Les OVNIs et les visiteurs de l’espace selon Benjamin Creme

Auteur : Alain Maureau

Site : https://www.mondenouveau.fr/

 

L’ésotériste britannique Benjamin Creme (1922-2016) avait annoncé, depuis les années 1970, l’arrivée prochaine de l’Instructeur mondial pour l’ère du Verseau, identifié à Maitreya (celui-ci étant aussi identifié au Christ – distinct du Maître Jésus -, à l’Imam Mahdi, etc., tous ces noms étant présentés comme désignant en fait le chef de la Hiérarchie Planétaire de notre planète).

Il disait tenir ses informations d’un Maître de la Hiérarchie Planétaire, avec lequel il disait être en communication mentale.

J’évoque le sujet de l’émergence de Maitreya dans « Le retour du Christ : une réalité imminente ? » (éditions Le Temps Présent/JMG éditions, 2012), et je renvoie donc à cet ouvrage pour des informations précises à ce sujet, ainsi qu’à mon texte rédigé sur ce sujet pour le présent site Web : www.mondenouveau.fr 

Il y a aussi, bien sûr, le site Web de Partage international. En 2022, dix ans se sont écoulés depuis la parution de mon livre, et Maitreya/le Christ ne s’est toujours pas manifesté, ce qui ne peut que jeter un discrédit sur les affirmations de l’auteur britannique (et sur les affirmations de quelques autres auteurs et « révélateurs » ayant reçu une information comparable par des voies « paranormales », qu’il s’agisse de channeling ou de sortie hors du corps – voir, pour ce dernier cas, Anne Givaudan et Daniel Meurois).

Bien sûr, les « disciples » (ceux qui continuent à être abonnés à la revue Partage international) de Benjamin Creme continuent à croire « dur comme fer » aux allégations à ce propos de leur auteur et enseignant préféré, en dépit du fait que les faits ne leur donnent pas raison.

 

Car Maitreya le Christ, on l’attend toujours, celui-là même qui était censé se manifester au moment d’un krach boursier, l’équivalent de la crise financière de la fin des années 2000, sans que l’Instructeur ne se soit pour autant manifesté ! 

 

J’aborde, dans le présent texte, les conceptions et les informations que l’ésotériste britannique a partagées pendant de longues années, à propos des OVNIs et des visiteurs de l’espace, dans sa revue Partage international (à laquelle j’ai été abonné depuis le numéro 1 paru en septembre 1988 jusqu’à la fin 2020) et dans les livres qu’il a publiés, sans oublier ses conférences.

 

 

 

* PARTIE I :

 

 

 

1. L’évolution de la vie sur les planètes :

 

Selon Benjamin Creme, notre âme s’incarne des centaines de milliers de fois (!!), ce processus nous permettant d’évoluer de l’homme-animal primitif jusqu’au Maître et d’en terminer avec l’école que nous appelons la Terre.

 

« A mesure que nous évoluons d’une initiation à une autre, nous attirons dans notre corps de plus en plus d’énergie de l’âme à chaque incarnation. Cela signifie que nous attirons de la matière subatomique, à savoir de la lumière, dans notre corps, et que celui-ci change petit à petit. La première initiation lance le processus d’illumination du corps. L’initié de second degré attire davantage de lumière dans son corps. L’initié de troisième degré en attire encore davantage. La troisième initiation est appelée la transfiguration, et le corps devient un véhicule plus pur pour l’âme. L’initié de quatrième degré attire encore plus de lumière, et la cinquième initiation devient possible quand le corps est complètement transfiguré et transformé. Il s’agit de la résurrection, et les Maîtres sont tous des êtres ressuscités.

 

L’individu est vraiment divin pour la première fois lorsqu’il a pris la troisième initiation et qu’il se consacre au travail de service du monde. Il devient créatif d’une manière qui n’était pas possible auparavant – si créatif qu’il ait pu être en tant qu’initié du deuxième ou même du premier degré.

 

Le sentier d’évolution des planètes est du même type : au lieu d’incarnations, la planète a des rondes. Une ronde est un cycle. Au lieu des milliers d’incarnations que l’âme connaît dans l’évolution humaine, les planètes connaissent sept cycles majeurs, de plusieurs millions d’années chacun. Pendant ce laps de temps – selon la conception du temps qui est la nôtre -, les planètes évoluent.

 

Il y a des planètes qui sont dans leur première, deuxième ou troisième ronde. Vénus est dans sa dernière ronde, la septième. Je ne sais pas combien de temps il lui faudra encore pour en finir avec ce cycle, peut-être des milliers et des milliers d’années.

 

Mars et la Terre en sont toutes les deux au milieu de la quatrième ronde. » (B. Creme)

 

Ainsi, toutes les planètes ne sont pas au même point d’évolution. Si certaines sont très peu avancées, d’autres, comme la Terre, sont environ au milieu du chemin. De même qu’il nous faut (selon Benjamin Creme) des centaines de milliers de vies pour passer de l’état d’homme animal primitif à celui de Maître, de même une planète connaît sept expressions ou rondes, dont chacune dure des millions d’années. Certaines planètes en ont terminé avec ce cycle et sont devenues invisibles, « tout en étant toujours présentes en énergie éthérique ». D’autres planètes, comme Vénus, en sont à leur dernière ronde. (1)

 

 

 

2. Mars et Vénus :

 

Selon Benjamin Creme, la planète Mars a eu ses difficultés et ses problèmes, mais elle n’a pas commis des erreurs aussi nombreuses que nous. Et l’évolution sur Mars n’est en aucune manière partout identique. La planète Mars est divisée en trois zones : A, B et C. Les habitants de la zone A sont, à nos yeux, littéralement des dieux. La zone B est moyennement développée, et la zone C nettement peu développée. (2)

 

Benjamin Creme déclare que cette planète « en est à peu près au même stade que la Terre ».

 

« Chaque planète comporte sept rondes qui durent un très grand nombre d’années. Certaines, comme la Terre et Mars, sont au milieu de la quatrième ronde. D’autres planètes sont parfaites. D’autres encore, presque parfaites. Vénus est dans sa dernière ronde.

 

Sur Mars, il existe trois niveaux : A, B et C. Au niveau A, le plus élevé, les êtres sont semblables à des dieux, des êtres parfaits. Au niveau B, il existe des êtres très évolués mais pas encore parfaits. Au niveau C, les êtres ne sont pas très évolués.

 

Mars n’a pas commis autant d’erreurs que nous, c’est pourquoi sa technologie est si avancée par rapport à la nôtre. Ils sont maîtres de l’espace, maîtres de l’énergie. Ils construisent la plupart des engins spatiaux que nous voyons et que nous appelons des ovnis, qu’il s’agisse de petits vaisseaux de reconnaissance ou de gigantesques vaisseaux-mères. Il y a même des vaisseaux spatiaux vénusiens qui sont construits sur Mars selon les spécifications établies par Vénus. Ils sont constitués de matière éthérique et fabriqués par la pensée. Mars est une planète très évoluée, du moins le pensons-nous, grâce à sa technologie avancée, mais ‘‘ésotériquement’’ elle se trouve au même niveau d’évolution que la Terre. » (B. Creme)

 

Selon Benjamin Creme, les êtres de niveau C ne se rendent pas sur d’autres planètes car ils « n’ont pas le droit de voyager ».

 

La planète Mars est plus avancée que la Terre parce qu’elle a commis moins d’erreurs. Depuis le début, les Terriens n’ont pas cessé d’être en guerre. 

 

« Mars est une planète voisine qui est à peu près au même niveau d’évolution que la Terre, bien que technologiquement beaucoup plus avancée, ce qui lui permet de nous aider. Les Martiens veulent nous aider. Ils aiment aider les peuples des planètes sœurs qui traînent un peu, qui ont des ennuis, qui mésusent de l’énergie nucléaire et provoquent les souffrances de leur planète et d’eux-mêmes. Ils ont un grand cœur et souhaitent aider l’humanité. Ils font cela par amour. » (B. Creme)

 

Vénus, qualifiée d’alter ego de la planète Terre, est dans sa dernière ronde, les êtres de Vénus étant « extraordinairement évolués ». Sanat Kumara, le Seigneur du Monde de notre planète, vient de Vénus. (3)

 

 

 

3. Les visiteurs de l’espace selon Benjamin Creme :

 

Si les Frères de l’espace vivent sur le plan éthérique, comment se manifestent-ils sur le plan physique de façon que nous puissions les voir ?

 

« C’est un phénomène temporaire. Quand un Frère de l’espace vient sur Terre et veut être vu, il doit abaisser les vibrations de son corps éthérique pour être dans notre champ de vision. Il en va de même pour les vaisseaux spatiaux. Ces véhicules sont constitués de matière physique éthérique et, si l’on ne possède pas la vision éthérique, ils sont invisibles. Mais ils peuvent être vus par des centaines de milliers de gens de par le monde lorsque leurs occupants abaissent le taux de vibration du véhicule. » (B. Creme) (4)

 

Benjamin Creme dit avoir travaillé avec un groupe de Londres qui déclarait être en rapport avec au moins trois extraterrestres, un Vénusien et deux Martiens. La plus grande partie du travail que ces derniers firent par l’intermédiaire de ce groupe consista à utiliser ce dernier pour transmettre des énergies dans le monde.

 

Benjamin Creme a aussi travaillé avec un groupe dont George Adamski faisait partie. Les personnes faisant partie de ce groupe ne se rencontraient qu’en dehors du corps physique. Si certains individus se connaissaient au niveau physique, ils ne se rencontraient, en tant que groupe, qu’en dehors du corps. Ce travail amena Benjamin Creme à sa mission qui devint la sienne et qui a consisté à préparer la voie pour l’extériorisation de la Hiérarchie spirituelle avec Maitreya à sa tête. (5)

 

Selon l’auteur britannique, le nombre grandissant d’apparitions d’OVNIs dans le monde, ainsi que le phénomène des crop circles – œuvre, selon lui, des « Frères de l’espace » -, sont le signe de l’émergence imminente de Maitreya.

 

Toutes les planètes de notre système solaire sont reliées entre elles et communiquent au niveau hiérarchique. Notre système solaire n’est pas constitué d’une seule planète habitée (la Terre) entourée d’un ensemble de planètes mortes. Ces dernières regorgent de vie (j’ajoute : à un niveau éthérique) et sont toutes parvenues à un stade d’évolution spécifique.

 

L’énergie solaire est l’énergie du nouvel âge, et l’énergie nucléaire ne sera plus nécessaire. L’énergie solaire sera utilisée pour le chauffage, les moyens de transport et l’industrie. Selon Benjamin Creme, les Frères de l’espace enseignent à des ingénieurs comment stocker l’énergie solaire.

 

Les Frères de l’espace, qui utilisent sur notre planète différentes personnes afin de faire connaître leur existence, accomplissent un immense travail de sauvegarde en aidant à restaurer l’équilibre de notre planète, en particulier en annihilant dans une certaine mesure – dans les limites de la loi karmique – la pollution de notre planète.      

 

Selon Benjamin Creme, les Frères de l’espace ont déjà « enseigné à certains scientifiques la manière d’utiliser la technologie de la lumière pour libérer les individus de leur toxicomanie en agissant sur des zones bien précises du cerveau ». Ces méthodes ont déjà cours dans des hôpitaux, « en Chine et à Hong-Kong, où la toxicomanie est devenue un problème de grande ampleur ».   

 

Selon Benjamin Creme, les Frères de l’espace enseignent aussi à des scientifiques l’art de produire de l’énergie à partir de la lumière. De nombreuses expériences utilisant la technologie de la lumière sont entreprises en Russie, « les Frères de l’espace ayant installé une base dans ce pays »…

 

L’une des activités principales des Frères de l’espace est la neutralisation de la pollution, laquelle est principalement engendrée « par les radiations émanant des centrales nucléaires du monde entier ». En outre, « chaque explosion nucléaire souterraine envoie dans l’atmosphère des poussières contaminées ayant une demi-vie radioactive de milliers et de milliers d’années ». Dans les limites permises par le karma, les Frères de l’espace épongent une grande partie de la radioactivité et de la pollution. Ils interviennent aussi dans les océans et neutralisent les déchets que les Terriens y ont mis et qui, autrement, détruiraient toute vie marine et empoisonneraient encore davantage la planète. Les visiteurs de l’espace jouent ainsi un rôle majeur dans la sauvegarde de notre écosystème.

 

Tous les vaisseaux spatiaux ont des dispositifs d’écoute d’environ 60 ou 75 centimètres de diamètre, et ces dispositifs peuvent être dirigés par le vaisseau lui-même dont le diamètre peut atteindre, s’il s’agit du vaisseau principal, 9 mètres de diamètre. Ces dispositifs sont envoyés par le vaisseau principal et connectés à lui, et ils ont des instruments qui peuvent lire les rapports enregistrés par des ordinateurs qui recueillent diverses données : la qualité de l’air, les pensées et les idées des individus, si nécessaire. Ces dispositifs peuvent planer à l’extérieur d’une pièce et écouter une conversation. Lorsqu’ils suivent un avion, ils ne peuvent être touchés car ils ont un champ de force autour d’eux. Les vaisseaux spatiaux ont aussi un champ de force, et les balles ne peuvent pénétrer celui-ci. (6)

 

Bon nombre des grands vaisseaux spatiaux (qui peuvent atteindre 13 kilomètres de long) sont des stations-mères, des laboratoires, etc.

 

Selon Benjamin Creme, Laïka, la chienne envoyée dans l’espace par les Russes, en 1957, a été sauvée par les Frères de l’espace.

 

Un lecteur ou une lectrice de la revue Partage international précise, dans un courrier publié en 2000, que dans la province de Cordoba, en Argentine, certaines personnes ont dit avoir eu des contacts physiques avec des Frères de l’espace. Quand les témoins ont demandé qui ces derniers étaient, les visiteurs ont répondu : « Nous sommes nous-mêmes. » Benjamin Creme dit que ces expériences sont authentiques et que ces visiteurs veulent éviter d’apporter des précisions sur leur identité réelle. Dans une autre ville de la même province, Villa Carlo Paz, en Argentine, on raconte qu’il existe des plates-formes d’atterrissage destinées aux Frères de l’espace. Il en existe également dans les provinces de la Pampa. Là, « les gens attendent en haut des collines pour voir arriver les ovnis et apportent des torches pour dessiner des signes lumineux à l’attention des visiteurs, et les Frères de l’espace leur répondent en faisant les mêmes signaux lumineux depuis leurs vaisseaux spatiaux ». Benjamin Creme a précisé que ces expériences étaient authentiques. Il précise aussi que les Frères de l’espace ont tracé les lignes que l’on voit à Nazca au Pérou, mais qu’ils n’ont pas gravé les statues de l’île de Pâques.        

 

Quelle sorte d’êtres vit sur la planète Pluton ? Benjamin Creme répond : des êtres que l’on n’aimerait pas rencontrer au coin d’un bois !

 

Selon Benjamin Creme, des Frères de l’espace étaient présents lorsque les hommes sont arrivés pour la première fois (avec Neil Armstrong) sur la Lune.

 

Lors d’un séjour à Melbourne de Benjamin Creme, de nombreux témoins ont vu des OVNIs. Deux OVNIs ont effectué des zigzags spectaculaires au-dessus de la ville. Benjamin Creme a vu un enregistrement vidéo de cet événement à Adélaïde, son étape suivante. Son Maître l’a informé, dit-il, qu’à la demande de Maitreya cette manifestation d’OVNI s’était produite en relation avec sa visite. Invité à la télévision d’Adélaïde, Benjamin Creme a annoncé qu’il y aurait une autre apparition d’OVNI ce même jour au-dessus de la ville. Le lendemain, un homme qui avait regardé l’émission, et qui avait reconnu Benjamin Creme, aborda ce dernier dans la rue pour lui dire qu’il avait « surveillé le ciel » (comme Benjamin Creme l’avait recommandé) et qu’il avait vu (pendant la journée) un OVNI.     

 

Benjamin Creme, qui a dit avoir été emmené à bord de vaisseaux spatiaux, affirme qu’il a existé autrefois, sur Mars, une vie sur le plan physique dense, cette dernière affirmation étant compatible avec celle émanant d’autres sources.

 

Selon Benjamin Creme, seuls quelques dessins et descriptions d’êtres venant d’autres planètes sont « très exacts » (comme ceux de George Adamski), la plupart étant cependant, d’après lui, le produit d’une « imagination astrale exubérante » (sic).

 

Selon lui, les habitants de Jupiter vivent sur trois satellites de cette planète, ceux-ci étant, dit-il, artificiels. En outre, une photo de Mars sur laquelle semble apparaître un « visage » montre en réalité, selon Benjamin Creme, des effets de lumière sur le relief martien. (7)

 

 

 

4. Des points de divergence :

 

Il existe, à propos des OVNIs, certains points de divergence fondamentaux entre la conception de Benjamin Creme et celle de la plupart des autres sources « psychiques » et divers récits de contactés. Voici ces points de « friction » :

 

 

 

a) Les visiteurs ne viennent-ils que de notre système solaire ?

 

Selon l’« expérience » (sic) de Benjamin Creme, les OVNIs viennent de planètes de notre système solaire, pas des Pléiades, de Sirius ou d’ailleurs. Ils viennent principalement de Mars et de Vénus, quelques autres planètes (comme Jupiter et Mercure) étant aussi concernées. Selon Benjamin Creme, pratiquement tous les OVNIs sont fabriqués sur Mars, même ceux qui viennent de Vénus ! Ces derniers sont vénusiens par leur aspect, leur conception et leur technologie étant nettement distinctes, « mais ils sont en fait construits sur Mars ». Tous les OVNIs « sont construits par la pensée ».

 

« Les gens qui vivent dans des corps physiques sur Mars, Vénus, Mercure, Jupiter, etc., se situent sur un autre niveau vibratoire que le nôtre. Nous connaissons seulement trois aspects du physique : le physique solide, le physique liquide et le physique gazeux. Au-dessus du physique gazeux, il existe quatre niveaux supérieurs de matière physique qui n’ont pas encore été découverts sur notre planète. Lorsqu’ils le seront, nous comprendrons beaucoup plus de choses sur la nature et l’origine de la maladie, sur le but de la vie sur cette planète et la réalité de la vie sur d’autres planètes.

 

Les êtres qui vivent sur Mars, Vénus et les autres planètes, évoluent sur ces quatre plans supérieurs du physique. Si vous alliez sur Mars ou sur Vénus, vous ne verriez personne, mais néanmoins les Martiens et les Vénusiens vivent dans la matière physique, ils possèdent des corps composés de cette matière subtile, plus fine, à laquelle nous donnons le nom de matière ‘‘éthérique’’. » (B. Creme)

 

 Les êtres éthériques vivant sur ces planètes connaissent, comme nous, la mort et la réincarnation. Cependant, la durée de leurs « vies » est beaucoup plus longue que la nôtre, et l’incarnation se fait toujours dans un corps physique éthérique.

 

Si nous allions sur Mars ou sur Vénus, nous n’y verrions personne car les habitants de ces planètes vivent dans « des corps physiques composés de matière éthérique, plus fine, plus subtile que la matière gazeuse ». Si nous possédions la vision éthérique, ils seraient pour nous tout aussi réels que ces habitants le sont pour eux-mêmes.

 

Les Frères de l’espace, lesquels sont censés venir le plus souvent de Mars et de Vénus, mais aussi parfois de Jupiter, de Mercure et de quelques autres planètes, « ont installé autour de la Terre un anneau de lumière qui la maintient sur son axe ». Elle est « très légèrement en dehors de cet axe, mais l’anneau l’empêche, dans la mesure autorisée par le karma, de basculer, ce qui provoquerait le renversement des pôles annoncé dans de nombreuses prophéties apocalyptiques ». Ce renversement ne se produira pas, « rien ne pouvant déplacer cet anneau de lumière mis en place par nos frères de l’espace ». Sans leur aide, notre planète serait probablement dans un état de chaos.    

 

Selon Benjamin Creme, les OVNIs ne sont pas composés de matière physique dense, mais de matière physique éthérique.

 

« Lorsque nous les voyons, leurs occupants ont simplement réduit le taux vibratoire des atomes qui composent le vaisseau spatial jusqu’à ce qu’il nous soit visible. Notre vue est limitée ; elle n’atteint qu’un certain niveau. Au-delà de ce niveau, les vaisseaux spatiaux sont invisibles à moins que vous n’ayez la vision éthérique. Lorsqu’ils disparaissent, comme ils semblent le faire, ils élèvent à nouveau le taux vibratoire jusqu’à son état habituel et ils ‘‘disparaissent’’. Ils sont probablement toujours là. Ils peuvent accélérer jusqu’à des milliers de kilomètres à l’heure, puis disparaître. » (B. Creme)

 

Il existe des êtres d’autres planètes vivant sur Terre, ceux-ci venant principalement, selon Benjamin Creme, de Mars et de Vénus. Ils n’utilisent pas, ajoute-t-il, le corps physique d’êtres humains, mais leur propre corps physique. (Ceci est en contradiction avec d’autres sources qui évoquent la possibilité du phénomène de « walk-in ». En outre, on se demande comment un être éthérique peut rester « densifié » au point de vivre parmi nous !) C’est à tort que Benjamin Creme considérait sans fondement la référence à la visite (ou à l’incarnation) sur Terre d’êtres en provenance d’autres systèmes solaires. Par contre, beaucoup d’êtres provenant d’autres planètes de notre système solaire s’incarnent sur Terre afin d’y accomplir un service spécifique (pour un temps plus ou moins long), ou alors ils sont liés à la Terre dans le cadre d’un « échange » d’âmes.  

 

Benjamin Creme prétendait qu’on ne peut pas entrer en contact avec des entités hors de notre système solaire, « en dépit de nombreuses déclarations contraires », cette limitation n’existant pas pour les Maîtres. Pour certains systèmes solaires, ajoutait-t-il, des êtres d’autres systèmes solaires peuvent contacter « des mortels ordinaires », mais « il n’y a aucune raison pour qu’ils le fassent (en dépit de déclarations contraires) ». (8) A sa connaissance, disait-il, il n’y a pas de vaisseaux venant de l’extérieur du système solaire, et il ne croit pas à une telle origine (comme celle des Pléiades). Il prétendait qu’il n’y a pas de contact avéré entre notre civilisation et celle des Pléiades. (9) Ces affirmations de Benjamin Creme sont dépourvues du moindre fondement. Bien d’autres sources affirment le contraire, comme on peut le voir notamment dans ma série « Civilisations extraterrestres ». 

 

En d’autres termes, selon Benjamin Creme, tous les OVNIs, et leurs occupants, sont de nature éthérique, ce qui signifie qu’ils proviennent d’un niveau de « l’énergie/matière » non répertorié par les physiciens. Ceci correspond à ce qu’on peut qualifier (ce sont mes propres termes) d’« autre niveau dimensionnel que le niveau physique/dense d’une planète ».

 

On trouve, dans la revue Partage International, la relation de nombreuses observations d’OVNIs. Lorsque Benjamin Creme « confirme » qu’il s’agit bien de vaisseaux spatiaux, l’origine de ceux-ci est toujours la même. Ils sont la plupart du temps martiens, parfois vénusiens ! Une photo prise le 16 février 1989 au Pérou est cependant censée représenter un vaisseau spatial éthérique venant de Jupiter.

 

Ce que dit Benjamin Creme sur les niveaux éthériques de la matière, et sur l’existence de vies extraterrestres sur ces niveaux, est cependant exact. La théosophe Helena-Petrovna Blavatsky (décédée en 1891) avait parlé, dès le dix-neuvième siècle, de ces niveaux éthériques de la matière, de même que ses « successeurs » : Annie Besant (décédée en 1933), Charles W. Leadbeater (décédé en 1934) et Alice Bailey (décédée en 1949). D’autres occultistes ou ésotéristes, comme Rudolf Steiner (décédé en 1925) et Max Heindel (décédé en 1919), en ont aussi fait état. Mais je suis néanmoins en total désaccord avec l’affirmation de Benjamin Creme selon laquelle tous les OVNIs sont de nature éthérique. Certains d’entre eux sont effectivement éthériques et viennent de planètes comme Mars et Vénus, mais ce n’est évidemment pas le cas de tous les vaisseaux de l’espace. Benjamin Creme a été, à ma connaissance, le seul à prétendre, à tort, qu’aucun OVNI vient d’un autre système solaire, de très nombreuses sources (sources « psychiques », récits de contactés, etc.) affirmant par contre le contraire. (Voyez ma série de livres sous le titre général de Civilisations extraterrestres.)   

 

Quelqu’un ayant formulé cette question : est-il possible d’effectuer un vol à bord d’un vaisseau extraterrestre ou de visiter ce dernier ?, Benjamin Creme a ainsi répondu : 

 

« Comment feriez-vous pour monter à bord d’un vaisseau spatial ? Vous êtes constitué de matière physique dense, pas eux. Comment feriez-vous ? » (10)

 

Une autre question devrait être posée : comment George Adamski – bien que son âme était d’origine vénusienne, il disposait quand même d’un corps terrestre – a-t-il pu voyager, selon son récit, dans des vaisseaux originaires de notre système solaire (ces vaisseaux étant éthériques) ? Voici en outre l’information reçue par Anne Givaudan (lors d’une décorporation de celle-ci au sein d’un vaisseau-mère vénusien) :

 

« Tu aurais pu faire ce voyage avec ton corps physique légèrement modifié par nos soins. Les vaisseaux peuvent se prêter à ce type d’expérience sans qu’il y ait obligation de laisser le corps physique dense qui est le vôtre. » (Alliance, éditions S.O.I.S., 2000, page 70.)  

 

Et bien sûr, la question posée par Benjamin Creme devient idiote quand on sait (et contrairement à ce qu’il prétendait) que de nombreux vaisseaux physiques (et non « éthériques ») proviennent d’autres systèmes solaires que le nôtre.

 

     

 

* Billy Meier et les autres systèmes solaires :

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a fait ce commentaire : « M. Creme, êtes-vous infaillible ? Si non, comment puis-je savoir lorsque vous avez raison ou tort ? Vous dites que nos visiteurs venus d’autres planètes viennent seulement de ce système solaire. Billy Meier, sans conteste le plus célèbre contacté des temps modernes, avec tant de preuves indiscutables, entre en contact avec des Pléiadiens. Comment est-ce possible ? » Benjamin Creme a ainsi répondu :

 

« Non, je ne suis pas infaillible et les Maîtres eux-mêmes ne prétendent pas l’être. Je suis donc d’accord, vous avez un problème. Seules l’intuition et la faculté de discrimination qui vient avec de longues années d’expériences directes en association avec un Maître permettent de faire publiquement les déclarations que je fais.

 

En ce qui concerne le travail de M. Meier avec les Frères de l’espace, je souscris tout à fait à la réalité des contacts, mais je suis convaincu (et informé) que ces contacts ont lieu avec des êtres de notre système solaire. Peut-être M. Meier pense-t-il à tort, comme les scientifiques en général, que c’est impossible, aussi opte-t-il pour les Pléiades. Je ne sais pas et cela ne me préoccupe guère. Le contact lui-même est la chose importante. » (11)

 

Je réponds que l’intuition et la faculté de discrimination montrent justement, par l’étude comparative d’une multiplicité de sources, que l’affirmation de Benjamin Creme, ce dernier prétendant qu’aucun OVNI ne vient d’un autre système solaire, est complètement erronée. En outre, il est totalement absurde de prétendre comme il le faisait (que cela vienne de lui ou de son Maître) que peut-être Edouard (ou Billy) Meier « opte pour les Pléiades » parce qu’il pense peut-être à tort que ses contacts ne peuvent pas avoir lieu avec des êtres de notre système solaire. Je connais le dossier Meier (notamment grâce au livre de Gary Kinder : Les années-lumière, publié aux éditions Amrita dans les années 1990) et il apparaît clairement que ce sont bien les êtres que le contacté prétend avoir rencontrés qui lui ont révélé leur provenance. Ce sont ces êtres qui lui auraient dit cela. Le contacté n’a pas inventé les Pléiades ou les « Pléiares » – d’après ce contacté, la vie n’est pas possible dans les Pléiades, ce qui ne cadre pas avec de nombreuses autres sources – car il aurait trouvé impossible une origine relative à notre système solaire. Benjamin Creme dit avoir été « informé » (par sa source) que ces contacts ont eu lieu avec des êtres de notre système solaire. Si sa source lui a dit cela, il s’avère alors que cette source n’est pas fiable, cette affirmation relative à l’origine associée à notre système solaire allant à l’encontre de ce que le contacté a lui-même dit.

 

Benjamin Creme a écrit que certains Frères de l’espace de notre système solaire voyagent dans la Voie lactée et que certains d’entre eux vont dans d’autres galaxies. (12) Ceci me paraît une évidence (sachant par ailleurs que les « Frères de l’espace » évoqués ici sont de nature éthérique et non physique), mais pourquoi alors prétendre faussement qu’aucun vaisseau de l’espace visitant la Terre ne vient d’un autre système solaire ? Les êtres de l’espace (éthériques) de notre système solaire ont le « droit » de visiter d’autres systèmes solaires, alors que des êtres (physiques) d’autres systèmes solaires n’auraient pas le « droit » de venir sur notre planète ? Totalement absurde.  

 

A la question suivante : Certains des gouvernements qui ont des preuves de l’existence des OVNIs et de leurs occupants savent-ils que ceux-ci viennent de planètes de notre propre système solaire ?, Benjamin Creme a répondu qu’ils ont été informés « de ce fait », mais qu’ils n’y croient pas nécessairement. (13) Je ne crois pas que les gouvernements aient la preuve de l’existence de visiteurs de l’espace. Dans le cas contraire, cela ferait du monde à avoir été mis au courant, compte tenu du nombre de gouvernements qui se sont succédé depuis les années 1940… Cela n’exclut cependant pas la possibilité que quelques responsables américains (je pense à Dwight Eisenhower dans les années 1950) et russes (si l’on se réfère à la « confidence » de Dmitri Medvedev dans une vidéo datée de 2012) aient été ou soient au courant de la situation. Ces gouvernements n’ont par ailleurs pas pu être informés d’une origine concernant uniquement notre système solaire, tout simplement parce que cela ne correspond pas à la réalité, certains visiteurs venant bien sûr d’autres systèmes solaires.   

 

Dans le numéro de novembre 2013 de Partage international, un lecteur ou une lectrice a fait cette judicieuse remarque :

 

« Pourquoi n’est-il question que des vaisseaux spatiaux provenant du système solaire sur votre site Web ? D’après d’autres sources, la Fédération galactique de Lumière est composée de milliers de civilisations de tout le cosmos, et d’autres vaisseaux provenant de nombreux autres systèmes sont parmi nous. »   

 

La réponse de Benjamin Creme est la suivante :

 

« C’est exact, mais, à ma connaissance, les passagers et les vaisseaux que l’on voit aujourd’hui ne viennent que de notre propre système solaire. » (14)

 

Je réponds qu’« à ma connaissance », cette affirmation de la seule origine concernant notre système solaire est totalement erronée. Notons la mention « aujourd’hui » : parce que « hier », la venue de visiteurs d’autres systèmes solaires était possible ? Je rappelle que Benjamin Creme (et sa source alléguée) est à ma connaissance le seul, dans la littérature « canalisée » et « extraordinaire » (contactés, etc.), à prétendre qu’aucun OVNI ne vient d’un autre système solaire. Cette allégation est, je le répète, totalement contredite et invalidée par les autres sources « extraordinaires » consultées.   

 

 

 

b) Les enlèvements :

 

Un autre point de divergence concerne l’affirmation, faite par Benjamin Creme, selon laquelle les enlèvements à bord d’OVNIs (« abductions ») relèvent tous de « l’imagination astrale » (sic). Il déclarait que dans des magazines et des journaux on raconte que des gens ont été enlevés, qu’on s’est livré à des expériences sur eux, qu’on a introduit des objets sous leur peau, etc., tout cela étant, prétendait-il à tort, « parfaitement faux ». Il ne s’est jamais rien produit de tel, ajouta-t-il, ces histoires étant, affirma-t-il à tort, soit le fruit « de l’imagination astrale enfiévrée de personnes qui souhaitent éprouver ce genre d’expériences, qui les vivent sur le plan astral et qui les décrivent ensuite à d’autres », soit « le résultat de l’action dans le monde de certaines forces négatives dont le but est de cacher au public les liens réels existant entre notre planète et les extraterrestres ».

 

Evoquant les habitants (éthériques) des autres planètes de notre système solaire, il a écrit que ceux-ci n’ont nullement besoin de pratiquer des expériences sur nous. Ce dernier point n’est pas erroné, bien sûr, puisque les responsables des « abductions » ne sont pas des êtres éthériques ayant pour origine notre système solaire… 

 

Benjamin Creme a écrit que « l’information » dont il disait disposer est que personne n’est enlevé par des visiteurs de l’espace, aucun visiteur de l’espace ne venant, prétendait-il faussement, d’un autre système solaire que le nôtre. D’après ses « informations », il n’y a rien de vrai dans les récits d’enlèvements, personne n’étant kidnappé par les « Frères de l’espace », notre système solaire étant entièrement contrôlé par les Hiérarchies des planètes les plus avancées. Les « enlèvements » sont, d’après les « informations » de Benjamin Creme, du « mirage astral », le fruit de « fantasmes incontrôlés, d’origine astrale, pris pour la réalité ».  

 

Dans un courrier publié en 1990, un lecteur ou une lectrice précise qu’il « est actuellement courant d’affirmer que les rencontres d’autrefois avec les fées et les enlèvements par des ovnis sont le fait des mêmes êtres, et que les contes de fées et les enlèvements actuels ne sont que du folklore basé sur des contacts avec le même type d’êtres ». Benjamin Creme répondit que les « Frères de l’espace » et les fées ne sont pas les mêmes êtres (ce qui est exact), les fées faisant partie de la grande évolution des « dévas » ou anges. Mais, contrairement à ce que pensait Benjamin Creme, un rapprochement est effectivement à faire entre certains récits d’enlèvements par des « fées » et les « abductions » contemporaines, certaines « fées » des récits d’antan ayant semble-t-il été des êtres originaires d’autres planètes qui ont perpétré des enlèvements de même nature que ceux de l’époque contemporaine. Les récits d’antan ont simplement été interprétés au travers du filtre culturel de l’époque. Et contrairement à ce qu’insinuait Benjamin Creme, les récits des « enlevés » ne sont pas le produit d’une « imagination astrale trop intense » (sic), d’un « mirage astral » ou de « fantasmes incontrôlés d’origine astrale ». Selon Benjamin Creme, si les visiteurs de l’espace n’étaient pas « à la une des journaux et de l’actualité » (sic), ceux qui disent avoir été enlevés se contenteraient de fantômes ou de quelque chose de similaire. Les vrais contacts avec les « frères de l’espace » sont toujours, prétendait Benjamin Creme, « de nature positive ». (15)

 

Voici ce qu’a écrit un lecteur ou une lectrice de la revue Partage international :

 

« J’ai récemment assisté à un groupe de discussion qui se réunit pour parler du phénomène des ovnis. Ils ont montré une interview de Steven Greer. J’ai eu l’opportunité de parler de ‘‘l’étoile’’ et de sa signification pour l’émergence de Maitreya dans le monde. Les gens se sont montrés réceptifs et intéressés par l’information, mais on m’a posé de nombreuses questions sur les petits Gris, les reptiliens, et sur les kidnappings. Je crois comprendre que les kidnappings sont imaginaires puisque les Frères de l’espace sont ici pour aider et non pour nuire. Je me demandais si vous pourriez apporter un peu de lumière sur tout ceci. »

 

Voici la réponse de Benjamin Creme :

 

« Une fois de plus, laissons cette question de côté. Petits gris, reptiliens et kidnappeurs n’existent pas parmi les Frères de l’espace qui sont aux commandes des ovnis visitant notre planète. Le travail accompli par les Frères de l’espace est non seulement inoffensif, il est essentiel pour la vie future de notre planète. Ils viennent pour aider, ils ont une mission spirituelle, une mission de sauvegarde. Petits Gris, reptiliens et kidnappeurs sont le fruit de l’imagination des gens, une imagination qui repose sur la peur. Nous pouvons remercier les gouvernements et les auteurs de films de science-fiction responsables de cette désinformation. » (16) 

 

Tenir de tels propos, c’est vraiment méconnaître, de façon radicale, le vaste dossier des « abductions ». (Voir, notamment, les travaux de Budd Hopkins, David Jacobs et John Mack.) Contrairement à ce qu’insinuait Benjamin Creme, les petits Gris et les reptiliens ne sont pas le fruit de l’imagination des gens, leur réalité étant affirmée, comme je le mentionne dans ma série Civilisations extraterrestres, par de très nombreuses sources convergentes, et pas seulement, d’ailleurs, par des « enlevés ». Quant aux enlèvements, ils sont le fait de ces deux espèces galactiques que sont les Gris et les reptiliens, ceux-ci étant des êtres en provenance d’autres systèmes solaires que le nôtre. En outre, contrairement à ce que déclarait Benjamin Creme, ce ne sont pas les gouvernements – comment ceux-ci pourraient-ils être à l’origine de cette prétendue désinformation alors qu’aucun gouvernement ne reconnaît officiellement l’existence d’une présence extraterrestre ? -, ni les auteurs de films de science-fiction, qui sont à l’origine des références aux Gris, aux reptiliens et aux enlèvements, pour la simple raison que ce sont les multiples témoins et contactés qui ont d’abord fait référence à ces réalités (celles-ci n’étant aucunement imputables à une mythique « imagination astrale »).    

 

Benjamin Creme méconnaissait totalement le sujet des « abductions », obnubilé qu’il était par le dogme des gentils Frères de l’espace éthériques, les seuls, selon lui, à nous visiter ! On trouve aussi le dogme des « gentils Frères de l’espace » chez le docteur Steven Greer. Ce dernier, par contre, fait uniquement allusion à des êtres physiques en provenance d’autres systèmes solaires ! Pour Steven Greer, toutes les « abductions » sont dues à des militaires, ce qui est faux. (Voyez, dans le tome 1 de Civilisations extraterrestres, le chapitre : Les Gris.)

 

Benjamin Creme affirmait, à propos des gens enlevés que l’on retrouve plus tard avec des puces implantées et des cicatrices, que ce n’est pas vrai, que cela ne se passe pas du tout comme cela. Cette affirmation est pourtant formellement démentie par les spécialistes des « abductions » ayant étudié de nombreux cas de ce type…  

 

« Il y a beaucoup de gens qui vont voir des films de science-fiction présentant les extraterrestres comme malfaisants, comme des monstres aux noirs desseins qui cherchent par tous les moyens à prendre le pouvoir sur la Terre. Si telles étaient les intentions des Frères de l’espace, voilà longtemps qu’ils se seraient déjà emparés de toutes les villes du monde. Ces personnes dérangées ont des visions astrales éclatantes qui sont aussi éphémères que les rêves et qu’elles mettent en rapport avec la terreur que leur ont inspirée les films de science-fiction en question. Ces fantasmagories astrales ont été largement acceptées par le public en raison du dénigrement systématique dont les Frères de l’espace font l’objet de la part des gouvernements et des autres agences depuis plus de soixante ans.

 

Ce genre d’agression imaginaire sur les personnes ne peut en aucun cas se produire. Les vaisseaux sont constitués de matière éthérique subtile. Il est impossible d’être enlevé dans un vaisseau physique éthérique quand on est dans un corps physique dense.

 

Il existe aux Etats-Unis une agence dont le seul et unique but est la falsification de la réalité concernant les ovnis. Le gouvernement des Etats-Unis, comme tous les autres gouvernements, sait que les ovnis existent. Ils savent par expérience qu’ils sont inoffensifs. Ils savent probablement qu’ils ont un travail important à faire. Les gouvernements du monde seraient ravis de disposer de tous les secrets technologiques des Frères de l’espace, mais ils veulent en même temps cacher aux gens les preuves démontrant que les Frères de l’espace sont inoffensifs, bienfaisants, secourables, et infiniment supérieurs aux gouvernements qui gouvernent les peuples de la Terre. » (B. Creme) (17)

 

On trouve, dans cette citation, plusieurs affirmations inexactes qu’il convient de rectifier :

 

* Les victimes des « abductions » ne sont nullement des « personnes dérangées » qui auraient vu trop de films de science-fiction mettant en scène des extraterrestres envahisseurs et qui auraient donc des « visions astrales éclatantes » (sic) ou qui seraient victimes de « fantasmagories astrales » dont la terreur serait inspirée des films vus. D’une part, les témoins ne sont pas réputés êtres des férus de films de science-fiction, l’allégation faisant état de l’implication de la vision de tels films n’étant vérifiée par aucune donnée étayée. Il s’agit d’une allégation gratuite dépourvue de tout élément factuel. Ensuite, les « enlevés » présentent des symptômes aisément associés au syndrome post-traumatique, ce qui est le signe que quelque chose de réel s’est produit et que cela ne s’explique donc pas par de simples fantasmagories, astrales ou non. Un autre élément qui montre l’authenticité des « abductions » et qui montre donc que ces récits ne relèvent aucunement de l’imagination (influencée par des films de S-F),   c’est l’existence de détails identiques dans les récits de personnes qui par ailleurs ne se connaissent pas du tout. Un exemple : dans une excellente émission d’Enquêtes extraordinaires, de Stéphane Allix, émission diffusée sur M6 le 21 août 2013 (et rediffusée en septembre 2013), on a entendu trois témoins différents (en France, en Suisse et aux Etats-Unis) évoquer un instrument utilisé par les Aliens, et ces personnes, bien sûr, ne se connaissaient pas !

 

* Benjamin Creme parle d’une « agression imaginaire » (sic) qui ne peut pas se produire, la raison invoquée étant que les vaisseaux sont constitués de matière éthérique subtile et qu’il est impossible, pour un corps physique, d’être enlevé dans un vaisseau éthérique. C’est là justement que réside le nœud du problème. Benjamin Creme part en effet de l’idée fausse et inepte selon laquelle tous les OVNIs viennent de notre système solaire et sont par conséquent, avec leurs occupants, de nature éthérique. S’il va de soi que les êtres de notre système solaire et d’origine éthérique ne sont nullement impliqués dans des agissements tels que les enlèvements, il en va différemment, ce que ne voulait pas reconnaître Benjamin Creme, pour certains êtres de l’espace, physiques ceux-là, originaires d’autres systèmes solaires, en l’occurrence les Gris (et les Reptiliens). Le tort fondamental de Benjamin Creme, c’est cette assertion absurde selon laquelle aucun visiteur de l’espace ne vient d’un autre système solaire. Aucun OVNI, prétendait–il de façon erronée, ne vient de l’extérieur de notre système solaire. (18) En outre, on note, chez Benjamin Creme, une méconnaissance totale du dossier des « abductions » qui transparaît à la lecture de ses propos.

 

* L’idée d’une agence américaine dont le but serait la falsification de la réalité concernant les OVNIs relève, par contre, de l’imagination (bien que celle-ci ne soit pas « astrale »). Quant à l’affirmation selon laquelle tous les gouvernements cacheraient la réalité de la présence extraterrestre, c’est une rengaine que l’on rencontre chez beaucoup de personnes (y compris chez des entités canalisées), mais on se demande alors comment il se fait – vu le nombre très élevé de personnes qui seraient au courant – que des tas de gens n’aient pas fini par dire la vérité… Il est probable que certaines personnes appartenant à un certain milieu, notamment aux Etats-Unis, sont au courant, mais je ne crois pas du tout que les membres des gouvernements successifs, y compris les Présidents, soient « briefés » à ce sujet (à cause, justement, des risques importants de « fuites » sur un sujet aussi sensible)…

 

Benjamin Creme a dit que les Frères de l’espace « ont été décrits, particulièrement par le gouvernement américain, comme des êtres cruels qui tuent et abandonnent les cadavres dans les plaines et les déserts d’Amérique, qui enlèvent des gens dans leurs vaisseaux de l’espace, leur font subir des opérations, et leur implantent des puces électroniques qui leur permettent de prendre le pouvoir pour toujours sur leur conscience avant de les renvoyer sur Terre », tout cela étant, disait-il, complètement faux. (19) Cette formulation est absurde car il va de soi que ce n’est absolument pas le gouvernement américain qui est à l’origine des récits d’enlèvements (d’humains) et de mutilations (de bovins), les véritables responsables étant, je le répète, certains êtres, de nature matérielle comme nous – ils ne sont donc pas éthériques – et extérieurs à notre système solaire, ceux-là même auxquels Benjamin Creme ne croyait pas.  

 

Les « disciples » de Benjamin Creme entérinent aveuglément les dires de ce dernier, car ils partent du principe que tout ce qu’il a dit est vrai. Ils en font une sorte d’« autorité ». Or, il s’avère qu’aucune personne servant de « canal » à une source extraordinaire n’a le monopole de la vérité, une marge d’erreur existant partout, ce que m’a appris l’étude comparative de multiples sources…  

 

 

 

c) Les mutilations animales :

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international ayant évoqué les mutilations animales (sur des bovins) associées à certains OVNIs, Benjamin Creme a répondu évidemment que les Frères de l’espace n’y sont pour rien. (20) Or, certains rapports font état de la présence d’un OVNI dans les parages, et l’implication de certains visiteurs de l’espace dans ce genre de pratique (comme dans le phénomène des « abductions ») est confirmée par certaines sources « psychiques » bien informées comme, par exemple, Anne Givaudan. Voyez, dans Mondes habités et contactés, le tome 1 de Civilisations extraterrestres, le chapitre intitulé Bases extraterrestres lunaires :

 

« (…) Dans ce même temps, d’autres contacts moins bénéfiques eurent lieu et discréditèrent notre action : des enlèvements, des mutilations d’animaux, par exemple…»

 

Bien sûr, les êtres à l’origine de ces pratiques : enlèvements et mutilations, sont des êtres originaires d’autres systèmes solaires que le nôtre. Ils n’ont rien d’« éthérique », le tort fondamental de Benjamin Creme étant d’affirmer que les OVNIs viennent tous de notre système solaire.

 

A la question : D’où viennent les mutilations du bétail ?, Benjamin Creme a répondu qu’il y a  « des agences, spécialement aux Etats-Unis, dont le travail depuis plusieurs années consiste à dénigrer les Frères de l’espace », ces agences gouvernementales n’étant « pas nécessairement connues de tous les membres de l’administration ». Il doutait que les derniers Présidents américains eussent eu connaissance de l’existence de cette agence et « de son action contre les soucoupes volantes ».

 

« Ils auraient du mal à y croire. Ces gens mutilent du bétail, dont ils disséminent les morceaux dans les champs et les déserts, avant d’accuser les  »horribles » hommes de l’espace. Ils sont prêts à tout pour tenir cela secret. A mon avis, certains font ça pour s’amuser. Ils font des concours et imaginent n’importe quoi pour dénigrer les Frères de l’espace. » (B. Creme) (21)

 

Cette idée de concours visant à dénigrer les « Frères de l’espace » est ridicule. Je rappelle – voyez, dans Mondes habités et contactés, le tome 1 de Civilisations extraterrestres, le chapitre : Les Gris – ce que la source de Patricia Cori a déclaré à propos des enlèvements (les êtres à l’origine de ceux-ci étant les mêmes que ceux impliqués dans les mutilations) :

 

« En ce qui concerne les enlèvements de centaines de milliers d’individus dans le monde, la plupart sont le fait de techniciens de la race des Gris, et le but visé est de cataloguer et de stocker du matériel génétique et reproducteur humain qui sera utilisé pour la création d’une nouvelle espèce.

 

Cependant, nous vous demandons de garder en tête que de nombreux enlèvements décrits par les victimes humaines sont exécutés par des agents secrets à la solde de vos gouvernements, lesquels enlèvent des citoyens pour leurs propres fins, en se faisant passer pour des extraterrestres, car c’est là une excellente couverture et un moyen de nier les témoignages des contactés sous prétexte qu’ils mentent ou qu’ils ont l’esprit dérangé. »

 

On voit qu’il ne s’agit pas de « dénigrer les Frères de l’espace » (les êtres éthériques originaires d’autres planètes de notre système solaire n’étant évidemment pas impliqués dans les enlèvements), mais de camoufler l’implication d’êtres de l’espace (originaires d’autres systèmes solaires) dans certains enlèvements, et aussi, dois-je ajouter, dans certaines mutilations animales.

 

Je note que Benjamin Creme a en quelque sorte repris l’affirmation inexacte de Steven Greer selon lequel les enlèvements sont le fait de militaires et non d’extraterrestres, le but – invraisemblable – étant, selon Steven Greer, d’instiller la peur de ces derniers ! A propos des mutilations animales, Maryline Belgy, l’auteure de Les Bienséants – éditions Le Temps Présent, 2013 -, soutient quant à elle, dans le numéro 95 (décembre 2014) de Parasciences, une variante : des extraterrestres auraient découvert l’existence d’un problème dans la chaîne alimentaire humaine et auraient cherché à mettre en garde l’humanité à propos d’une contamination d’encéphalopathie subaiguë spongiforme transmissible. Ces extraterrestres auraient détecté, probablement lors d’examens effectués sur des humains à bord de vaisseaux, l’existence d’un agent pathogène discret et responsable d’une épidémie sans précédent et incontrôlable. Des individus auraient alors sollicité des structures privées… Ce ne seraient pas des extraterrestres qui attraperaient, abattraient, etc., les animaux contaminés, mais ces derniers seraient repérés avec l’aide d’extraterrestres. L’animal soupçonné d’être contaminé par l’agent pathogène serait introduit dans un caisson de décontamination où il recevrait une injection mortelle (l’animal n’éprouvant aucune souffrance), et le dépeçage des parties à étudier serait exécuté par un mécanisme à l’intérieur du caisson, activé à l’extérieur de la caisse. Les parties prélevées seraient ensuite mises sous cryogénisation et partiraient dans des laboratoires clandestins afin d’être soumises à évaluation. La carcasse serait ensuite remise en place. Les hélicoptères noirs, qui appartiennent à l’armée et qui ont été observés rôdant autour des animaux, feraient acte de présence pour protéger et surveiller le terrain. Cette explication de Maryline Belgy est certes intéressante, mais elle ne cadre pas avec les sources initiales qui font état des agissements des Gris pour une raison concernant ceux-ci…  

 

 

 

d) La ceinture d’astéroïdes et Maldek :

 

Benjamin Creme a déclaré, ce qui constitue un autre point de divergence avec d’autres sources, que la ceinture d’astéroïdes n’est pas ce qui reste d’une planète détruite. (22) Benjamin Creme a affirmé qu’il n’y a aucune vérité dans l’affirmation selon laquelle la ceinture d’astéroïdes était autrefois une planète qui fut détruite par une explosion nucléaire, et dans l’affirmation selon laquelle la population de Maldek fut autorisée à se réincarner sur Terre. (23)

 

Voyez, pour les déclarations contraires, avec lesquelles je suis d’accord, le chapitre : La planète entre Mars et Jupiter, dans Mondes habités et contactés (JMG éditions, 2016), le tome 1 de Civilisations extraterrestres. 

 

 

 

5. La mission spirituelle des visiteurs de l’espace :

 

Selon Benjamin Creme, ce ne fut pas le président Kennedy qui amena la cessation des hostilités entre les Etats-Unis et l’URSS, au début des années 1960, mais les Frères de l’espace de notre système solaire, essentiellement ceux de Mars et de Vénus. Avec leur maîtrise de l’énergie, les visiteurs de l’espace réussirent à dissiper la tension entre les Américains et les Soviétiques. Un agent vénusien vivant sur Terre aurait conseillé au président Kennedy de prendre contact, d’une certaine manière, avec les Russes. En octobre 1962, il y eut un point de tension pendant lequel le monde frôla une troisième guerre mondiale. En septembre 1962, le gouvernement soviétique avait livré en secret des missiles nucléaires à Cuba, et en octobre les Russes avaient envoyé un navire chargé de missiles destinés à être installés à Cuba. C’était une réponse à l’Amérique, signifiant : « Vous avez entouré la Russie de missiles de l’Alaska au Pakistan », ce qui était la vérité et l’est toujours. Selon Benjamin Creme, les Frères de l’espace avaient communiqué au président Kennedy, par l’intermédiaire d’un agent du service diplomatique américain, ce qu’il devait déclarer. Mais le président l’a dit à sa façon et non de la manière qui lui avait été conseillée.

 

« De la même façon qu’à l’époque de la Crise de Berlin, on demanda de nouveau au président Kennedy de s’adresser aux Soviétiques avec respect et compréhension, en disant qu’il comprenait très bien leurs préoccupations et ferait tous ses efforts pour apaiser leurs craintes.  

 

Au lieu de cela, il ne mâcha pas ses mots et défia l’URSS. » (B. Creme)

 

Le navire fit demi-tour, comme la Russie – Benjamin Creme en était persuadé – avait prévu de le faire de toute façon. Selon l’auteur britannique, les Frères de l’espace manipulent des énergies en dissolvant les forces négatives, en apaisant les craintes des gens et en amenant un semblant de trêve, une situation où les choses peuvent évoluer. C’est ainsi, dit-il, que les Frères de l’espace ont toujours travaillé.

 

« Le président Kennedy ne connaissait pas l’existence des Frères de l’espace en tant que tels, il ignorait également quelle était la source des informations qu’il recevait. Mais il avait connaissance du fait que certains membres du corps diplomatique en Amérique étaient des agents des Frères de l’espace. Il faisait le plus grand cas de leurs avis et de leurs renseignements, et les prenait en compte pour agir. Ces avis et renseignements lui étaient toujours fournis par les représentants de l’agence implantée au sein du service diplomatique. » (B. Creme)

 

Les Frères de l’espace sont venus « pour aider et sauver l’humanité ». Loin de menacer l’espèce humaine, ils ont une mission spirituelle. 

 

« Ils viennent sauver l’humanité de la souffrance qui, sans eux, aurait été la sienne depuis la découverte de la fission nucléaire.

 

Depuis cette époque, nous ne cessons de déverser dans notre atmosphère de l’énergie nucléaire que les scientifiques ne sont pas à même de mesurer. Ils ne disposent pas de la technologie nécessaire pour analyser les plans de la matière situés au-dessus des gaz, à savoir les plans éthériques, où s’accumulent les radiations nucléaires, qui constituent le réservoir d’énergie le plus meurtrier qui ait jamais existé sur Terre.

 

Ces énergies portent gravement atteinte à la santé de l’humanité et des règnes inférieurs en affaiblissant notre système immunitaire et, par conséquent, en nous exposant à toutes sortes de maladies qui autrement nous épargneraient. C’est pourquoi nous sommes soumis à des vagues successives de grippes et autres affections auxquelles nous sommes de moins en moins capables de faire face. Le développement de la maladie d’Alzheimer, qui fait des victimes de plus en plus jeunes dans le monde entier, est le résultat direct de la haute concentration sur les niveaux éthériques supérieurs d’énergie nucléaire non détectée par les instruments des scientifiques d’aujourd’hui. Cette énergie affecte le cerveau humain, causant de plus en plus d’Alzheimer, de perte de mémoire, de désorientation, et de détérioration progressive du système de défense du corps physique.

 

Les Frères de l’espace, essentiellement ceux de Mars et de Vénus, sont engagés dans une mission spirituelle de neutralisation de ces radiations nucléaires. Ils ne sont pas autorisés à neutraliser la totalité des radiations qui subsistent, mais ils agissent dans les limites de la loi karmique en utilisant divers procédés d’implosion. Ils neutralisent les radiations que nous déversons dans l’atmosphère à partir de toutes les centrales et de toutes les explosions nucléaires sans exception. Nous ne cessons de fabriquer des bombes de plus en plus nombreuses et ingénieuses, qui sont à chaque fois plus meurtrières que les précédentes. Toutes ces expériences laissent dans notre atmosphère des nuages de radiations nucléaires à propos desquelles nous ne savons rien. Comme nous ne savons pas les mesurer, nous en nions l’existence. » (B. Creme) 

 

Les habitants des autres planètes passent leur temps à nettoyer l’énergie nucléaire « et, dans le même temps, à créer sur le plan physique dense une réplique du champ magnétique de notre Terre ». Ce dernier est constitué de lignes de force qui s’entrecroisent, formant ainsi, aux points de croisement, des vortex.

 

« Les Frères de l’espace ont fait sur le plan physique dense des répliques de ces vortex, qui feront partie d’une nouvelle grille électrique que Maitreya appelle la science de la lumière. Cette grille électrique, mise en relation avec l’énergie électrique provenant directement du Soleil, nous donnera la nouvelle science de la lumière telle qu’elle a été prédite par Maitreya. Elle donnera à cette planète, comme elle l’a fait pour d’autres, une électricité sans danger dans toutes ses utilisations, en quantité illimitée, selon des procédures qui empêcheront qu’elle soit accaparée et achetée par qui que ce soit. » (B. Creme) (24)

 

Benjamin Creme a noté que l’air, les terres, les rivières, les mers et les océans sont pollués. 

 

« Les vaisseaux spatiaux plongent dans les profondeurs de l’océan et neutralisent la pollution dans la mesure où ils en ont le droit. Nous avons stocké des déchets nucléaires dans l’Atlantique et le Pacifique, et les Frères de l’espace font de leur mieux pour annuler les effets de ces terribles sources de déchets toxiques. Ils ont donc beaucoup à faire. Ce processus est en cours. Ils ont des procédés capables de neutraliser les pires aspects de la pollution, plus spécialement celle qui provient des radiations nucléaires de haut niveau. Mais ils sont limités par la loi du karma dans l’étendue de l’aide qu’ils ont le droit de nous accorder. » (B. Creme) (25)

 

Les Frères de l’espace ne peuvent pas, en raison de la loi karmique, neutraliser la totalité des radiations nucléaires et des autres types de pollution. Dans le domaine nucléaire (dans le sol, l’atmosphère et l’eau), le pourcentage autorisé de neutralisation de la pollution est d’environ 25 %, alors qu’il est d’environ 40 % dans les autres types de pollution. (26)

 

Selon Benjamin Creme (Partage international de mai 2013), 60 % des radiations émises lors de (et depuis) l’accident nucléaire de Fukushima ont été neutralisés par les Frères de l’espace. (27)

 

 

 

6. A propos de George Adamski et de Giorgio Dibitonto :

 

L’Américain George Adamski (décédé en 1965) est, avec Howard Menger, le contacté le plus célèbre des années 1950. Comme il a prétendu avoir eu des contacts avec des êtres originaires notamment de Vénus, ses récits sont considérés, par tous les ufologues qui se veulent « sérieux », comme étant de pures affabulations, ses photos étant en outre réputées être truquées. Il y a, en réalité, plusieurs possibilités permettant de rendre crédibles ce type de récits, possibilités que je développe dans d’autres écrits, depuis l’existence d’êtres résidant sur d’autres niveaux fréquentiels que le niveau physique dense des planètes dont on sait qu’elles n’abritent pas la vie sur le plan physique, jusqu’à l’existence de survivants, dans le monde intérieur creux de Mars et Vénus, d’une civilisation qui aurait existé il y a fort longtemps sur ces planètes lorsqu’elles auraient été habitables à cause de paramètres atmosphériques, etc., différents, sans oublier la possibilité de l’existence, dans le sous-sol vénusien par exemple, de colons initialement originaires d’une ou plusieurs planètes extrasolaires.

 

Benjamin Creme, quant à lui, a écrit que dans A l’intérieur des vaisseaux de l’espace (1955), George Adamski a décrit son séjour dans un vaisseau-mère « piloté par des Maîtres venus de Vénus », séjour au cours duquel il a rencontré des êtres auxquels ont été donnés les noms de Firkon (un Martien), Ramu (un Saturnien), Orthon (un Vénusien), Kalna (une Vénusienne), Ilmuth et Zuhl, ces noms n’étant cependant pas les vrais noms des êtres concernés. Benjamin Creme, qui a authentifié les contacts de George Adamski, a déclaré que la « seule chose qu’il n’a pas dite (il n’en était d’ailleurs probablement pas conscient), c’est qu’il a vécu la totalité de cette expérience hors du corps ». On se posera évidemment la question : comment George Adamski, qui a présenté ses contacts comme étant de nature physique, aurait-il pu vivre ceux-ci en état de décorporation sans s’en rendre compte ? Dans la préface de la version anglaise du livre du contacté italien Giorgio Dibitonto, Wendelle C. Stevens, qui y évoque l’entretien qu’il a eu en mai 1990 avec Benjamin Creme, signale que ce dernier a affirmé la réalité des contacts de George Adamski, certains d’entre eux ayant eu lieu dans la réalité physique dense. Le même questionnement se pose à propos de Giorgio Dibitonto, lequel dit avoir rencontré, en 1980, les mêmes êtres de l’espace que George Adamski. L’Italien a affirmé qu’il a été emmené à bord d’un vaisseau spatial par son contact, Raphaël, lequel lui présenta Orthon et Firkon, ainsi qu’un prénommé George, ce dernier ayant, selon Raphaël, vécu sur Terre pour « remplir une mission qu’il s’était fixée ». Giorgio Dibitonto a aussi rencontré, lors de ces contacts, Kalna, Ilmuth et Zuhl. Aux questions posées, Benjamin Creme a répondu que les expériences de Giorgio Dibitonto étaient réelles, « mais hors du corps », que « George » était bien George Adamski, et que le contacté a bien rencontré, outre ce dernier, Orthon et Firkon.  

 

En décembre 1957, George Adamski a reçu une lettre d’un certain R. E. Straith, membre du Comité d’échange culturel du Département d’Etat. La lettre disait en gros que le Département d’Etat savait que les affirmations de George Adamski étaient vraies et que le comité encourageait son travail. Alors que George Adamski semble avoir admis que la lettre était authentique, de nombreux ufologues ont soutenu après sa mort que cette lettre était un faux, fabriqué par Gray Barker (1925-1984), ce dernier étant connu pour sa publication de revues populaires sur les OVNIs et autres phénomènes. Cependant, dans son Book of Adamski (1967), ouvrage écrit en hommage à George Adamski, Gray Barker clame son innocence. A la question posée, Benjamin Creme a répondu que la lettre était un faux.

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que George Adamski était un initié de deuxième degré.

 

Dans son ouvrage The pawn of his Creator (1995), Henry Dohan écrit que George Adamski fut préparé, sous la direction d’un initié, à sa future mission de témoin de l’existence de civilisations extraterrestres. Lorsque le père de George Adamski est mort, alors que ce dernier était enfant, le futur contacté fut pris en charge par un ami de la famille que George Adamski appelait Oncle Sid (un homme de grande taille au visage basané), lequel l’envoya encore adolescent au Tibet pour y recevoir l’enseignement des Maîtres. On lui aurait enseigné notamment l’art de la méditation, ainsi que les éléments fondamentaux de la spiritualité orientale. En 1936, dix ans avant sa première observation d’OVNI, George Adamski publia son premier livre : Maîtres de Sagesse de l’Extrême-Orient. Aux questions posées, Benjamin Creme a répondu que l’oncle Sid était à la fois un « Frère de l’espace » et un « initié », et que George Adamski a bien étudié plusieurs années au Tibet avec les Maîtres.   

 

Benjamin Creme précise que le texte du Prélude – et/ou d’autres parties du dernier livre de George Adamski, Cosmic Philosophy (1961) – a été inspiré par le Maître vénusien dont George Adamski a retranscrit les enseignements dans : A l’intérieur des vaisseaux de l’espace.  

 

L’âme du contacté était en fait d’origine vénusienne. Dans son avant-propos à l’édition anglaise du livre de Giorgio Dibitonto, Angels in starships, l’ancien pilote de chasse américain et éditeur Wendelle C. Stevens écrit que Benjamin Creme lui a dit, lors d’une rencontre en 1990, que George Adamski était en fait un Vénusien qui s’était incarné sur Terre avec un objectif très précis. (28)

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a précisé que dans son livre : A l’intérieur des vaisseaux de l’espace, George Adamski rapporte que, alors qu’il se trouvait sur le vaisseau-mère vénusien et qu’il avait machinalement sorti son paquet de cigarettes, on lui avait dit qu’il pouvait fumer.

 

« Comme vous avez déclaré que nous ne pouvons monter à bord d’un vaisseau extraterrestre que dans notre corps éthérique, s’ensuit-il dans ce cas que nous conservons la contrepartie éthérique de nos vêtements, mais que nous emportons aussi avec nous la contrepartie éthérique de tous les objets que nous avons sur nous ? »

 

Réponse de Benjamin Creme : Oui. (29)

 

Dans son livre Flying saucers farewell (1961), George Adamski raconte ce qui est arrivé, à lui et à ses compagnons, lors d’un séjour à Rome le 12 juin 1959, à la fin de sa tournée de conférences en Europe. Après le dîner et avant de rentrer à l’hôtel, ils allèrent faire un tour à pied. Lorsqu’ils regagnèrent une grande artère pour prendre un taxi, ils n’en trouvèrent pas car il était plus de minuit. Suivant son intuition, George Adamski, qui ne connaissait pourtant pas Rome, entraîna ses compagnons dans une certaine direction où, « soudain, sortant de nulle part, un taxi arriva ». Cependant, au lieu d’emmener le groupe directement à l’hôtel, le chauffeur lui fit faire une agréable visite touristique de Rome qui dura presque jusqu’à l’aube. Le chauffeur refusa tout supplément d’être payé pour cette course imprévue, déclarant : « Je suis heureux de faire cela pour l’Américain » (G. Adamski).   

 

A la question : Qui était ce chauffeur de taxi ?, Benjamin Creme a répondu que c’était un Frère de l’espace. (30)

 

Le 7 juin 1965, un Anglais nommé Ernest Arthur Bryant, qui n’avait, avant, jamais manifesté d’intérêt pour les OVNIs, en a vu un au sol près de Scoriton, dans le Devon. Le 24 avril de la même année, il a rencontré, dit-il, trois êtres de l’espace qui lui auraient fait visiter leur engin. L’un de ces êtres s’était présenté sous le nom de Yamski, à ce qu’il avait cru comprendre, tout en parlant d’un « Des » ou d’un « Les ». A la question posée, Benjamin Creme a répondu qu’il s’agissait bien de George Adamski, lequel était mort la veille. (31)

 

A la question : y a-t-il, outre ceux de George Adamski, beaucoup d’enseignements qui viennent des Frères de l’espace ?, Benjamin Creme a répondu : 

 

« C’est comme tout ce qui touche à la pensée du nouvel âge. On est dans un champ de mines et il faut avancer avec beaucoup de précautions. Il y a des enseignements authentiques tels que ceux d’Adamski, mais il y a aussi une quantité considérable de mirages et d’illusions. » (32)   

 

On voit que pour l’auteur britannique, la référence incontournable en la matière est George Adamski (décédé en 1965). Mais il y a sûrement, dans tout ce qui aurait été catalogué par Benjamin Creme comme relevant des « mirages et illusions », beaucoup de sources authentiques.   

 

Alain Moreau

 

 

 

Références

 

1. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 18 ; n° 257-258, janvier-février 2010, p. 20.

 

2. Partage international, n° 269-270, janvier/février 2011, p. 34.

 

3. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 17-19, 12-13.

 

4. Ibid., p. 15.

 

5. Partage international, n° 260, avril 2010, p. 21.

 

6. Partage international, n° 242, octobre 2008, p. 12-13, 16-17.

 

7. Benjamin Creme, Le grand retour, Association Share France, 2002, p. 134-137 ; Benjamin Creme, La mission de Maitreya, tome 2, Association Partage, 1995, p. 231 ; La mission de Maitreya, tome 3, Association Share France, 1998, p. 335, 337-340.

 

8. Partage international, n° 242, octobre 2008, p. 14-15, 26-27 ; Benjamin Creme, Le grand retour, op. cit., p. 131, 136 ; B. Creme, La mission de Maitreya, tome 2, op. cit., p. 226-230, 233 ; La mission de Maitreya, tome 3, op. cit., p. 334-335, 338.

 

9. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 19.

 

10. Ibid., p. 17.

 

11.  Partage international, n° 268, décembre 2010, p. 27.

 

12. Partage international, n° 287-288, juillet/août 2012, p. 35.

 

13. Partage international, n° 289, septembre 2012, p. 26.

 

14. Partage international, n° 303, novembre 2013, p. 23.

 

15. Benjamin Creme, Le grand retour, op. cit., p. 132-133 ; B. Creme, La mission de Maitreya, tome 2, op. cit., p. 231-232 ; La mission de Maitreya, tome 3, op. cit., p. 336.

 

16. Partage international, n° 256, décembre 2009, p. 30-31.

 

17. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 19-20.

 

18. Ibid., p. 16.

 

19. Partage international, n° 257-258, janvier-février 2010, p. 21.

 

20. Benjamin Creme, La mission de Maitreya, tome 2, op. cit., p. 232.

 

21. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 21.

 

22. Benjamin Creme, La mission de Maitreya, tome 3, op. cit., p. 339.

 

23. Partage international, n° 299-300, juillet-août 2013, p. 35.

 

24. Partage international, n° 257-258, janvier-février 2010, p. 19-22 ; n° 259, mars 2010, p. 15.

 

25. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 12.

 

26. Partage international, n° 279, novembre 2011, p. 23.

 

27. Partage international, n° 297, mai 2013, p. 22.

 

28. Partage international, n° 242, octobre 2008, p. 8-10, 27.

 

29. Partage international, n° 280, décembre 2011, p. 27.

 

30. Partage international, n° 289, septembre 2012, p. 27.

 

31. Partage international, n° 242, octobre 2008, p. 8-9.

 

32. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 12.


 

Les OVNIs et les visiteurs de l’espace selon Benjamin Creme. Partie II

 

1. Roswell :

 

Selon Benjamin Creme, les occupants du vaisseau spatial de Roswell venaient de Mars. Il prétend que le crash ne fut pas un accident, « mais un acte délibéré de sacrifice de la part de chacun des individus présents à bord ».

 

« Normalement, ces véhicules spatiaux ne peuvent s’écraser car ils sont composés de matière éthérique, ne pèsent rien et sont indestructibles. Les occupants ont délibérément abaissé leur taux vibratoire et celui du vaisseau jusqu’au plan physique dense, et se sont écrasés afin de nous laisser examiner, comme preuve de leur existence, un véhicule spatial et cinq hommes de l’espace, ceci dans le but de nous permettre de nous rendre compte que, sans être identiques aux hommes de notre planète, ils leur ressemblent beaucoup. Les autorités américaines sont au courant de cela depuis des années, mais, bien sûr, les preuves, le vaisseau spatial et ses occupants, qui étaient en fait composés de matière éthérique, se sont rapidement désintégrés pour retourner au plan éthérique. Cependant, des autopsies ont été pratiquées sur les corps et ont été filmées, nous avons donc une preuve majeure de l’existence des ovnis. » (B. Creme) (1)

 

Un lecteur ou une lectrice de la revue Partage international a demandé si les scientifiques qui ont examiné les corps et le vaisseau spatial après l’accident de Roswell, en 1947, ont conservé des échantillons d’ADN et ont pu analyser et conserver les constituants chimiques des matériaux provenant du vaisseau spatial, ainsi que les vêtements portés par les Frères de l’espace. Benjamin Creme a répondu que ces scientifiques essayèrent d’analyser l’ADN, mais que les corps sont retournés très rapidement à l’état éthérique. Les vêtements, cependant, sont restés, et ils ont été examinés et conservés. (2)

 

Problème fondamental qui ne rend pas crédible cette histoire d’analyse de l’ADN : Benjamin Creme (et donc le Maître de la Hiérarchie Planétaire ?) ne savait pas qu’il n’était pas possible de procéder, en 1947, à des analyses ADN ! Si, en 1935, on parlait déjà d’acide désoxyribonucléique (le désoxyribose ayant été identifié en 1928), c’est en 1953 qu’a été établie la structure en double hélice de l’ADN. Mais les analyses ADN ont bien sûr été beaucoup plus tardives.

 

De plus, l’origine martienne des occupants du vaisseau spatial de Roswell me laisse plus que dubitatif. Pour moi, les occupants du vaisseau de Roswell venaient d’un autre système solaire, et en aucun cas de Mars. Si c’est bien le cas, une évidence s’impose : étant des êtres physiques comme nous, et non des êtres éthériques temporairement matérialisés, ils n’ont évidemment pas pu se désintégrer (revenir à leur état éthérique originel) ! 

 

Les vaisseaux spatiaux peuvent-ils être abattus par nos armes ? Les vaisseaux spatiaux ne s’écrasent-ils jamais ? A ces questions, voici ce que Benjamin Creme a répondu :

 

« Les vaisseaux spatiaux ne peuvent être abattus par nos armes, car chaque vaisseau est entouré d’un champ magnétique qui repousse toutes les armes ; il peut mettre les armes hors circuit. Les vaisseaux spatiaux sont impénétrables. Ils sont littéralement invulnérables ; cependant, à plusieurs reprises dans le passé, les Frères de l’espace se sont sacrifiés dans un crash simulé de leur vaisseau, comme dans l’incident de Roswell. Ceci montre l’amour extraordinaire qui se cache derrière leur travail pour l’humanité. Il s’agit réellement d’une mission spirituelle – qui peut aller jusqu’au sacrifice de soi effectué d’une manière que je ne pense pas que cette planète serait capable d’imiter. »

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a posé la question suivante :

 

« Vous avez déclaré que le crash d’ovni de Roswell en 1947 était ‘‘un sacrifice délibéré’’ de la part de l’équipage martien. Récemment, Boyd Bushman, chercheur retraité de Lockheed Martin, a déclaré qu’il savait qui pilotait l’avion de chasse à partir duquel l’ovni avait été abattu. L’ovni qui s’est écrasé à Roswell (Nouveau Mexique) a-t-il réellement été abattu ? »

 

Benjamin Creme a répondu : « Non, il s’est écrasé délibérément. » (3)

 

Selon Benjamin Creme, l’incident de Roswell a été délibérément provoqué par les Frères de l’espace dans le but d’attirer l’attention sur l’existence de la vie sur d’autres planètes. Benjamin Creme a précisé que la totalité des corps est depuis longtemps tombée en poussière – squelettes compris. (4)

 

Voici la réponse de Benjamin Creme aux questions, publiées dans le numéro d’octobre 2016 de « Partage international », d’un lecteur ou d’une lectrice de la revue : Que s’est-il passé à Roswell, en 1947 ? Un ovni s’est-il écrasé ?

 

« Oui, ce fut l’une des occasions lors desquelles les occupants d’un ovni (en provenance de Mars) ont fait volontairement s’écraser leur vaisseau de sorte que les autorités étasuniennes puissent examiner les restes de l’appareil et les corps. Il a fallu que cela se fasse vite, car le véhicule et les cadavres étaient destinés à disparaître très rapidement. Il y avait cinq occupants à bord, dont quatre sont morts sur le coup et un survécut quelque temps. Tous furent l’objet d’un examen médical. Au bout d’un certain temps, les corps disparurent – se transformant dans une substance ressemblant à une sorte de gelée – car ils étaient constitués de matière éthérique. Les Martiens ont la possibilité de manifester leurs corps et leurs vaisseaux à des niveaux éthériques bien supérieurs, mais ils peuvent aussi se rendre visibles à nos yeux en réduisant leur taux vibratoire. Les autorités étasuniennes apprirent beaucoup de l’événement, et firent beaucoup de constatations avant que le véhicule ne finisse par disparaître ou par se désintégrer à son tour. » (5)

 

Le commentaire suivant de Benjamin Creme a été publié dans le numéro de novembre 2016 de Partage international :

 

« Les vaisseaux spatiaux ne peuvent pas être abattus par les armements humains parce que chaque vaisseau est entouré d’un champ magnétique impénétrable qui le protège en détournant les missiles. Ils sont littéralement invulnérables. Néanmoins, en diverses occasions, des voyageurs de l’espace se sont sacrifiés en faisant s’écraser leurs appareils pour simuler un accident. Cela donne la mesure de l’amour extraordinaire qui sous-tend leur mission auprès de nous. Il s’agit vraiment d’une mission spirituelle allant jusqu’au sacrifice de soi, et cela à un niveau tout à fait hors de notre portée. » (6)

 

 

 

2. Les OVNIs triangulaires :

 

Un lecteur ou une lectrice de la revue Partage international a posé ces deux questions à Benjamin Creme :

 

« Un nombre grandissant de témoins oculaires et de spécialistes commencent à croire que les grands ovnis triangulaires silencieux observés dans le monde entier sont des avions expérimentaux top secret lancés par un gouvernement ou un autre, généralement les Etats-Unis. [1] Est-ce le cas ? [2] Est-ce qu’un gouvernement lance actuellement des avions utilisant une propulsion fournie par les Frères de l’espace, ou provenant d’une ingénierie inversée à partir de vaisseaux spatiaux récupérés ? »

 

A ces deux questions, la réponse de Benjamin Creme est :  Non. (7) La réalité est cependant, semble-t-il, un peu plus complexe si je me base sur d’autres sources. Beaucoup de vaisseaux triangulaires sont d’origine extraterrestre (et ils seraient aux mains des Gris), mais il existe aussi, semble-t-il, des engins triangulaires issus d’une rétroingénierie ou d’un « alliance » avec une espèce extraterrestre ; ces derniers auraient été à l’origine de la « vague belge » de la fin des années 1989 et du début des années 1990…  Je consacre sur ce site un texte aux vaisseaux triangulaires. (Même rubrique : « Présence extraterrestre ».)

 

 

 

3. Des bases extraterrestres :

 

Selon Benjamin Creme, il y a, sur la Terre, environ 400 000 bases actives d’OVNIs ! (8) Cela me semble beaucoup exagéré !

 

Est-il exact que certaines montagnes et certaines chaînes de montagnes sont des bases pour les Frères de l’espace ? A cette question, Benjamin Creme a répondu : Oui. (9)

 

 

 

* Une base dans la région frontalière Chine/Inde :

 

Dans le n° 200, d’avril 2005, de la revue Partage international, on lit que Kongka La, un col dans l’Himalaya, est situé au Ladakh, dans la région frontalière que se disputent l’Inde et la Chine. C’est l’une des régions les moins fréquentées du monde et, d’un commun accord, la Chine et l’Inde s’abstiennent de surveiller cette partie de la frontière. Des habitants de la région, du côté chinois comme du côté indien, ont raconté qu’ils avaient vu des OVNIs sortir du sol dans cette zone. Selon ces témoignages, il existerait des bases souterraines d’OVNIs dans la région, et les gouvernements indien et chinois seraient au courant.

 

Des pèlerins hindous en route vers le Mont Kailash, arrivant par l’ouest, ont vu d’étranges lumières dans le ciel. Des guides locaux, sur le territoire chinois, ont dit à ces pèlerins qu’il s’agissait d’un phénomène normal dans la région du col de Kongka. Des vaisseaux éclairés, silencieux, de forme triangulaire, sortent du sol et s’élèvent dans l’air, presque à la verticale. Certains pèlerins voulurent visiter le site en question. Mais ils se virent refuser l’entrée du côté chinois, et, lorsqu’ils essayèrent d’approcher du site du côté indien, les gardes-frontières indiens les refoulèrent également, en dépit de leur permis de voyager entre les deux pays. Selon les pèlerins, les membres du personnel de sécurité leur déclarèrent qu’ils avaient l’ordre de n’autoriser personne à s’approcher de la zone en question, et qu’il était exact que d’étranges objets sortaient du sol avec de brillantes lumières clignotantes.

 

Selon la population locale, la présence d’extraterrestres sous terre est bien connue. D’après elle, ni le gouvernement indien ni le gouvernement chinois ne veulent révéler les faits ouvertement. Lorsqu’elle aborde le sujet devant des responsables du gouvernement, ceux-ci lui demandent de se taire.

 

Dans une école de la région, de jeunes enfants firent un concours de dessin. Plus de la moitié des dessins montraient d’étranges objets voguant dans le ciel ou sortant des montagnes. (Source : India Daily, Inde.)                 

 

Selon Benjamin Creme, la zone en question est depuis longtemps une base souterraine pour des OVNIs venant de Mars. (10)

 

L’origine alléguée, la planète Mars, pose un gros problème : on imagine mal des êtres de nature éthérique avoir des bases bien matérielles sur notre planète ! Certes, ces êtres peuvent, avec leurs vaisseaux, se densifier provisoirement dans notre environnement terrestre, mais de là à construire des bases et à y demeurer… On fera en outre le parallèle avec le récit du contacté Robert L., ce récit ayant été publié dans la revue « Lumières dans la nuit » (11) et dans le livre de Georges Metz : « OVNIs en France » (éditions Interkeltia, 2011). J’ai moi-même consacré, à ce cas extraordinaire, un article dans le numéro 35 (février-mars 2008) de « Top secret » (12), ainsi qu’une partie de mon long texte sur les contactés paru dans le numéro 4 hors-série (novembre-décembre 2013) de la revue « Aliens ». En outre, je développe ce cas dans deux chapitres de mon livre : « Contacts avec des visiteurs de l’espace » (JMG éditions, 2018), le tome 3 de Civilisations extraterrestres. C’est en 1969 que ce contacté (Robert Lortal) a fait un séjour dans une base extraterrestre localisée dans une grotte en Inde, près de la frontière avec la Chine… Les êtres rencontrés par Robert L. dans la base souterraine entre l’Inde et la Chine ont bien précisé qu’ils venaient d’une planète extérieure à notre système solaire. Il s’agissait d’êtres matériels comme nous, mais en aucun cas d’êtres de nature éthérique (et donc de Martiens) qui se seraient densifiés sur notre planète !    

 

 

 

* Une base dans les Andes :

 

Un touriste a pris une photo le 16 février 1989, entre 9 heures 30 et 10 heures 30, dans la vallée de Sagrado Urubamba, près de Cuzco (ancienne cité inca), au Pérou. On distingue, dans le ciel, une forme que ni les personnes présentes ni le photographe n’avaient vu. Cependant, elle est apparue sur deux clichés pris à deux niveaux ou endroits différents de la montagne. Le Maître de Benjamin Creme a identifié cet étrange objet comme étant un vaisseau spatial en matière éthérique, venant de Jupiter, « dont l’équipage projeta l’image sur le film ». Cet engin transportait quelque cinq cents personnes.

 

Il existe dans les Andes « une base très fréquentée par les Frères de l’espace qui nous rendent visite ». (13)

 

 

 

* Nerja (Espagne) :

 

 Voici la question posée par un lecteur ou une lectrice de Partage international :

 

« Il existe une rumeur selon laquelle sous les grottes de Nerja (Espagne), il y aurait une base d’ovnis ; y a-t-il quelque vérité dans cette assertion ? »

 

 La réponse de Benjamin Creme a été : Oui. (14)

 

 

 

* Une base en Argentine :

 

Des photos, provenant d’une vidéo tournée en 2006 dans la région d’Ongamira en Argentine (au nord-est de la capitale Buenos Aires), montrent des êtres de lumière sortant du sol par une sorte d’escalier ou « sortie de lumière ». Ces êtres et cette sortie n’étaient pas visibles pour les personnes présentes, mais ils apparaissent bien sur le film. Benjamin Creme a confirmé qu’il s’agissait de Frères de l’espace (dans leur corps éthérique) sortant d’une structure souterraine en matière physique dense. Ongamira se trouve dans la province de Cordoba en Argentine, où, selon Benjamin Creme (Partage international, avril 2000), des résidents locaux ont des contacts réguliers avec les Frères de l’espace basés dans cette région. (La photo correspondante est de Monica Coll ; source :  analuisacid.com) (15)

 

 

 

4. Des visiteurs de l’espace vivent parmi nous :

 

Selon les « informations » reçues par Benjamin Creme, il y aurait sur Terre 2000 Frères de l’espace, ceux-ci étant répartis dans le monde entier et dans de très nombreux pays.

 

« Certains séjournent sur notre planète à titre temporaire : quelques heures, quelques jours, une semaine ou deux. D’autres s’y établissent pour un laps de temps beaucoup plus long et sous des formes différentes. Certains viennent sous la forme d’adultes. D’autres s’incarnent dans une famille ; ils y naissent et y grandissent. » (B. Creme)

 

Selon Benjamin Creme, le contacté George Adamski était en fait d’origine vénusienne. C’est à l’âge adulte que le contacté « prit conscience qu’il n’était pas un homme ordinaire ». Benjamin Creme évoque à ce propos un livre de Desmond Leslie, intitulé « The Amazing Mr Lutterworth« , cet ouvrage concernant en fait George Adamski. Dans le récit, Lutterworth est un Vénusien dans un corps de Terrien… Il s’agit d’un ouvrage de fiction, mais basé sur ce que George Adamski a relaté à Desmond Leslie de son expérience personnelle.

 

Desmond Leslie, qui connaissait très bien George Adamski, a révélé « qu’à la place du nombril, Adamski avait une étoile d’un peu plus d’un centimètre de profondeur, un cercle en réalité d’où émanaient de vives lumières comme celles émises par une étoile ». Celle-ci, bien sûr, ne pouvait se voir que quand le contacté soulevait sa chemise, mais il accepta de la montrer à Desmond Leslie.

 

Des êtres venant d’autres planètes s’incarnent sur notre planète car, en se dotant d’un corps physique de Terrien, ils peuvent, pendant un laps de temps donné, oeuvrer plus efficacement qu’ils ne le feraient « s’ils se contentaient d’abaisser momentanément la vibration de leur propre corps ». Ils ne créent pas de « mayavirupa » pour se manifester sur Terre. 

 

« Ils prennent un corps sur cette planète et naissent comme on naît ordinairement sur Terre. C’est ainsi que cela se passe lorsque leur séjour doit se prolonger. S’ils viennent pour très peu de temps, ils abaissent le taux vibratoire de leur corps jusqu’à ce qu’ils vibrent plus ou moins au même taux que nous. Ils revêtent l’apparence d’êtres ordinaires. Mais cela, c’est lorsque leur séjour est temporaire. S’ils viennent pour longtemps, ils s’incarnent dans le monde et travaillent sans faire de bruit. C’est ainsi que travailla Adamski, par exemple. » (B. Creme)

 

Selon Benjamin Creme, il y a certainement des Frères de l’espace qui travaillent aux Nations Unies, ainsi que dans certains gouvernements. Ils n’occupent pas des positions de pouvoir, « mais jouent généralement le rôle de conseillers au sein du corps diplomatique de différents pays, par exemple ». (16)

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a noté que, selon le docteur Frank E. Stranges – l’auteur d’un livre intitulé « The stranger at the Pentagon » (« L’étranger du Pentagone ») -, entre 1957 et 1960, « un Vénusien, Val Thor, et d’autres, Jill et Donn, et même un total de 77 individus à une certaine période », ont opéré sur la Terre dans divers secteurs du gouvernement américain. Selon Benjamin Creme, il n’est pas du tout inhabituel que certains Vénusiens, Martiens, ou d’autres membres de notre système solaire, soient présents ici, sur Terre, et aient de temps à autre des échanges avec des représentants de certains gouvernements. (17) Je note pour ma part que j’ai mis deux photos montrant Val Thor, Jill et Donn, dans mon livre : « Contacts avec des visiteurs de l’espace » (JMG éditions, 2018). En outre, la contactée et Starseed Elena Danaan dit avoir rencontré Val Thor et Jylian (son épouse) dans le sous-sol de Vénus (des colons d’un autre système solaire, devenus Vénusiens, vivant dans des colonies souterraines de Vénus). Voir : « We Will Never Let You Down », Amazon, 2021. Mais il ne s’agit pas d’êtres éthériques momentanément densifiés, mais d’êtres en 3D comme nous, ce qui est beaucoup plus rationnel et logique que les assertions de Benjamin Creme !  

 

 

 

5. Michael Wolf :

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a fait le commentaire suivant : 

 

« Dans une interview avec le chercheur Neil Gould, l’ingénieur en électronique et agent secret français Philippe de la Messuzière explique que feu le docteur Michael Wolf, son ami et ancien associé pendant cinq ans, rencontra chaque jour dans son travail des extraterrestres avec lesquels il partageait le même logement. En une occasion, alors que P. de la Messuzière et M. Wolf étaient ensemble dans une pièce, ils furent rejoints pendant quelques minutes par deux extraterrestres dont l’un s’appelait Kolta. D’après M. Wolf, ils travaillaient sur le même projet que lui. Avant sa mort en septembre 2000, M. Wolf décrivit aussi ses expérience et la philosophie des êtres de l’espace dans son livre ‘‘The catchers of  heaven’’ ( »Les attrapeurs du ciel », 1996), que ses employeurs du Conseil national de sécurité ne lui permirent de publier qu’à condition qu’il le fasse passer pour une œuvre de fiction. S’agissait-il vraiment de l’expérience d’un scientifique recevant l’enseignement des Frères de l’espace, comme cela nous est révélé dans Les Lois de la Vie ? »

 

Benjamin Creme a répondu : Oui. (18) 

 

Le docteur Michael Wolf, né Wulf Kruvant (1941-2000), a été le directeur de la mission Alphacom Team et l’auteur de The catchers of heaven (1996), un livre qu’il a, disait-il, transformé partiellement en ouvrage de fiction afin d’être autorisé à le publier. Michael Wolf a laissé entendre que son équipe avait cloné un être humain en utilisant des technologies extraterrestres. On aurait ordonné à l’individu cloné de tuer un chien, mais le clone aurait refusé parce qu’il aurait été imprégné de l’éthique de son créateur (Michael Wolf). Aux questions posées, Benjamin Creme a répondu que ce dernier n’a pas fait de clone imprégné d’une conscience humaine et que les Frères de l’espace ne créent pas et n’utilisent pas de clones pour collaborer avec des humains. Michael Wolf semble laisser entendre dans son livre que la Terre n’était pas sa planète d’origine. A la question posée, Benjamin Creme a répondu que l’âme de l’auteur n’était pas originaire d’une autre planète. Michael Wolf (dont le niveau d’évolution était, lit-on, de : 1,8) décrit dans son livre Kolta, l’un des extraterrestres avec lesquels il a dit avoir travaillé. Cet être était petit, avec une peau grise, une tête relativement importante et de grands yeux en amande. En une occasion, Michael Wolf trouva Kolta caché sous le lit, avec une blessure par balle. Comment est-il possible de blesser une manifestation physique éthérique avec un projectile de matière physique dense ? A cette question, Benjamin Creme a répondu que c’était une blessure accidentelle. (19) Bien sûr, nous retombons ici sur le mythe de l’origine uniquement éthérique des visiteurs de l’espace. Si l’être s’est blessé, c’est tout simplement parce qu’il était de nature physique comme nous (et qu’il était originaire d’un autre système solaire, et non du nôtre) ! (A noter que la description de Kolta correspond parfaitement à celle d’un « petit Gris »…)   

 

 

 

6. Un Martien filmé au Brésil ?

 

Dans une vidéo prise par deux touristes britanniques anonymes montrant des enfants locaux dans la forêt tropicale brésilienne, il semblerait qu’un extraterrestre au dos courbé apparaisse en arrière-fond. Cette histoire fut rapportée sur un site américain d’informations le 22 octobre 2011. (Source : huffingtonpost.com)

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué qu’il s’agissait d’un extraterrestre de la planète Mars. (20) Notons que les Martiens évoqués par Benjamin Creme n’ont manifestement rien à voir avec les Martiens décrits par d’autres sources ! Ceux décrits par Elena Danaan (voir les illustrations dans « We Will Never Let You Down ») « détonnent » (ressemblance à de grands insectes, d’autres ressemblant à des êtres de type « reptilien »), d’autant plus qu’ils sont bien physiques et non éthériques… En outre, autre information contradictoire : j’ai noté deux sources indépendantes, qui se corroborent, faisant état, dans le passé de la planète Mars, d’êtres de petite taille appartenant à « la monade mongole » (donc de type asiatique)… Voyez à ce sujet mes livres : « Rencontres extraterrestres et êtres hautement évolués » (JMG éditions, 2018) – à propos du contacté Stephen Ritchen –  et « Porteurs de Vie et Elohim » (JMG éditions, 2019), à propos du contacté Michel Desmarquet (qui dit avoir été invité sur une exoplanète pendant 9 jours terrestres en 1987). Firkon, le Martien rencontré par George Adamski et Giorgio Dibitonto, fait clairement partie des humains galactiques (par opposition aux galactiques non humains, comme les Gris et les Reptiliens, par exemple) et nous ressemble donc, ce qui ne cadre pas avec les autres sources. La description de Martiens par le visionneur à distance Courtney Brown et celle d’un contacté évoqué par Elisabeth de Caligny dans son livre « Rencontres avec des humains d’outre-espace » (les Martiens de son récit étant, dans ce cas, plutôt de type « amérindien ») ne cadrent pas non plus avec les autres sources.  

 

 

 

7. Un OSNI dans la mer Baltique et des « sphères » tombées du ciel :

 

En juin 2011, des plongeurs suédois ont découvert un mystérieux objet reposant au fond de la mer Baltique, entre la Suède et la Finlande.

 

« L’objet est circulaire ou en forme de croissant avec une longue queue, et a la taille d’un Jumbo Jet. Un sonar avait détecté un cylindre massif de 60 m de diamètre, doté d’une queue de 400 m de long, reposant à environ 300 pieds sous la surface de la Baltique. Cet OSNI (objet sous-marin non identifié) ressemble étonnamment au vaisseau spatial ‘‘Falcon Millennium’’ du film ‘‘Star Wars’’ – épisode IV – et semble fabriqué par la main de l’Homme. Tout près, se trouve un autre objet plus petit en forme de disque, également avec une queue d’environ 400 mètres. Le 8 juin 2012, les plongeurs sont retournés sur le site de cette découverte excitante, utilisant des caméras télécommandées dans le but de déterminer l’identité exacte de l’objet. » (Sources : Huffingtonpost ; dailymail.co.uk)

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que les deux objets sont des répliques délibérément laissées là par les Frères de l’espace. Le vaisseau est une réplique d’un vaisseau spatial martien. Le disque métallique plus petit trouvé près du vaisseau est une sorte de détecteur, ce disque étant également martien.

 

Des sphères métalliques non identifiées sont tombées du ciel, une en Namibie en 2011, une autre au nord du Brésil en février 2012. Ces deux objets pèsent entre 30 et 50 kilos, mesurent environ un mètre de diamètre, et présentent une protubérance de chaque côté. Dans les deux cas, la police militaire a confisqué la sphère. (Sources : The Namibian ; theblaze.com ; rt.com)          

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que les deux sphères proviennent de Mars et qu’elles ont été délibérément lâchées afin de tomber sur la Terre, dans le cadre d’une série de signes faisant partie d’un programme des Frères de l’espace visant à alerter l’humanité de leur existence et de donner des indices concrets de leur technologie. Ces sphères sont des répliques des vaisseaux-laboratoires rassemblant des informations sur les niveaux de radiation, de pollution, etc. (21) On aura noté : encore et toujours Mars !

 

 

 

8. Des vestiges lunaires :

 

Benjamin Creme a déclaré que, selon la Hiérarchie, il existe sur la Lune « des restes d’habitation physique, des petits animaux, comme par exemple des lapins ».

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a précisé que Richard C. Hoagland (un écrivain et ancien consultant de la NASA) a affirmé que des photographies orbitales et de surface de la Lune révélaient l’existence d’anciennes structures artificielles et même de dômes de verre encore debout. Ce lecteur ayant posé la question : est-il possible que des ruines de structures physiques existent encore sur la Lune ?, Benjamin Creme a répondu : Oui. (22)

 

 

 

9. Vulcain et Sirius :

 

Benjamin Creme a précisé que la planète Vulcain est constituée de matière éthérique du plus haut niveau, que c’est la planète la plus évoluée de notre système solaire, qu’elle est le siège du Parlement interplanétaire et que le représentant de Vulcain à cette assemblée est le plus éminent. (23) Si l’on en croit donc cette « info », Vulcain, une planète très proche du Soleil (plus proche encore que Mercure), qui avait été évoquée par certains dès le 19ème siècle mais dont l’existence n’a pas été validée par les astronomes, serait en fait une planète… éthérique (donc non visible par les télescopes) !

 

En outre, selon Benjamin Creme, les Maîtres qui vont sur Sirius vivent sur l’une des planètes de l’étoile. (24) Précisons quand même qu’il y a Sirius A et Sirius B, et aussi, selon certaines sources « extraordinaires », Sirius C.

 

 

 

10. Géoglyphes au Moyen-Orient :

 

De gigantesques structures circulaires faites de pierres ont été découvertes à travers tout le Moyen-Orient, de la Syrie à l’Arabie Saoudite, ces découvertes se faisant de plus en plus nombreuses grâce aux technologies de cartographie par satellite et aux photographies aériennes.

 

Ces structures se comptent par milliers et semblent antérieures à l’ère chrétienne. On les trouve le plus souvent sur des champs de lave, leur diamètre variant de 25 à 70 mètres.

 

David Kennedy, professeur d’histoire antique et classique à l’Université d’Australie occidentale, avait lu, alors qu’il était étudiant, des rapports de pilotes de la Royal Air Force qui auraient survolé ces structures dans les années 1920, à bord d’avions postaux sillonnant la Jordanie. En 1927, un pilote avait publié une description de ces ruines dans la revue L’Antiquité. Selon lui, elles se situeraient sur des « terrains volcaniques » et les Bédouins les appelaient les « œuvres des ancêtres ».

 

Certaines structures sont rectangulaires, d’autres circulaires. Ces dernières contiennent deux rayons formant une barre souvent alignée avec le Soleil levant et le Soleil couchant. D’autres structures présentent de nombreux rayons, lesquels ne seraient en phase avec aucun phénomène astronomique. David Kennedy explique que les rayons ne semblent pas avoir été disposés selon un schéma particulier. Il n’existe aucune certitude sur l’usage ou la signification de ces structures. (Source : livescience.com)

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que ces formes sont des représentations de vaisseaux spatiaux, datant de 2000 ans.  (25)

 

 

 

11. Des OVNIs au dix-septième siècle :

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a écrit que les premières observations d’objets volants non identifiés en Amérique du Nord ont été faites aux alentours du 18 janvier 1644. John Winthrop, le gouverneur de la Colonie de la baie du Massachusetts, a rapporté l’événement dans son journal personnel. A la question posée : S’agissait-il de vaisseaux spatiaux ?, Benjamin Creme a répondu positivement. (26)

 

Une photo publiée dans le numéro de juin 2012 de Partage international montre une pièce de monnaie française datant de 1680. Sur l’une des faces de cette dernière, il semble y avoir l’image d’un OVNI et l’inscription latine opportunus adest. Cette pièce avait cours en France à cette époque. Aux questions posées, le Maître de Benjamin Creme a répondu que la pièce a été frappée par le roi Louis XIV afin de commémorer l’événement : des milliers de personnes avaient observé cet objet dans le ciel. Il s’agissait d’un vaisseau spatial martien. Le roi, qui était conscient de l’existence des Frères de l’espace, avait l’intention de laisser une trace historique de cet événement. (27)

 

 

 

12. Gliese 581g, anneau de lumière, Dossier Amitié, etc. :

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a précisé qu’il ou elle avait vu sur Internet un reportage selon lequel un scientifique australien avait capté, depuis deux ans, des signaux émanant de Gliese 581g (une planète ressemblant à la Terre), et que ce chercheur avait présumé que ces signaux étaient sans doute envoyés par une vie intelligente sur la planète. Existe-t-il des êtres intelligents sur la planète Gliese 581g et, si oui, envoient-ils des signaux pour nous dire « bonjour » ? A ces deux questions, Benjamin Creme a répondu : Oui. (28)

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a précisé qu’en 1964, George Adamski a écrit que les Frères de l’espace « aideraient par tous les moyens à leur disposition », même s’il devait y avoir un déplacement des pôles de la Terre, et que dans ‘‘Le Grand Retour’’, Benjamin Creme a écrit que les Frères de l’espace « ont installé autour de la Terre un anneau de lumière qui la maintient sur son axe ». Aux trois questions posées à l’auteur britannique, ce dernier a répondu qu’il était courant dans l’évolution d’une planète qu’elle subisse un déplacement des pôles, que cela avait quelque chose à voir avec une initiation planétaire, et que l’anneau de lumière des Frères de l’espace a été mis en place en 1979. (29)

 

Benjamin Creme a précisé que « bon nombre des vaisseaux spatiaux les plus grands qui travaillent pour notre bien ont la forme de cigares », mais que certains « ont la forme d’une cloche, d’autres d’un poisson ou d’une soucoupe ». (30)

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international note que la NASA dispose de films pris par la sonde Curiosity sur Mars où apparaissent de nombreux objets ressemblant beaucoup à des vaisseaux spatiaux. A la question : Le rover Curiosity a-t-il réellement filmé des OVNIs ?, Benjamin Creme a répondu positivement. (31)

 

Benjamin Creme a noté que les vaisseaux spatiaux laissent souvent, dans le ciel, une traînée de condensation. D’ordinaire, ils ne produisent ni fumée, ni traînée, mais il leur arrive cependant de le faire. Toujours selon le même auteur, beaucoup des traînées chimiques et de condensation sont produites par les vaisseaux spatiaux qui dupliquent le maillage magnétique de la Terre en vue de l’arrivée de la technologie de la lumière. 

 

Dans sa conférence de juin 2010 à Tokyo, Benjamin Creme a parlé de l’existence, dans notre système solaire, d’un parlement interplanétaire. A la question posée, Benjamin Creme a répondu qu’il s’agit de l’assemblée à la réunion de laquelle George Adamski fut invité à participer en mars 1962. (32)

 

Un lecteur ou une lectrice de Partage international a entendu une histoire relative à une famille chilienne de radio amateurs, cette famille disant avoir communiqué avec des extraterrestres supposés vivre sur une île isolée du Pacifique Sud, appelée l’île de l’Amitié. Benjamin Creme précise que cette communauté d’extraterrestres a un lien avec ceux dont il est question dans le Dossier Amitié. Cette communauté existe sur le plan éthérique. (33)

 

Dans un article de Partage international, Gerard Aartsen note qu’à l’époque où George Adamski lançait, sur le conseil de ses contacts extraterrestres, le programme international Get Acquainted (GAP) afin de promouvoir les relations et l’amitié entre tous ceux qui s’intéressent au phénomène OVNIs autour du globe, les Frères de l’espace s’efforçaient d’en faire de même – de façon moins visible – dans de nombreux pays. En Italie, on a appris, écrit l’auteur, que de nombreux visiteurs de l’espace, ces derniers vivant et travaillant dans des bases souterraines, entretenaient des contacts réguliers avec des dizaines, sinon des centaines d’Italiens. Selon le documentaire Il Caso Amicizia (le Dossier Amitié), des contacts semblables existent dans d’autres pays européens, en Sibérie, en Amérique du Sud et en Australie.

 

Peu avant sa mort, le psychologue et théologien italien Bruno Sammaciccia (nommé par l’UNESCO, en 1982, homme de l’année) a décidé de lever le secret sur ses contacts avec des extraterrestres, ces contacts s’étant déroulés de 1956 à 1970. En avril 1956, lui et deux amis (un comptable et un ingénieur) étudiaient une carte d’Ascoli Piceno, à la recherche d’un trésor pouvant être caché dans un château. Tout à coup, un stylo s’envola de son étui et atterrit sur la carte. Ce stylo se mit à écrire sur une feuille de papier… Quelques jours après, les trois amis retournèrent au château où une voix leur a dit de garder leur calme car quelqu’un allait leur apparaître. C’est alors que les trois hommes purent voir deux visiteurs de l’espace, les deux parlant italien. L’un d’eux mesurait plus de 2 mètres 50, tandis que l’autre ne dépassait pas 1 mètre de haut. Cette histoire a été reprise par Stefano Breccia dans son livre : Contattismi di massa (Contacts à grande échelle), publié en Italie en 2006. En une occasion, Dimpietro, un extraterrestre de 3 mètres de haut, appelé par les trois amis le peuplier, se manifesta auprès de l’épouse de Bruno Sammaciccia. Quand elle entra à la maison, elle trouva Dimpietro assis par terre dans la cuisine de leur appartement à Milan, car il ne voulait pas l’effrayer par sa taille. Quand elle vit « le peuplier » dans sa cuisine, elle s’enferma dans sa chambre jusqu’au retour de son mari.

 

« Dimpietro était le commandant de la plus grande base extraterrestre en Italie centrale, des bases plus petites se trouvant sous le Lac de Côme près de Milan, et à Bologne, à Rome, à Pescara, à Pineto et ailleurs. » (G. Aartsen)

 

Lors de leur première rencontre, il fut dit aux amis que les visiteurs ne venaient pas en conquérants et qu’ils étaient sur Terre depuis des siècles, vivant dans des bases secrètes tout autour de la planète.

 

Si l’ingénieur Stefano Breccia s’intéressait à la technologie des êtres de l’espace, Bruno Sammaciccia était davantage intéressé par leur philosophie et leur éthique. Les Frères de l’espace s’efforçaient d’établir un climat d’amitié avec les trois amis.

 

« Ils leur demandaient de leur procurer de la nourriture, des fruits et même divers matériaux, qu’ils auraient certainement été capables d’obtenir par d’autres moyens moins conventionnels, si tant est qu’ils en aient eu réellement besoin. Si les amis se voyaient parfois remboursés leurs achats, ce sont eux le plus souvent qui en assumaient les frais. » (G. Aartsen)

 

Selon les visiteurs de l’espace, l’amour dans son sens le plus impersonnel, l’éthique, le respect et l’altruisme, sont essentiels pour assurer un progrès sûr et harmonieux sur le chemin de l’évolution, ce que l’humanité devra mettre en pratique si elle veut éviter le risque d’une autodestruction épouvantable. La tâche principale des visiteurs de l’espace est de s’assurer que l’humanité n’utilisera pas son arsenal nucléaire et de nous aider à progresser en nous amenant à un niveau plus élevé de compréhension de la vie…    

 

Gerard Aartsen note qu’en Italie diverses personnes ont eu des expériences avec des êtres de l’espace : des professeurs d’université, un journaliste de télévision, un peintre célèbre, et le consul italien Alberto Perego (lequel a vu son premier OVNI, en décembre 1953, sur la Basilique Saint Pierre de Rome).

 

Bruno Sammaciccia s’est référé aux gens de l’espace sous le nom de « W56 », 56 se référant à l’année où les contacts ont commencé, et le W étant un double V pour Victoire. Eux-mêmes s’appellent Akrij (prononcé Aukri). Le mot Akrij apparaît, sous une forme ou une autre, dans diverses langues : en sanscrit, il signifie : « des sages » ; en égyptien : « des déités » ; en grec : « des personnes haut placées » ; et en arabe, un mot semblable se traduit par « un groupe d’amis ».          

 

Bruno Sammaciccia a raconté comment les Frères de l’espace peuvent utiliser n’importe quel poste de radio à transistor pour transmettre leurs messages, dont beaucoup ont été enregistrés. L’un de ces messages, émanant du Frère appelé Sigir, a été diffusé dans le documentaire vidéo du Dossier Amitié.

 

Sur une photo, on voit Bruno Sammaciccia avec Gaspare de Lama et Dick le berger allemand, ce dernier (le chien de Bruno Sammaciccia) ayant servi, lit-on, d’« amplificateur » après que les Frères de l’espace aient posé des implants dans ses pattes.     

 

La relation des amis italiens s’étant détériorée au cours des années, le groupe s’est finalement séparé. Les dix-sept représentations du GAP à travers le monde ont cessé peu à peu leurs activités après la mort de George Adamski.  (34)

 

Je précise que Michel Zirger a consacré au Dossier Amitié (le cas Amicizia) un article dans le numéro 73, de juin-juillet 2014, de « Top secret » (pages 14-21). Il a aussi consacré à ce cas très intéressant deux chapitres de son très intéressant ouvrage paru en 2016 : « Visiteurs sans passeport. ‘Ils’ sont là ! » (éditions Le Temps Présent/JMG éditions).

 

On notera une chose importante : le néerlandais Gerard Aartsen, qui a ainsi évoqué le Dossier Amitié dans la revue Partage international, adhère bien sûr, en tant que « disciple » de l’ésotériste britannique, aux allégations de ce dernier concernant la prétendue origine éthérique, et de notre système solaire, de tous les visiteurs de l’espace, une double absurdité que je dénonce dans ce texte. Il ne lui vient pas à l’esprit (pas plus qu’à Creme) que les êtres impliqués dans le Dossier Amicizia sont aussi « physiques » que nous et qu’ils viennent évidemment d’autres systèmes solaires, et en aucun cas du nôtre ! Même chose pour le contacté néerlandais Stefan Denaerde (voir : « Ma rencontre avec les extraterrestres », chez Be Light Editions), qui spécifie bien, dans son récit, que les êtres rencontrés lui ont dit venir d’une planète extérieure à notre système solaire, et plus précisément à 10 années-lumière de la Terre. Eh bien, Gerard Aartsen (par ailleurs fort sympathique : il m’a envoyé deux de ses livres) écrit dans un livre qu’ils viennent de notre système solaire et qu’ils sont donc éthériques, alors même que le descriptif de la civilisation des Iargans (ils sont originaires de la planète Iarga) est complètement celle d’une civilisation physique et en aucun cas éthérique ! Cet auteur s’arcboute donc sur les allégations fausses de Benjamin Creme, en fidèle « disciple » qu’il est de ce dernier. C’est là le problème majeur que le chercheur de vérité que je suis rencontre systématiquement : les « adeptes » d’un auteur ou d’un enseignement se focalisent de façon excessive sur les allégations de celui-ci sans tenir compte des autres sources contradictoires sur des points spécifiques, car ils partent du principe stupide que celui auquel ils se réfèrent est forcément « le meilleur » et que tout ce qui est ainsi dit est « parole d’Evangile ». On connaissait et on connaît ce processus délétère chez les fanatiques des religions (et leurs textes « sacrés » qui datent de x siècles ou millénaires, leur esprit étant fossilisé sur ceux-ci), mais cela s’observe aussi, hélas, chez les tenants des sources « alternatives ».

 

 

 

13. Photo d’un dispositif technique de vaisseau spatial :

 

On trouve, dans la revue Partage international, la relation de témoignages, souvent accompagnés de photos (extraites de vidéos de YouTube, etc.), relatifs à l’observation, dans le monde entier, d’OVNIs. Les objets volants concernés sont systématiquement identifiés, par le Maître de Benjamin Creme, comme étant des vaisseaux martiens (le plus souvent) ou vénusiens (et rarement jupitériens). Ceci est évidemment à mettre en relation avec le fait que, selon cette source, tous les OVNIs viennent de notre système solaire, ce qui est faux. La liste étant beaucoup trop longue, je n’ai pas la place d’évoquer ici ces multiples observations mondiales. J’évoque néanmoins une photo très atypique (que l’on trouve dans le numéro de mars 2011 de Partage international) censée montrer le dispositif technique d’un vaisseau :  

 

La photo a été prise le 19 février 2010, vers 16 heures 30, aux environs de Bâle (Suisse). Alors qu’ils se trouvaient stationnés sur une aire de repos, le photographe et sa fille aperçurent dans le ciel une « masse brumeuse », comme un gros nuage sombre, qui descendait vers le sol tout en prenant une forme plus distincte. Ils prirent une photo de ce qui apparaît être un objet tubulaire vertical, d’une très grande hauteur. A l’extrémité inférieure de la colonne se trouvait, selon les témoins, une grosse bulle située juste au-dessus du sol. Au-dessus de la structure tubulaire, non visible dans le cadre de la photo, se trouvait un immense dôme d’environ 50 mètres d’épaisseur. L’observation ne dura que quelques secondes.

 

Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que cet objet en forme de dôme, avec la colonne, est un vaisseau martien. (On aurait été étonné du contraire !)

 

« On a montré aux témoins de ce phénomène une sorte de photographie aux rayons-x de la structure interne d’un vaste vaisseau. La colonne ressemblant à un tube vertical est une réplique d’un appareillage présent sur la plupart des ovnis, permettant à l’équipage d’inverser la gravité. Il occupe une place centrale, depuis le dôme au somment du vaisseau jusqu’à sa base. C’est le mécanisme qui permet d’inverser la gravité à l’aide d’un simple commutateur – lequel est actionné par la pensée. Dès que le commutateur est actionné, le véhicule se trouve libéré de l’attraction gravitationnelle et s’élève automatiquement. » (B. Creme)

 

Certains pays, comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Russie et l’Allemagne, sont, depuis de nombreuses années, à la recherche de cette technologie antigravitationnelle.

 

« Les Frères de l’espace la leur ont également montrée. A Bâle, les témoins ont en outre observé le retour graduel du vaisseau spatial à sa forme normale (invisible pour nous) de matière éthérique. » (B. Creme) (35)

 

La colonne centrale du vaisseau est identique à celle des vaisseaux spatiaux décrits par George Adamski. (36)

 

Dans le numéro de juillet-août 2011 de Partage international (page 35), un lecteur ou une lectrice évoque la photo qui montre une structure antigravitationnelle en forme de tube, la structure verticale de 100 mètres de haut étant contenue dans le vaisseau spatial. A la question posée, Benjamin Creme a répondu que ce type de structure est contenu à l’intérieur du vaisseau spatial.  

 

 

 

* CONCLUSION :

 

Comme je l’ai signalé, il existe, dans l’œuvre de Benjamin Creme, quelques affirmations inexactes relatives aux visiteurs de l’espace et aux OVNIs : aucun OVNI ne vient d’un autre système solaire que le nôtre – tous les visiteurs étant d’origine éthérique (car ils sont censés venir d’autres planètes de notre système solaire) -, les « abductions » relèvent toutes de l’« imagination astrale » (sic), et il n’y a pas de mutilations de bovins ayant une origine extraterrestre.

 

J’ai peine à croire qu’un Maître de la Hiérarchie Planétaire (censé fournir ce genre d’« informations ») puisse être ignare en matière de réalités extraterrestres au point d’affirmer des choses pareilles. Si tel est néanmoins le cas, alors il est urgent qu’il prenne, en la matière, des « cours de rattrapage » ! A moins que ces affirmations ne fassent que refléter les convictions personnelles de Benjamin Creme, lequel a été très influencé par la teneur des contacts de George Adamski, ceci expliquant peut-être cela : les Frères de l’espace que ce dernier a rencontrés étaient de nature bienveillante. Cependant, Adamski soutenait le caractère physique de ses contacts, et il ne parlait donc pas de visiteurs « éthériques ». 

 

Y a-t-il une preuve que tout ce qu’a dit l’auteur britannique n’est pas vrai ? Oui ! La voici :

 

Ainsi que je l’ai mentionné dans mon premier livre, « Communications interdimensionnelles » (JMG éditions, 2007), Benjamin Creme avait fait cette affirmation fantaisiste : Saddam Hussein est mort en 2003, le « Saddam Hussein » pris par l’armée américaine étant censé être, en fait, un cousin de celui-ci ! Plutôt que de reconnaître son erreur – l’annonce de la mort du dictateur irakien ayant été annoncée avant sa capture -, Benjamin Creme a persisté dans son allégation au moment de la capture de Saddam Hussein ! Précisons que c’est le Maître de la Hiérarchie Planétaire qui est censé lui avoir donné cette « info » (bidon) !

 

(Partage International, n° 177, mai 2003, p. 25 ; n° 185-186, janvier/février 2004, p. 13-14 ; n° 193, septembre 2004, p. 25 ; n° 220, décembre 2006, p. 30 ; n° 221-222, janvier/février 2007, p. 34.)                        

 

Si le personnage capturé n’avait pas été Saddam Hussein, alors nous aurions indiscutablement eu affaire à un jumeau monozygote de celui-ci, et en aucun cas à un cousin. Lors de sa capture, en effet, le dictateur irakien était parfaitement reconnaissable et je l’ai parfaitement reconnu (comme tout le monde d’ailleurs, sauf, apparemment, Benjamin Creme – et ses « disciples », ces derniers ayant entériné, sans esprit critique, tout ce que l’ésotériste britannique a déclaré). Et bien sûr, Saddam Hussein n’avait pas de jumeau monozygote…  

 

Quelques années après la fausse information donnée par Benjamin Creme, ce dernier a fait une autre affirmation erronée : Oussama Ben Laden est décédé en 2006. L’auteur britannique a affirmé qu’il est décédé « après une longue lutte contre le cancer et une maladie des reins », qu’avant de mourir il s’était arrangé pour que l’un de ses nombreux frères plus jeunes maintienne le mythe de sa présence, et qu’il a été incinéré. En outre, Benazir Bhutto avait déclaré dans une interview, en 2007, qu’il était décédé. Malheureusement pour l’auteur britannique (et pour Benazir Bhutto), c’est en 2011 que le leader d’Al-Qaïda a été tué par les forces américaines… Bien sûr, là aussi, Benjamin Creme n’a pas reconnu son erreur et a maintenu la véracité de ses « informations ». (Partage international, n° 274, juin 2011, p. 22-23.) (Le corps du défunt n’ayant pas été montré, il était aisé, il est vrai, de « crier au complot »…)  

 

Il convient, selon moi, de distinguer l’information relative à l’émergence de Maitreya des déclarations erronées faites par l’auteur britannique (et sa source alléguée) à propos d’autres sujets, dont certaines déclarations concernant les OVNIs. Si la première est peut-être vraie (mais on attend toujours, en 2022, la confirmation qui n’arrive toujours pas !), les déclarations relatives à d’autres sujets comprennent des informations exactes et d’autres qui ne le sont pas (ce qui n’est pas spécifique aux déclarations de Benjamin Creme !).    

 

Alain Moreau

 

 

 

Références 

 

1. Benjamin Creme, « Le Grand Retour », Association Share France, 2002, p. 135.

 

2. Partage international, n° 241, septembre 2008, p. 27.

 

3. Partage international, n° 266, octobre 2010, p. 23.

 

4. Partage international, n° 299-300, juillet-août 2013, p. 34.

 

5. Partage international, n° 338, octobre 2016, p. 23.

 

6. Partage international, n° 339, novembre 2016, p. 23.

 

7. Partage international, n° 267, novembre 2010, p. 22.

 

8. Partage international, n° 281-282, janvier/février 2012, p. 35.

 

9. Partage international, n° 265, septembre 2010, p. 26.

 

10. Partage international, n° 200, avril 2005, p. 22-23.

 

11. Georges Metz, Lumières dans la nuit, n° 381, daté d’avril 2006, p. 31-42 ; n° 382, daté de juillet 2006, p. 36-42 ; n° 383, daté de novembre 2006, p. 42-44 ; n° 384, daté de janvier 2007 (mais paru en février 2007), p. 31-34.

 

12. Alain Moreau, « Séjour dans une base extraterrestre », dans Top secret n°35, février/mars 2008, p. 17-25.

 

13. Partage international, n° 157, septembre 2001, p. 14 ; n° 257-258, janvier/février 2010, p. 18.

 

14. Partage international, n° 269-270, janvier/février 2011, p. 34.

 

15. Partage international, n° 272, avril 2011, p. 13.

 

16. Partage international, n° 259, mars 2010, p. 14-16.

 

17. Partage international, n° 269-270, janvier/février 2011, p. 34-35.

 

18. Partage international, n° 277, septembre 2011, p. 23.

 

19. Partage international, n° 281-282, janvier/février 2012, p. 35.

 

20. Partage international, n° 280, décembre 2011, p. 13.

 

21. Partage international, n° 287-288, juillet/août 2012, p. 18-19.

 

22. Partage international, n° 268, décembre 2010, p. 27.

 

23. Partage international, n° 291, novembre 2012, p. 23.

 

24. Partage international, n° 297, mai 2013, p. 22.

 

25. Partage international, n° 279, novembre 2011, p. 11.

 

26. Partage international, n° 281-282, janvier-février 2012, p. 35.

 

27. Partage international, n° 286, juin 2012, p. 25.

 

28. Partage international, n° 268, décembre 2010, p. 26.

 

29. Partage international, n° 268, décembre 2010, p. 27.

 

30. Partage international, n° 256, décembre 2009, p. 30.

 

31. Partage international, n° 290, octobre 2012, p. 26.

 

32. Partage international, n° 281-282, janvier/février 2012, p. 35.

 

33. Partage international, n° 274, juin 2011, p. 23.

 

34. Partage international, n° 272, avril 2011, p. 11-13.

 

35. Partage international, n° 271, mars 2011, p. 16.

 

36. Partage international, n° 273, mai 2011, p. 23

Écrire commentaire

Commentaires: 0