Pourquoi les Ovnis nous rendraient-ils visite ?

 

Si certains verront de l'humour dans les lignes suivent, d'autres auront des interrogations...

 

Parlons des vraies choses. 

 

Imaginez un petit OVNI de 7 m de diamètre. 

 

La coupole de protection biologique a quelques décimètres d’épaisseur pour stopper les particules et les microparticules errant dans L’espace. 

 

Cela donne plus de 10 000 kg, juste pour la coupole 

 

Estimations de la taille et du poids d'un Ovno 

 

Selon Ted Phillips, "les OVNIs sont assez massifs : des tests de compression du sol sur des empreintes de soucoupes de de 18-30 pieds et d'OVNIs de 20 pieds en forme d'œuf ou d'ovale, ont indiqué une fourchette entre 8 et 10 tonnes pour les soucoupes et 14 à 18 tonnes pour les ovales".

 

Un cas présenté dans le livre de Paul R. Hill

 

Paul R. Hill, "Unconventional Flying Objects", en France, le 10 septembre 1954, un OVNI ovale de 6 mètres de diamètre axial et 3 mètres de diamètre transversal a atterri sur une voie ferrée, laissant de profondes empreintes sur les traverses en bois, et a été estimé à 30 tonnes, pesant plus que nos nos avions à réaction.

 

Les OVNIs observés près du sol ou au sol entre les années 1950 et 1970 se répartissent systématiquement dans les groupes suivants (classés par taille):

 

- Petit objet hémisphérique (= dôme, casque, champignon) / sphérique / conique, de

1,2-4 mètres de diamètre, parfois avec des "évents" ou des "extensions" externes.

 Ils touchent rarement le sol mais restent immobiles à une hauteur de 1 à 5 pieds au-dessus de la surface du sol. Ils laissent généralement derrière eux des zones circulaires déprimées, brûlées ou déshydratées.

-  Petit objet ovoïde de 2 à 2,5 mètres de long qui plane avec son grand axe vertical.

 

 

De petits êtres humanoïdes sont souvent signalés aux commandes d'une soucoupe typique de 10 à 40 pieds,  moyenne 30 pieds de diamètre. Ils atterrissent en laissant des zones brûlées ou déprimées de configuration irrégulière.

Les disques plus grands ont généralement un train d'atterrissage rétractable, trois pattes en triangle équilatéral.

 

 

 

Imaginons maintenant que l’engin frôle une planète à 0.99 fois la vitesse de la lumière. 

 

Cela donne une énergie de 6.37 x 10 E 21 joules, soit 1384 giga tonnes de TNT

(1 kg TNT = 4,6 MJ). 

 

Bref, si ce minuscule engin dévie de sa trajectoire, adieu la vie sur cette planète. 

 

Imaginez qu’un savant fou, ou plus vraisemblablement une équipe travaillant sur l’ingénierie inverse, met au point un tel engin et que les grands constructeurs d’avions, ou pire d’automobiles, de ce monde se mettent à produire en série la machine.  Il est certain qu’avec une telle source d’énergie, on aura tôt fait de finir de cochonner notre planète pour en arriver à voir si l’on ne peut pas cochonner les autres.

 

S’ils (nos visiteurs) veulent survire, ils doivent faire en sorte que ces engins ne soient pas lancés dans l’espace, proche de la vitesse de la lumière, frôlant des systèmes solaires afin de découvrir de nouveaux horizons. 

 

La solution simple pour eux est de reproduire ce qui s’est passé dans le Yucatan à l’époque des dinosaures, à moins que nous le faisions par nous-même, un illuminé qui se suicide en emportant l’humanité. 

 

 

 

2020 Ronald Olch, «UFO Research - Evidence and Resources 12-18-20.pdf», 2020. https://img1.wsimg.com/blobby/go/3ce70b16-7a5f-4151-a86b-b4e11efe8275/downloads/UFO%20Research%20-%20Evidence%20and%20Resources%2012-18-20.pdf?ver=1619051760208