quelques-unes sont très documentées (le fameux cas de l’île de Trinidade), de saisissants cas d’enlèvements et un nombre considérable aussi de rencontres rapprochées d’humanoïdes. Le dossier Opération Prato (aussi appelé dossier Colarés) est richement décrit, avec un imposant dossier de documents militaires déclassifiés au début des années 2000. Le cas Varginha n’est pas en reste. Egalement le cas présumé de crash d’OVNI à Ubatuba, Etat de Sao Paulo, en 1957, sur lequel enquêta aussi l’organisme américain A.P.R.O., organisme ufologique de référence à l’époque, et qui fit l’objet d’un long dossier dans le Journal of UFO Studies ( édite par le Allen Hynek Center of UFO Studies) en 1992.                                                                     

 

Jean Librero

* Introduction de l’auteur (Thiago Luiz Ticchetti) :

 

 

À l’âge de 8 ans, j’ai eu ma première et jusqu’à présent mon unique observation d’OVNI. C’était en 1982, à Rio de Janeiro. Il faisait nuit quand j’ai vu une sphère de lumière rouge descendre du ciel et « disparaître » derrière la Pedra de Gávea (Montagne près de Rio de Janeiro). Après quoi, l’objet a réapparu, commençant à s’élever et augmentant sa luminosité. En un clin d’œil, il a accéléré et a disparu dans l’espace.

 

J’aimais déjà le sujet, mais cette expérience a été le déclencheur qui a éveillé ma passion pour l’ufologie. À partir de ce jour, mes lectures se sont partagées entre les thèmes ufologiques et les bandes dessinées du type Spider Man.

 

Une grande partie de cet intérêt est venu de mon père. C’est lui qui m’a le plus encouragé. Comme pilote de l’armée de l’air brésilienne, il n’a jamais fait d’observations en vol, mais dans sa jeunesse il avait vu par deux fois une soucoupe volante classique en compagnie de ma tante, sa sœur, à São Paulo. Alors que je grandissais, mon intérêt s’est développé également.

 

Quand j’ai eu 17 ans, au début des années 1990, mon père travaillait au A2, centre de renseignement de l’armée de l’air. Il était divorcé de ma mère, et presque tous les vendredis, mon frère et moi prenions un bus pour aller chez lui, où nous restions jusqu’au dimanche. Connaissant mon intérêt pour l’ufologie, mon père a pris des copies de rapports qui avaient été publiés dans les journaux, puis classés dans la catégorie A2, et me les a remis. Mais pour moi, ce n’était pas assez. Chaque fois que je demandais : « Papa, montre-moi les documents que tu as archivés sur les vols de soucoupes ». Il disait toujours qu’il n’avait rien. Mais j’ai insisté. Ma demande devenait automatique mais un jour j’ai eu ce que j’attendais !

 

Mon père a appelé un soldat et lui a demandé d’aller chercher deux boîtes de dossiers et de les apporter à son bureau. Mes os se sont figés et mon cœur s’est accéléré. J’allais voir des documents que peu de gens avaient vus, j’en étais sûr.

 

Avec les deux boîtes devant moi, j’ai couru pour les ouvrir. A l’intérieur, il y avait de nombreux documents portant le cachet « Secret ». Il s’agissait de transcriptions de dialogues entre des pilotes et des contrôleurs aériens, des documents avec des graphiques, des chiffres et des dessins d’OVNI. Mais soudain quelque chose a attiré mon attention : une photo fantastique d’un OVNI prise depuis l’intérieur du cockpit d’un avion. La photo était parfaitement claire et nette. L’objet était une soucoupe volante de type classique, mais sans ouvertures. Il semblait fait d’une seule pièce de métal argenté. La photo avait été prise de jour et le soleil s’était réfléchi sur la structure de l’OVNI.

 

J’ai demandé à mon père si je pouvais avoir la photo. Il m’a répondu que non. J’ai demandé si je pouvais la copier. Il s’y est encore refusé, mais m’a donné dix minutes pour copier, à la main, tout ce que je voulais. Eh bien, c’est ce que j’ai fait. Malheureusement, j’ai pris les plus petits cartons pour en avoir plus. J’ai eu tort en choisissant la quantité plutôt que la qualité.

 

Des années plus tard, l’armée de l’air brésilienne a publié des milliers de pages de documents secrets. Pourtant, jusqu’à présent, aucun de ceux que j’avais copiés ce jour-là, et encore moins la photo d’OVNI,  n’ont été rendus publics.

 

J’ai fait ce résumé pour donner un exemple de ce que nous trouvons ici au Brésil. L’ufologie brésilienne est parmi les plus importantes du monde. Des ufologues comme Irene Granchi, Walter Bhüller, Silvio Pereira, Claudeir Covo, Marco Antônio Petit et Ademar Gevaerd ont bâti et continuent à bâtir un héritage pour les générations futures. Je fais partie de ceux qui ont été influencés par ces personnes. Et ce livre vise à apporter au public étranger des faits, des cas, des photos, des documents et des images qui font partie de cette histoire.

 

Dans ce livre, le lecteur découvrira des détails de cas déjà connus dans le monde entier, mais aussi des événements impressionnants tels que la « Nuit officielle des OVNI », où plus de vingt OVNIs ont été suivis par des Mirage et des F-5 de l’armée de l’air brésilienne ; des cas comme celui de Crixás, le barrage de Paranoá, Papuda et bien d’autres.

 

Le livre décrira également l’opération Prato, un événement unique au Brésil, où les militaires ont été envoyés dans la ville de Colares, au nord du pays, pour enquêter sur les « attaques » de lumières mystérieuses. L’une de ces attaques a entraîné la mort d’au moins un habitant de la région.

 

Quoi qu’il en soit, j’espère que ce premier volume du livre « UFO Contacts in Brazil » pourra présenter l’ufologie brésilienne à tous ceux qui sont sensibles à ce sujet fascinant.

 

Nous sommes confrontés à des faits et des preuves qui démontrent que nous sommes visités par des êtres non terrestres.

 

 – Contacts :

E-mail : tlticchetti@yahoo.com.br

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Instragram : ThiagoTicchettiUFO

 

* PRÉFACE DE A. J. GEVAERD AU LIVRE « CONTACTS OVNIS AU BRESIL » :

 

 En de très bonnes mains

 

C’est une très bonne chose de voir un nouveau livre sur le paysage OVNI brésilien prendre vie à l’étranger – et ce n’est pas simplement un autre livre sur les OVNIs au Brésil. Non, il s’agit d’un travail très particulier élaboré par l’un des plus brillants chercheurs et militants dans le domaine des OVNI au Brésil, Thiago Luis Ticchetti, mon ami proche et collaborateur énergique depuis plus de 25 ans.

 

Thiago a rejoint le magazine « Revista UFO », que j’ai créé il y a 35 ans, et édité sans discontinuer depuis lors, alors qu’il était encore un adolescent sérieusement intéressé par ce thème fascinant. J’avais l’habitude de dire : « C’est le gars le plus prometteur que nous ayons. » Et la promesse est vite devenue réalité. Il a rejoint le magazine au poste le plus modeste, en tant que traducteur bénévole de l’anglais vers le portugais, parmi beaucoup d’autres. Mais en quelques années, il est allé beaucoup plus loin et s’est mis à écrire ses propres articles pour la publication, et beaucoup d’entre eux étaient si bons qu’ils ont fait la couverture. Il a ensuite proposé son premier livre pour être publié dans la collection « Bibliothèque OVNI » du magazine. Il était intitulé « Crashes d’OVNIs ». Ce livre était tout simplement l’un des recueils les plus documentés que j’aie jamais vus sur les affaires impliquant des accidents d’OVNI dans de nombreux pays. J’ai été surpris de voir la qualité de la recherche que Thiago avait faite lui-même, alors que peu de temps auparavant il n’était encore qu’un adolescent, et en fait, ce fut le premier de nos livres à être épuisé en quelques mois. Thiago devait alors être promu à une meilleure position dans le magazine, et j’ai eu l’honneur de le nommer consultant de « Revista UFO ». Mais ce n’était pas suffisant.

 

L’implacable et brillant chercheur en ufologie a prouvé une fois de plus son beau talent en proposant plusieurs autres livres qui seront lancés par la bibliothèque OVNI du magazine, sous la forme d’une deuxième édition – très bien accueillie par le public – de « Crashes d’OVNIs », « Le Guide de la Typologie Extraterrestre » et un « Guide de la Typologie des OVNIs ». Il avait également publié de son côté d’autres très bons livres avec d’autres éditeurs, qui furent aussi honorés que je l’avais été. Quelle énergie !

 

Alors, c’est reparti, et entre tout cet épanchement de travail intellectuel, j’ai ressenti à nouveau qu’il devrait être en meilleure position dans le magazine, et Thiago a été nommé cette fois-ci comme consultant spécial, ce qu’il a fait pendant très longtemps, et après quelques années il a été alors nommé corédacteur en chef du magazine brésilien « UFO ». (J’avoue que j’ai peur qu’un jour il prenne mon travail en tant que rédacteur en chef !)

 

Il y a beaucoup à dire sur Thiago Luiz Ticchetti, devenu un adulte, père attentionné de deux enfants merveilleux, un administrateur et un assistant du gouvernement très performant dans la Capitale, Brasília, grandement respecté comme chercheur, auteur, conférencier et conseiller en matière d’OVNI. Il est également l’actuel directeur du Comité Brésilien d’Ufologues (CBU), un groupe restreint de personnes qui se sont réunies pour lancer et alimenter une campagne et une pétition ferme pour demander au gouvernement brésilien de divulguer ses secrets sur les OVNI, sous le slogan  « OVNI » : La liberté d’information maintenant ». Ce mouvement, lancé en 2004, a immédiatement attiré l’attention au niveau national, en demandant à l’armée de l’air brésilienne d’inviter pour la première fois les membres de la CBU à visiter son Siège, à Brasilia, en mai 2005, quelque chose de totalement inédit dans le monde jusqu’à présent. Après quelques années et 70.000 signatures de soutien de passionnés d’OVNI en Brésil et à l’étranger, en 2007 les militaires ont alors commencé à ouvrir leurs dossiers secrets et ont publié jusqu’à maintenant quelque 10.000 pages de documents sur les OVNI, auparavant secrets. Pas mal. Thiago est le coordinateur de la campagne depuis l’année dernière, donc nous sommes en de très bonnes mains.

 

Et mon ami ne pouvait pas choisir un meilleur sujet lorsqu’il a décidé de couvrir les cas d’OVNI et les rencontres d’ET dans son livre. En fait, le rôle du Brésil dans le contexte mondial de l’activité et de la recherche sur les OVNI est exceptionnellement important, bien que largement méconnu, j’en ai peur. On peut consulter la vaste bibliographie internationale sur la présence d’extraterrestres sur La Terre à l’époque moderne – l’ère moderne de la soucoupe volante, commencée en 1947 – et on trouvera des références abondantes et sérieuses sur l’activité et la recherche en matière d’OVNI au Brésil.

 

Je vous donne deux exemples parmi des dizaines dont je me souviens maintenant. Le premier est que le tout premier des enlèvements connus a eu lieu au Brésil et impliquait, entre autres, Antonio Villas Boas. Ce simple fermier de l’État du Minas Gerais a non seulement été emmené à l’intérieur d’un OVNI, mais il a également été contraint d’avoir un rapport sexuel avec une femme extraterrestre, et cela s’est produit en 1957 – quatre années entières avant que les Américains Betty et Barney Hill ne soient également enlevés, en 1961, à leur retour de vacances au Canada.

 

Deuxièmement, le Brésil a été en fait le premier pays au monde à reconnaître officiellement la réalité du phénomène OVNI, ce qui a eu lieu à Rio de Janeiro lors d’une réunion de la prestigieuse Ecole Supérieure de Guerre en 1954 – tout simplement 22 ans avant que le gouvernement français eût fait de même sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, en 1976, ce que l’on croyait être la première fois où un gouvernement admettait que les OVNI sont réels. Non, ce n’était pas le cas, cela s’était passé à Rio. Le capitaine João Adil de Oliveira avait annoncé publiquement et courageusement que les militaires brésiliens reconnaissaient l’existence des OVNI et le fait qu’ils ne sont pas d’origine terrestre.

 

Ainsi, eu égard à tout ce qui a été dit sur Thiago Luiz Ticchetti et l’activité de la recherche ufologique au Brésil, je crois fermement que les lecteurs seront très bien servis avec ce livre, pour lequel j’ai eu le privilège d’écrire cette simple préface. Vas-y, Thiago. Tu l’as mérité.

 

Félicitations et meilleurs vœux.

 

A. J. Gevaerd

Rédacteur en chef du magazine brésilien Revista UFO

Curitiba, le 4 mars 2018

 

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