Fantasme ou réalité : HAARP pour controler le climat ?

High Frequency Active Auroral Research Program, généralement désigné par son acronyme HAARP, est un observatoire de recherche américain voué à l’étude de l’ionosphère. Son objectif est d’étudier les propriétés et le comportement de cette couche de l’atmosphère, située à une altitude comprise généralement entre 70 et 1 000 km, aux caractéristiques à la fois complexes et très variables car sous l’influence de l’activité solaire et de l’éclairement. Les retombées du projet sont scientifiques (modélisation des processus atmosphériques) et pratiques car l’ionosphère joue un rôle important dans la propagation des ondes radio.

 

Le projet utilise un émetteur radio à haute fréquence qui permet de sonder de manière active et dirigée des endroits précis de l’ionosphère. Cet équipement, avec les instruments d’observation qui l’accompagne, devient opérationnel en 1993 dans une version réduite et atteint sa puissance actuelle en 2006. Il est financé initialement par les militaires pour des applications pratiques dans le domaine des télécommunications (Armée de l’Air américaine et Marine de guerre américaine). Les militaires décident d’arrêter ces recherches en 2014 et l’observatoire est repris en 2015 par l’Institut géophysique de l’Université d’Alaska.

 

HAARP a pour objectif d’étudier les propriétés de l’ionosphère. Plus particulièrement, elle permet d’étudier les perturbations de cette couche de la haute atmosphère par les orages magnétiques. Ces perturbations ont pour effet d’affecter les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d’électricité sur de longues distances.

 

Avec l’excitation locale de l’ionosphère par hautes fréquences et la modulation du signal, HAARP est néanmoins en mesure de faire de la basse atmosphère une antenne ELF / VLF (Extremely Low Frequency / Very Low Frequency) virtuelle. Cela est possible grâce au fait qu’à proximité des régions polaires et équatoriales existent des courants électriques naturels nommés électrojets. La modification de la conductivité électrique de l’ionosphère par HAARP permet d’agir sur l’électrojet polaire, permettant de s’en servir pour la génération d’ondes ELF. Plusieurs méthodes de modulation des Hautes Fréquences pour la génération d’ELF existent. Il y a la modulation d’amplitude (ex: marche-arrêt), et la modulation géométrique (déplacement cyclique de la zone irradiée selon la fréquence). Il existe aussi une méthode nommée « beam painting » (irradiation rapide de différentes parties d’une plus large zone puis refroidissement avant reprise du cycle).

 

La production d’ELF n’est qu’une des nombreuses possibilités offertes par l’interaction de HAARP avec l’ionosphère, qui recouvre des aspects aussi bien militaires que scientifiques. Des chercheurs de nombreuses universités, américaines ou non, ont été ou sont encore associés à divers projets de recherches HAARP, ce qui a donné lieu à plusieurs publications. Par exemple, en décembre 2004, deux chercheurs américains ont publié dans la revue Nature les résultats d’une expérience au cours de laquelle ils ont pour la première fois créé une tache lumineuse verte visible à l’œil nu.

 

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/High_frequency_active_auroral_research_program

 

Incontestablement, les catastrophes naturelles liées aux caprices du temps se sont manifestées à toutes les époques. Mais, ce qui est moins naturel que par le passé, c’est l’insolite violence de ces phénomènes dits naturels, souvent en totale inadéquation avec le contexte saisonnier. Ces dérèglements climatiques sont généralement mis sur le compte de  » l’effet de serre « . Mais y a-t-il véritablement un lien entre le changement climatique mondial, et le très médiatique « effet de serre », fond de commerce des écologistes ? Car alors, pourquoi l’Europe, et principalement la France, dont la superficie représente 1/1000ème de la surface du globe serait-elle tout particulièrement affectée ?

Sur le plan géopolitique, la communauté européenne indispose les Etats-Unis car elle s’organise et devient un pôle économique concurrentiel indépendant, ce que ne veut absolument pas l’Amérique. Composée des pays les plus riches de la planète, l’Europe doit rester, selon l’optique américaine, un client solvable en position de demandeur vis à vis des USA. La survie économique de l’Amérique dépend de cette hiérarchie de rapports bien établie de part et d’autre de l’Atlantique. C’est peut-être d’ailleurs pour cette raison que le 20ème  siècle a été le théâtre incessant de guerres dans une Europe déchirée, incapable d’atteindre l’unité. Or, alors que le risque de guerre sur le territoire européen s’éloigne enfin après un siècle de conflits barbares, une nouvelle menace survient : d’ordre climatique.

 

DESCRIPTIF DES INSTALLATIONS DE GAKONA

 

Selon le site officiel militaire, l’installation comporte 48 antennes dipôle d’une vingtaine de mètres de hauteur, reliées chacune à un émetteur de puissance. Elles sont alignées sur une zone plane et rectangulaire. L’installation devrait atteindre la puissance de 4,6 mégawatts à sa deuxième phase selon un programme établi en 3 phases. Cependant une énergie à certaines fréquences peut-être amplifiée jusqu’à mille fois, lorsqu’elle atteint les parties supérieures de l’ionosphère, par des processus naturels… Ce qui donnerait à ce moment une puissance en terawatts… Ce qui pourrait se passer avec un tel niveau de puissance pourrait en résulter une catastrophe pour l’environnement.

Certains analystes prétendent que HAARP n’a rien de secret, puisque tous les renseignements le concernant circulent sur le Web. Toutes les histoires de science fiction qui circulent à propos des émissions HAARP ne seraient donc que balivernes.

Cependant, c’est un point de vue que ne partage pas le GRIP de Bruxelles. Les défenseurs du HAARP avancent que le site de Gakona, situé près du cercle polaire, ne peut pas provoquer les dommages qu’on lui impute partout sur la planète. Ils avancent même, à juste raison, que le site d’émission n’a vraiment rien d’une base militaire, car l’on y constate une totale absence de dispositif de sécurité, absence de clôtures, de gardes armés, de chiens.

 

De fait, n’importe qui peut pénétrer dans la zone des antennes. En somme, rien qui ne ressemble à un complexe militaire secret comme la célèbre Zone 51 dans l’Etat du Nevada. Au premier abord, tout cela parait bien transparent. Et si tout cela n’était qu’un leurre, une façade scientifique publique destinée à dissimuler le véritable aspect du HAARP. La base de Gakona a été le lieu de naissance du HAARP, là, son dispositif a été mis au point.

De nos jours, elle est devenue une vitrine de démonstration technologique, et depuis, les différents sites d’émission sont répartis sur les territoires russe et américain. Par ailleurs, le système d’émission HAARP peut être également transporté sur un camion ou embarqué sur un gros avion militaire.

 

Subtile stratégie ou absence totale de secret ?

 

 

L’opération « portes ouvertes » de Gakona ne prouve rien, car elle ne dévoile pas l’utilisation de la physique quantique. Celle-ci modifie de manière conséquente les propriétés du signal d’émission HAARP. Le principe quantique bouleverse totalement les lois de la physique traditionnelle, laquelle limite notre perception des dimensions spatiales et temporelles. De nos jours, il est communément admis que la vitesse de la lumière est de 300.000 kilomètres par seconde. Pour échapper à cette limite, il faudrait pouvoir accélérer un corps à une vitesse supérieure, ce qui est actuellement impossible avec les lois de la physique traditionnelle. En théorie, il est communément admis que si un corps était soumis à une vitesse supérieure à celle de la lumière, il quitterait impérativement notre continuum espace temps. Il est donc impossible d’accélérer un corps comme cela. Mais si, sans déplacer physiquement ce corps, on le soumet à des micro ondes radioélectriques de forte puissance, celles-ci vont agiter ses molécules à de très grandes vitesses comme dans un four à micro ondes domestique. Ces très courtes longueurs d’ondes, et ce haut niveau de puissance haute fréquence permettraient alors de faire tourner les champs de Tachyons, de Quanta ou de particules électromagnétiques autour de ce corps, à une vitesse supérieure à celle de la lumière, ce qui produirait le même effet que si l’on dépassait cette vitesse ! Cette technologie d’avant garde est déjà utilisée dans les micro circuits des ordinateurs à grande vitesse de calcul. Là réside le secret de HAARP.

 

HISTOIRE DE HAARP

 

L’ex URSS et les Etats-Unis se sont intéressés à l’atmosphère dès les années 50. Les scientifiques de ces deux puissances s’étaient rendus compte que de puissantes émissions d’ondes ionisantes pouvaient changer le climat. Au milieu des années 70, des ingénieurs soviétiques ont essayé de manipuler l’ionosphère. Peu après que les scientifiques eurent mis en marche leurs gros émetteurs, le Jet Stream se mit à faire des détours importants. Cela permit à la population de l’Alaska de se prélasser dans un hiver exceptionnellement chaud. Pour la première fois, la neige tomba à Miami et aux Bahamas, pratiquement au niveau de l’équateur. Cette expérience permit à l’URSS d’avoir un hiver exceptionnellement doux…

Provoquer un type de temps dans une région ou un pays ne serait possible qu’en diminuant son potentiel dans un autre endroit.

 

En 1973, le Honduras accusa les Etats-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l’ouragan Fifi pour sauver l’industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grands dégâts jamais vus dans l’histoire du Honduras. Le Salvador subissant le fléau de la sécheresse a porté des accusations similaires contre les Etats-Unis. De même le Japon a prétendu qu’on lui avait volé le peu de pluie nécessaire à toute vie, en déclenchant le typhon à Guam. La Rhodésie ainsi qu’Israël furent accusés par les nations voisines de leur voler la pluie. Le journaliste américain Lowel Ponte cite dans « The Cooling » les propos que lui auraient confiés des fonctionnaires de l’armée. D’après ces confidences, des avions américains auraient mis fin à l’aridité de terres situées aux Philippines et aux Açores, tout en refusant, au gré de leurs intérêts, de remédier à la sécheresse de plusieurs pays de la zone du Sahel africain. Ponte décrit également le programme soviétique consistant à modifier de manière tangible les conditions atmosphériques au-dessus de leurs territoires afin d’augmenter leurs productions agricoles.

 

Selon une rumeur, l’énorme bouleversement météo de 1982/83 causé par El Nino, dans l’Océan Pacifique, aurait été provoqué par une action soviétique sur l’ionosphère. Curieusement, lorsque El Nino revint en 82/83, ses effets habituels n’étaient plus du tout les mêmes. Les alizés à l’équateur, qui soufflent d’Est en Ouest dans l’hémisphère Sud furent inexplicablement refoulés. Cela eut pour effet de retenir les courants d’eau chaude qui s’écoulent normalement vers l’Asie. L’eau se mit alors à refluer et à s’accumuler devant la côte ouest de l’Amérique du sud. Ce revirement aurait provoqué des pluies diluviennes au Pérou, de même que les tornades dans le sud de la Californie et le long de la côte Est de l’Amérique du nord et de l’Alaska.

 

En décembre 1974, Howard Benedict de l’Associated Press à Washington, rédigeait un rapport sur le thème de la guerre météorologique intitulé : The weather as a secret weapon ? (Le climat, une arme secrète ?). L’article de Benedict expliquait pourquoi les porte-paroles américains et russes avaient nié l’existence de telles armes. S’ils avaient dit « nous possédons des super armes météorologiques », il est facile d’imaginer la réaction des populations. La moindre anormalité du temps leur aurait fait dire : « c’est la guerre ! »

 

Ne pas affoler les opinions des populations est une priorité. Et les médias sous contrôle des différents pays s’y emploient.

En France, pays où la chape de plomb sur les phénomènes climatiques est totale, seul un auteur, Jean-Marc Filterman, a rédigé un ouvrage sur la guerre climatique : « Les armes de l’ombre » aux Éditions Carnot.

Un journaliste, Jean Moïse Braitberg du magazine VSD a eu le courage d’écrire :

 « Les services secrets fantasment. Tempêtes de décembre 99, phénomène naturel ou attaque terroriste ? ».

Ce journaliste a enquêté auprès de divers services spéciaux et militaires américains à ce sujet. Il révèle que dès 1970, Zbigniew Brzezinski, alors Directeur de la sécurité nationale du Président Carter, publiait un livre : « Betwen two ages », sur la possibilité de contrôler le climat. Dans cet ouvrage, ce directeur de la NSA a tout simplement dévoilé le programme militaire de la nouvelle guerre secrète, une guerre invisible totale, destinée à ruiner les différents secteurs de production des pays concurrents des USA. « Les techniques de la modification du climat pourraient être utilisées pour produire des périodes prolongées de sécheresse ou d’orage ». Quiet weapon for bilent war ! Telle serait la très discrète stratégie des Etats-Unis dévoilée par un haut fonctionnaire du Pentagone.

 

RÉACTION DE L’EUROPE

 

Depuis octobre 1998, le GRIP à Bruxelles dispose d’un observatoire appelé Forces Armées et Environnement qui a pour objectif d’étudier l’impact des activités militaires sur l’environnement politique, économique, juridique, scientifique et éthique. Le GRIP considère que le projet HAARP, en raison de son impact général sur l’environnement, est un problème d’une portée mondiale, et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant. Cet organisme déplore que le gouvernement des Etats-Unis ait à maintes reprises refusé d’envoyer un représentant pour apporter un témoignage sur les risques que comporte le projet HAARP pour l’environnement et la population, et demande que soit établi un accord international visant à interdire à l’échelle mondiale tout développement et déploiement d’armes qui pourraient ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme.

Malheureusement, pour l’instant, aucune force n’est en mesure de contrer la montée en puissance de l’Amérique dans la réalisation de son plan de domination mondiale.

 

Jerry Smith : « HAARP est un des projets les plus dangereux que le gouvernement des Etats-Unis n’ait jamais tenté, qui est en cours d’expérimentation dans notre atmosphère et dont la population en général est bienheureusement inconsciente. Dans le principe, il s’agit de 3,6 millions de watts, mais la transmission ne se fait pas vers l’extérieur mais vers le haut… Tous ces brevets décrivent comment on peut l’utiliser pour manipuler le climat de l’Amérique du nord. » 

 

Jerry Smith dit que la défense antimissile et le contrôle du climat sont juste la partie visible de l’iceberg en Alaska, parce que les ondes de fréquence extrêmement basses générées par HAARP peuvent pénétrer à l’intérieur de votre cerveau. 

 

« Cette fréquence extrêmement basse (ELF), qui leur permet de voir dans les profondeurs de la Terre et de communiquer avec les sous-marins immergés à grande profondeur est la même fréquence avec laquelle fonctionne notre cerveau. Les ondes cérébrales sont en partie des ondes radio authentiques. Le cerveau peut être influencé par des signaux externes… Lorsque HAARP est activé, toutes ces antennes émettent des ondes radio très puissantes vers l’ionosphère, la couche la plus haute de l’atmosphère, et la réchauffent en provocant des anomalies qui font que l’ionosphère transmette des ondes radio puissantes sur Terre. À partir du moment où les travaux ont commencé en 1993, HAARP était entre les mains de l’armée. Ils peuvent manipuler le climat, mais aussi détruire un avion dans le ciel sans laisser de trace, c’est-à-dire, des guerres peuvent se produire sans que jamais personne le sache. On pourrait procéder de même pour détruire un satellite, et ainsi bloquer toutes les communications. »

 

Est-ce qu’il existe des exemples où HAARP a été utilisé à des fins belliqueuses ?

 

Dr Brooks Agnew :

 

« Il y a des preuves de l’utilisation de HAARP pendant la 1ère guerre d’Irak pour irradier le champ de bataille avant l’invasion du Koweït. Lorsque les chars sont arrivés dans la zone, les troupes sont sorties des bunkers, sans aucune volonté de se battre. Les troupes irakiennes se sont rendues massivement. HAARP peut nous empêcher de dormir, créer de l’anxiété, et même créer des problèmes intestinaux, si HAARP est bien utilisé, il peut aller jusqu’à provoquer chez ceux qui sont visés de la paranoïa renforcée par des visions cauchemardesques. »

 

Cela peut-il s’apparenter à un contrôle du mental, qui peut affecter le mental des gens sans qu’eux-mêmes ne s’en rendent compte ? Exactement !

 

Ces « monstres du contrôle global » veulent manipuler les modèles du climat pour dominer les ressources de la Terre. En réalité, des programmes militaires comme HAARP et les chemtrails qui réchauffent l’atmosphère et empoisonnent le ciel (et les terres cultivables) menacent gravement toutes les formes de vie sur cette planète. L’ingénierie climatique est la guerre du climat. 

 

Comment pouvons-nous considérer tout type de climat comme véritablement naturel lorsque l’on sait que le climat global a été soumis à des programmes d’ingénierie climatique à une échelle significative depuis 65 ans ? HARRP est capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques dans n’importe quel endroit de la planète, mais ses effets peuvent être dirigés dans des régions spécialement sélectionnées pour affecter les réactions humaines au niveau physique, mental et émotionnel lors de projets de guerre non létal.

 

CATASTROPHES NATURELLES OU ATTAQUES MILITAIRES ?

 

Dans la nuit des 25 et 27 Décembre 1999, deux tempêtes d’une violence exceptionnelle s’abattaient sur la France, alors que le pays s’apprêtait à célébrer le passage à l’An 2000. Ces tempêtes représentaient un phénomène météo très inhabituel.

Les modélisations 3D réalisées par Météo France montrent à quel point la configuration météorologique avait l’efficacité d’une machine de guerre. Rappelons que l’existence des armes climatiques a été implicitement reconnue dans un traité international de désarmement. Un traité international adopté en 1977 sous le nom de « convention ENMOD », interdit en effet expressément le développement d’armes « de nature à influencer le climat ». Le fait que ce type d’armes soit mentionné dans cet accord indique que leur existence n’est pas de la science-fiction.

Ces tempêtes de décembre 1999 pourraient donc avoir été provoquées par une arme climatique, utilisée afin de sanctionner l’attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l’AMI. (Le principe central de l’AMI est de créer tout un ensemble de droits nouveaux pour les multinationales, au détriment des états et des populations, et sans aucune obligation en contrepartie. Cet accord économique international a été négocié dans le plus grand secret depuis 1995 sous l’égide de l’OCDE.

 

Ces  » tempêtes » ont été suivies par un virage à 180 degrés de la politique du gouvernement de Lionel Jospin au sujet de la mondialisation et des OGM. La vérité est peut-être que le pays ayant été mis à genou par ces deux « tempêtes », la France a été vaincue et n’a pas eu d’autre solution qu’une discrète capitulation, à l’insu de la population qu’il était préférable de ne pas informer.

Le naufrage du pétrolier Erika, le 12 décembre 1999 (soit quelques jours à peine avant les tempêtes), naufrage dont les médias n’ont pas assez souligné les circonstances douteuses, n’était-il pas une signature des événements calamiteux qui allaient frapper la France quelques jours plus tard ? Le nom du navire Erika fait penser à un code symbolique d’identification : I AM ERIKA qui se prononce : AMERICA !

Pour l’anecdote, un cyclone tropical baptisé ERIKA dévasta la Nouvelle Calédonie le 14 Mars 2003, entraînant des frais considérables pour la France. Rappelons qu’un mois auparavant, Dominique de Villepin avait demandé que se tienne, le 14 mars justement, une séance du Conseil de sécurité à l’ONU destinée à « évaluer la situation » sur l’Irak. Inutile de dire que cette séance n’eut jamais lieu, la guerre en Irak étant devenue inévitable à cette date.

De même, faut-il interpréter comme un avertissement le tremblement de terre survenu en France le 22 février 2003, et ressenti jusqu’en Allemagne, deux pays européens largement engagé contre la logique de guerre américaine. Et que dire du violent tremblement de terre survenu en Chine aussitôt après une visite de Colin Powell venu chercher, en vain, le soutien du gouvernement chinois.

L’histoire contemporaine regorge de ces coïncidences…

 

HAARP, ARME DE L’APOCALYPSE ?

 

Le mot « harpe » apparaît 53 fois dans 50 versets sur l’ensemble des écritures. 46 fois dans l’Ancien Testament et 7 fois dans le nouveau, dont 5 pour l’Apocalypse uniquement.

 

 » Et j’entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d’un grand tonnerre, et la voix que j’entendis était comme celle de joueurs de harpe jouant de leur harpe. « 

(Apocalypse 14 : 2).

 

 » Et je vis comme une mer de verre, mêlée de feu, et ceux qui avaient vaincu la bête, et son image, et le nombre de son nom, debout sur la mer de verre, ayant des harpes de Dieu. « 

(Apocalypse 15 : 2)

 

 » (…) car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes «  (EPH 6 : 12)

 

Cette prophétie biblique concernant les puissances de l’air et les puissances d’égarement semblent curieusement désigner le projet HAARP.

 

 

Le projet High Frequency Active Auroral Research Program, abrégé en HAARP, est un programme américain à la fois scientifique et militaire de recherche sur l’ionosphère. Ses activités dépendent de la base aérienne de Kirtland AFB et sont financées conjointement par l’armée de l’air et la marine des États-Unis, ses activités scientifiques étant gérées par l’Université d’Alaska.

 

Les installations du HAARP utilisent notamment la technologie IRI (ionospheric research instrument) et des techniques radioélectriques afin de comprendre les mécanismes complexes qui gouvernent l’ionosphère, une région de la haute atmosphère. Un des objectifs, par excitation via des ondes haute fréquence (HF), est d’étudier l’impact de l’ionosphère sur les communications longues distances.

 

L’installation utilise 180 antennes dipôle. La puissance rayonnée est de 3,6 MW PEP pour une puissance ERP (puissance irradiée) de 3,891 MW (84 dbW), ce qui est des dizaines de milliers de fois moindre que les radiations électromagnétiques du Soleil. La gamme de fréquence HF utilisée est de 2,8 à 10 MHz. Occasionnellement les radioamateurs sont amenés à participer à ce projet en communiquant des rapports d’écoute lors de tests effectués sur 3.3, 3.39 et 6.99 MHz.

 

 

Cliffard Carnicom :

« Le champ magnétique terrestre est un champ de force essentiel qui affecte toutes les personnes. Actuellement la logique nous mène à supposer que les rayons artificiels de l’énergie Elf, qui se caractérise pour présenter des pulsations de fréquence insolites, aient leur origine dans les installations HAARP ou dans leur technologie. De grandes quantités d’énergie sont dirigées vers le champ magnétique terrestre par HAARP. Cette énergie est dirigée le long des lignes du champ magnétique de la Terre pour vous… L’enjeu est de taille : ni plus ni moins que le contrôle de la planète. Un contrôle avec les méthodes normalement utilisées lorsqu’il s’agit d’afficher le pouvoir : un contrôle de l’environnement qui affecte nos vies et notre santé. Notre atmosphère a été transformée de manière radicale, et ceci renforce l’affirmation que la nature électrique de l’atmosphère a été modifiée suite aux opérations menées à l’aide des aérosols que l’on continue d’utiliser sans que nous, en connaissance de cause, n’ayons donné notre consentement. »

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