TR-3B ASTRA

 

Quels événements pourraient corroborer les allégations selon lesquelles l’armée américaine a en sa possession un système de propulsion extrait de vaisseaux extraterrestres ?

 

Outre les témoignages des lanceurs d’alerte, la preuve la plus convaincante vient d’un projet top secret appelé Aurora. Dont l’armée américaine continue de nier l’existence de ce programme, malgré dans des références de documents obtenus grâce à la loi sur la liberté de l’information. Le plus souvent, il est associé au développement par le complexe militaro-industriel d’un chasseur furtif de pointe appelé Dark Star ou Astra. Le projet Aurora concerne de multiple engins. Il y a le SR-75, qui peut voyager en utilisant des super-statoréacteurs jusqu’à 30kms d’altitude. Grâce à ses super-stratoréacteurs, il peut atteindre Mach 5. À la suite de sa conception, lui a succédé le SR-74, c’est un vaisseau capable de rentrer en orbite autour de la Terre, et d’atteindre une vitesse de plus de 40 000 kms/h. Cette technologie a été mise au point hors de la zone 51 pour donner à l’Air Force la possibilité d’envoyer des engins en orbite dans des délais très courts. 

 

Il existe des technologies exoatmosphériques qui ont des années d’avance que n’importe quel aéronefs qu’on peut voir aujourd’hui. Certaines de ces technologies secrètes peuvent être implémentés dans le secteur privé et créer de vraies opportunités en matière d’investissement. Il n’y a donc aucune raison de vouloir révéler ce secret une fois qu’on le détient. Cela représente un grand pouvoir et une richesse. 

 

La division Lockheed Advanced Development Projets, surnommée Skunk Works depuis les années 40, connue pour sa capacité à produire de façon discrète, a été choisie comme partenaire pour ce programme confidentiel. À la fin des années 90, dans son bâtiment, se trouve un grand tableau représentant la lignée des avions Skunk Works au fil des décennies. Du XP-80 à l’U-2, en passant par le SR-71 Blackbird, l’avion furtif F-117A, le YF-22 et le Dark Star, jusqu’à ce que Lazar a toujours décrit comme un engin appelé Astra. Au sommet de cet organigramme, l’Astra semble être un avion de reconnaissance ultra-rapide. 

 

Ben Rich a été le directeur de Skunk Works de 1975 à 1991. À ce moment là, il avait quitté la direction depuis 2 ans. Mais il avait toujours connaissance de prototypes secrets en cour de développement. En lien avec cette présentation, dans les murs de Skunk Works, se trouve une part essentielle délivré par Ben Rich lors de sa conférence à l’école d’ingénieur de l’UCLA le 23 mars 1993. Ben Rich commence sa présentation avec 40 diapositives, dont la dernière montrait un disque noir s’élevant vers l’espace. Il conclu son discours en déclarant : « Nous avons la technologie nécessaire pour ramener ET à la maison » ce qui a, bien sûr, retenu l’attention du public. Aurait-il fait allusion à un projet top secret ? Après son discours, Rich aurait confié à l’un des participants que le vaisseau fonctionnait sur le principe des PES, les perceptions extrasensorielles, tout fois le lien avec la propulsion reste incertain. Rich laisse entendre que tous les points de l’espace-temps étaient reliés. 

 

Il existerait en réalité des véhicules dotés d’une technologie anti-gravitationnelle comme l’Aurora et le TR-3B. Des spéculations existaient depuis la fin des années 80 sur l’existence d’un remplaçant du Blackbird. Ce serait un engin qui volerait deux fois plus vite, à la limite de l’atmosphère terrestre. Cet avion mythique a été appelé l’Aurora.

 

Edgar Fouche, un ancien entrepreneur pour le ministère de la Défense, a prétendu que le remplacement du Blackbird (SR-71), l’Aurora, comprenait en réalité deux types d’avions hypersoniques utilisés pour le vol spatial.

 

Il a dit : « Aurora correspond au SR-75 capable de vitesses supérieures à Mach 5, et agissant comme un navire mère pour le SR-74 qui peut voyager dans l’espace à des vitesses de Mach 18 ou plus pour livrer des satellites.« 

 

E. Fouche revendique également l’existence d’un autre engin, le fameux triangle noir,

le TR-3B qui génère un champ magnétique intense qui réduit son poids de 89 pour cent. Ceci a pour effet que le pilote ne ressent que 11% de l’accélération. Il peut donc voler dix fois plus vite qu’un pilote de chasse traditionnel. 

 

Le TR-3B utilise l’effet Biefeld-Brown (généré par de grandes charges électrostatiques) pour réduire son poids afin que des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets puissent lui donner des vitesses incroyables bien au-dessus de Mach 18.

 

Toujours selon E. Fouche, le TR-3B mesurerait 600 pieds de diamètre (182m), ce qui le rendrait comparable à un porte-avions.

D’autres sources parlent de deux modèles : un qui serait grand comme un porte-avions et d’autres plus petits.

 

Des preuves circonstancielles indiquent l’existence d’une flotte spatiale secrète de véhicules anti-gravitationnels et beaucoup de spécialistes soupçonnent le TR-3B d’être à l’origine de

la « vague belge » d’OVNIs observés en 1989-1990.

 

Plus de 1000 rapports décrivent en effet un engin noir triangulaire avec une grosse lumière rouge au centre et une lumière vive, blanche, à chacun des angles. Mais le gouvernement américain a toujours réfuté les faits.

 

Des informateurs des milieux militaires et d’autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu’ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l’Aurora et le TR-3B.

 

Le TR-3B Astra a été décrit comme un avion nucléaire triangulaire développé dans le cadre du projet top secret Aurora pour l’initiative de défense stratégique, et testé au début des années 90. Selon les spécifications de l’Astra qui ont fuité, il s’agirait d’un engin silencieux capable de se rendre invisible pour les radars et les personnes. Il dispose d’un perturbateur de champ magnétique qui neutralise la gravité. 

 

De la fin des années 80 à nos jours, de nombreux témoins déclarent avoir aperçu un vaisseau en forme de V étrangement similaire à la description de l’Astra. Un appareil qui n’existe pas officiellement. 

 

David Adair :

« C’est l’avion le plus sophistiqué qui existe aujourd’hui. Il est très rapide, il vole très haut, et il a probablement la capacité de se rendre invisible. Il existe, mais on ne peut pas le voir. Personne ne l’a jamais vraiment vu, ni ne sait où il est. On ne le verra jamais à moins qu’ils veulent bien voulu vous le montrer. »

 

Science fiction ou fait ?

 

Pourtant des officiers de haut rang détaillent l’étonnant cover-up du gouvernement effectué par le comité MJ-12, et révèlent pour la première fois des informations ultra top-secret au sujet de la technologie extraterrestre que nous avons développée à la suite des récupérations des épaves Alien.

 

Le TR3B n’est pas de la fiction et fut construit avec de la technologie disponible dans le milieu des années 1980 ou plus tôt.

L’aérospace de forme triangulaire équipé d’un moteur nucléaire fut développé en dessous du programme Aurora grâce au budget des Black projet. Le programme Aurora est un programme top secret pour des engins avancés et a été responsable pour le développement du SR-75, avion hypersonique de reconnaissance qui a remplacé le SR-71, et le SR-74 Scramp, qui porte sur le dos le SR-75.

 

Le premier vol du TR3B, avion de reconnaissance tactique, eut lieu au début des années 90. La technologie a assuré l’utilisation de rétroingénierie utilisés à partir de la technologie alien aussi bien que des programmes SR-74 et SR-75.

 

Le revêtement extérieur du TR-3B réagit à la stimulation électrique et peut changer de couleur, de réflexion, absorbe les ondes radar, rendant l’écho du véhicule semblable à un petit avion et lui permettant même de tromper les opérateurs radar sur la signature électronique de l’écho (plusieurs vaisseau à différents endroits).

 

Un plasma circulaire accéléré dans un anneau appelé ”disrupteur du champ magnétique » entoure le compartiment de l’équipage et est loin en avant de la technologie imaginable.

 

Le gouvernement protégera cette technologie à tout prix.

 

Le MFD génère un vortex du champ magnétique qui neutralise les effets de la gravité sur la masse à proximité à concurrence de 89%.

 

Ceci n’est pas de l’anti-gravité.

 

L’anti-gravité fournit une force répulsive qui peut être utilisée pour la propulsion.

Le MFD crée une disruption du champ magnétique de la terre sur la masse dans l’accélérateur circulaire. La masse de l’accélérateur et celle comprise dans l’anneau de l’accélérateur, telle la capsule de l’équipage et le réacteur nucléaire, est ainsi réduite de 90%.  Ceci rend le véhicule très léger et capable de performances et de manœuvres d’un niveau inouï (à l’exception bien sûr des UFO que nous n’avons pas construits).

 

Le TR-3 est une plate-forme de reconnaissance avec un temps de vol illimité.

« Illimité », parce qu’il utilise un réacteur nucléaire comme source de puissance.

 

Beaucoup d’observations d’OVNI triangulaires sont ainsi connectées au TR3B. La NSA, NRO, CIA, et USAF ont joué un jeu de camouflage avec la nomenclature aérienne – en créant le TR-3, modifié en TR-3A, le TR-3B, et le Teir 2, 3, et 4, avec des suffixes ‘Plus’ ou ‘Moins’, ajoutés pour rendre plus confus le fait que chacune de ces appellations est un avion différent et non le même véhicule aérospatial. Un TR-3B est aussi différent d’un Teir 3B qu’une banane d’une grappe de raisin. Quelques-uns de ces véhicules sont munis d’un équipage et d’autres en sont démunis.

La propulsion du TR-3B est fournie par trois propulseurs multimode montés sur chaque coin de la plate-forme.

Le TR-3 est un véhicule qui ne dépasse pas Mach 9 et il atteint 33 kilomètres d’altitude et à cette altitude, seul Dieu peut savoir à quelle vitesse il va !

 

Au centre du triangle il y aurait un habitacle circulaire pour l’équipage.

 

Et tout autour un accélérateur de particules à plasma : le MFD, (Magnetic Field Disrupter).

Ce système serait en avance sur toutes les technologies connues sur Terre, il annulerait les effets de la gravitation et pourrait voler à Mach 9 (on pense toujours au cas belge !!!).

 

Selon Edgar Fouché, qui a travaillé pendant 25 ans dans la zone 51, tous les ovnis triangulaires seraient d’origine terrestre, mais ont été fabriqué grâce à la récupération de technologies extraterrestres.

 

Les ovnis vus au dessus de la Belgique en 1990 seraient bien cet avion secret américain, suite à un accord ultra-secret entre la Belgique et les Etats-unis.

 

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