Un  bûcheron chinois aurait couché avec une femme extraterrestre de 3 mètres de haut avec 6 doigts

« Si vous n’arrivez pas à me trouver, » a dit Meng Zhaoguo avec son téléphone portable dont le signal s’affaiblissait du à son isolement, « Dirigez-vous jusqu’à la dernière maison sur la voie de l’exploitation forestière de la commune. Ou demandez à quelqu’un qui est sur place. » Tout le monde connait la première personne chinoise qui a été enlevée par des extraterrestres.


Avec une économie en plein essor, la Chine a atteint des sommets dans les classements mondiaux : elle possède des millions de locuteurs en anglais, une grande partie des millionnaires et beaucoup de touristes très peu économes.


Pourtant, en dépit d’être un peu plus grande que les États-Unis avec quatre fois plus de personnes, la Chine est à la traîne en ce qui concerne les observations d’ovnis et les visites d’individus d’un autre monde.


À ce jour, un seul chinois, le bûcheron Meng Zhaoguo, prétend avoir couché avec une extraterrestre.

Meng Zhaoguo, un travailleur originaire du nord de la ville chinoise de Wuchang, est testé par un détecteur de mensonges à Pékin.

J’ai d’abord rendu visite au domicile de Meng dans la commune Drapeau Rouge spécialisée dans l’exploitation forestière, placée au centre des vestiges d’une forêt au nord de la Chine, une zone historiquement connue sous le nom de Mandchourie.


Les chinois décrivent les habitants du nord-est comme ayant un grand coeur, industriels et parfois un peu touchés au niveau de la tête. Donc pour eux cela n’a pas été un gros choc que la première personne prétendant avoir eu des relations interstellaires soit originaire de cette région. En 2003, j’ai roulé sur une route couverte de glace, en pleine forêt, afin de le rencontrer.


Sur la commune, Meng vivait dans une cabane en bois composée de deux-pièces qu’il avait construit de ses propres mains. Des ampoules jaunes dont les fils étaient à nu tombaient du plafond et les téléphones portables ne captaient pas de signaux satellites. Mais un grand écran téléviseur Sony remplissait tout un mur.


« Dans notre coin, on ne capte que deux chaines, » dit-il. « Donc c’est une perte d’argent, mais je ne l’ai pas acheté. Un homme d’affaire me l’a apporté, après qu’il ait entendu mon histoire. » Un autre visiteur, de Malaisie, m’a apporté une vache. « Je l’ai vendue », a dit Meng. « Les vaches coûtent de l’argent. Qu’est ce que je pourrais faire avec une vache dans ma forêt? »


Nous avons fait une promenade à l’extérieur, la neige craquait sous nos bottes et avons observé les Montagnes du Dragon, voilées par une brume pourpre filtrée par la lumière du crépuscule. Ce soir-là, Meng a fait les mêmes allégations qu’en 1994, quand il a vu un reflet métallique miroiter sur ces sommets.


« J’ai pensé qu’un hélicoptère s’était écrasé, alors j’y suis allé pour récupérer quelques morceaux de métal. » Il a alors atteint le sommet d’une vallée puis a espionné l’épave de loin, quand tout à coup« Foom! Quelque chose m’a frappé sur le front et m’a assommé. »


Il se réveilla dans sa cabane, m’a t-il dit, sans aucun souvenir de comment il s’était retrouvé là. Quelques nuits plus tard il se réveilla et découvrit qu’il flottait à quelques centimètres au dessus de son lit. 


Comme sa femme dormait en dessous lui, une femme extraterrestre de 3 mètres de hauts avec 6 doigts qui avait la cuisse rose et les cheveux tressés s’agrippa à la taille de Meng. Meng et l’extraterrestre femelle copulèrent pendant près de 40 minutes.


« Elle est ensuite passée à travers le mur et je suis redescendu lentement dans mon lit. Elle me laissa comme cela. » Il a ensuite défait son pantalon pour révéler une longue marque de 50 centimètres de peau déchiquetée.


Je lui ai demandé de dessiner la créature, il a pris un stylo et a déchiré une feuille de papier d’un rouleau. A ma grande surprise, j’ai reconnu l’extraterrestre. Comme il faisait de minuscules ‘x’ sur les cuisses de l’extraterrestre, j’ai réalisé que Meng dessinait en fait le bonhomme Michelin. Son sourire, son visage blanc bouffi qui faisait signe du sommet d’un atelier de réparation automobile à la base de la commune de Meng. J’ai pensé à cela.


Mais Meng raconta l’histoire d’une façon très posée, pas désespéré ou en quête de convaincre ou de persuader, afin de pousser quelqu’un à y croire. Je gardais mes convictions pour moi-même, puis il me demanda si c’était ok d’aller dehors avec ses enfants et de jouer avec les feux d’artifice que j’avais apporté. Cette nuit-là, je dormais dans le lit de Meng alors que lui était affalé sur son canapé.


« Dans 60 ans, sur une planète lointaine, le fils d’un paysan chinois naitra. »


(…) « Les journalistes sont à la recherche d’incohérences dans mon histoire », me dit-il le lendemain matin dans sa maison. « J’en ai marre de la raconter, au bout du compte je ne suis qu’un paysan. »


« Ils [les extraterrestre] m’ont dit en chinois, avec un accent très prononcé qu’il serait difficile pour moi de comprendre cela au premier abord, qu’ils étaient des réfugiés. Comme moi, ils voulaient échapper à leurs premières vies, donc ils quittèrent leur foyer en perdition. »


Cette déclaration faisait écho à celle des immigrés chinois, et aussi au désir de Meng de quitter la commune avec sa famille.

Meng demanda à voir son extraterrestre chérie, celle à la cuisse rose et aux cheveux tressés.


Ils rétorquèrent que c’était « Impossible. » Mais ils lui ont ensuite dit quelque chose qui lui fit plaisir.« Dans 60 ans, sur une planète lointaine, le fils d’un paysan chinois naitra »

C’était une idée de génie: Meng a introduit le concept de conscience en provenance de l’espace à la classe moyenne Chinoise. (…)


« Il n’y a pas si longtemps que ça, les humains croyaient que la Terre était plate, » dit-il.

« Il y a même quelques décennies, les gens ne pensaient pas que les téléphones portables fonctionneraient. Les humains, s’ils n’ont pas vu quelque chose de leurs yeux, doutent naturellement que ça existe, ou que la vie fonctionne ainsi. J’ai été le premier chinois courageux à dire: « J’ai vu ça. » (…)

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