Citation de Stéphane Allix
A travers le monde entier, des hommes, des femmes mais aussi des enfants prétendent être enlevé par des extraterrestres. Une partie de ces gens sont littéralement
traumatisés par leurs expériences. Ils n’ont aucune envie de convaincre leur entourage de la véracité du phénomène. Ils ont conscience de l’absurdité de ce qu’ils racontent, de ce qu’ils
affirment avoir vécu. Ils appellent à l’aide. « Enlevés » est une rencontre avec ces hommes et ces femmes, des gens de tous les jours, normaux, sincères, désemparés, qui racontent tous la même
expérience inimaginable. C’est aussi le portrait d’un homme d’exception : John E. Mack. John Mack était un éminent docteur en psychiatrie, un des professeurs les plus respectés de la prestigieuse
université américaine de Harvard, Prix Pulitzer en 1977 et fondateur du département psychiatrie de l’hôpital de Cambridge. Après avoir étudié une centaine de cas, John Mack a publié en 1994 le
résultat de ses recherches dans un livre intitulé Abduction qui fait l’effet d’un coup de tonnerre. Le diagnostic de John Mack — confirmé par différentes études et tests psychiatriques réalisés
par d’autres équipes — est bouleversant : ces gens ne souffrent d’aucune pathologie mentale. Ils ne sont pas fous ! Ils sont sincères ! Bien vite on découvre qu’aucune théorie satisfaisante ne
peut expliquer ce qui leur arrive. Quelque chose de physique et d’extérieur s’immisce dans leur existence. Mais quoi ? John Mack est mort accidentellement le 27 Septembre 2004. Quelques semaines
après ce drame, une cérémonie en sa mémoire a rassemblé dans les murs de la Harvard's Memorial Church à Boston, l’ensemble de ses amis, des scientifiques de haut niveaux, des enseignants, des
anonymes et… des enlevés. C’est là que commence le film.