LES MOMIES NON HUMAINES DE NAZCA – THIERRY JAMIN

La véritable histoire racontée pour la première fois par Thierry Jamin ! En octobre 2016, Thierry Jamin, chercheur et explorateur français, est contacté par des pilleurs de tombes, ou « huaqueros », de la côte sud du Pérou. Ces derniers lui révèlent d’étranges objets momifiés découverts dans un lieu secret du désert de Nazca. Convaincus de la réalité des faits, Jamin et son groupe se lancent dans cette quête. D’étranges momies humanoïdes, aux têtes allongées et aux mains à trois doigts, vont défrayer la chronique et bouleverser pendant plus de quatre ans le monde de l’archéologie péruvienne et de l’ufologie mondiale. Cette incroyable histoire est « l’affaire Roswell » de l’archéologie moderne, et ses implications vont se déployer tout au long du siècle. Plus de 230 photos.

LES MOMIES NON HUMAINES DE NAZCA

Thierry Jamin est un explorateur français expatrié au Pérou depuis quelques années et qui s’est spécialisé dans l’archéologie et la recherche de sites incas en forêt amazonienne. Ayant poursuivi des études universitaires en histoire et géographie à Tours et à Toulouse, il a ensuite suivi une année de DEA avant de partir travailler au Pérou. Là-bas, il a créé en 2009, l’Instituto Inka de Investigationes y Revaloraction Indigena Cusco, qui sera restructuré en 2012 et deviendra l’Institut Inkari Cusco. Cette association qui est dédiée à la recherche archéologique et à l’aide aux populations locales deviendra la base administrative de ses explorations. C’est dans ce cadre légal que Thierry Jamin opère désormais, sans jamais outrepasser les autorisations qui lui sont délivrés par les autorités péruviennes.

 

Thierry Jamin :

 

« Quand nous nous sommes lancés dans cette affaire de Nazca, nous nous sommes dit que s’il y avait une chance sur un million que cela soit vrai, c’était quand même ‘une chance’. Au vu des implications historiques, culturelles et religieuses que cela pouvait avoir, ça valait la peine de prendre des risques pour lancer des investigations.

 

Depuis 1 an nous avons déployé toutes nos ressources et notre énergie pour faire des analyses ADN et carbone 14. Ces analyses ont été réalisées sur des tissus biologiques très anciens et elles doivent être recoupées entre les différents laboratoires à travers le monde qui ont reçu des échantillons. Cela prend du temps. Nous avons déjà des résultats ADN intéressants du côté de la chaine Gaïa et du chercheur Jaime Maussan, ainsi qu’à l’Institut Inkari Cusco.

 

Dans les laboratoires aux États-Unis, en Russie et en Angleterre où nous avons fait les analyses ADN de Maria et de Wawita, nous avons obtenu des résultats similaires à ceux communiqués par l’équipe anglaise dans le Laboratoire Genetech du Sri Lanka. D’ailleurs, une nouvelle équipe de l’université nationale de Mexico, qui comprend un biologiste généticien, vient de refaire des prélèvements qui viendront confirmer les analyses que nous avons déjà sur Maria et Wawita.

 

Du côté d’Inkari Cusco, les résultats obtenus au Canada chez Paleo-DNA donnent aussi des résultats très similaires et nous allons les présenter à la conférence à Lima. Ensuite, en ce qui concerne l’Institut Inkari Cusco, et moi plus personnellement, je désire prendre un peu de recul par rapport aux momies de Nazca. Dans la mesure où nous allons présenter des résultats définitifs, nous aurons atteint nos objectifs initiaux, à savoir déterminer s’il s’agit d’un canular ou de quelque chose d’authentique. »

 

RÉSULTATS ET ANALYSES COMMUNIQUÉS AU CONGRÈS DE LA RÉPUBLIQUE DU PÉROU, LORS DE LA CONFÉRENCE DU 19/11/2018, PAR THIERRY JAMIN DE L’INSTITUT INKARI CUSCO…

« Ceci nous confirme une biologie de type reptilienne chez ces créatures. » José de la C. Rio Lopez

 

Synthèse des datations au carbone 14 issues des prélèvements organiques :

 

Tissus de la hanche de Victoria : datés environ de 1227 ans ap. JC. (+/- 100 ans)

Tissus d’une main tridactyle : datés environ de 813 ans ap. JC. (+/- 100 ans)

Tissus d’un doigt de pied de Maria : datés environ de 247 ans apr. JC. (+/- 100 ans)

Tissus du cerveau d’une tête de « Petit Gris » : datés environ de 966 ans apr. (+/- 100 ans).

Ces résultats sont très éloignés les uns des autres et donc difficilement exploitables. Il faut noter que l’utilisation d’un fluide d’embaumement avec des teneurs en carbone bien plus anciennes que le matériau fossilisé lui-même pourrait avoir influencé les résultats. Au niveau de la hanche, on ne trouve pas les mêmes protubérances, mais l’échantillon montre des caractéristiques de composition en kératine identiques à celles de l’échantillon de la région scapulaire (dos). En conclusion, nous pouvons dire que la peau riche en kératine est semblable aux écailles des reptiles. C’est-à-dire que la peau ne possède pas de glandes muqueuses. La perte d’eau par la peau de l’être tridactyle est donc nulle (la kératine la maintient hydratée et protégée), ce qui devait lui permettre de vivre dans des endroits très secs comme le désert de Nazca où ces corps ont été trouvés recouverts de terre de diatomée pour leur conservation.

 

Synthèse de l’histologie de la peau de Victoria (José de la C. Rio Lopez) :

 

L’étude histologique a été réalisée dans le laboratoire clinique de pathologie de Campeche au Mexique par le Dr Alejandro Martinez. Les observations micro et macroscopiques réalisées sur la peau de Victoria ont permis d’écarter toute manipulation du corps. Il a été constaté l’absence de coupures, de déchirures et de modifications sur l’intégralité de la surface de la peau de l’être tridactyle. L’analyse histologique a été faite sur un échantillon de peau recouvert de terre de diatomée, partiellement nettoyé au niveau du dos et deux autres sur la hanche. Pour les tissus de la peau du dos, il a été constaté la présence de protubérances de couleur claire ayant l’apparence de verrues. Ces protubérances contiennent de la kératine aux contours imprécis, similaires aux cellules observées chez les reptiles. 

 

« Il y a quelques jours, les laboratoires ont confirmé à Jaime Maussan que les résultats obtenus sur Maria et Victoria étaient 100% fiables. L’ADN analysé de Victoria n’appartient à aucune espèces connue sur Terre et n’a que 4% de commun avec l’alpaga. » Thierry Jamin

 

Nous pouvons désormais suivre de nouvelles pistes à partir des analyses obtenues grâce aux scanners qui ont été réalisés sur les crânes et les corps complets des reptiles-humanoïdes. Les 3 spécimens analysés (Victoria, Alberto et Josefina) sont authentiques, ils ont la même morphologie et leurs corps biologiques étaient fonctionnels. Quand à Josefina, elle portait des œufs avec des fœtus en cours de développement.

 

Ces données constituent de nouveaux éléments anatomiques; la découverte la plus inattendue est sans doute la peau des reptiles-humanoïdes qui ne correspond à aucune des caractéristiques de la peau humaine. C’est une peau écailleuse qui ressemble à celle des serpents ou des poissons, sans que l’on puisse l’identifier (une peau permettant certainement de limiter les pertes d’eau en milieux arides).

 

Les vertèbres d’Alberto ne sont comparables à celles d’aucun animal terrestre. Sa colonne vertébrale devrait attirer l’attention de tous les anatomistes et médecins intéressés par la science.

 

Lors de la conférence à Lima, lorsque le radiologue Raymundo Salas Alfaro a pris la parole, il a commencé par faire remarquer que la momie de Maria méritait d’être comparée à celle du pharaon Toutankhamon, d’un point de vue découverte archéologique.

 

L’intervention de José de la Cruz Rios Lopez lors de la conférence a été brève, en rapport avec la durée cumulée des interventions qui se sont succédé pendant plus de 7h. Au final, tous sont arrivés à la conclusion que Maria était authentique.

 

Les intervenants et tous ces experts, suivis en direct dans le monde entier via internet, ont été incroyables.

 

« Nous pouvons dire en obstétrique que le bassin de Maria entre dans la classification des bassins féminins et par conséquence de sexe féminin. Son âge est estimé entre 40 et 45 ans si l’on se réfère à sa dentition qui comporte trois dents de sagesse et les sutures fusionnées de son crâne. Elle a de nombreuses lésions sur le corps, dont l’écrasement de la 7ème vertèbre dorsale, des kystes au niveau du dos et une lésion de la cavité pulmonaire. Sa mort est sûrement due a une cause naturelle. Il n’a été détecté aucune fraude au niveau des mains et des pieds tridactyles, et tous les scanners confirment que le corps n’a pas été modifié ni altéré, ni récemment ni par le passé, il est authentique! » José de la Cruz Rios López.

 

Ces corps ont des caractéristiques très spécifiques qui les rendent uniques. Si ces organismes ont toujours vécu sur Terre, comment expliquer qu’ils soient si uniques. L’évolution se faisant sur des millions d’années, nous aurions dû trouver des milliers d’autres squelettes similaires. D’où viennent Maria et les autres corps ?

 

suite de l’article dans le N°6 d’Ikaris magazine :

 

https://www.ikaris.fr/fr/numeros-papier/30-magazine-n06.html

 

UN CHERCHEUR BRITANNIQUE ASSURE QUE LA MOMIE EXTRATERRESTRE À TROIS DOIGTS DU PÉROU EST UNE NOUVELLE ESPÈCE HUMAINE.

 

Dans le passé, il y avait des formes de vie extra-terrestres sur Terre ? N’y a t-il eu jamais de créatures tridactyles ayant marché à la surface de la terre ? L’année dernière, ils ont découvert un ensemble de « momies » extra-terrestres au Pérou, quelque chose de jamais vu auparavant. Les experts ont affirmé que les momies de 1700 ans qui ont été trouvé dans la région de Nazca sont des restes « d’êtres non-humains ». La chose la plus étrange est qu’ils avaient 3 doigts, un crâne allongé et 3 orteils.

 

Cependant, la communauté scientifique a remis en question l’authenticité de la découverte. Certains scientifiques disent que ces êtres momifiés avaient de l’ADN humain et auraient pu être créés (assemblé par des hommes) pour ressembler à des extra-terrestres à l’aide de restes momifiés humains enfouis dans l’antiquité. Même le Congrès mondial sur les études momies a exprimé son inquiétude au sujet de la découverte, et que ces découvertes peuvent être qualifié de pseudo-science. Mais il semble que la controverse sur les créatures à trois doigts momifiés trouvés au Pérou n’est pas encore terminée. A présent, une nouvelle étude menée par un chercheur britannique montre que ces momies pourraient vraiment être une nouvelle espèce de lignée humaine.

 

UNE NOUVELLE ESPÈCE HUMAINE ?

 

À l’aide de tests d’ADN et de carbone 14, le chercheur britannique Steve Mera et son équipe ont découvert que ces momies avaient au moins 1 800 ans. Les résultats du test ont également révélé que la momie était constituée à 98,5% de « primate » et à 1,5% d’inconnue, une composition génétique similaire à celle des humains d’aujourd’hui.

 

En juillet de l’année dernière, Steve Mera et son collègue Barry Fitzgerald se sont rendus personnellement à Nazca, au Pérou, et ont analysé Maria, une des momies anciennes avec trois doigts et une tête allongée. Pendant l’enquête, Steve et Barry ont découvert que Maria avait tous ses organes comme un être humain normal. Cependant, les chercheurs ont trouvé des caractéristiques incroyables chez Maria, telles que les canines, l’absence d’oreilles et les crêtes dermiques horizontales.

 

Après les résultats, Mera a révélé que selon lui, sa nouvelle découverte pourrait changer les livres d’histoire pour toujours.

 

« Nous pouvons confirmer que nous avons la preuve que le corps de Mary est une découverte incroyable », a déclaré Steve Mera au tabloïd britannique Daily Express. « Une découverte qui peut nous faire changer nos livres d’histoire pour toujours. C’est peut-être la découverte la plus importante du 21ème siècle.« 

 

Mera a également révélé que sa nouvelle découverte pourrait réfuter de nombreuses affirmations non scientifiques faites plus tôt concernant le fait que ces momies mystérieuses avaient une origine extraterrestre.

 

Mera a fait référence aux résultats de la recherche de Konstantin Korotkov, professeur d’informatique et de biophysique à l’Université polytechnique de Saint-Pétersbourg, qui a déclaré que les momies de trois doigts ne sont pas d’origine terrestre. Et après la publication du rapport du Dr Korotkov, de nombreux théoriciens de la conspiration ont prétendu que le gouvernement dissimulait intentionnellement l’existence d’extraterrestres.

 

Le chercheur britannique affirme également que son équipe est la seule à avoir réussi à obtenir des résultats ADN authentiques et souhaite désespérément que Maria soit gardée par le gouvernement péruvien.

 

Nous avons pris cette affaire pour réfuter de nombreuses affirmations non scientifiques selon lesquelles ces corps mystérieux étaient en fait d’origine  » extraterrestre « , et nous avons réussi à faire exactement cela, à l’exception du grand corps de Marie. Nous étions en communication avec le maire de Nazca, qui veut que les corps soient libérés et placés dans un musée à Nazca. Les autorités continuent de rechercher les corps et ont même mis en place une force spéciale appelée « Groupe de travail Wawita «, conclut Mera.

 

Sans aucun doute, la recherche de Mera peut changer notre histoire, ou du moins ce que le scientifique nous a expliqué. Il croit que ses résultats discréditent l’enquête de Konstantin Korotkov, mais la réalité est que les deux auraient raison.

 

Il pourrait s’agir d’une nouvelle espèce humaine et son origine pourrait être extraterrestre. C’est peut-être l’une des premières modifications génétiques apportées par différentes civilisations d’autres mondes pour peupler la Terre dans le passé. Mais ce qui est clair, c’est que là encore la communauté scientifique est en évidence et que tout ce qu’ils nous ont expliqué à propos de notre création serait une belle histoire pour un roman de fiction, la réalité faisant entrer en jeux des extraterrestres étant toujours écartée pour des raisons soit de croyances des chercheurs soit par soucis de masquer la réalité au public.

 

Cette nouvelle recherche prouve-t-elle une fois pour toutes que notre origine est

extraterrestre ?

Est-ce que la science nous a mentis et nous a manipulés ?

 

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