Des ovnis posés au sol, les témoins racontent…12 août 2015

Nous allons passer en relief un petit florilège d’observations ovnis faites au sol, avec des ‘’vaisseaux’’ de formes et de tailles bien différentes, et parfois des entités qui interviennent.

 

Fait étonnant, mais récurent dans le phénomène ovni, il y a toujours quelque chose qui se passe, et qui est complétement improbable, soit tout lau long de la durée de l’événement, soit un passage de l’événement, et presque toujours vers la fin de l’événement.

 

Balayons quelques cas, souvent intrigant, parfois stupéfiant, mais toujours passionnant…

 

Nous sommes à Nitry dans l’Yonne le 5 septembre 1988, il est environ 3h du matin.

Le témoin rentre d'Auxerre, sur sa mobylette, et aborde la dernière ligne droite avant Nitry sur la D91. A la hauteur du champs BONTEMPS, il aperçoit, posée au sol, une lumière intense qui éclaire le paysage. Il s'arrête. 5 à 6 voitures qui se suivaient s'arrêtent également. Une dizaine de personnes en descendent, dont quelques unes rejoignent le premier témoin. A une centaine de mètres des témoins, un " engin " est posé dans le champs.

 

Ses dimensions semblent colossales : entre 80 et 100 m de long, et est " haut comme une maison " !

( En comparaison, la longueur d’un boeing 777 fait au maximum 74 mètres)

 

Le témoin parlera d'un " engin " en forme de cigare, de couleur rouge. La lumière qui s'en dégage est puissante, mais non aveuglante. Les témoins viendront jusqu'à une cinquantaine de mètres de l'objet puis s'arrêtent. Ils ressentent alors un fort déplacement d'air comme une aspiration froide vers l'engin.

 

L'objet décolle alors, dans un silence total ! Son ascension est indescriptible : en 3 secondes, il se trouve à hauteur des quelques nuages visibles cette nuit-là ! 1 seconde plus tard, il devient un point lumineux minuscule ! 1 ou 2 secondes encore, il a disparu.

 

Le lendemain, à cet endroit, on découvrira plusieurs traces dans ce champs, dont une parfaitement uniforme, de 15 cm de profondeur et 30 cm de large. Le fond est fortement tassé, et parfaitement net.

 

 

Remontons un peu le temps, en septembre 1983, et allons à Champeaux la Chapelle Pommier, en Dordogne. Vers 7 heures du matin le témoin partait dans le bois jouxtant Mareuil à la recherche de champignons. Arrivé dans une clairière il eut la surprise d'apercevoir posé sur le sol un engin ovoïde sur 3 béquilles. L'engin avait l'apparence d'un métal lisse de couleur argenté. Chaque extrémité du trépied se terminait par une sorte de boule rotative.

S'en approchant, il vit un panneau ouvert sur un escalier déplié prenant appui sur le sol. Le dessus de l'appareil était surmonté d'un dôme à fenêtres. Le témoin n'eut pas l'occasion de pousser plus en avant l'étude en détail, le panneau commença à se refermer repliant avec lui l'escalier. La jonction était si parfaite qu'il devenait impossible d'encore distinguer l'ouverture. Un bizarre silence avait régné mais un léger ronronnement comme d'un petit appareil électrique se fit entendre tandis qu'en même temps l'appareil se soulevait.

 

Quelques petites lueurs entouraient le pourtour un peu comme des feux follets. Très vite des radiations d'un bleu intense prirent appui sur le sol, précédant le départ de l'engin à mach 5 ou mach 10 ou plus encore. Instantanément la place où l'objet avait été posé fut recouverte de givre. Un froid intense pénétra dans le corps du témoin.

 

Abandonnant la cueillette il rentra chez lui pour se réchauffer sans y parvenir. Un docteur fut mandé, rien ne put donner au témoin un peu de chaleur interne pendant une dizaine de jours...

 

Cette fois, nous sommes en Seine et Marne à Salins, le 26 février 1982.

Une femme regarde la télévision quand à travers la fenêtre son attention est attirée par plusieurs lumières clignotantes. Elle va voir et observe 3 formes ressemblants à deux assiettes renversées d'une taille comparable à une automobile. Chacun des objets possède un gros phare de couleur verte en son centre entouré par deux lumière une rouge et une orange.

 

Au-dessus de ces objets au sol un quatrième objet identique les survole au-dessous duquel sortent des flammes de couleur orangées comme en pression.

 

Le phénomène disparait sans que le témoin ne sache comment. Le témoin souffrira de troubles de la vue et de maux de tête pendants plusieurs jours après son observation. Déclaration en gendarmerie. Durée de l'observation 2 heures trente !

Nous sommes le 28 août 1977, il est 1h du matin dans la commune de Meaux toujours en Seine et Marne. Le témoin, une femme, est chez elle dans un immeuble du quartier Beauval. Elle n'arrivait pas à dormir, lorsqu'elle entend un sifflement. Elle se lève, et passant dans une autre pièce, ouvre les persiennes d'où par les interstices filtrait de la lumière.

 

Elle observe alors en face d'elle à une vingtaine de mètres, une masse sombre et immobile à quelques mètres au-dessus du sol. L'objet d'apparence métallique, à la forme d'une soucoupe vue par la tranche et à environ 5 à 6 mètres de diamètres, 1 mètre de haut et est surmonté d'une sorte de coupole. Sa surface est lisse et mate, sans hublots, sur le dessous scintillent des lueurs rouges et jaunes.

 

La femme se retrouve alors comme paralysée, incapable de faire un geste ou de réveiller son mari. Elle restera une heure comme cela à contempler l'objet qui continue à émettre son curieux bruit.

 

Soudain l'engin s'élève lentement et après un léger arrêt, il part à une vitesse extrême en direction du Sud est prenant alors la forme d'un disque rouge. Alors seulement le témoin pu quitter la fenêtre et en état de choc alla réveiller son mari.

 

Le lendemain, elle constata que l'herbe de la pelouse à l'emplacement survolé par l'objet était légèrement brulée. Elle déposa en gendarmerie. A noter qu'un gardien faisant une ronde avec son chien au parc Frot, observa en direction du quartier Beauval cette nuit là un phénomène lumineux étrange.

 

Le 01 août 1977, il est 20:30 heures à St Beaulize dans l’Aveyron, le témoin se promène dans la campagne. Il aperçoit brusquement un point lumineux qui se déplace. Au bout de quelques secondes cette lumière qui jusque là avait une trajectoire horizontale se met à dévier et descend verticalement. L'objet redressa sa chute et avance vers le témoin.

 

Ce dernier se jette alors dans le fossé mais continue son observation. L'objet à 3 m de diamètre et trois petites lumières rouges accompagnent ce dernier. L'objet se stabilise à une dizaine de mètres du témoin à environ 3 m du sol dans un silence total.

 

La lumière de ce dernier est éblouissante. L'objet semble être animé d'un léger mouvement de type yoyo. Le sol est éclairé par l'objet. Ce dernier se pose, mais au bout de quelques secondes décolle doucement. Le témoin prend alors son appareil photo et prend un cliché.

 

A ce moment là un faisceau de lumière intense sort de l'objet et se projette sur le sol. Le faisceau s'arrête, et après quelques secondes d'immobilité, l'objet monte jusqu'à disparaître. Le témoin a noté que le seul moment ou un bruit fut entendu, c'était au moment du faisceau lumineux. A ce moment là il y eut un bruit de Chalumeau. Un léger vent se fit sentir pendant la durée du phénomène alors qu'il n'y en avait pas avant et plus après.

 

Enfin il est à noter que le faisceau était composé d'une curieuse lumière qui semblait s'éparpiller sur le sol comme de l'eau s'écoulant d'un tuyau.

 

La même année, mais quelques jours plus tôt, le 24 juillet, il est 22:30 heures, nous sommes à Cruis, dans les Alpes de Haute Provence. Un couple circule sur la D951 entre Cruis et Mallefougasse. Soudain ils observent à environ une quarantaine de mètres un objet en forme de demi-sphère lumineuse, posé au sol.

L'objet fait environ 7 à 8 mètres de diamètres pour 2m50 de haut. Il possède trois lumières bleues et blanches. A côté de l'objet, ils observent deux personnages, de forme humaine, de 1,65 mètre environ, habillés d'uniforme gris et de casque.

 

La femme paniquée et prsie d’une peur incontrolée, demande alors à son mari de partir. Le couple souffrira de conjonctivite et d'insomnie pendant quelque temps après l'observation.

 

1 an plus tôt, en juillet 1976, à Le Ponet et St Auban dans la Drôme, le témoin se trouve dans un camp de vacances pour les enfants de la RATP. En pleine nuit l'intérieur des tentes de camping est brusquement éclairé par une source lumineuse extérieure. En même temps un long sifflement se fait entendre et un bruit identique à l'ouverture d'un bocal.

Les enfants sortent rapidement de leurs tentes et observent alors un objet discoïdal posé dans le champ de blés coupés contigü au terrain du centre de vacances. L'objet émet une lumière jaune or difficilement soutenable. Ce dernier à une taille de 5 à 6 mètres, la base repose directement sur le sol.

 

Elle est surmontée par une zone éllipsoïdale plus large posédant sur son rebord des rectangles de couleur rouge. Au centre se trouve un dôme trapézoïdal sur le quel se distingue une série de traits lumineux de couleur vet clair et d'où s'échappe de la fumée ressemblant à de la condensation au-dessus d'un sol chaud. L'encadrement du camp fait reculer les enfants vers les bâtiments principaux de la cuisine.

 

Après 6 à 7 minutes, l'objet s'élève verticalement très lentement à faible hauteur, puis accélère en montant en feuille morte.

 

Le lendemain une trace est visible sur le lieu de l'atterrissage. C'est un cercle calciné de 5 à 6 mètres de diamètre présentant sur son pourtour interne une série de petits ronds et au centre dans le diamètre du cercle une rainure rectiligne. Il semble que gendarmerie et pompiers soit venus enquêter. L'encadrement du camp à demandé aux enfants d'oublier ce phénomène le plus vite possible.

Le 11 juin soit quelques semaines avant, toujours dans la Drôme, mais à Chantuzange le Goubet, il est 01:15 du matin. Une jeune fille rentre chez elle par la N531. Elle passe le pont du Martinet. Son véhicule ralentit alors brusquement. Après quelques ratés, tous les feux du véhicule s'éteignent et le moteur cale.

 

Elle observe alors à une quinzaine de mètres sur la route une masse lumineuse demi-sphérique orange d'une taille estimée à 8 m. La jeune fille prend peur, vérouille les portes de l'intérieur et met ses mains devant les yeux.

 

Au bout d'un temps indéterminé, elle retire les mains de devant ses yeux, il n'y a plus rien. Elle rentre alors chez elle, et constate à son arrivée que le court trajet entre Roman et chez elle à duré trois heures. Il manque donc deux heures dans la vie de cette jeune fille.

 

Au cours d'une scéance d'hypnose controversée, le témoin précisera que peu après la lueur deux nains la firent sortir de son véhicule et la fire entrer dans l'objet ou fut pratiqué un examen à l'aide d'un objet ressemblant à une lampe de poche.

 

Elle était allongée sur une table en fer et des boutons étaient visibles sur les murs autour d'elle. Les entités reconduisent alors la jeune fille dans sa voiture et repartent vers l'objet qui s'élève et disparait dans le ciel.

 

Et voila pour aujourd'hui, pour ce qui est un peu notre série de l'été, pour se souvenir que des ovnis parcourent également notre pays depuis longtemps, et que des évènements quelques peu extraordinaire s'y déroulent aussi.

 

Et il me fallait aussi faire un retour aux sources de ce blog qui se veut traiter des ovnis et des extraterrestres, ainsi que de leurs actualités...

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