Rencontre rapprochée du 2ème type de Stephan Michalak

Nous sommes en mai 1967, au Canada, dans la province du Manitoba, qui est réputée pour être riche en gisements minéraux, pour lequel Stephen Michalak, un ancien officier des renseignements de l’armée polonaise, se passionne. Ce matin là, il décide d’aller prospecter les alentours du lac Falcon, à la recherche de filons de quartz et d’argent. Il entame la route à travers la forêt, et au bout de 2 heures de marche, il parvient enfin au gisement qu’il a récemment découvert, doté de lunette de soudure, et de gants, pour se protéger des éclats de roche.

 

Il n’aura pas véritablement le temps de se mettre au travail, car en levant les yeux, il aperçoit deux soucoupes volantes stationnaires au loin dans le ciel. Le premier engin se volatilise presque instantanément, tandis que l’autre entame une descente, pour venir se poser à peine à 40 mètres de lui. De toute évidence, il constate qu’il s’agit d’une machine volante, et décide de se rapprocher tout près.

 

En tant qu’ancien militaire des renseignements, Stephen Michalak a déjà vu bien des choses étranges au cours de sa carrière, et n’est pas très impressionné par ce qu’il pense être tout d’abord, un prototype de l’armée américaine. L’OVNI qui doit mesurer environ une dizaine de mètres de diamètre, tourne tout doucement sur lui-même. Michalak tente alors de s’adresser aux occupants de l’engin, qu’ils pensent toujours humains, mais n’obtient pas de réponses. Comme il est polyglotte, il essaie le russe, et d’autres langues Slaves, mais sans plus de résultats.

 

Fort de l’expérience de sa carrière militaire, Michalak sort un bloc notes de sa poche, pour faire un croquis assez précis de l’engin volant, mais à peine eut-il le temps de le terminer, qu’il distingue une espèce de porte en train de s’ouvrir, mais pas comme une ouverture traditionnelle, car celle-ci s’écarte progressivement, un peu à la manière d’un iris d’appareil photo.

 

Il commence alors à percevoir des voies qui proviennent de l’intérieur, mais qu’il ne réussit pas à comprendre, se qui va l’intriguer réellement, mais presque aussitôt, l’ouverture se referme, et la soucoupe volante va se remettre alors à tourner devant lui, laissant apparaître cette fois, une espèce de grille d’échappement, composée de plusieurs petits trous, alignés d’une façon régulière.

 

Soudain, ces trous vont se mettre à recracher une espèce de fumée blanche et brûlante, qui le propulsera littéralement en arrière, et l’ovni décollera instantanément, tout aussi rapidement qu’un éclair. Atteint de graves brûlures, de vertiges et de nausées, il comprend qu’il lui faudrait de l’aide, mais totalement isolé du reste du monde, c’est seul qu’il devra faire le long chemin du retour.

 

À bout de force, et complètement désorienté, il parviendra tout de même à retrouver la civilisation, pour s’écrouler à peine arrivé, et être hospitalisé. Le torse couvert de taches rouges, correspondant aux grilles d’échappement de l’engin, il souffrira de brûlures aux 2ème et 3ème degrés, et jusqu’à sa mort, en 1999, ces traces rougeâtres réapparaîtront très régulièrement sur sa poitrine.

L’armée Canadienne se pencha très sérieusement sur le cas de Michalak, effectuant une étude détaillée et des relevés à l’endroit de sa rencontre. Les résultats divulguèrent la présence d’un cercle régulier, de 5 mètres de diamètre (qui correspondait à la base de l’OVNI, qui au total en faisait bien 10 d’après Michalak), avec à l’intérieur de celui-ci, des traces de radiations. Nul autres témoins ne purent appuyer son récit, mais les marques indubitablement gravées sur son corps, suffirent à le rendre crédible.

 

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