SOCIÉTÉS VRIL ET THULÉ – L’AHNENERBE

La réalité historique peut être considérée sous deux aspects. Le premier concerne l’opinion générale qu’on appelle l’opinion publique, répandue auprès de chaque citoyen par les médias. L’autre, par contre, a trait aux événements qui ne sont pas rendus publics. C’est le mode des agissements des loges secrètes qui entremêlent capital, politique, économie et religion. C’est à ce niveau que naissent les nations, que les guerres sont ourdies (organiser les éléments d’une intrigue, tramer, ourdir une conspiration), que les présidents sont nommés ou éliminés s’ils ne fonctionnent pas. Pour le citoyen qui forme principalement son opinion et sa conception du monde à partir de ce que véhiculent les médias, tels que les journaux, la télévision, la radio, les connaissances apprises à l’école ou la littérature de monsieur tout le monde, peu des choses dont nous parlerons dans les pages suivantes lui sont familières. Il est facile de comprendre des pensées du style : Je n’ai encore jamais entendu parler de ça. Évidemment, les agissements d’une loge secrète n’atteignent leur but que s’ils restent secrets. L’existence à elle seule d’une loge secrète montre qu’il y a des choses qui ont une si grande importance aux yeux des frères de loge, que ceux-ci désirent les cacher aux yeux des autres.

 

Ces personnes ont des secrets qu’elles cachent au public. Elles savent ce que nous ne savons pas et c’est la raison pour laquelle ceux qu’on appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent) détiennent une telle puissance. Ne voulez-vous pas savoir quels sont les secrets des Illuminati ?

 

Leurs secrets sont presque tous en relation avec le passé de notre Planète, avec la genèse et l’origine de l’homme (quand et comment), avec la raison de sa présence sur Terre, avec les OVNIs. Telle est la désignation courante pour des engins volants, le plus souvent en forme de soucoupe ou de cigares. Ils possèdent deux champs magnétiques inversement rotatifs et sont d’origine extraterrestre ou parfois terrestre. Aux Européens on donne, en effet, volontairement de fausses informations, comme à la plupart des gens sur Terre, quand il s’agit des OVNIs. Et voilà que nous avons affaire aux Illuminati qui contrôlent justement les médias !

 

Et spécialement en Allemagne. Je vais vous faire comprendre au moyen d’un petit exemple que le thème des OVNIs a bien un fondement très réel et très terrestre : 

 

Il y avait, outre la « SOCIETE THULE » qui sera décrite en détail plus loin, un autre ordre secret dans le troisième Reich : la « SOCIETE VRIL« . Cette dernière s’occupait presque exclusivement de ce qu’on appelle communément les OVNIs et de leur construction. C’est pour elle qu’ont travaillé Victor Schauberger et le Dr W.0. Schumann, Schriever, Habermohl, Miethe, Epp et Belluzo. La plupart des pilotes anglais et américains encore vivants se souviennent probablement de leurs réalisations comme des « Foo-Fighters ». Les travaux furent énormément accélérés lorsque, d’après leurs dires, une soucoupe « non terrestre » fit, en 1936, une chute en Forêt-Noire sans pour autant être endommagée. Après avoir étudié attentivement la propulsion et relié ce savoir à celui déjà énorme de la « Société Vril » sur l’implosion et l’antigravitation, on entama la construction de prototypes.

 

Des réalisations telles que le « Vril 7« , un hélicoptère supersonique en forme de disque (à ne pas confondre avec les V1 et V2 bombes autopropulsées à grand rayon d’action), étaient déjà si stupéfiantes que le « Stealth-Bomber » actuel de l’US AIR FORCE ressemble presque à un jouet. Citons l’exemple du Vril 7, réalisé par Richard Miethe, lequel, équipé de douze turbopropulseurs BMW 028, a atteint lors d’un essai en vol le 14 février 1944 à Peenemünde, après un décollage vertical, la hauteur de 24.200m et en vol horizontal la vitesse de 2.200 km/h.

 

Dès la fin de l’année 1942, on avait fabriqué plusieurs exemplaires de l’avion circulaire RFZ-6, nommé « Haunebu II« . Son diamètre était d’environ 32 m, sa hauteur au centre de 11m et sa vitesse de 6.000km/h à proximité de la Terre. Il avait une autonomie en vol de 55 heures, décollait à la verticale, il pouvait voler aussi bien à l’horizontale qu’à la verticale et surtout en angle droit (ce qui caractérise la façon de voler des OVNIs aperçus partout dans le monde). Plus tard, d’autres Vrils furent encore plus performants puisqu’ils permirent, début 1945, de faire le tour de la Terre en quelques heures. Un Haunebu II construit, plus tard, en version grand modèle, avait un diamètre de 120m, dortoirs intégrés. Mais pourquoi avoir fait ces dortoirs puisqu’il ne fallait que quelques heures pour faire le tour de la Terre ?

 

Beaucoup d’entre vous vont maintenant se poser la question : « Pourquoi Hitler n’a-t-il pas gagné la guerre s’il avait à sa disposition une telle technologie ? » Une des raisons est qu’un assez grand nombre de disques volants atteignaient des performances fantastiques en vol mais leur utilisation à des fins militaires était presque impossible. La cause en était la suivante : le champ magnétique créé par le mécanisme de lévitation procurait aux disques volants une sorte de bouclier de protection qui les rendait quasiment invincibles. Ce champ magnétique avait, cependant, l’inconvénient de ne pas permettre l’utilisation d’armes traditionnelles, car les projectiles ne pouvaient pas traverser « sans frottement » ce rideau magnétique.

 

Les projets dépendaient de la Société Vril et de la SS E IV (bureau d’études secret pour l’énergie alternative des SS). Cela signifie qu’ils n’étaient pas directement sous les ordres d’Hitler et du parti nazi ; en fait, ils n’avaient pas été élaborés à des fins proprement guerrières. Ce n’est que plus tard, quand la situation de l’Allemagne en guerre empira, qu’il fut question de faire entrer en action les disques volants. La plupart des hommes n’ont pas eu le moindre pressentiment des vrais buts de Hiller, de sa formation, des loges dont il était membre, de l’idéologie qu’il fit sienne. Ils ignoraient qui l’avait promu à cette position, qui le finançait et ne savaient rien des motifs cachés qui sous-tendaient cette Deuxième Guerre mondiale. L’idéologie d’Hitler n’a rien à voir avec ce que nous désignons du nom de « réalité générale » ni avec ce qui est raconté dans les livres scolaires sur le troisième Reich. Hitler était un mystique, un occultiste jusqu’à la pointe des pieds, et il faut se situer dans cette optique pour comprendre ce qui se passa pendant le troisième Reich. Pour la plupart des historiens « matérialistes », les procès des criminels de guerre à Nuremberg étaient un mélange de contes de Grimm et de contes à dormir debout. Ils ne pouvaient pas se mettre dans la peau des accusés et ils manquaient de connaissances préalables pour saisir ce que ces hommes racontaient. 

 

Dieter Rüggerberg l’expose avec justesse, en disant : « Seul un occultiste peut en reconnaitre un autre ». Dans les chapitres suivants sur les sociétés de Thulé et de Vril, nous nous pencherons plus sur les idéologies qui les sous-tendaient. Hitler et ces sociétés secrètes en savaient bien plus sur l’origine de l’homme, la constitution de la Terre, sur l’antigravitation, sur « l’énergie libre » que ce que l’on nous a enseigné jusqu’à aujourd’hui. C’est pourquoi, de crainte que nous puissions découvrir ces secrets, les Alliés nous ont soustrait livres et écrits sur ces sujets ou nous ont même défendu de les lire. Ils s’assuraient ainsi de la possibilité de continuer à manipuler l’humanité. Les Alliés portaient un intérêt capital pour la technologie de la « Société Vril ». Ses découvertes avaient été gardées secrètes par le 3ème Reich. Ce sont les Russes qui ont eu d’abord en mains les plans de construction. Les scientifiques, tels que Victor Schauberger et Werner von Braun, tombèrent entre les mains des Américains lors de l’opération « PAPERCLIP« . Le plus grand secret rattaché à la sûreté aux USA concerne, aujourd’hui, les constructions d’engins volants développés selon ces plans. Ils furent, entre autres, un des motifs qui provoqua la mort de J.F. Kennedy (voir le chapitre « L’attentat contre Kennedy »). Mais il y eut encore différentes expériences menées pendant le troisième Reich. Les révéler maintenant déstabiliserait complètement la plupart des lecteurs attachés à leur conception du monde. Elles feront, plus loin, l’objet d’un chapitre séparé. Pourquoi la plupart d’entre nous n’en avons-nous pas entendu parler ? Citons, par exemple, l’édification de l’État allemand « NEUSCHWABENLAND » (« la nouvelle Souabe ») dans l’Antarctique pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi l’amiral Richard E.Byrd a-t-il eu besoin de 4.000 soldats américains armés, d’un porte-avions et d’un grand soutien militaire quand il alla explorer, en 1947, l’Antarctique ? Comment se fait-il qu’il n’en revint que quelques centaines d’hommes vivants ? Voilà des questions sans réponse. 

Pourquoi si peu de personnes n’ont jamais entendu parler ni de ces événements ni des développements de NIKOLA TESLA, dont font partie « les machines à énergie libre », « la transmission d’énergie sans fil », « l’antigravitation » ainsi que « la modification du temps au moyen d’ondes stationnaires ». Quelles en seraient les conséquences si nous avions accès à la connaissance des formes d’énergie libre, à celle de l’utilisation de soucoupes volantes qui n’ont besoin que d’un champ électromagnétique comme source d’énergie et si nous pouvions les utiliser pour notre propre usage, comme carburant par exemple. Cela signifierait que nous n’aurions plus besoin de nous servir d’essence. Il n’y aurait plus de déchets, donc plus de pollution. Nous n’aurions plus besoin de centrales nucléaires, les hommes ne pourraient plus être enfermés dans un pays derrière des frontières, et surtout nous aurions beaucoup plus de temps à notre disposition puisqu’il ne serait plus nécessaire de travailler autant pour payer les frais de chauffage, de courant, d’essence (nous pourrions, pendant ce temps, en profiter pour méditer, par ex. sur le sens de la vie).

 

Ces formes d’énergie existent au moins depuis quatre-vingt-dix ans et nous sont restées cachées. Pourquoi sont-elles tenues secrètes ? Parce que par le biais de la main mise sur l’énergie, la nourriture et en occultant des connaissances, il est possible d’exercer un contrôle sur les hommes de notre Terre. Si quiconque venait a découvrir et utiliser ces connaissances, les Illuminati ou d’autres égoïstes ne pourraient plus jouer aux tout-puissants. Les Églises, les sectes, les drogues perdraient également de leur importance. Il est donc important pour les Illuminati que ces choses restent cachées du reste du monde, ainsi leur pouvoir leur permet de continuer à nourrir leur ego avide de puissance. Ceci n’était qu’un petit aparté pour montrer que le thème des OVNIs est plus explosif et réel que beaucoup ne veulent l’admettre. La « stratégie moqueuse » de l’establishment anglo-américain a coûté plusieurs milliards de dollars jusqu’ici pour que le sujet des OVNIs soit ridiculisé avec autant de succès par les masses média. Ajoutons ici que le premier commandement d’une loge secrète est de ne jamais citer le nom de la loge en public ; prononcer même le nom d’un frère de loge est parfois passible de peine de mort (par ex. dans la 99ème loge).

Le but du nazisme ne se cantonnait pas seulement au fait de s’établir en Amérique du Sud, mais aussi de créer des installations en Antarctique avec le lancement d’un projet encore plus secret et mystérieux appelé « Projet Ahnenerbe », mise en exécution avant la 2ème Guerre mondiale, et qui constituer à faire des recherches aux moyens de la voyance et toutes sortes de sciences paranormales sur leurs origines Aryennes. Tout a été réalisé au Château Wewelsburg, vivant dans un ultra-nationalisme grandissant, ils avaient hâte de connaître l’origine de leur race Aryenne-Germanique. Et en même temps, sans arrêter un seul instant, ils ont organisé des expéditions archéologiques, des recherches anthropologiques et ethnologiques dans divers pays du monde à la recherche de reliques sacrées qui pourraient les relier directement à leurs origines Aryennes qu’ils rêvaient tant.

 

Ainsi aux moyens de ces processus multiples, ils pratiquaient des rites au sein des sociétés occultistes, Thulé et Vril, afin d’attirer et d’essayer de rentrer en contact avec ceux qui étaient leur soit disant dieux Aryens. Tous ceci étaient concrétisé à l’aide de cultes étranges accompagnés de certaines pratiques ésotériques et de sciences occultes très secrètes. À un moment donné un médium a réussi à établir un contact avec certaine entité Alien, celle-ci lui ont dit, à travers l’écriture automatique que c’était leur propre dieu qui s’adressait directement à eux. Mais hormis ces mystérieuses pratiques médiumniques, nécromanciennes, astrologiques, kabbalistes et spiritistes, pourquoi les nazis voulaient absolument trouver les origines de leur race aryenne ancestrale, et démontrer la pureté de leur sang germano-teutonique ? Étaient-ils vraiment plongé dans une magie noire puissante et lié à des rites ésotériques étranges pendant la seconde Guerre mondiale ?

 

LA SOCIÉTÉ VRIL

Au premier abord, la Société VRIL est une des sociétés secrètes les plus intéressantes qui ait jamais existé. C’est pourquoi il nous faut absolument la mentionner. Il n’y a pas un seul livre en Allemagne sur cette Société VRIL et tout autre document qui aurait pu renvoyer à ce nom qui ait été bel et bien soustrait par les Alliés. Mais tout n’a pas disparu. En effet, vous allez constater quels sont les milieux influents « non allemands » qui tiennent à cacher la vérité aux Allemands.

 

Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les « Frères de la LUMIÈRE » qui prit, plus tard, le nom de Société VRIL. Dans celle-ci se retrouvèrent aussi « Les Maitres de la PIERRE NOIRE » (DHvSS), une nouvelle fondation des templiers, issue de l’ordre Germain en 1917, et les « CHEVALIERS NOIRS » du « SOLEIL NOIR« , élite de la Société Thulé et des SS. 

 

Si nous comparons la Société Vril avec la Société Thulé, la différence peut se résumer ainsi : la Société Thulé s’occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l’au-delà. Mais elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l’Atlantide, Thulé, l’ « Iles des Bienheureux » de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées. En décembre 1919, une maison forestière fut louée dans le Ramsau, près de Berchtesgaden, ou se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, DHvSS et Vril. Parmi elles, les médiums Maria Orsitsch et Sigrun. Maria avait capté des informations dans une écriture secrète des templiers – une langue tout a fait inconnue pour elle avec des précisions techniques pour construire un engin volant. Ces messages télépathiques étaient transmis, d’après les écrits de la Société Vril, du système solaire d’Aldébaran situé dans la constellation du Taureau. 

 

Voici un résumé des messages qui ont été reçus pendant des années par les télépathes de la Société Vril et qui ont été à la base des actions entreprises par cette dernière. Le système solaire d’Aldébaran serait à 68 années-lumière de la Terre et deux planètes habitées qui constitueraient le royaume de « SUMERAN » tourneraient autour de son soleil. Les habitants de ce système solaire, seraient subdivisés en un peuple de maîtres, d’hommes-Dieu blancs (Aryens) et en différentes autres races humaines. Celles-ci se seraient développées à cause de changements climatiques sur les planètes isolées et seraient le résultat d’une dégénérescence de ces « hommes-Dieu ». Ces mutants auraient eu un développement spirituel inférieur aux « hommes-Dieu ». Plus les races se mélangeaient, plus leur développement spirituel se dégradait. Par conséquent, lorsque le soleil d’Aldébaran se mit à grandir, ils ne purent plus faire des voyages interplanétaires comme leurs ancêtres, il leur était devenu impossible de quitter leurs planètes. C’est ainsi que les races inférieures, totalement dépendantes de la race des maîtres, auraient été évacuées dans des vaisseaux spatiaux et amenées sur d’autres planètes habitables.

 

Malgré ces différences, le respect était de mise entre ces deux races, elles n’empiétaient pas sur l’espace vital de l’autre. Chaque race respectait le développement de l’autre (contrairement à ce qui se passe chez les terriens). La race des maîtres, les « hommes-Dieu blancs », aurait commencé à coloniser d’autres planètes similaires à la Terre il y a quelques 500 millions d’années, suite à l’expansion du soleil d’Aldébaran et de la chaleur grandissante qui en résulta et qui rendit les planètes inhabitables. On dit qu’ils auraient colonisé dans notre système solaire d’abord la planète Mallona (nommée aussi Maldek, Marduk ou bien Phaeton chez les Russes) qui aurait existé, à l’époque, entre Mars et Jupiter, là où se trouvent les astéroïdes aujourd’hui. Ce fut, après, au tour de Mars dont les grandes villes pyramidales et le visage martien bien connu, photographiés en 1976 par la sonde Viking, témoignent du haut niveau de développement de ses habitants. D’où la supposition que les hommes-Dieu de Sumeran-Aldébaran vinrent à cette époque-là pour la première fois sur Terre. De vieilles traces d’un soulier fossilisé remontant à environ 500 millions d’années en témoignent, ainsi qu’un trilobite fossilisé piétiné avec le talon de ce soulier. Cette écrevisse primitive vivait alors sur Terre et a disparu il y a 400 millions d’années. 

 

Les membres de la Société Vril pensaient que les Aldébariens atterrirent, plus tard, lorsque la Terre devint peu à peu habitable, en Mésopotamie et qu’ils formèrent la caste dominante des SUMERIENS. On appela ces Aldébariens « hommes-Dieu blancs ». De plus, les télépathes de Vril reçurent l’information suivante : la langue des Sumériens était non seulement identique à celle des Aldébariens, mais elle avait aussi des sonorités semblables à l’allemand et la fréquence de ces deux langues était presque identique. Cela correspond-il à la réalité ? Disons simplement que les plans de construction et les renseignements techniques reçus par les médiums – d’où qu’ils viennent – étaient si précis que naquit l’idée la plus fantastique jamais conçue par l’homme : la construction de la « machine vers l’au-delà » ! Le concept d’une « autre science » mûrit dans les esprits (on emploierait, de nos jours, le terme de « formes d’énergies alternatives »). Il fallut trois ans pour que le projet soit mis en place. Dans cette première phase d’une « autre technique » ou d’une « autre science », le Dr W. O. Schumann, membre des Sociétés Thulé et Vril, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich.

 

En voici un extrait : « Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’ombre, le bien et le mal, la création et la destruction, comme le plus et le moins en électricité. Il s’agit toujours de : d’une façon ou d’une autre ! » Ces deux derniers principes – désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs – déterminent aussi nos moyens techniques. ( … ) Le principe destructeur qui est l’œuvre du diable, le principe créateur l’œuvre de Dieu. (…) Toute technique basée sur le principe de l’explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l’ère d’une technique nouvelle, positive et divine ! » (…) (extrait des archives secrètes des SS). 

À la même période, le scientifique Viktor Schauberger travaillait à un projet similaire. Il avait fait sien l’enseignement de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, reprise et tenue secrète par les Templiers. Cela concernait le savoir sur l’ « IMPLOSION » (dans ce cas, cela signifie l’utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur). 

 

Hitler et tous les autres membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, c.-à-d. constructif. Une, technologie qui, par contre, repose sur l’explosion est donc, de ce fait, destructeur, opposée au principe divin. On voulut alors créer une technologie reposant sur l’implosion. La doctrine de l’oscillation de Schauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part du savoir sur l’implosion. Disons plus simplement : l’IMPLOSION à la place de l’EXPLOSION ! Au moyen des trajectoires de l’énergie du monocorde et de la technique de l’implosion, on pénètre dans le domaine de l’antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur.

 

Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit l’été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l’implosion (la machine vers l’au-delà). Il comprenait un disque de 8m de diamètre, surhaussé d’un disque parallèle de 6,5m de diamètre et flanqué en dessous d’un autre disque de 6m de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1.80m de diamètre où l’on monta le propulseur de 2.40m de haut. En bas, le corps central se terminait en forme de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l’appareil. Les disques inférieur et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique. On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d’être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg.

 

On retrouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code « JFM ». Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la « machine vers l’au-delà » mais il a été répertorié comme le « lévitateur Schumann SM ». En principe, la machine vers l’au-delà devait engendrer un champ extrêmement fort autour d’elle et dans son proche voisinage qui faisait de tout l’espace environnant, y compris celui de la machine et des occupants, un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ serait totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l’électromagnétisme, le rayonnement ou n’importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu’on y détecte ou qu’on y sente des forces d’accélération. En juin 1934, Viktor Schauberger fut invité par Hitler et les plus grands représentants des sociétés Vril et Thulé, et travailla, désormais, en collaboration avec eux. 

 

Le premier OVNI allemand vit le jour en juin 1934. C’est sous la direction de Dr W. 0. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain, de la fabrique d’avions Arado à Brandebourg : il s’agissait du RFZ-1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s’éleva à la verticale d’une hauteur d’environ 60m mais se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. L’empennage Arado 196 qui devait guider l’appareil s’avéra complètement inefficace. C’est avec grand-peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s’en échapper et à s’éloigner en courant, car l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être complètement mis en pièces. C’était la fin du RFZ-1, mais le début des engins volants VRIL. Le RFZ-2 fut terminé avant la fin de l’année 1934, il avait une propulsion Vril et un « pilotage à impulsion magnétique ». Son diamètre était de 5m et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s’illuminait de différentes couleurs, ce qui est bien caractéristique des ovnis. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet. Plans et légendes reconstruits à partir de fragments tirés des archives secrètes des SS. Il put donc fonctionner et l’année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la « bataille d’Angleterre », car il s’avéra que les chasseurs allemands standards ME109 étaient inaptes à des vols de reconnaissance transatlantiques à cause de leur petit rayon d’action. On le photographia fin 1941 au dessus du sud de l’Atlantique alors qu’il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l’Antarctique, il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°.

 

Vril I

C’est incroyable! vont penser certains d’entre vous, mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des ovnis. Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d’un terrain d’expérimentation à Brandebourg. Le « chasseur VRIL I« , disque volant équipé d’armes légères, volait à la fin de l’année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann » et un « pilotage par impulsion à champ magnétique ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace.

 

On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d’un dôme de verre. Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C’est grâce à Andreas EPP que le RFZ-7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L’équipe de Schriever, Habermhol et celle de Miethe-Belluzo participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètre mais se fracassa lors d’un atterrissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, plus tard, on prit cependant une photo d’un RFZ-7 construit de la même façon. D’après Andreas EPP, il devait être équipé d’ogives nucléaires et il devait bombarder New York. 

En juillet 1941, SCHRIEVER et HABERMHOL, construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On développa pourtant une autre « toupie volante à électro-gravitation » avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite. Puis ce fut au tour du RFZ-7T, construit par Schriever, Habermhol et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V7 étaient plutôt des jouets d’enfants. Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative : le Bureau d’étude IV du soleil noir = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le « mécanisme Thulé », appelé, plus tard, Tachyonateur Thulé, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler. 

 

En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C’était une toupie volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de HAUNEBU I. Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux canons à rayons forts (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace.

Haunebu II

Haunebu III

Fin 1942, le HAUNEBU II était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le HAUNEBU III, exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).

Haunebu 4

Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, « canon à rayons forts ») qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage. 

 

Le professeur J. Hurtak, ufologue et auteur de « Die Schlüssel des Enoch » (« Les clefs d’Hénoch »), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de « système d’armes miracles ». Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant : 

 

1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’espace

 

2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne 

 

Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les « Foo-Fighters » (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant en 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de Foo-fighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands. 

 

Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les Foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La « Tortue Volante » fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. 

 

On continua, plus tard, à développer cette technique. Quiconque a déjà vu des ovnis pourra confirmer que cette « coupure de contact », c.-à-d. l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des ovnis quand ils apparaissent.

 

Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les Foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir. Quant aux bulles de savon désignées souvent comme Foo-fighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.

 

Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’Appareil ANDROMEDA (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée. Une réunion importante de la Société VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum. Le sujet principal concernait l’Entreprise Aldébaran. Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s’y rendre. 

 

Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmeler, Künkel et Schumann (tous deux de la Société Vril) se rencontrèrent pour parler de ce « Projet VRIL ». Ils voulaient se diriger à l’aide d’un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par un canal dimensionnel. D’après Ratthofer, le premier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l’hiver 1944. L’appareil aurait évité de justesse un désastre : d’après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit « qu’il avait voyagé pendant un siècle ». Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usagé et il était abîmé en maints endroits. 

 

Le 14 févier 1944, le pilote d’essai Joachim Roehike testa à Peenemünde l’hélicopière supersonique construit par Schriever et Habelmohl sous le nom du projet V-7, qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir car Peenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s’avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu’on ne puisse utiliser les disques volants. 

Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda. En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donna la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux États-Unis dans le cadre de l’opération « PAPERCLIP« . Il s’y trouvait, entre autres, Viktor Schauberger et Werner von Braun.

 

Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série : le premier projet fut conduit sous la direction du professeur Dr W. 0. Schumann de la Faculté des sciences de Munich, c’est dans ce cadre qu’auraient été construits, jusqu’au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11.5m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol, c’étaient ceux qu’on appelait les « Chasseurs VRIL 1« . Un VRIL-7 et un VRIL-7 grand modèle du nom de « ODIN » auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril. 

Le deuxième projet était mené par le bureau d’étude IV des SS qui fit construire, jusqu’au début 1945, trois types de toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche : le Haunebu I, 25m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d’environ 4.800km/h). Le Hauneba II, 32m de diamètre, en 7 exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d’environ 6.000km/h). Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série. Une offre aurait été lancée auprès des firmes d’avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L’appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions STRAtosphère Dornier). Le Haunebu III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d’environ 7.000km/h). 

 

L’ « Appareil Andromeda », astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l’état de projet. Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre, qui furent tenus secrets : 

 

1. Atterrissage près du lac « Mondsee » dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage. 

 

2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la « Forteresse des Alpes » de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalités importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le « NEUSCHWABENLAND » et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre. 

 

3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus. 

 

Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ? On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’ovnis qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser. Certains disent qu’une partie des engins avait été coulée dans le lac « Mondsee » en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils. On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l’ « expérience Phoenix », projet précédé par l’ « expérience Philadelphia » de 1943. (Il s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US Navy qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires. 

 

En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu’ils baptisèrent « NEUSCHWABENLAND » (Nouvelle Souabe). C’était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre, les soucoupes volantes s’y sont rendues directement. Cette supposition peut paraître osée à plus d’un mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi. 

 

On peut alors se poser la question : « Pourquoi les Alliés ont-ils envahi l’Antarctique sous les ordres de l’Amiral Richard E. BYRD, en 1947 ? ». Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de 8 mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de 8 semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions. Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement : qu’arriva-t-il ? 

 

L’amiral Byrd expliqua, plus tard, à la presse : « C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre« . Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure. Dans son livre « Zeitmaschinen » (Machines à remonter le temps) ou il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit : 

 

« Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparut, d’abord, sans laisser de traces. (…) Dans ce contexte, il est extrêmement intéressant de savoir que le Haunebau III du Reich allemand, après son 19ème essai en vol, se serait envolé vers Mars pour une expédition spatiale le 20 avril 1945 en décollant du « Neuschwabenland » qui était alors officiellement un immense territoire du Reich allemand en Antarctique de l’est. Ce qui en est réalisé, nous ne le savons pas. (…) Un an plus tard, en 1946, d’innombrables objets lumineux d’origine inconnue mais fabriqués indéniablement de façon artificielle furent vus au-dessus de la Scandinavie et provoquèrent un grand émoi chez les Alliés à l’Est comme à l’Ouest. De nouveau un an plus tard, en 1947, et jusque dans les années 50, des objets volants lumineux surgirent au-dessus de l’Amérique du Nord en un nombre sans cesse croissant. Ils étaient pilotés, c’est certain, par des êtres intelligents, ils étaient, le plus souvent, ronds, en forme de disque ou de cloche, c’était aussi parfois des « Objets Volants Non Identifiés » en forme de cigares qu’on appelle ovnis ». 

 

Il y a des auteurs qui disent que ces ovnis ne ressemblaient pas, en règle générale, à ceux fabriqués par le Reich allemand. Du matériel photo bien documenté prouve que spécialement la version Haunebu II a été vue, et même très souvent, depuis 1945. 

 

Si vous vous êtes intéressés au monde technique des ovnis, vous avez pu constater que parmi les cas ou il y a eu des contacts personnels avec les occupants des ovnis, il y a un pourcentage particulièrement élevé de très beaux êtres de l’espèce « aryenne », blonds aux yeux bleus et que ceux-ci parlaient soit couramment l’allemand soit couramment une autre langue avec un accent allemand (pour les initiés mentionnons le cas d’Adamski, en 1952, le cas de Cedric Allingham, en 1954, et celui de Howard Menger, en 1956).

 

On raconte aussi qu’existent des photos en couleur d’un disque volant qui a atterri avec des hommes pour repartir aussitôt et sur lequel étaient dressées deux croix, une « Balkenkreuz » et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années 70 par un veilleur de nuit en RDA. Il existe à propos des engins volants mentionnés ci-dessus un très bon dossier de photos et de films comme, par ex., la documentation en 60mm « UFO-Geheimnisse des 3 Reiches » (Les secrets des OVNIs du 3ème Reich) (MGA Austria/ Royal Atlantis-Film GmbH). Citons aussi le dossier de l’Américain Vladimir Terziski qui, lors de la conférence sur les ovnis en septembre 1991 à Phoenix, en Arizona, a projeté des diapositives pendant 3 heures et montré des photos de soucoupes allemandes, de plans de construction et de bases souterraines allemandes. 

 

Le livre du commandant de l’armée de l’air italienne Renato Vesco est aussi très intéressant ainsi que celui de Rudolf Lusar : « Die Deutschen Waffen und Geheimwaffen des Zweiten Weltkrieges und ihre Weiterentwicklung » (Les armes allemandes et les armes secrètes allemandes de la Deuxième Guerre mondiale et leur mise au point ultérieure), J. E Lehmanns Verlag, München, 1971. Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui a trait aux ovnis passe pour de la fumisterie dans les masses média, et ceci particulièrement en Allemagne ? Compte tenu de cet arrière-plan allemand, le monde de la presse et des médias qui est contrôlé par les Illuminati grâce au lobby anglo-américano-sioniste est prêt à investir des sommes énormes pour empêcher le citoyen allemand de faire des investigations en ce domaine. La question qu’on peut se poser maintenant est la suivante : 

 

D’où les sociétés secrètes allemandes Thulé et Vril tenaient-elles les connaissances indispensables à la construction de ces engins volants ? Et d’où leur venait le savoir concernant le génie génétique, domaine ou les allemands étaient également fort en avance par rapport aux autres nations ? D’après les dires de Herbert G. Dorsey et d’autres chercheurs, ils ont été non seulement par les contacts télépathiques avec des extra-terrestres leur fournissant les plans de construction, mais aussi par l’étude de la propulsion intacte d’une soucoupe non terrestre qui s’était abattue en Forêt Noire en 1936. Mais il n’y a pratiquement aucune preuve de cet événement ni des témoins oculaires encore vivants. Cependant, ces preuves existent aux USA, et même en grand nombre. À la même époque, les Américains enregistraient une série d’objets qui s’écrasaient au sol, ce qui ne put être tenu complètement caché. 

 

Revenons à la politique. Pendant que l’I.G. Farben soutenait Hitler, son partenaire de cartel, la « Standard Oil » (de Rockefeller) montait le peuple contre les Nazis. De même, la « Ford, Motor Company » fabriquait des armements militaires pour l’armée américaine mais produisait en même temps en Allemagne des véhicules militaires pour les nazis. Ford et Opel (filiale de General Motors qui est contrôlée par J. P. Morgan) étaient les deux plus grands fabricants de chars dans l’Allemagne d’Hitler. Qu’importe le vainqueur, les multinationales étaient, depuis le début, gagnantes. C’est selon ce même principe que beaucoup d’entreprises travaillèrent pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi n’y a-t-il rien de tout cela dans les livres des écoliers ou dans les encyclopédies ? Et particulièrement en Allemagne où règne apparemment la liberté de la presse et où l’on enseigne la vérité ? Une des raisons en est la suivante : la fondation Rockefeller a distribué, en 1946, 139.000 dollars pour qu’on présente au public une version officielle de la Deuxième Guerre mondiale qui dissimule toute l’aide des banquiers américains pour l’édification du régime nazi et qui passe aussi sous silence l’idéologie mystique et occulte de ce régime. Un des principaux donateurs était la Standard Oil Corp, de Rockefeller.

 

source : Livre Jaune N°5

 

Qu’est ce que la Société Vril ?

 

L’un des principaux groupes de conseillers des dirigeants nazis était une société secrète connue sous le nom de Vril. Elle doit son nom à un livre du XIXe siècle écrit par Edward Bulwer-Lytton, appelé « la race à venir ». Bulwer-Lytton y décrit une puissante race de maîtres et une ancienne forme d’énergie mystique connue sous le nom de Vril pouvant être exploitée et contrôlée.

 

La société de Vril en Allemagne a pris son nom de cette force, cette force universelle qui, en sanscrit, est connue sous le nom de Prahna.

 

La Société Vril, connue sous le nom de « Société Allemande pour la Métaphysique », a été créée officiellement en 1921 pour explorer les origines de la race aryenne. La Société aurait enseigné des exercices de concentration conçus pour éveiller les forces de Vril, une force d’énergie sexuelle Shaakti, plus forte chez les femmes aux cheveux longs, qui alimentait l’énergie magnétique de la Terre vers le cerveau. 

 

Leur objectif principal était d’atteindre « Raumflug », le vol spatial inter-dimensionnel basée sur les révélations psychiques d’extraterrestres aryens vivant sur Alpha Centauri, dans le système d’Aldébaran. Le mot Vril a été formé à partir de l’ancien mot sumérien « Vri-Il » (« comme dieu » ou « semblable à Dieu »).

 

Les membres masculins de la Société Vril auraient inclus Adolf Hitler, Alfred Rosenberg, le commandant SS Heinrich Himmler, le commandant de l’armée de l’air Hermann Goering, le médecin personnel de Hitler, le Dr Theodor Morell et le chef du parti nazi Martin Bormann. Ils étaient les membres originaux de la société de Thulé qui a prétendument rejoint Vril en 1919. Le NSDAP (NationalSozialistische Deutsche ArbeiterPartei, c’est-à-dire le Parti nazi) a été créé par Thulé en 1920, un an plus tard. Le Dr Krohn, qui a créé le drapeau nazi, était également thuliste.

 

Les principes métaphysiques de la société Vril 

 

Dr Schumann (tiré des archives SS) : En tout, nous reconnaissons deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’obscurité, le bien et le mal, la création et la destruction – comme en électricité, nous avons le plus et le moins, c’est toujours ainsi : + ou – . Ces deux principes – le créatif et le destructeur – déterminent aussi nos moyens techniques … Tout ce qui est destructeur est d’origine satanique, tout ce qui est créateur est divin … Toute technologie basée sur l’explosion ou la combustion doit donc s’appeler Satanique. Le nouvel âge à venir sera l’âge d’une nouvelle technologie divine et positive !

 

Quoi de plus clair que les écrits du tristement célèbre docteur Schumann ? Ça pose tout de suite le cadre. On va aborder le Nouvel Ordre Mondial et les technologies sataniques. Mais bien plus encore, la Société Vril est une société occulte qui enrôle des médiums pour communiquer avec les extraterrestres aryens vivant sur Alpha Centauri, dans le système d’Aldébaran. Le but est de fabriquer une technologie qui utiliserait le vol anti-gravitationnel à la place des moteurs à explosion. C’est le début des armes secrètes des SS.

 

Tout comme un ingénieur peut utiliser l’électricité pour chauffer ou pour rafraîchir une pièce, produire un son ou bien d’autres choses, Vril est une énergie, mais elle peut se manifester de différentes manières. La société Vril croyait que cette puissance Vril pouvait alimenter des machines et des appareils et souhaitait l’utiliser pour des soucoupes volantes et des engins aéronautiques. Selon leurs croyances, les Vril pourraient puiser dans cette énergie car ils étaient les descendants directs des extraterrestres du système solaire d’Aldébaran, qui étaient venus sur Terre dans un passé lointain.

 

 

MARIA ORSIC DIRIGE LA VRIL GESELLSCHAFT

 

Maria Orsic, dont le nom est également orthographié sous différentes formes : Oršić, Ortisch, Orschitsch, Marija Orsitsch, est née le 31 octobre 1895 à Vienne en Autriche. Elle était une médium occulte célèbre qui est devenu plus tard le chef de la Vril Society. Elle a disparu de la circulation en 1945. Son père était un immigrant croate de Zagreb, sa mère était de Vienne. Maria suivit bientôt le mouvement populaire nationaliste allemand qui était très en vogue à cette époque. Le but principal du mouvement était d’annexer l’Autriche au Reich allemand (Anschluss). 

 

C’est à Munich que Maria fut en contact avec la Thule Gesellschaft et allait bientôt créer son propre cercle avec Traute A. de Munich et d’autres partenaires. L’ Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik était le nom officiel de la Vril Society dont elle est la fondatrice. 

 

Toutes étaient des jeunes femmes éduquées, très opiniâtres sur la politique, qui, entre autres choses, étaient contre la mode croissante du style de cheveux courts chez les femmes. Maria et Traute étaient particulièrement belles et portaient une très longue queue de cheval, une coiffure très inhabituelle à cette époque. Cela est devenu un trait distinctif chez toutes les femmes qui ont rejoint la Société, qui a existait jusqu’en mai 1945. Maria était blonde et Traute A. Blom était une brune. Elles croyaient que leurs cheveux longs agissaient comme un récepteur cosmique recevant une communication extraterrestre. Cependant, elles n’exposaient pas leurs cheveux en public. Pour s’identifier, les membres de la Vril Society, aussi appelée Vrilerinnen, portaient un médaillon qui représentait les deux médiums Maria Orsic et Sigrun Kuenheim.

En 1917, l’occultiste Karl Haushofer, le baron Rudolf von Sebottendorf, le pilote de la première guerre mondiale Lothar Waiz, le prélat Gernot de la société secrète « Societas Templi Marcioni » et Maria Orsic, la belle médium transcendantale, se sont rencontré au café Schopenhauer à Vienne. Ils avaient tous beaucoup étudié la Golden Dawn, ses enseignements, ses rituels et surtout ses connaissances sur les loges secrètes asiatiques.

 

La très longue chevelure de ces dernières vient des représentations originales faites d’Isais. Isais enseigna que la principale partie vibratoire du corps des femmes sont les cheveux, et que plus ils sont longs, mieux les vibrations sont captées.

Maria fût en assez grande partie initiée par la « Societas Templi Marcioni » qui avait hérité du savoir des Seigneurs de la Pierre Noire. Mais les croyances de la Société Vril ne s’arrêtent pas là, on ne peut pas dire qu’une religion à part entière fût adoptée.

Mais la spiritualité des Vrilerinnen était composée de croyances venant de diverses sources, notamment de chez les germains, les hindouistes, les perses, les sumériens, les assyriens, et dans une moindre mesure, dans le mysticisme chrétien.

 

L’influence des mythes de l’Inde et du Tibet

 

Sebottendorf et Haushofer étaient des voyageurs expérimentés de l’Inde et du Tibet et très influencés par les enseignements et les mythes de ces pays. Au cours de la Première Guerre mondiale, Karl Haushofer avait établi des contacts avec l’une des sociétés secrètes les plus influentes d’Asie, les « chapeaux jaunes » tibétains. Les contacts entre Haushofer et les Yellow Hats ont conduit dans les années vingt à la formation de colonies tibétaines en Allemagne. 

 

Les quatre jeunes espéraient que lors de ces rencontres à Vienne, ils apprendraient quelque chose sur les textes révélateurs secrets des Chevaliers Templiers et aussi sur la fraternité secrète Die Herren vom schwarzen Stein (« Les Seigneurs de la Pierre Noire »). Le prélat Gernot était l’un des « héritiers des Templiers », qui sont la seule véritable société templière. Ils sont les descendants des Templiers de 1307 qui ont transmis leurs secrets de père en fils jusqu’à aujourd’hui. Le prélat Gernot leur a apparemment parlé de l’avènement d’un nouvel âge : le passage de l’âge des Poissons à l’ère du Verseau.

 

La réunion secrète dans la maison du garde forestier

 

En décembre 1919, des membres de Thulé, de Vril et de DHvSS (Die Herren vom schwarzen Stein) louèrent une petite maison de garde forestier près de Berchtesgaden (Allemagne) où ils se rencontrèrent, accompagnés de Maria Orsic et d’une autre médium qui était seulement connu sous le nom de Sigrun. Maria prétendait avoir reçu des transmissions médiumniques dans un script templier allemand secret – une langue inconnue d’elle – contenant des données techniques pour la construction d’une machine volante.

 

Les documents Vril découverts après la Seconde Guerre mondiale mentionnent ces messages télépathiques, qui trouvent leur origine dans Aldébaran, un système solaire situé à 68 années-lumière dans la constellation du Taureau. Apparemment, les documents affirment qu’elle avait deux piles de papiers : l’une avec l’écriture templière, l’autre avec une écriture lisible. Maria soupçonnait que la deuxième pile serait écrite dans une ancienne langue orientale et donc elle pourrait être aidée par les « panbabylonistes », un cercle proche de la société Thulé. Hugo Winckler, Peter Jensen, Friedrich Delitzsch et d’autres avaient rejoint cette société. 

 

La machine volante circulaire

 

Il s’est avéré que la langue apparemment mystérieuse était en réalité du sumérien ancien et donc la langue des anciens fondateurs de la culture babylonienne. Sigrun, de la Vril Gesellschaft, a aidé à traduire la langue et à déchiffrer les étranges images mentales d’une machine volante circulaire. Le concept d’ « autre science » (ou « science alternative ») a mûri au cours des années suivantes. 

 

En raison des difficultés de financement, il a fallu trois ans pour que le projet de machine volante commence à prendre forme. En 1922, des pièces pour la machine ont commencé à arriver indépendamment de diverses sources industrielles payées en totalité par Thulé et Vril. En réalité c’était grâce à des fonds obtenus de millionnaires allemands. En mars 1922 on aboutit au premier prototype de Jenseitsflugmaschine (ou machine volante en forme de soucoupe). Mais le premier vol d’essai fut un échec total : une partie du vaisseau s’est désintégrée et l’autre a explosé.

 

Cependant, trois jours après l’incident, Maria est revenue avec de nouvelles informations, qui ont été étudiées et approuvées par le Dr Otto Schumann, responsable du projet. Finalement, en décembre 1923, la deuxième soucoupe volante a fait ses débuts et l’a fait avec succès : elle a volé 55 minutes et a atteint 300 000 kilomètres par heure. Dès lors, ils ont continué à fabriquer de nouveaux modèles.

 

La séance de spiritisme de Maria Orsic

 

À la fin de novembre 1924, Maria Orsic rendit visite à Rudolf Hess dans son appartement à Munich, en compagnie de Rudolf von Sebottendorf, le fondateur de la Thule Gesellschaft. Sebottendorf voulait contacter Dietrich Eckart, décédé un an auparavant. Eckart avait traduit les pièces d’Ibsen en allemand et avait publié dans le magazine « Auf gut Deutsch »; il avait également été membre de la Gesellschaft Thule. 

 

Pour établir le contact avec Eckart, Sebottendorff et d’autres thulistes (parmi eux Ernst Schulte-Strathauss) ont joint leurs mains autour d’une table drapée de noir. Hess était affolé de voir les globes oculaires de Maria Orsic se révulser et ne montrer que les blancs, et de la voir s’effondrer sur sa chaise, la bouche entrouverte. Cependant Sebottendorff sourit de satisfaction alors que la voix d’Eckart commençait à sortir de la médium. Eckart a annoncé qu’il était obligé de laisser passer la voix de quelqu’un d’autre, avec un message important. Une voix étrange s’est alors identifiée comme « les Sumi, habitants d’un monde lointain, qui tourne autour de l’étoile Aldébaran dans la constellation que vous appelez le Taureau ». Hess et Schulte-Strathaus se regardèrent avec surprise. Selon la voix, les Sumi étaient une race humanoïde qui avait brièvement colonisé la Terre il y a 500 millions d’années. Les ruines de l’ancienne Larsa, Shurrupak et Nippur en Irak avaient été construites par eux. Ceux d’entre eux qui ont survécu au grand déluge d’Ut-napishtim (le Déluge de l’Arche de Noé) étaient devenus les ancêtres de la race aryenne. 

 

Les membres de cette race de maîtres purs étaient connus sous le nom d’aryens. Les aryens étaient issus d’une race d’extraterrestres. Ces extraterrestres avaient conféré à cette race aryenne un pouvoir énorme et ils étaient censés être la race maîtresse sur la terre. On sait depuis que ce fut en partie la justification du parti politique nazi d’établir la suprématie aryenne sur la planète Terre.

 

Sebottendorff reste sceptique et demande des preuves. Tandis que Maria était encore en transe, elle gribouilla plusieurs lignes de marques bizarres. Ces marques se sont révélées être d’anciens caractères de Sumérien, la langue des fondateurs de la plus ancienne culture babylonienne. 

 

La montée d’Hitler et la société Vril

 

Après la montée d’Hitler et de l’Allemagne fasciste de la NASDAP, tout semblait possible et la Société Vril, la Société Thulé et bien d’autres furent englobées dans le bureau départemental d’Ahnenerbe, supervisées par les dirigeants nazis, pour faire avancer leurs programmes au sein de l’armée nazie. C’était un parapluie complexe de différentes sociétés occultes. Avec Hitler au pouvoir en 1933, Thule et Vril Gesellschafts auraient reçu l’appui officiel de l’État pour la poursuite des programmes de développement de disques volants visant à la fois le vol spatial et peut-être une machine de guerre.

 

Lorsque le parti nazi accéda au pouvoir en 1933, le Vril encouragea Hitler et ses hommes de main à financer une recherche mondiale d’anciennes technologies alternatives. Des scientifiques et des chercheurs allemands ont parcouru la planète à la recherche de textes et de reliques anciens, tels que le Saint Graal et l’Arche d’Alliance.

 

Les soi-disant « Dames Ésotériques du Troisième Reich », aussi connues sous le nom de « Sœurs de Lumière », étaient intimement liées au NSDAP depuis sa création au début des années 1920. Cette fraternité était composée de Maria Orsic, Chefin, Sigrun, Traute et la jeune Sira, qui n’avait alors que 18 ans. Ces femmes, aux cheveux longs qui touchaient le sol, participèrent à plusieurs rencontres avec les membres de la Société Thulé.

 

Une fois, une réunion s’est tenue dans une ancienne ferme appartenant au Dr. Schumann, spécialiste des énergies alternatives. Dans ce document, Maria Orsic a montré aux national-socialistes des textes qu’elle avait reçus d’êtres extraterrestres qui habitaient à Aldébaran. Dans ces écrits, supposés transmis d’une civilisation extérieure, était expliqué comment construire un vaisseau spatial propulsé par un moteur d’implosion capable de vaincre la gravité et d’atteindre des vitesses incroyables.

 

Les plans de construction et les données techniques reçues par les télépathes – peu importe d’où ils venaient – étaient si précis que l’idée la plus fantastique jamais conçue par l’homme était née : la construction d’une machine volante vers l’au-delà !

 

Les années de guerre et la suprématie technologique allemande

 

En fin de compte, la Seconde Guerre mondiale commença et vit l’incroyable progression des armes et des véhicules – certains disaient que les nazis avaient 30 ans d’avance sur toute autre nation. 

 

Quand Hitler interdit les sociétés secrètes en 1941, ils ont enregistré la société Vril comme une entreprise, appelée « Antriebstechnische Werkstätten » (ateliers de propulsion Vril). Dans les documents on rencontre également la société Vril sous le nom d’unité SS E-IV. C’est un secret que Himmler et Sebottendorff ont gardé jusqu’à la tombe. On dit également que la société Vril, qui travaillait occasionnellement avec Adam Opel AG et Arado, leur a demandé un type spécial de propulsion pour leurs avions. On dit aussi que Vril a été inclus dans l’organisation secrète créée par Himmler, « Die Kette ».

 

Les recherches d’une capacité de voyager dans un certain mode inter-dimensionnel sont similaires aux expériences de Vril concernant le vol canalisé avec la Jenseitsflugmaschine (Autre machine de vol du monde) et le Vril Flugscheiben (Disques volants).

 

En décembre 1943, Maria assista avec Sigrun à une réunion organisée par la Vril dans la station balnéaire de Kolberg. L’objectif principal de la réunion était de traiter du « projet Aldebaran ». Les médiums de la Vril avaient reçu des informations précises concernant les planètes habitables autour du soleil Aldebaran et ils étaient prêts à planifier un voyage là-bas. Ce projet fut à nouveau discuté le 22 janvier 1944 lors d’une réunion entre Hitler, Himmler, le Dr W. Schumann (scientifique et professeur à l’Université technique de Munich) et Kunkel de la Vril Gesellschaft. Hitler souhaitait utiliser le dernier prototype comme instrument de guerre, mais Maria a refusé. Craignant que les SS et Hitler se soient emparés du vaisseau, on a prétendu qu’il fallait l’améliorer et il a été envoyé dans un hangar à Munich et les vols d’essai ont cessé. 

 

Il a été décidé qu’un engin de grande capacité VRIL-7, surnommé « Jäger », serait envoyé à travers un canal de dimension indépendant de la vitesse de la lumière jusqu’à Aldebaran. Selon N. Ratthofer (écrivain), un premier vol d’essai dans le canal de dimension a eu lieu à la fin de 1944. Le vol d’essai s’est presque terminé en catastrophe parce qu’après le vol, le Vril 7 ressemblait à « quelque chose qui aurait volé depuis cent ans ». Sa carlingue extérieure avait l’air vieillie et avait subi des dommages à plusieurs endroits.

 

Suite à la rencontre de janvier, deux petits modèles de 8 mètres de diamètre ont commencé à être construits, craignant que le prototype ne soit volé. Le Dr. Schumann a embauché quatre ingénieurs pour développer et construire les soucoupes de Maria. Selon les données recueillies par diverses agences de renseignement (y compris la CIA), ces deux petits modèles ont bien été développés. Mais la guerre finit mal pour l’Allemagne et Maria Orsic disparut en 1945. 

 

En mars 1945, Maria Orsic aurait reçu des communications de ses messagers prédisant la défaite nazie avant la fin de l’année. Elle a rapporté cela à plusieurs amis, certains d’entre eux, comme les frères Horten, ont quitté l’Allemagne et se sont enfuis en Argentine.

 

Le 11 mars 1945, un document interne de la Vril Gesellschaft a été envoyé à tous ses membres… une lettre écrite par Maria Orsic en personne. La lettre se termine par : « niemand bleibt hier » (personne ne reste ici) et est signée « avec un courage nouveau » ( Mit frischem Mut ) par Gudrun. C’était la dernière annonce de Vril, et depuis lors, personne n’a plus entendu parler de Maria ou du reste des membres, sauf peut-être le Dr. Schumann. En effet, le jeudi 15 mars 1945, Maria Orsic l’aurait rencontré pour la dernière fois, et lui a donné un paquet avec tous les documents et les plans des OVNIS allemands et lui aurait dit au revoir.

 

Dans la mythologie nordique Gudrun était la sœur de Gunnar, les deux enfants de Giuki – le roi des Nibelungs. Sigrun (une autre Vrilerinnen) était l’une des neuf filles d’Odin. C’était la dernière annonce de Vril. Certains pensent qu’ils sont partis à Aldébaran… Nourrissant la spéculation que Maria put en fait s’être échappée, comme elle l’avait annoncé, à Aldebaran à bord de la machine volante. 

 

Une « lettre de départ » aux Jeunes Vrilerinnen (jungen) a été récemment publiée, datée du 11 mars 1945, mentionnant le « Départ d’Odin » (Odin-Ausflug). Il se réfère à un lieu d’évacuation temporaire avec Maria, et le dernier départ à Aldebaran.

 

La société Vril recrute des médiums dès le plus jeune âge

 

Beaucoup pensent encore que cette histoire n’a jamais existé car on ne trouve rien à ce sujet dans les médias ou dans les documentaires grand public de la Seconde Guerre mondiale, particulièrement en Allemagne, où il y a la liberté de la presse et où ils déclarent qu’ils enseignent seulement la vérité … Sûrement est-il raisonnable de discuter de la vraie vérité maintenant après 70 ans, ouvertement sans être arrêté ou étiqueté publiquement de « fanatique fasciste », ou de « révisionniste de l’histoire conspiratrice ».

 

On parle aussi de l’histoire d’une princesse allemande de douze ans qui aurait été recrutée par von Sebottendorf de la Thule Gesellschaft, lors des funérailles de sa tante, pour devenir une stagiaire en tant que médium pour la Vril Gesellschaft. Si quelqu’un veut essayer de vérifier des faits dans cette histoire, la grand-tante de la fille était la princesse Franzeska d’Oettingen qui mourut le 25 mars 1931 et, le 15 septembre 1931, sa grande nièce, aussi appelée Franzeska, manifestait l’ectoplasme dans les rituels occultes pour Maria Orschitsch, comme l’une de ses Vril Damen ou Vrilerinnen. 

 

Il est clair aussi que toutes les membres de la Vril ont reçu des noms occultes tels que Traute, Sigrun, Gudruna et Heike. Ce n’était pas leur véritable nom, ce qui complique les vérifications. Apparemment, selon l’histoire, Franzeska était considérée comme spéciale et douée pour contacter la race extraterrestre d’Aldébaraniens parce qu’elle était considérée comme une « pure royauté aryenne ». 

 

La technologie pour les « soucoupes » de la Jenseitflugmaschine de 1922 à la VRIL 7 de 1945 devait provenir de ces transmissions d’Aldébaran à travers les filles psychiques. Peu de temps après la guerre, les scientifiques nazis étaient considérés comme souhaitables par les scientifiques américains et soviétiques, lorsque Patton reçut des documents sur le programme des fusées. 

 

Le monde est également silencieux au sujet de l’idéologie mystique et occulte derrière le régime nazi, y compris la technologie d’énergie libre inspirée de Vril, qui aurait été perfectionnée plus tard dans la tristement célèbre zone 51, près du site de l’incident de Roswell.

La Sociéité Thulé voulait imposer par la force la résurrection de l’Atlantide et l’Empire de 1000 ans prédit par le Christ. aussi utilisaient-ils le signe de la chute dans l’Âge des Ténèbres.

 

Adolf Hitler était vénéré comme un sauveur par 50 groupes ésotériques et porté au pouvoir. personne n’aurait imaginé qu’il était l’un des derniers maîtres de la Fraternité des Ténèbres atlante, qui allait les mener vers le côté obscure de l’occultisme. pour la 1ère fois de l’ère moderne, une secte ésotérique arriva au pouvoir avec ses diverses branches. Le seul but de cette secte pratiquant l’occultisme et la magie de masse, vivant dans sa propre réalité était d’arracher le pouvoir à une autre secte qui détenait le pouvoir mondial jusqu’à ce jour, les Francs-maçons et les Illuminati.

 

Les loges germanique et maçonnique, croyant être choisis par Dieu pour diriger l’humanité, étaient en fait des mystificateurs, et non des élus. Dans les coulisses, on découvre que les deux forces n’étaient que les anciens courants de la guerre occulte atlante, réincarnés comme Fraternités ennemies, s’accusant mutuellement de pratiquer la magie noire.

 

La vieille guerre entre Shamballa et l’Agartha, représentant les Fraternités ennemies atlantes, atteignit son paroxysme extérieur dans la Seconde Guerre mondiale. Et de nouveau, de mystérieuses Fraternités la préparaient à Munich, à la Société Thulé. Sebottendorf était initié par la franc-maçonnerie turque, et Karl Haushofer, par la cour royale japonaise qu’il avait visitée avant la 1ère Guerre mondiale. Leur objectif était d’entrer sur la scène politique, et une fois les occultistes parvenus aux postes dirigeants, la Société Thulé fût dissoute, et un cercle très secret de la Thulé fût formé. Bien avant le début de la guerre, ce cercle entreprit des expéditions secrètes en quête des mystérieuses civilisations avancées de Shambhalla et Agartha au centre de la Terre.

 

Virgil Armstong (ex agent de la CIA) : Lors de la conférence sur les ovnis, organisée par Mikael Hesselman, la TV finnoise était là et m’a demandé mon avis sur Hitler et le 3ème Reich, ainsi que son association avec les ovnis et les extraterrestres. Je devais leur donner quelques connaissances de base sur l’ufologie, et tout à coup, me sont venus des propos qui nous ont alarmés, moi, le cameraman et tous ceux qui écoutaient. Ils m’ont demandé, si Hitler était impliqué dans les recherches biologiques des extraterrestres. Et j’ai répondu ceci : « Oui bien sûr, mais pas de la façon qu’on pourrait croire. » Il était bien sûr impliqué, et j’ai ajouté qu’Hitler avait conclu un pacte avec les aliens. Ils l’avaient contacté, comme ils l’ont fait plus tard avec les États-Unis : « Laissez-nous utiliser vos gens pour des recherches biologiques, et on vous fournira de la technologie pour gagner la guerre. » Hitler leur répondit : « D’accord, mais pas sur la race aryenne. Je vous laisse utiliser tous mes prisonniers, et vous pourrez en disposer librement comme cobayes. » Cela explique bien des énigmes et mystères qui entourent la disparition de gens de Buchenwald et d’autres endroits devenus historiques. En fait, ils étaient utilisés par les aliens comme cobayes vivants.

 

Même la 2ème Guerre mondiale pourrait avoir été planifiée et organisée par les francs-maçons et les Illuminati, ainsi que l’opposition financée par leur manipulation du capital.

 

Les gardiens du karma mondial de Shambhalla et Agartha, étaient-ils les leaders des 2 côtés, les Illuminati et les Nazis, et initiateurs du karma de l’Atlantide ?

 

En tous cas, il existait un mystère : la technologie des OVNIs, qui pointe vers une civilisation avancée extraterrestre. La lance du Destin, symbolisant le leadership spirituel de l’humanité, aurait-elle été transmise à la nation allemande ?

Pourquoi une flotte secrète de sous-marins ont-elles fuit vers le pôle Sud en Argentine ? Elles emportaient Adolf Hitler, Eva Braun et d’autres membres secrets du cercle de Thulé.

 

Virgil Armstong :

Dès la fin des combats en Europe, l’Allemagne capitula, et bien sûr les alliés s’y sont précipités le plus vite possible pour capturer le personnel, saisir les documents et les vaisseaux spatiaux qu’Hitler avait créée. C’était le souci majeur des Soviétiques, des Américains et des Anglais. Les Soviétiques sont arrivés les premiers à Berlin, et ont saisi la plupart des documents sur ce projet. Puis les Américains sont arrivés et ont pris les documents restants, mais surtout les meilleurs cerveaux, dont Werner von Braun. Le Dr Hurtak le développera plus tard, à Berlin, on a découvert que les deux vaisseaux qui nous intéressaient le plus, les engins spatiaux qu’Hitler avait construits, avaient disparu, ils avaient été démontés par les SS, avaient quitté le pays à bord de deux sous-marins, passé 6 mois en mer, pour enfin arriver en Argentine. De là, ils étaient partis en Antarctique, mais c’est une autre histoire! Un autre élément intéressant que je voulais signaler : lors d’une conférence que j’ai donné à Chicago, il y avait dans l’auditoire une femme très intéressée, car j’ai traité de ce sujet. J’ai aussi parlé d’Hitler, que j’avais des doutes sur sa mort dans son bunker. Plus tard, elle m’a contacté, pour en discuté en privé. Son père était un ancien chef des services secrets d’Argentine… Elle m’a dit que lorsqu’elle avait 10-12 ans, elle et son père… dînaient à la terrasse d’un café. Il lui dit : « Tu vois cet homme assis là-bas ? C’est Hitler! Et la femme assise à ses côtés est Eva Braun, sa femme. » Hitler n’était pas mort dans son bunker. Il faut donc en conclure que le vaisseau avait été emmené en Argentine en même temps qu’Hitler, qui s’était ensuite établi là-bas. Il est mort quelque part après 1987, ayant rempli son rôle de grand seigneur de la Nuit, bien entendu selon le calendrier maya.

 

Werner von Braun

 

HITLER EST-IL MORT OU S’EST-IL ENFUI EN AMÉRIQUE DU SUD ?

 

En poursuivant l’étude de tous ces mystères sur de nombreuses choses que les Nazis ont faites après la 2ème  Guerre Mondiale. Pourquoi autant d’intérêt porté sur certains pays sud-américains spécialement le Brésil, le Paraguay, l’Argentine, le Chili… et bien autres pays encore ? Préparaient-ils quelque chose au cas où ils venaient à perdre la guerre ? Ou bien voulaient-ils assurer la succession de leur régime mais plutôt dans l’ombre afin de ne pas être découverts ?

 

Peut-être qu’entre autres choses, ils avaient l’intention d’implanter à nouveau leur puissant empire aryen-nazi ? Mais qui sont ceux qui ont préparé cela, s’agit-il des vrais maîtres du gouvernement visible et de l’ombre, qui à leur tour manipulent-contrôlent depuis leur arrivée jadis sur la Terre, que ce soit depuis l’antiquité à nos jours, en se servant des personnes crédules, naïves et facile à manipuler ?

 

Et si ces fidèles serviteurs n’étaient que les pantins-marionnettes d’une Élite supérieure qui les dirige ?

 

Et en ce qui concerne ces Aliens déguisés en humains, seraient-ils les seuls à exister et à contrôler l’humanité endormie ou y en aurait-il d’autres très puissants qui depuis l’époque nazie-fasciste et du troisième Reich dirigeaient déjà dans l’ombre ces maîtres prétentieux et exaltés du pouvoir visible global ?

 

Hormis tout cela que s’est-il passé pour Adolf Hitler, est-il mort avec son Armée lors de la bataille de Berlin comme un courageux dirigeant dictateur, comme on a toujours voulu nous le faire croire, ou bien s’est-il passé autre chose que la société mondiale ignore ?

 

Damonte Taborda (journaliste et politicien argentin) : « La révolution militaire en Argentine s’est révélée être un complot nazi pour reconquérir la suprématie mondiale… Outre les sous-marins Allemands connus, comme ceux qui sont arrivés en Argentine, d’autres ont été coulés par les membres de l’équipage dès leur arrivée pour ne pas être livrés aux Alliés. Les sous-marins amenaient incontestablement des politiciens nazis, des techniciens et, probablement, Adolf Hitler. »

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