LE GOUVERNEMENT SECRET – MILTON WILLIAM COOPER

Milton William Cooper a été recruté par la Naval Intelligence, les services secrets de la Navy, après avoir fait partie dans sa jeunesse de l’ordre De Molay. Peu après, il poursuivi une carrière dans l’US Air Force et dans la Navy. Pendant ses 12 années de service, il a pu avoir accès à des documents classés Top-Secret qui traitaient de l’attentat contre JF Kennedy, de chutes d’OVNIs sur le continent nord-américain, des organigrammes des différentes sociétés secrètes et de trafic de stupéfiants. Sa vision du monde en fut profondément changé. En tant que citoyen des Etats-Unis, il ne pouvait pas être en accord avec sa conscience, s’il ne rendait pas public un jour ce qu’il avait vu. Après 20 ans de loyaux services, il quitta le service et décida d’écrire et de publier un livre. Après ça, sa vie est devenue un enfer, entre filatures, écoutes téléphoniques, dénonciations et menaces de mort.

 

Quand il a commencé à animer des colloques sur les dessous de la mort de Kennedy, en donnant des noms, il fut victime d’un accident de la route, au cours duquel il perdit une jambe. Il est ensuite resté muet pendant 16 ans, jusqu’à ce qu’il se décide à reprendre son chemin de croix et à publier ce qu’il savait. W. Cooper était une personne rude, déterminée et sérieuse, mais c’est un soldat honnête et droit, un patriote qui a juré de défendre son pays contre tout ennemi, de l’extérieur comme de l’intérieur. De temps en temps, il lui arrivait de boire, ce qui peut s’expliquer par les problèmes qu’il rencontra depuis qu’il décida de révéler certaines choses, entre information et désinformation.

Bill Cooper est né le 6 mai 1943, fils du Lt. Cl. Milton V. Cooper. En 1961, il obtient l’équivalent du baccalauréat à la Yamamoto High School au Japon. Il postule à l’US Air Force où il est reçu. Il gravit les échelons et travaille pendant un certain temps dans le nucléaire militaire, un service à caractère confidentiel. Son contact avec les OVNIs date de ses fréquentations dans un bar où il s’était lié d’amitié avec deux sergents. Ceux-ci lui racontèrent qu’ils travaillaient dans une unité spéciale chargée de récupérer les OVNIs qui se sont écrasés. Un des deux sergents, Meese, lui décrivit en détail une expédition qui avait pour mission de récupérer une soucoupe volante qui était si grande, qu’il avait fallu couper les poteaux téléphoniques pour pouvoir la transporter sur certaines routes. Une équipe était chargée de remettre les poteaux en état, après leur passage. Ils voyageaient la nuit, la journée ils cachaient l’engin sous une bâche garés loin des regards des curieux. 

 

À cette époque, Cooper n’attachait pas trop d’importance à ces histoires, et pensait que les autres inventaient des histoires pour le faire marcher. À la fin de 1965, il décida de postuler pour la Navy. Il servit dans les sous-marins, entre autres le USS TIRU (SS-416). Un jour que le navire était en pleine mer et qu’il était de quart au périscope, il dit avoir vu une gigantesque soucoupe volante jaillir et disparaître dans les nuages, se remettre en suspension quelques instants, avant d’ouvrir un grand trou dans la mer et de s’y enfoncer. Le commandant demanda aussitôt un rapport du sonar, qui confirma la présence d’un appareil en mouvement. Dans les minutes qui ont suivi, le scénario s’est répété plusieurs fois, le commandant a même pu prendre des images avec sa caméra. Quand ils firent escale dans le port de Pearl Harbour, ceux qui ont assisté à l’événement n’ont pas eu le droit de quitter le navire. Un commandant des services secrets est venu enregistrer leur déposition. Il leur dit que tous ceux qui parleraient en public de ce qu’ils ont vu, seraient suspendus de leur service, et qu’ils risquaient 10 ans de prison et une forte amende.

Après cet événement, W. Cooper fut affecté sur le USS Tombigbee (AOG-11) un ravitailleur en mer et il s’est battu au Vietnam. En 1968, on l’envoie à l’école supérieure de sécurité de la Navy, la Naval Security & Intelligence School for Internal Security Specialist. À la fin de son cycle d’études, il a pris le commandement d’un petit navire escorteur de 15m, à Camp Carter, Da Nang, au Vietnam. Il dit avoir constaté une importante activité d’OVNI pendant son séjour au Vietnam. Un système d’alarme spécifique avait été instauré, il fonctionnait 24 heures sur 24. C’est là que toutes les informations sur les OVNIs étaient centralisées et codées. Un jour, un village entier disparu, après que des engins soient restés en suspension à sa verticale. Des deux côtés on tirait sur les OVNIs, ils ripostaient en envoyant des rayons qui émettaient une lumière bleue. Des rumeurs ont couru sur l’enlèvement de deux soldats américains qui ont été maltraités et jetés dans le vide.

 

À cette époque Cooper ne savait pas encore comment réagir face à de telles informations, dont il ne pouvait discerner le vrai du faux. Ce n’est que peu à peu, au cours des années suivantes, qu’il découvrit que ces rumeurs étaient pour la plupart du temps fondées. Quand il quitta le Vietnam et qu’il intégra un autre service, on lui demanda de remplir des formulaires. À la question sur son appartenance à une « organisation fraternelle », il répondit qu’il était membre de l’ordre De Molay. C’est une des raisons, pensa-t-il, qui lui ont ouvert les portes des services secrets. 

 

À 4h du matin, un jour, il eut un entretien avec un responsable du CINCPACFLT Intelligence Briefing Team. Ce qu’il apprit ce jour-là lui a ouvert les yeux, et les 15 années qu’il passa à rechercher la vérité ont débouché sur un rapport nommé « Le Gouvernement Secret ».

 

L’origine, l’identité et le but de MJ-12

Il existe un certain nombre d’autres sources faisant état d’une rencontre extraterrestre à la base aérienne d’Edwards qui correspondrait à un événement formel de Premier Contact.

 

Ces sources sont basées sur les témoignages de « dénonciateurs » qui ont été témoins de documents ou ont appris par leurs « contacts privilégiés » l’existence d’une telle réunion. Ces témoignages décrivent ce qui semble être deux séries distinctes de réunions impliquant différents groupes extraterrestres qui ont rencontré soit le président Eisenhower et/ou des fonctionnaires de l’administration Eisenhower sur une courte période.

 

La première de ces rencontres, l’événement réel du « premier contact », n’a pas abouti à un accord et les extraterrestres ont été effectivement éconduits.

 

La deuxième de ces réunions a abouti à un accord, qui est apparemment devenu la base des interactions secrètes ultérieures avec les races extraterrestres impliquées dans le « traité » qui a été signé.

 

Il existe quelques divergences quant à l’ordre des réunions et aux lieux où elles ont eu lieu, mais tous s’accordent à dire qu’une réunion de « premier contact » impliquant le président Eisenhower a bien eu lieu, et que l’une de ces réunions s’est déroulée lors de sa visite de février 1954 à la base aérienne d’Edwards. La première version de la réunion d’Eisenhower est décrite par l’un des dénonciateurs les plus « controversés » à s’être présenté sur la scène publique pour décrire une présence extraterrestre.

 

William Cooper a fait partie de l’équipe de briefing des services de renseignement de la marine pour le commandant de la flotte du Pacifique entre 1970 et 1973, et a eu accès à des documents classifiés qu’il devait examiner afin de remplir ses fonctions de briefing. Il décrit le contexte et la nature du « premier contact » avec les extraterrestres comme suit :

 

En 1953, les astronomes ont découvert de grands objets dans l’espace qui se déplaçaient vers la Terre. On a d’abord cru qu’il s’agissait d’astéroïdes. Des preuves ultérieures ont démontré que les objets ne pouvaient être que des vaisseaux spatiaux. Le projet Sigma a intercepté des communications radio extraterrestres. Lorsque les objets ont atteint la Terre, ils se sont placés en très haute orbite autour de l’équateur.

 

Il y avait plusieurs énormes vaisseaux, et leur intention réelle était inconnue. Le projet Sigma, et un nouveau projet, Plato, par le biais de communications radio utilisant le langage binaire des ordinateurs, a pu organiser un atterrissage qui a abouti à un contact face à face avec des êtres venant d’une autre planète. Le projet Plato a été chargé d’établir des relations diplomatiques avec cette race d’extraterrestres. Pendant ce temps, une race d’extraterrestres d’apparence humaine a contacté le gouvernement américain.

 

Ce groupe d’extraterrestres nous a mis en garde contre les extraterrestres qui étaient en orbite autour de l’équateur et a offert de nous aider dans notre développement spirituel. Ils ont exigé que nous démantelions et détruisions nos armes nucléaires comme condition principale.

 

Ils ont refusé d’échanger des technologies en invoquant le fait que nous étions spirituellement incapables de gérer la technologie que nous possédions alors. Ils croyaient que nous utiliserions toute nouvelle technologie pour nous détruire les uns les autres.

 

Cette race a déclaré que, nous étions sur la voie de l’autodestruction et nous devions arrêter de nous entretuer, arrêter de polluer la Terre, arrêter de violer les ressources naturelles de la Terre, et apprendre à vivre en harmonie. Ces termes ont été accueillis avec une extrême méfiance, en particulier la condition majeure du désarmement nucléaire.

 

On pensait qu’en remplissant cette condition, nous serions impuissants face à une menace extraterrestre évidente. De plus, nous n’avions rien dans l’histoire pour nous aider à prendre une décision. Le désarmement nucléaire n’était pas considéré comme étant dans le meilleur intérêt des États-Unis.

 

Les ouvertures ont été rejetées!

 

Le point important de la version de Cooper est que la race humanoïde extraterrestre n’était pas disposée à participer à des échanges technologiques susceptibles de contribuer au développement d’armes, et qu’elle se concentrait plutôt sur le développement spirituel. De manière significative, les ouvertures de ces extraterrestres ont été rejetées.

 

La confirmation que la réunion de Premier Contact a impliqué des extraterrestres qui ont été effectivement éconduits pour avoir pris ce qui pourrait être considéré comme une position de principe sur l’assistance technologique et les armes nucléaires vient du fils d’un ancien commandant de la Marine qui a affirmé que son père avait été présent à l’événement de Premier Contact les 20-21 février 1954. Selon Charles L. Suggs, un sergent retraité du corps des Marines des États-Unis, son père Charles L. Suggs (1909-1987) était un ancien commandant de la marine américaine qui a assisté à la réunion sur la base aérienne d’Edwards avec le président Eisenhower.

 

Le Sergent Suggs a raconté les expériences de son père lors de la réunion dans une interview de 1991 avec un éminent chercheur sur les OVNI :

Le père de Charlie, le Commandant de la Marine Charles Suggs, a accompagné le Président Ike avec d’autres personnes le 20 février. Ils ont rencontré et parlé avec deux nordiques aux cheveux blancs, aux yeux bleu pâle et aux lèvres incolores. Le porte-parole se tenait à quelques mètres d’Ike et ne le laissait pas s’approcher davantage.

 

Un deuxième nordique se tenait sur la rampe prolongée d’une soucoupe biconvexe qui reposait sur un train d’atterrissage tripode sur la piste d’atterrissage. Selon Charlie, il y avait des B-58 Hustler sur le terrain, même si le premier n’a pas volé officiellement avant 1956. Ces visiteurs ont dit qu’ils venaient d’un autre système solaire. Ils ont posé des questions détaillées sur nos essais nucléaires.

 

En janvier 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l’autorité, il préférait gouverner en s’entourant de comités et ne prenait pas lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d’en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d’abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l’une ou l’autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d’ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que «la fin justifie les moyens». Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n’a rien d’inusité pour un ex-officier de carrière qui s’était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.

 

Au cours de l’année 1953 – sa première en poste -, au moins une dizaine d’écrasements de disques furent signalés, dont 4 en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau-Mexique, 1 en Louisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud, sans compter des centaines d’apparitions – Des trente aliénigènes qui furent récupérés, quatre étaient encore en vie.

 

Eisenhower comprit qu’il lui faudrait s’attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C’est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d’ébaucher la structure d’une section secrète qui aurait pour mission de superviser l’ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C’est ainsi que fut conçue l’idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.

 

Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l’espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d’abord pris pour des astéroïdes mais l’évidence s’imposa bientôt qu’il ne pouvait s’agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l’équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon – lequel avait mission d’établir des relations diplomatiques avec les étrangers d’outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l’espace en provenance d’une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.

 

Entre-temps, des extranéens d’une autre race – d’apparence humaine, celle-là – atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d’aider l’humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu’il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l’immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l’égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D’un autre côté, leur décision avait été d’autant plus difficile à prendre qu’ils ne pouvaient s’appuyer sur aucun précédent historique.

 

Un 3ème atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s’entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d’une rencontre ultérieure. L’événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s’arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.

 

Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant «Son Altesse toute-puissante Krlll» (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant «le tout- premier otage Krlll», car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.

 

Il est bon de préciser que l’emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d’insigne trilatéral. C’est celui qu’ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.

 

Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux chefs d’Etat au nom de leurs nations respectives. L’entente stipulait qu’aucune des deux parties ne devait s’immiscer dans les affaires de l’autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l’avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d’étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d’aucun préjudice et soient ramenés à leur point d’enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.

 

On accepta aussi de construire, à l’usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l’Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l’Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.

 

C’est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu’il fallait «aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s’enfuir en cas d’attaque armée». Ces «refuges présidentiels sécuritaires» consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd’hui disséminées sous le territoire américain.

Ce deuxième document d’une série portant sur le phénomène ovni fait suite au Gouvernement secret de William Milton Cooper paru en décembre 1989. Ces deux rapports constituent une traduction des feuillets dactylographiés qui nous étaient parvenus des États-Unis au début de l’automne. En collaboration avec Louise Courteau, éditrice, j’ai jugé bon de vous les faire connaître parce que la situation actuelle y est décrite en termes directs, à la manière non équivoque dont j’ai eu moi-même la persévérante audace de vous la dépeindre, depuis une quinzaine d’années, souvent au risque d’être, à tort, taxé d’alarmiste.

 

Ceux d’entre vous qui ont déjà lu le premier document auront l’avantage de pouvoir établir des recoupements significatifs sans pour autant être ennuyés par d’importunes répétitions. Ces deux auteurs, au contraire, se complètent à merveille, car le second développe des éléments occultes auxquels le premier s’était contenté de faire allusion en se concentrant surtout sur les aspects «officiels» du problème extranéen.

 

Ainsi, la cohérence même de ces deux documents tend à conférer à chacun pris séparément une crédibilité d’autant plus grande qu’ils sont le fruit de recherches indépendantes.

 

L’auteur du présent rapport — qui a préféré conserver l’anonymat — ne développe pas ici un thème unique. Il cherche plutôt à couvrir l’ensemble de la question, allant jusqu’à ébaucher des hypothèses d’explication et débordant même souvent du sujet pour relater des expériences connexes. Pour pallier l’aspect forcément décousu de cet exposé, nous n’avons pas hésité à désigner ces nombreuses digressions par des titres et des sous-titres qui vous serviront de points de repère en consultant la table des matières.

 

Quant aux nombreuses interrogations que ce dossier ne manquera sûrement pas de faire surgir dans votre esprit, je me réserve l’agréable privilège d’y répondre dans mes futures conférences et émissions ainsi que dans le prochain document de cette série. Richard Glenn

 

2/ Opération « Cheval de Troie »

Avant-propos

Deux messages de Ronald Reagan

Taxinomie générale des Aliénigènes

Mutilations d’Animaux

Chronologie générale

De mystérieux hélicoptères

Hélicoptères et ovnis

Déviations géomagnétiques et cycles lunaires

Un appareil antigravitationnel

 

3/ L’invasion

Point de vue d’un grand blond sur l’invasion des Petits Gris

Début de la saga

L’Agence de Sécurité Nationale NSA

L’Agence Centrale de Renseignements CIA

Un incident à la station KNBC 37

Les contactés

 

 

4/ L’occupation

La conspiration 

Les bases souterraines 

Le dossier Dulce

Un centre de technologie extraterrestre

 

 

5/ Rapport entre Grands Blonds, Petits Gris et Hommes en noir

Shamballa et l’Oeil d’Horus

État psychologique actuel des Petits Gris

 

 

6/ Un monde Parallèle

Un phénomène de réflectivité et

Une démonstration de Fatima

L’opération « Cheval de Troie »

 

Notre civilisation s’intéresse activement au phénomène ovni depuis 40 ans et, tout au long de cette période, une foule d’observations ont été recueillies. Cependant, un grand nombre de données relatives à certains aspects du phénomène ont souvent été supprimées.

Sur le plan de la psychologie et de la physique, nous avons affaire à de tout nouveaux concepts. Nous sommes de plus en plus conscients non seulement de ne pas être seuls ici-bas, mais de ne l’avoir jamais été. Et, comme si cette révélation ne nous suffisait pas, nous découvrons du même coup que des factions de notre société le savaient déjà. Apparement, elles entretiennent des rapports avec ces espèces aliénigènes depuis bien longtemps.

La conclusion de ceci est que depuis toujours l’humanité a été orientée dans une fausse direction et conduite sur une voie tortueuse jonchée d’un agrégat de conspirations et entravée par un amoncellement d’informations biaisées. Du côté humain, le motif en est le savoir technologique et le pouvoir absolu. Du côté des extraterrestres, le mobile semble être la survie, du moins ce qui concerne certaine race de spationautes.

 

Les ufologues suivent la même tendance. Les uns abordent le sujet d’un point de vue purement empirique; les autres cherchent à établir des modèles et des rapports fonctionnels à partir des événements; d’autres encore se risquent à poser les bonnes questions au bon moment, et ceux-là obtiennent des réponses, parmi lesquelles il en est de fort troublantes qui semblent tenir du conte de fées.

 

En définitive, tant sur le plan de la psychologie que de la physique, nous avons affaires à de tout nouveaux concepts. Nous sommes de plus en plus conscients non seulement de ne pas être seuls ici-bas, mais de ne jamais l’avoir été. Et, comme si cette révélation ne nous suffisait pas, nous découvrons du même coup que des factions de notre société le savaient déjà. Apparement, elles entretiennent des rapports avec ces espèces aliens depuis fort longtemps. 

 

La conclusion de ceci est que depuis toujours l’humanité a été orienté dans une fausse direction et conduite sur une voie tortueuse jonchée d’un agrégat de conspirations et entravée par un amoncellement d’informations biaisées. Du côté humain, le motif en est le savoir technologique et le pouvoir absolu. Du côté extraterrestre, le mobil semble être la survie, du moins pour ce qui concerne une certaine race de spationautes.

 

 

Le propos du présent document est d’exposer au grand jour les détails de cette conspiration. Il ne vous est pas demandé d’y croire, mais simplement d’en observer la manifestation à la lumière de ce qui s’est produit dans le passé, de ce qui arrive actuellement, et de ce qui est en train de se tramer juste sous votre nez. Par contre, si vous n’estimez pas avoir l’estomac assez solide pour assimiler ces notions ou si vous pensez ne pas pouvoir en supporter les conséquences, n’allez pas plus loin.

 

Au fur et à mesure que nous décortiquons une à une les données pour le moins fantaisistes du problème de la présence extraterrestre et que nous analysons chacune le plus objectivement possible sans en négliger aucune, nous sommes peu à peu confrontés à un ensemble de coïncidences bizarres et de paradoxes inquiétants qui ne font que compliquer encore davantage cette énigmatique réalité. Devant les faits qui ont été rapportés tout au long de l’Histoire, il ne nous faudrait surtout pas être dupes de la ruse de ces visiteurs soi-disant amicaux, car le séduisant « Cheval de Troie » grâce auquel ils ont réussi à s’immiscer parmi nous ne semble guère camoufler des intentions moins hostiles que celui de l’Antiquité, si l’on tient compte des facteurs suivants :

 

– Les aliénigènes ont toujours manifesté une préférence marquée pour les manœuvres clandestines, choisissant les heures sombres de la nuit et les régions le moins peuplées pour exercer leurs furtives et mystérieuses activités tout en étant le moins possible susceptibles d’être dénoncés.

 

– La plupart du temps, ils confèrent à leurs objets volants une apparence qui ne risque pas d’attirer notre attention ou pour laquelle, à tout le moins, nous pouvons trouver une explication satisfaisante en croyant qu’il s’agit d’un dirigeable, d’un météore ou même, tout simplement, d’un avion conventionnel.

 

– Les appareils présentant un aspect inusité constituent à coup sûr une infime minorité dans l’ensemble des fallacieux objets paraphysiques qui sillonnent notre atmosphère.

 

En somme, les soucoupes volantes ne sont pas du tout ce à quoi nous nous attendions. Elles font partie d’un plan d’intervention que nous ignorons et que John Keel a baptisé « Opération cheval de Troie ».

 

À force d’éplucher les travaux des ufologues, on finit par se demander si les aliens n’ont pas recours aux schémas de référence en usage à une époque donnée pour produire délibérément sur ses contemporains des impressions qui leur sont adaptées. C’est ainsi que le phénomène ovni a revêtu une connotation religieuse jusqu’au milieu du siècle dernier, après quoi il a dû emboiter le pas à l’ère industrielle pour correspondre aux tendances de la technologie moderne qui, avec ses concepts matérialistes, allait balayer les anciennes croyances.

 

Les témoignages n’étaient pas plus nombreux en 1947 qu’en 1847; ils étaient simplement différents. Notre point de vue ayant changé, nous croyons voir autre chose. Les théâtres de marionnettes ont fait place aux arcades de jeux électroniques; les artifices sont d’une autre nature, mais ils découlent dans un cas comme dans l’autre du même principe illusionniste.

 

C’est à croire que ce phénomène ne sert qu’à nous piéger dans nos propres illusions en se moulant à nos croyances. Les ufologues sont ainsi perpétuellement relancés de Charybde en Scylla comme si aucune piste, malgré des évidences flagrantes, ne conduisait ailleurs qu’à des non-sens.

 

Force nous est d’admettre que les prétendues preuves d’atterrissage d’ovnis ne serviront tout au plus qu’à nous enliser davantage dans notre système de référence matérialiste tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas accédé à une autre conception de la réalité objective, cat il est temps de comprendre que ces manifestations « paranormales », tout en s’appuyant sur notre définition de la réalité, ne contribuent en rien à ratifier l’authenticité de cette définition. Il nous aurait fallu, au contraire, nous en servir depuis déjà bien longtemps pour remettre en question notre mode de perception de la vie, de l’univers et de nous mêmes. Tant que nous ne changerons pas notre vision des choses, celles que nous jugeons inexplicables resteront inexpliquées.

 

Nous avons encore le loisir, pendant que le soleil brille, de profiter du sable pour faire l’autruche tout en bronzant. Mais il ne faut pas oublier que, même s’il fait bon chanter « aux temps chauds », nous n’aurons guère le cœur à danser « quand la bise sera venue ».

 

Si je me suis permis de publier ce rapport, c’est d’abord et avant tout parce que je suis profondément indigné de voir tant de mes semblables souffrir inutilement depuis tant d’années sous la domination outrageante d’une poignée d’individus qui ont osé transiger notre destinée en échange d’une puissance technologique qui leur assurait ainsi encore plus de pouvoir. Les gens font toujours ce qu’il leur semble bon de faire et, bien entendu, ceux qui ont pactisé avec les aliénigènes croyaient sans doute agir pour le mieux; mais cela ne les justifie pas pour autant, car la plus grande injustice n’est- elle pas celle qui consiste à faire payer aux autres le prix de ses propres dettes ? 

 

S’il est un domaine où l’oppression triomphe, c’est bien celui de l’étude des énergies vitales, parce que la clé de la liberté humaine réside dans la CONNAISSANCE de soi et des autres. Or, rien ne favorise autant l’exercice du pouvoir que l’IGNORANCE et son corollaire la PEUR! Combien de valeureux chercheurs ont été persécutés pour avoir voulu soulager l’humanité de ses maux en s’efforçant simplement de comprendre la nature fondamentale de l’être humain et de l’univers? 

 

Le véritable Temple de la renommée abrite des Wilhelm Reich, des Ruth Drown, des John Moray et une foule d’autres pionniers du même genre qui ont dû plus souvent qu’autrement se battre seuls contre l’inébranlable apathie d’une masse endormie par un système dont le seul but est de maintenir le statu quo. Ceux qui sont au pouvoir n’ont d’autre intérêt que de préserver cette fabuleuse force d’inertie culturelle qui leur permet d’exercer impunément leur despotisme sur l’ensemble de la société et d’assouvir pleinement leur convoitise. 

 

Il est urgent de comprendre que la conspiration fomentée par les Aliens n’a d’autre but que de nous ravir l’héritage spirituel de notre planète, «le trésor où se trouve notre coeur». Ce bien suprême fait l’envie de certaines races de l’univers qui savent ce qu’il en coûte d’en être privé. Ces Aliens cherchent par tous les moyens à nous dérober notre patrimoine planétaire. Aussi est-il de toute première instance que nous prenions conscience de la valeur inestimable de notre richesse unique. 

 

Je trouve intolérable que des individus sans scrupules s’arrogent le privilège de s’ingérer dans le destin d’une nation en lui subtilisant un gouvernement fantoche qui va jusqu’à endosser qu’on en supprime les meilleurs éléments. Je me dresse de toutes mes forces contre cette situation et je fais appel à votre solidarité morale, planétaire, voire cosmique, pour que le fruit de l’évolution humaine ne consiste pas en une condition de survie, mais plutôt dans la conquête et l’expression vivante du sens véritable de notre LIBERTÉ. 

Richard Glenn

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