Un militaire à la retraite révèle les détails de sa rencontre rapprochée avec les ET. Son incroyable expérience vécue dans les années 50, était demeurée secrète jusqu’à présent.
Le lieutenant colonel des Forces aériennes Richard French faisait partie des enquêteurs du projet « Blue Book » et était chargé de démentir les rapports d’observation OVNI. Il était loin de s’imaginer alors qu’il verrait un jour de ses propres yeux deux extraterrestres en train de réparer leur navette.
Un jour, les supérieurs du militaire reçurent une dépêche rapportant l’observation de plusieurs habitants de la ville de St Jean de Terre Neuve, et ordonnèrent à French d’enquêter.
Une fois sur place, le colonel vit une multitude de gens, ainsi que quelques agents de la police locale, observer au bord de l’eau avec étonnement.
Richard French se souvient : l’eau était très claire et il pouvait distinguer à 20 mètres de la côte deux vaisseaux circulaires. Chacun d’eux mesurait 5,5 mètres de diamètre et quasi 1 mètre d’épaisseur. Ils flottaient sous la surface de l’eau. Ajouté à cela, il put voir deux êtres à côté des vaisseaux.
« La première chose que je vis, ce sont les OVNIs, et il m’apparut évident qu’ils étaient en train de faire quelque chose avec la navette », confia l’ancien militaire au quotidien Huffington Post, « bien que, je dois reconnaitre, je ne pouvais observer avec une très grande précision« .
« Les 2 êtres en question mesuraient 2 ou 3 pieds ( 60 cms à 1 mètre), étaient de couleur gris clair, élancés, avec de longs bras, dotés de 2 ou 3 doigts », précisa French. « La partie supérieure du crâne était beaucoup plus volumineuse que la partie au niveau des mâchoires. Leurs yeux semblaient remontés sur les côtés et on ne pouvait en distinguer les pupilles », a-t-il précisé, ajoutant qu’ils ressemblaient étonnamment aux aliens qu’on a l’habitude de voir dans les films.
Ensuite French a expliqué comment un des vaisseaux est remonté à la surface pour finalement s’éloigner. 20 minutes plus tard, l’engin est revenu pour ensuite disparaitre encore, mais cette fois avec l’autre OVNI.
Ironie du sort, le travail de French, à l’époque, consistait justement à discréditer les histoires sur les OVNIs. Du coup, il présenta un rapport fictif, en falsifiant son observation, dans lequel il prétendit que ces objets étaient quelque chose d’inconnu, comme des véhicules méconnaissables.
« Oh, je crois sans l’ombre d’un doute qu’il s’agissait d’OVNI, et qu’il y avait à bord des extraterrestres » avoue French aujourd’hui. « Il n’y a aucun doute dans mon esprit, c’était ce que c’était, mon devoir était de discréditer cette histoire; alors j’ai fait ce qu’il fallait pour le faire. »